De vrais amis 4
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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De vrais amis 4
Une petite collation et nécessaire pour recharger les batteries. Georges félicite sa femme :
-Oh ma chérie, tu as été magnifique, jamais, je n'aurais imaginé que tu pouvais être aussi active, je vois que tu te surpasses et qu'enfin, tu te livres corps et âme aux joies du sexe !
Mathilde, un peu honteuse, baisse la tête, en rougissant un peu. Marc se penche vers elle et lui dit :
-je n'en ai pas fini avec toi ma belle, tu vas être honorée comme tu le mérites, tu as un cul d'enfer ma chérie !
Georges, souriant, avale son café et dit :
-Justine, tu te sens prêtes pour une double pénétration ?
La femme interpellée, réplique :
-Pour moi, c'est un rêve qu'enfin, je vais réaliser, vite mes chéris, venez me combler, ne me faites pas attendre, soit patiente Mathilde, tu vas recevoir la même gratification ma chérie !
Georges s'allonge entièrement nu sur l'herbe tendre. Justine souriante l'enjambe et en relevant sa nuisette jusqu'à sa taille, et d'une main, saisit la verge que Georges avec patience en entretien la raideur. Lentement, Justine se baisse, avant de s'empaler, elle frotte plusieurs fois le gland contre sa chatte impatiente. Doucement le manche de chair s'enfonce dans son ventre, elle soupire de bonheur, lorsqu'elle sent les couilles de son ami appuyées contre sa chatte gourmande. Elle se plaque contre son torse en se cambrant le plus possible sans se désaccoupler. Marc caresse la pastille brune en souriant et dit :
-Mathilde, prends-en de la graine, bientôt ça va être ton tour, ma chaudasse d'amour !
Il crache sur l'anus de sa femme, et l'enduit de salive, en faisant tourner ses doigts dessus. Il crache aussi dans sa main et s'enduit le gland de salive. Mathilde ne perd pas une image de la préparation. Marc fait glisser ses doigts sur la rondelle qui se met comme par miracle à frétiller. Mathilde est impressionnée, par les contractions incessantes de l'anus, elle ravale sa salive en poussant un gros soupir. Marc enfonce un doigt dans le rectum de sa femme, le ramone doucement avant d'y en ajouter un second. Justine souffle fortement. Elle se cabre légèrement lorsqu'elle sent contre son anus le gland monstrueux de son mari. Elle prend une grande aspiration, Marc pousse, Justine grimace. Un long râle sort de sa bouche, Lentement le membre puissant s'enfonce en elle.
Mathilde est fascinée par l'énormité qui pénètre en distendant l'anus de son amie, ses yeux sont écarquillés aux maximums. Sans savoir pour quoi, elle approche sa main du pieu qui empale Justine, et timidement saisit les bourses velues qui balancent sous le mât de chair. Elle les soupèse, les triture longuement avant de les presser de plus en plus fortement. Marc serre les dents, il s'agrippe aux hanches de sa femme et donne un coup de reins puissant. Un hurlement fait cabrer Justine, la bite de son mari, vient d'envahir entièrement son rectum en le dilatant fortement. Mathilde instinctivement lâche les bourses, elle est béate devant ce qu'elle voit. Elle se demande comme une chose aussi grosse peu pénétrer un si petit orifice.
Le va-et-vient peut commencer. La bite de Marc entre et ressort de l'antre de Sodome, en prenant de la vitesse. Justine ne grimace plus, elle geint de plaisir en s'agitant sur les pieux qui l'embrochent. Mathilde se demandait comment il était possible d'avoir du plaisir en se faisant sodomiser, maintenant, elle en a la preuve. Justine geint de plaisir sous les assauts de ses deux pourfendeurs. Avec méthode, ses deux amants lui travaillent les entrailles en synchronisant leurs assauts.
C'est en poussant un gémissement terrible que Justine jouit. Les deux hommes ne lâchent pas leurs proies, à tour de rôles, ils lui remplissent les orifices, avant de la libérer. Justine se relève, elle halète fortement, un petit sourire illumine son visage. Elle regarde son amie qui reste baba devant cet exploit sexuel qui pour elle est hors norme, voire contre-nature. Après une autre pause plus longue que la précédente. Justine regarde son amie et lui dit :
-C'est ton tour ma chérie !
Mathilde se braque en disant :
-Mais je n'ai jamais fait une chose aussi monstrueuse, ce n'est pas normale, nous ne sommes pas des animaux !
