Début d'été (2/10)

- Par l'auteur HDS Misa -
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Début d'été (2/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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Début d'été (2/10)
Début d’été.
2ème partie (2/10)

« « Vous avez vus Marine pousser Alicia à s’exhiber sur internet dans la première partie de ce « Début d’été ».
Comme la veille, elles iront à la piscine cet après-midi …

Quoi ? z’avez pas lu la 1ère partie ? NOOON ! j’y crois pas ! et moi qui m’applique à donner une cohérence à cette histoire ! je bosse pour rien ? z’êtes durs avec moi … un peu vexée … mais bon, je sais bien comment vous êtes, alors je me débrouille pour que chaque partie puisse être lue sans connaître la précedente …
(ça se fait pas d’engueuler ses lecteurs, je sais, mais vous pourriez quand même faire un effort !) » »

Alicia s’est redressée devant l’écran éteint en s’entourant de ses bras pour cacher ses seins. Elle n’osait pas bouger, n’osait pas se retourner et croiser le regard de Marine, honteuse brusquement de son plaisir, de sa nudité, de s’être prêtée à la caresse de sa copine.
- C’était chouette, non ? Impressionnant ce mec ! j’en ai mouillé mon string ! t’as été bonne sur ce coup-là ! tu l’as bien allumé, le type ! je croyais pas que t’oserais, Alicia ! t’es cool, on refera ça, on va leur vider les couilles à tous ces cons !
Marine a fait ce qu’il fallait, a joué sur l’orgueil d’Alicia pour la mettre à l’aise.
Alicia a fini par se redresser, cherchant des yeux ses habits, gênée de sa nudité. Mais Marine n’en avait pas fini avec elle. Elle a passé un bras sur ses épaules et l’a entraînée vers la fenêtre grande ouverte :
- Qu’est-ce qu’il fait chaud, moi ça me tue ce temps-là.
D’un geste aussi naturel que possible, elle a remis en place les fils du string sur les fesses d’Alicia, les étirant au-dessus des hanches. Il était trop petit d’au moins deux tailles, disparaissait en partie sous un pli sur son ventre, ne couvrait pas totalement les lèvres charnues de sa vulve large, laissant apparente la toison sur le haut de ses cuisses :
- Il te va bien finalement, t’es chouette, comme ça. Tu lui as vachement plu au dernier ! et t’as vu cette queue ? sacré morceau, non ?
- Ouais, comme tu dis, une belle grosse queue !
Marine a resserré son bras autour de ses épaules, se faisant complice et a baissé la voix en s’approchant de son oreille :
- Par contre, Ali, tu m’as raconté un petit mensonge, hier … pas grave, mais bon, t’étais pas obligée.
- Quoi ?
- Ben, tu m’as dit que t’étais déjà allée avec un mec. Et c’est pas vrai. J’ai bien senti. Bon, je t’en veux pas, mais tu recommences pas, d’acc ?
Marine adossée à la fenêtre regardait Alicia en fronçant les sourcils d’un air sévère, et ponctuait d’un index tendu sur un sein d’Alicia qui rougissait et baissait les yeux. Elle a lentement descendu la main en griffant du bout de l’ongle et pris sa chatte à pleine main :
- Ça, ça peut pas mentir ! t’es encore vierge, toute fermée !
Alicia n’essayait même pas d’échapper à la main et gardait les yeux baissés.
- Tu veux voir la différence ?
Alicia a levé la tête, sourcils froncés sur des yeux embués de larmes.
Marine a abaissé son string à deux mains et s’est adossée à la fenêtre en écartant les jambes. Elle a pris une main d’Alicia dans la sienne et l’a plaquée sur son sexe.
- Allez, touche, tu vas voir. N’aie pas peur, je suis trempée, autant que toi toute à l’heure devant l’écran … allez, vas-y, touche Ali ...
Elle a dû l’aider, pousser sur ses doigts pour qu’elle se décide à les rentrer ; elle maintenait sa main appuyée sur elle. De l’autre main elle a appuyé sur son épaule, la pinçant même quand elle a résisté :
- Baisse-toi Ali !
Elle a continué à appuyer sur son épaule jusqu’à ce qu’Alicia soit à genoux devant elle, les yeux à hauteur de son ventre, et qu’elle se décide à pousser plus loin un doigt en elle, et l’a repoussée :
- Tu sens la différence ? Tu me fais trop mouiller, toi ! je pourrais presque jouir comme ça !
Marine a remonté son string et a tourné le dos à Alicia, la laissant là, à genoux devant la fenêtre :
- T’as pris quoi comme maillot ? le même qu’hier ?
- … oui … j’ai que celui-là.
- Tu veux pas que je t’en prête un plutôt ? attends, je vais te montrer !

