De zizi à queue
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
De zizi à queue
De zizi à queue
Après ma toute première enculade à 22 ans, je n'ai eu que des aventures Hétéro pendant des année. Mais le souvenir de cette queue qui jouit en moi m'est resté vivace, actif avec les femmes, je deviens passif avec les hommes.
C'est donc vers l'âge de 40 ans que je me suis mis en quête de queue pour les sucer et essayer de les avoir dans le cul. Ça a donc commencé par la fellation. J'avais remarqué qu'il y avait parfois des gens qui stationnaient autour des pissotières publics surtout, la nuit tombée. Je m'y suis rendu et j'ai remarqué que les gens se caressaient la queue et se la montraient. j'ai fait de même, jusqu'à ce qu'une main se saisisse de ma queue pour me masturber. J'ai vu que certains prenaient les queues à pleine bouche, je les ai donc imité. Juste sucer sans aller recueillir la crème en bouche, mais je commençais à prendre plaisir à faire jouir. Par contre, je n'aimais pas trop être sucé, je me suis laissé faire une ou deux fois à défaut de trouver un actifs. J'avais mes toilettes régulières.
À Paris, j'avais repéré plusieurs cinéma porno qui n'existent plus d'ailleurs. Mais c'est à lyon, dans un ciné porno que j'ai évolué dans la fellation. J'avais repéré la place idéal pour accueillir les queues près des toilettes. J’ai évolué dans mon astiquage de queue, au début, la suce allait jusqu’à l’éjaculation mais hors bouche. Je me souviens de m’être fait surprendre, par une queue d’arabe, j’ai tout recraché dégoûté et le quidam s’est excusé d’avoir joui si vite sans pouvoir me prévenir. Ensuite, j’avais remarqué qu’un suceur professionnel, il devait être tous les jours dans ce cinéma et toujours à la même et meilleur place, à chaque fois que quelqu’un lui jouissait dans la bouche, il allait tout recracher aux toilettes. Je l’ai donc imité, et je lui ai pris sa place plusieurs fois en arrivant juste à l’ouverture du ciné.
Mais je sentais pour moi que le plaisir n’était pas suffisant. Je découvrais les goûts diverses de sperme, certains un vrai régal pour les papilles d’autres laissant un mauvais goût en bouche. Pourtant, j’étais décidé à franchir le pas et me nourrir de sperme. Un jour, en bord de rangé, mais pas à la meilleure place, je me suis promis d’avaler le sperme si la queue qui se présente est nickelle. Et le premier gars qui m’a présenté son membre était impeccable, d’une propreté irréprochable, aussi je me suis dit, tu ne peux plus revenir en arrière, tu vas avaler tout ce qu’il t’offrira. Ce fut un vrai plaisir, j’ai garder sa crème en bouche avant de la faire descendre lentement jusqu’au tube digestif. À partir de ce moment-là, je n’ai plus jamais recraché de sperme. J’ai eu comme regret, de n’avoir pas avaler le geyser d’une queue, qui a joui rapidement et que j’ai vu se vider à grands flots de sperme. Quand je revois en mémoire cette queue qui a inondé le sol, je regrette de ne l’avoir pas dégusté. Souvent quand j’étais penché sur mon voisin pour lui faire une gâterie, il avait la mains qui se glissait dans mon slip pour me caresser les fesses et titiller ma rondelle, mais je n’allais pas plus loin par crainte d’attraper des cochonneries.
Mais l’envie était trop forte, aussi un jour j’ai dévoilé mes fesses pour permettre aux aventuriers d’explorer mon intimité. J’autorisais une entrée, mais vite, je fermais les fesses avant la jouissance. Je commençais à bien sentir mes pineurs pour m’esquiver à temps. J’ai eu des queues encapuchonnées mais j’avais l’impression de m’enfiler des sextoys plastics.
Un jour j’ai lu qu’une pommade spermicide avait des propriétés de protection, je me la suis procurée et je me suis lancé dans la baise bareback.
Mon désir était de retrouver cette sensation que j’avais connue en Afrique avec ce jeune éphèbe.
Mon premier évacuateur interne, je ne connais rien de lui. J’étais donc dans ce cinéma porno à Paris, on payait une entrée et on pouvait circuler allègrement d’une salle à l’autre. Il y en avait une qui projetait un film par vraiment porno, plutôt érotique, une petite salle avec quelques sièges vides, mais derrière dans l’obscurité, il y avait un espace ou plusieurs clients se pressaient les uns contre les autres. J’ai rejoint le groupe et j’ai mis mes fesses à nues. Pas mal de mains baladeuses les ont caressées, c’est une sensation très forte de se sentir désiré, caressé sans savoir qui est derrière et mon plaisir était de ne pas le savoir. Jusqu’à un moment, deux mains était accompagnées d’une tige raide et souple qui est venue se présenter à mon anus. Je légèrement plié les jambe pour permettre à cet engin de s’introduire. Tout en regardant ce film insipide, quelqu’un derrière moi était en train de me baiser tranquillement. Le plaisir n’a pas duré une éternité mais j’ai senti quand le va et vient s’est arrêté au va, le ventre de mon enculeur contre mes fesse, que la jouissance était là. Il m’a déposé sa semence au fond de mon trou et s’en est allé sans autre forme de procès.