Georges, lui relève le menton avec deux doigts et lui dit :
-Ne fais pas la femme outrée, je sais que cela t'excite, profite de cette occasion inespérée pour toi, tu as déjà franchi un pas, ce qui m'a étonné d'ailleurs, te sachant coincée, j'avoue que cela a été une révélation pour moi, je n'en reviens pas encore. Je te demande de faire un autre pas. Je sais que nous ne sommes pas de toute première jeunesse, eh oui, nous sommes de vieilles peaux ma chérie. Il faut prendre le plaisir ou il est, aller encore un effort, je veux te voir jouir par les deux trous !
Les yeux de Mathilde se posent sur chaque intervenant. Elle déglutit, puis contre tout attend et sans dire un mot, retire sa nuisette qui porte encore des traces de sperme. Georges sursaute et dit en souriant :
-Bravo ma chérie, tu vas connaitre d'autres plaisirs sexuels, nous serons doux avec toi, c'est Justine qui va te préparer !
On demande à Mathilde se mettre à quatre pattes. Elle fronce les sourcils, cette position lui fait penser aux animaux, mais s'exécute. Justine se place dernière, elle, lui flatte un peu la croupe, avant de donner quelques tapes cuisantes sur les fesses. Justine dit :
-C'est pour te mettre en condition ma chérie, laisse-toi aller !
Justine écarte fortement les fesses rebondies de Mathilde, elle crache sur l'anus et plaque sa bouche contre. Les coups de langue que Justine donne sur sa rondelle font geindre la soumise. Elle tente de pénétrer l'anus avec son appendice lingual, mais en vain, le bougre refuse toutes pénétrations. Elle doit changer de stratégie.
Elle se redresse, et ce sont maintenant ses doigts qui prennent la relève. Ils glissent dans le large sillon, passent plusieurs fois sur le muscle ridé, s'attarde sur lui en appuyant doucement dessus. Cette caresse inconnue de Mathilde la fait frissonner. Justine suce son majeur et le place sur la petite corolle fripée.
Elle pèse doucement dessus, ce geste inhabituel fait cabrer Mathilde. Justine insiste, la pression devient plus forte. Lentement, la première phalange s'enfonce comme aspirée par l'anus. Mathilde se tend en disant :
-Mon Dieu, je suis malade d'accepter une chose pareille, c'est immonde !
Georges, aux premières loges, intervient :
-Détends-toi ma chérie, ne te crispe pas, tu prends avoir des jouissances exceptionnelles crois-moi !
Progressivement le doigt disparait dans le rectum de la soumise. Justine entreprend un doux ramonage, cela fait serrer les dents à Mathilde qui se sent avilie, par cette pénétration qu'elle trouve odieuse, et surtout pas naturelle. Mais comme elle a commencé, elle ne peut plus reculer.
Le ramonage anal prend de la vitesse, Mathilde s'habitue au visiteur. Mais elle pousse un grognement lorsqu'un autre visiteur vient en renfort. Les deux doigts joints font un lent un va-et-vient dans le fondement, qui commence à s'habituer aux intrus. Avec douceur, Justine tente d'assouplir le rectum de son amie qui geint de plus en plus fort.
Justine au bout d'un instant retire ses doigts, elle regarde l'anus qui reste entrouvert, elle a peu de temps pour l'investir avec trois doigts. Elle plonge ses doigts dans la chatte pour enduire ses doigts de lubrifiant naturel, puis les présente au rectum. Elle les joint le mieux qu'elle peut et pousse, les doigts semblent aspirés, ils disparaissent comme avalés par l'anus. Mathilde grimace légèrement, lorsque les doigts se mettent en mouvement, elle défaille, elle souffle comme un bœuf, elle est très gênée, car la coquine ressent du plaisir. Elle ferme les yeux, Georges qui épie chaque réaction de sa femme, dit :
-Justine bourre lui bien le cul, oui, oui, elle va jouir, l'expression son visage ne laisse aucun doute !
Justine augmente la vitesse, Mathilde, se cambre de plus en plus, ses grognements très expressifs prouvent que Mathilde est sur le point d'exploser. Elle ne peut retenir un long gémissement, sa jouissance est fabuleuse, elle tremble de tous ses membres. Justine enfonce ses doigts jusqu'aux dernières phalanges et fait de demi-rotations vigoureuses. Pour Mathilde, c'est le nirvana. Une seconde jouissance du cul la fait cabrer.