La veille, Alicia portait un maillot deux pièces noir, plutôt sage. Marine est allée fouiller dans un des tiroirs de la commode de sa mère et en a sorti le maillot une pièce acheté l’année précédente à La Grande Motte. C’était son petit ami de l’époque qui l’avait choisi ; elle ne l’avait finalement porté qu’une seule fois, le trouvant indécent, beaucoup trop « révélateur » au sortir de l’eau ; elle s’était changée dès sa sortie du bain, enroulée dans un drap de plage, rouge de honte du regard égrillard des gens qui les entouraient sur la plage, et avait fait une scène à son copain.
Marine l’avait essayé au début de l’été, chez elle, dans la salle de bains, avant et après une douche, mais avait renoncé à le porter à la piscine. Le faire porter à Alicia lui paraissait beaucoup plus amusant.

- Tiens ! mets-le dans ton sac !
- Je l’essaye pas ?
- Pas la peine, ça t’ira bien !

A la piscine, Marine est restée en retrait pendant qu’Alicia se présentait au guichet, puis est allée décrocher deux paniers dans lesquels elles mettraient leurs affaires. Alicia a payé les deux entrées, comme elle payait les consommations quand elles allaient prendre un verre, ou les babioles que Marine choisissait sur le marché ; quand elles étaient ensemble, Alicia payait toujours. Elle a vu Marine fouiller dans un panier, soulever les affaires qui y étaient rangées ; elle a pris son temps pour chercher sa monnaie et occuper l’employée du guichet.

- Qu’est-ce que tu foutais ? T’as piqué un truc ?
Marine a ouvert la main, montrant le bout de chiffon blanc qu’elle serrait dans son poing.
- J’ai repéré le chemisier de la mère Chazel, je voulais voir ce qu’elle mettait. T’as vu ça ? T’aurais cru qu’elle mettait des trucs pareils l’infirmière du bahut ?
- La gouine ? Qu’est-ce que tu vas en faire ?
- Cadeau ! Comment tu sais que c’est une lesb ?
- C’est Murielle qui m’a dit !
- Et elle sait de quoi elle parle, Murielle ?
- Ben ouais ! même qu’elle l’a draguée quand elle était malade !
- Ah ouais, carrément ! bon à savoir, ça !
Elle a lancé à Alicia le slip blanc en mousseline transparente.

Elles se sont changées, n’ont laissé que leurs chaussures dans les paniers, gardant leurs affaires dans leurs sacs. Elles ont contourné le pédiluve et la douche d’accès aux bassins pour aller s’installer tout au fond, où les dalles restaient au soleil tout l’après-midi, derrière le plongeoir où se trouvait déjà un petit groupe de trois garçons, deux mères de famille avec leurs enfants et l’infirmière du lycée, à côté de laquelle elles se sont installées, serviettes étalées sur les grandes dalles de pierre.
Alicia est partie se baigner immédiatement. Marine l’a regardée contourner le bassin pour aller vers l’échelle. Le maillot beige une pièce moulait ses formes au-delà de toute décence et Marine imaginait déjà le résultat quand elle reviendrait mouillée de son bain : elle serait quasiment nue.
Marine avait remarquée les sourcils levés de Mme Chazel qui n’avait pu s’empêcher de suivre Alicia du regard en se décalant sur un coude, oubliant tellement elle était surprise qu’elle avait détaché son haut de maillot pour bronzer sans marque disgracieuse. Elle a rattrapé très vite son soutien-gorge en rougissant et en jetant des coups d’œil rapides autour d’elle pour voir si personne n’avait surpris la nudité de ses seins, d’abord vers le groupe de garçons, rassurée de voir qu’ils étaient absorbés par le spectacle offert par Alicia, puis vers Marine, rougissant de plus belle en la voyant la regarder, un petit sourire au coin des lèvres :
- Pas mal … les miens sont plus petits.
Sans quitter sa voisine cramoisie des yeux, assise sur son drap de bain, elle a détaché l’agrafe dans son dos et fait glisser les bretelles sur ses bras, a posé le soutien-gorge à côté d’elle avant de s’allonger à plat ventre en appui sur ses coudes.
- Vous affolez pas, tout le monde regarde ailleurs … et vous allez voir quand elle reviendra … comme si elle était à poil !
L’infirmière n’a rien répondu, trop estomaquée sans doute. Elle connaissait bien Marine, pour l’avoir souvent vue à l’entrée du Lycée pendant les pauses, trop court vêtue, trop décolletée, trop souvent dans des positions équivoques et provocantes.