C’est un souvenir qui alimente encore mes masturbations.
Après ma toute première enculade à 22 ans, je n'ai eu que des aventures Hétéro pendant des année. Mais le souvenir de cette queue qui jouit en moi m'est resté vivace, actif avec les femmes, je deviens passif avec les hommes.
C'est donc vers l'âge de 40 ans que je me suis mis en quête de queue pour les sucer et essayer de les avoir dans le cul. Ça a donc commencé par la fellation. J'avais remarqué qu'il y avait parfois des gens qui stationnaient autour des pissotières publics surtout, la nuit tombée. Je m'y suis rendu et j'ai remarqué que les gens se caressaient la queue et se la montraient. j'ai fait de même, jusqu'à ce qu'une main se saisisse de ma queue pour me masturber. J'ai vu que certains prenaient les queues à pleine bouche, je les ai donc imité. Juste sucer sans aller recueillir la crème en bouche, mais je commençais à prendre plaisir à faire jouir. Par contre, je n'aimais pas trop être sucé, je me suis laissé faire une ou deux fois à défaut de trouver un actifs. J'avais mes toilettes régulières.
À Paris, j'avais repéré plusieurs cinéma porno qui n'existent plus d'ailleurs. Mais c'est à lyon, dans un ciné porno que j'ai évolué dans la fellation. J'avais repéré la place idéal pour accueillir les queues près des toilettes. J’ai évolué dans mon astiquage de queue, au début, la suce allait jusqu’à l’éjaculation mais hors bouche. Je me souviens de m’être fait surprendre, par une queue d’arabe, j’ai tout recraché dégoûté et le quidam s’est excusé d’avoir joui si vite sans pouvoir me prévenir. Ensuite, j’avais remarqué qu’un suceur professionnel, il devait être tous les jours dans ce cinéma et toujours à la même et meilleur place, à chaque fois que quelqu’un lui jouissait dans la bouche, il allait tout recracher aux toilettes. Je l’ai donc imité, et je lui ai pris sa place plusieurs fois en arrivant juste à l’ouverture du ciné.
Mais je sentais pour moi que le plaisir n’était pas suffisant. Je découvrais les goûts diverses de sperme, certains un vrai régal pour les papilles d’autres laissant un mauvais goût en bouche. Pourtant, j’étais décidé à franchir le pas et me nourrir de sperme. Un jour, en bord de rangé, mais pas à la meilleure place, je me suis promis d’avaler le sperme si la queue qui se présente est nickelle. Et le premier gars qui m’a présenté son membre était impeccable, d’une propreté irréprochable, aussi je me suis dit, tu ne peux plus revenir en arrière, tu vas avaler tout ce qu’il t’offrira. Ce fut un vrai plaisir, j’ai garder sa crème en bouche avant de la faire descendre lentement jusqu’au tube digestif. À partir de ce moment-là, je n’ai plus jamais recraché de sperme. J’ai eu comme regret, de n’avoir pas avaler le geyser d’une queue, qui a joui rapidement et que j’ai vu se vider à grands flots de sperme. Quand je revois en mémoire cette queue qui a inondé le sol, je regrette de ne l’avoir pas dégusté. Souvent quand j’étais penché sur mon voisin pour lui faire une gâterie, il avait la mains qui se glissait dans mon slip pour me caresser les fesses et titiller ma rondelle, mais je n’allais pas plus loin par crainte d’attraper des cochonneries.
Mais l’envie était trop forte, aussi un jour j’ai dévoilé mes fesses pour permettre aux aventuriers d’explorer mon intimité. J’autorisais une entrée, mais vite, je fermais les fesses avant la jouissance. Je commençais à bien sentir mes pineurs pour m’esquiver à temps. J’ai eu des queues encapuchonnées mais j’avais l’impression de m’enfiler des sextoys plastics.
Un jour j’ai lu qu’une pommade spermicide avait des propriétés de protection, je me la suis procurée et je me suis lancé dans la baise bareback.
Mon désir était de retrouver cette sensation que j’avais connue en Afrique avec ce jeune éphèbe.
Mon premier évacuateur interne, je ne connais rien de lui. J’étais donc dans ce cinéma porno à Paris, on payait une entrée et on pouvait circuler allègrement d’une salle à l’autre. Il y en avait une qui projetait un film par vraiment porno, plutôt érotique, une petite salle avec quelques sièges vides, mais derrière dans l’obscurité, il y avait un espace ou plusieurs clients se pressaient les uns contre les autres. J’ai rejoint le groupe et j’ai mis mes fesses à nues. Pas mal de mains baladeuses les ont caressées, c’est une sensation très forte de se sentir désiré, caressé sans savoir qui est derrière et mon plaisir était de ne pas le savoir. Jusqu’à un moment, deux mains était accompagnées d’une tige raide et souple qui est venue se présenter à mon anus. Je légèrement plié les jambe pour permettre à cet engin de s’introduire. Tout en regardant ce film insipide, quelqu’un derrière moi était en train de me baiser tranquillement. Le plaisir n’a pas duré une éternité mais j’ai senti quand le va et vient s’est arrêté au va, le ventre de mon enculeur contre mes fesse, que la jouissance était là. Il m’a déposé sa semence au fond de mon trou et s’en est allé sans autre forme de procès.
C’est un souvenir qui alimente encore mes masturbations.
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