-Oh ma chérie, tu as été magnifique, jamais, je n'aurais imaginé que tu pouvais être aussi active, je vois que tu te surpasses et qu'enfin, tu te livres corps et âme aux joies du sexe !
Mathilde, un peu honteuse, baisse la tête, en rougissant un peu. Marc se penche vers elle et lui dit :
-je n'en ai pas fini avec toi ma belle, tu vas être honorée comme tu le mérites, tu as un cul d'enfer ma chérie !
Georges, souriant, avale son café et dit :
-Justine, tu te sens prêtes pour une double pénétration ?
La femme interpellée, réplique :
-Pour moi, c'est un rêve qu'enfin, je vais réaliser, vite mes chéris, venez me combler, ne me faites pas attendre, soit patiente Mathilde, tu vas recevoir la même gratification ma chérie !
Georges s'allonge entièrement nu sur l'herbe tendre. Justine souriante l'enjambe et en relevant sa nuisette jusqu'à sa taille, et d'une main, saisit la verge que Georges avec patience en entretien la raideur. Lentement, Justine se baisse, avant de s'empaler, elle frotte plusieurs fois le gland contre sa chatte impatiente. Doucement le manche de chair s'enfonce dans son ventre, elle soupire de bonheur, lorsqu'elle sent les couilles de son ami appuyées contre sa chatte gourmande. Elle se plaque contre son torse en se cambrant le plus possible sans se désaccoupler. Marc caresse la pastille brune en souriant et dit :
-Mathilde, prends-en de la graine, bientôt ça va être ton tour, ma chaudasse d'amour !
Il crache sur l'anus de sa femme, et l'enduit de salive, en faisant tourner ses doigts dessus. Il crache aussi dans sa main et s'enduit le gland de salive. Mathilde ne perd pas une image de la préparation. Marc fait glisser ses doigts sur la rondelle qui se met comme par miracle à frétiller. Mathilde est impressionnée, par les contractions incessantes de l'anus, elle ravale sa salive en poussant un gros soupir. Marc enfonce un doigt dans le rectum de sa femme, le ramone doucement avant d'y en ajouter un second. Justine souffle fortement. Elle se cabre légèrement lorsqu'elle sent contre son anus le gland monstrueux de son mari. Elle prend une grande aspiration, Marc pousse, Justine grimace. Un long râle sort de sa bouche, Lentement le membre puissant s'enfonce en elle.
Mathilde est fascinée par l'énormité qui pénètre en distendant l'anus de son amie, ses yeux sont écarquillés aux maximums. Sans savoir pour quoi, elle approche sa main du pieu qui empale Justine, et timidement saisit les bourses velues qui balancent sous le mât de chair. Elle les soupèse, les triture longuement avant de les presser de plus en plus fortement. Marc serre les dents, il s'agrippe aux hanches de sa femme et donne un coup de reins puissant. Un hurlement fait cabrer Justine, la bite de son mari, vient d'envahir entièrement son rectum en le dilatant fortement. Mathilde instinctivement lâche les bourses, elle est béate devant ce qu'elle voit. Elle se demande comme une chose aussi grosse peu pénétrer un si petit orifice.
Le va-et-vient peut commencer. La bite de Marc entre et ressort de l'antre de Sodome, en prenant de la vitesse. Justine ne grimace plus, elle geint de plaisir en s'agitant sur les pieux qui l'embrochent. Mathilde se demandait comment il était possible d'avoir du plaisir en se faisant sodomiser, maintenant, elle en a la preuve. Justine geint de plaisir sous les assauts de ses deux pourfendeurs. Avec méthode, ses deux amants lui travaillent les entrailles en synchronisant leurs assauts.
C'est en poussant un gémissement terrible que Justine jouit. Les deux hommes ne lâchent pas leurs proies, à tour de rôles, ils lui remplissent les orifices, avant de la libérer. Justine se relève, elle halète fortement, un petit sourire illumine son visage. Elle regarde son amie qui reste baba devant cet exploit sexuel qui pour elle est hors norme, voire contre-nature. Après une autre pause plus longue que la précédente. Justine regarde son amie et lui dit :
-C'est ton tour ma chérie !
Mathilde se braque en disant :
-Mais je n'ai jamais fait une chose aussi monstrueuse, ce n'est pas normale, nous ne sommes pas des animaux !