Quelques minutes plus tard, elle lisait, adossée au grillage, et a levé les yeux en voyant Alicia sortir du bassin. Elle n’a pu s’empêcher de jeter un regard vers Marine et de sourire à son clin d’œil complice.
Toutes les deux ont regardé Alicia approcher. Une fois mouillé, le maillot disparaissait complètement. Il était détendu, collait à la peau, épousait tous les contours des seins et du ventre, ne cachait rien de la toison qu’aucune doublure ne masquait, moulait jusqu’à la fente du sexe sur le large triangle des lèvres charnues et le mont de Vénus rebondi.
Totalement inconsciente du spectacle qu’elle offrait, Alicia approchait lentement bras levés pour tordre entre ses doigts la masse de cheveux qu’elle avait détachés.
Un des garçons s’est levé pour échanger quelques mots et l’inviter à les rejoindre, surtout pour la forcer à s’arrêter près d’eux et permettre à ses copains de se délecter de sa vue. Elle, ne s’apercevait de rien, riait bêtement.
- C’est ta copine, tu devrais lui dire !
- Certainement pas ! c’est moi qui lui ai prêté le maillot, j’ai même décousu la doublure à l’entre-jambe ! Chut ! Dites rien ! … Elle était bonne, Alicia ?
- Ouais, super, moins froide qu’hier, t’y vas pas ?
- Après. Ils voulaient quoi les mecs ?
- Ils cherchent un quatrième, pour jouer aux cartes !
- Vas-y, moi je vais faire une sieste.
- Vrai, ça t’embête pas ?
- Vas-y, j’te dis !