Georges, lui relève le menton avec deux doigts et lui dit :
-Ne fais pas la femme outrée, je sais que cela t'excite, profite de cette occasion inespérée pour toi, tu as déjà franchi un pas, ce qui m'a étonné d'ailleurs, te sachant coincée, j'avoue que cela a été une révélation pour moi, je n'en reviens pas encore. Je te demande de faire un autre pas. Je sais que nous ne sommes pas de toute première jeunesse, eh oui, nous sommes de vieilles peaux ma chérie. Il faut prendre le plaisir ou il est, aller encore un effort, je veux te voir jouir par les deux trous !
Les yeux de Mathilde se posent sur chaque intervenant. Elle déglutit, puis contre tout attend et sans dire un mot, retire sa nuisette qui porte encore des traces de sperme. Georges sursaute et dit en souriant :
-Bravo ma chérie, tu vas connaitre d'autres plaisirs sexuels, nous serons doux avec toi, c'est Justine qui va te préparer !
On demande à Mathilde se mettre à quatre pattes. Elle fronce les sourcils, cette position lui fait penser aux animaux, mais s'exécute. Justine se place dernière, elle, lui flatte un peu la croupe, avant de donner quelques tapes cuisantes sur les fesses. Justine dit :
-C'est pour te mettre en condition ma chérie, laisse-toi aller !
Justine écarte fortement les fesses rebondies de Mathilde, elle crache sur l'anus et plaque sa bouche contre. Les coups de langue que Justine donne sur sa rondelle font geindre la soumise. Elle tente de pénétrer l'anus avec son appendice lingual, mais en vain, le bougre refuse toutes pénétrations. Elle doit changer de stratégie.
Elle se redresse, et ce sont maintenant ses doigts qui prennent la relève. Ils glissent dans le large sillon, passent plusieurs fois sur le muscle ridé, s'attarde sur lui en appuyant doucement dessus. Cette caresse inconnue de Mathilde la fait frissonner. Justine suce son majeur et le place sur la petite corolle fripée.
Elle pèse doucement dessus, ce geste inhabituel fait cabrer Mathilde. Justine insiste, la pression devient plus forte. Lentement, la première phalange s'enfonce comme aspirée par l'anus. Mathilde se tend en disant :
-Mon Dieu, je suis malade d'accepter une chose pareille, c'est immonde !
Georges, aux premières loges, intervient :
-Détends-toi ma chérie, ne te crispe pas, tu prends avoir des jouissances exceptionnelles crois-moi !
Progressivement le doigt disparait dans le rectum de la soumise. Justine entreprend un doux ramonage, cela fait serrer les dents à Mathilde qui se sent avilie, par cette pénétration qu'elle trouve odieuse, et surtout pas naturelle. Mais comme elle a commencé, elle ne peut plus reculer.
Le ramonage anal prend de la vitesse, Mathilde s'habitue au visiteur. Mais elle pousse un grognement lorsqu'un autre visiteur vient en renfort. Les deux doigts joints font un lent un va-et-vient dans le fondement, qui commence à s'habituer aux intrus. Avec douceur, Justine tente d'assouplir le rectum de son amie qui geint de plus en plus fort.
Justine au bout d'un instant retire ses doigts, elle regarde l'anus qui reste entrouvert, elle a peu de temps pour l'investir avec trois doigts. Elle plonge ses doigts dans la chatte pour enduire ses doigts de lubrifiant naturel, puis les présente au rectum. Elle les joint le mieux qu'elle peut et pousse, les doigts semblent aspirés, ils disparaissent comme avalés par l'anus. Mathilde grimace légèrement, lorsque les doigts se mettent en mouvement, elle défaille, elle souffle comme un bœuf, elle est très gênée, car la coquine ressent du plaisir. Elle ferme les yeux, Georges qui épie chaque réaction de sa femme, dit :
-Justine bourre lui bien le cul, oui, oui, elle va jouir, l'expression son visage ne laisse aucun doute !
Justine augmente la vitesse, Mathilde, se cambre de plus en plus, ses grognements très expressifs prouvent que Mathilde est sur le point d'exploser. Elle ne peut retenir un long gémissement, sa jouissance est fabuleuse, elle tremble de tous ses membres. Justine enfonce ses doigts jusqu'aux dernières phalanges et fait de demi-rotations vigoureuses. Pour Mathilde, c'est le nirvana. Une seconde jouissance du cul la fait cabrer.
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Lolo, tu as vu juste, la dp est présente dans ce récit