Marine s’est tournée vers sa voisine :
- Vous lisez quoi ?
- … un roman …
- Y a du cul, non ?
Elle avait bien vu ce que l’infirmière lisait : un SAS. Elle en avait lu quelques-uns, qu’un ami de sa mère avait abandonnés à la maison. Elle avait remarqué qu’elle repliait la couverture, pour ne pas montrer ce qu’elle lisait et avait atteint son but en réussissant à la faire rougir.
- J’en ai lu aussi, il y a des passages un peu chauds ! j’aime bien !
- Ça m’étonne, tiens !
- Que je sache lire ou que j’aime le cul ?
- Marine, allons ! Surveille ton langage !
Marine, appuyée sur ses coudes, s’amusait des fréquents coups d’œil que sa voisine jetait sur ses seins.
- Et puis tu pourrais te cacher un peu mieux, quand même, avec les garçons à côté !
- Ils sont occupés avec ma copine ! de toute façon, vous me cachez ; y a que vous qui voyez, c’est pas grave, si ? Vous venez vous baigner ? C’est quoi votre prénom ?
- … euh … Janie …
Janie a rattaché son soutien-gorge en se tortillant à plat ventre sur son drap de bain, alors que Marine l’a agrafé assise, faisant même un grand sourire au surveillant de baignade qui faisait les cents pas au bord du grand bassin, un garçon qu’elle connaissait, ancien élève du Lycée.
Quand elles sont passées à côté de lui pour se rendre à l’échelle d’accès du côté le moins profond de la piscine, il s’est adressé à elles :
- Vous savez, normalement, c’est interdit. Essayez de rester discrètes …
- Bien chef !
Marine s’est pendue au bras de Janie pour pouffer de rire :
- Tu parles ! ça lui plaît plutôt, de mater nos seins ! Il est pas mal, non ?
- Bof !
- Quoi , vous aimez pas les beaux mecs ?
Janie a haussé les épaules sans répondre.
Elles ont nagé sur la largeur du bassin, lentement, d’une petite brasse maladroite, pas très bonnes nageuses ni l’une ni l’autre. Marine surveillait le maître nageur, contente de voir qu’il tournait souvent la tête vers elles. Elles se sont éloignées de la partie peu profonde, dérangées par des enfants qui s’éclaboussaient en criant ; arrivée sous le plongeoir, à l’autre bout de la piscine, Marine s’est retournée en arrivant au bord, s’équilibrant des deux bras, dos au mur. Janie avait pris du retard, nageant à gestes saccadés, cou redressé pour éviter de mouiller ses cheveux, les yeux trop grand ouverts et soufflant à petites expirations rapides, comme en difficulté après une seule longueur. Marine lui a tendu une main pour la tirer vers elle et a entouré les jambes de Janie des siennes :
- Vous avez peur de l’eau ?
- Je préfère quand j’ai pied.
Janie s’appuyait d’une main sur l’épaule de Marine, n’essayant pas de se décaler et d’échapper aux jambes autour de ses hanches, mais elle évitait le regard de Marine, n’y voyant pas l’éclair moqueur. Marine avait confirmation de ce qu’avait dit Alicia : Janie était sûrement lesbienne, et apparemment, elle ne lui déplaisait pas.
De retour à leurs places, elle lui a essuyé le dos, s’attardant sur ses hanches, en faisant un clin d’œil à Alicia qui avait interrompu sa partie de cartes, regardait bouche bée Janie se laisser faire en jetant des coups d’œil autour d’elle avec un air emprunté, comme prise en faute.
Marine commençait à bien apprécier ce début d’été. Entre Alicia, et Janie, elle allait pouvoir s’amuser un peu.

En milieu d’après-midi, elle est allée s’acheter une glace au petit comptoir que tenait la préposée au guichet :
- Tu m’en payes une ?
Le surveillant de baignade était venu la rejoindre et se tenait adossé au comptoir de ses deux coudes, torse bombé sous le t-shirt aux armes de la commune qu’il avait coincé d’un côté sous son maillot.
Marine l’a détaillé des pieds à la tête, lentement :
- C’est plutôt toi qui devrait me l’offrir, t’arrêtes pas de me mater depuis un moment.
- Tu montres, je regarde ! Normal, non ?
- Et ça te plaît, ce que tu vois ?
- De loin je me rends pas bien compte.
- En ce moment t’es pas si loin. Ça te plaît pas ?
- Mouais.
- Madame ? Vous mettez ma glace sur son compte, il me l’offre !
- Eh ! oh ! t’abuses !
Marine s’est éloignée en ondulant des hanches vers les vestiaires et les toilettes. Elle s’est retournée pour faire un clin d’œil au garçon avant de disparaître au coin du mur. Il a hésité un instant, se demandant s’il avait bien compris ou si elle se moquait de lui, et s’est décidé à la suivre.
Marine le regardait arriver appuyée d’une épaule sur la porte ouverte des toilettes des filles, un bras enroulé autour de la taille, pouce négligemment glissé sous l’élastique du maillot, et en suçant la glace qu’elle tenait de l’autre main.
- T’es un peu gonflée, toi, j’ai pas dit que je te l’offrais.
- Ah bon ? Toi aussi t’es gonflé …
… elle pointait son eskimo sur le maillot du garçon …
- … c’est pas naturel, ça !
Il s’est approché, presque à la toucher. Elle le regardait droit dans les yeux en continuant à très lentement sucer sa glace, sans l’ombre d’un sourire, n’a pas cillé quand il a pris un sein dans sa main.
Elle s’est laissée peloter adossée à la porte des toilettes. Lui, respirait vite, tenant maintenant ses deux seins dans ses mains par-dessus le tissu du maillot de bain ; elle, mangeait sa glace calmement, en surveillant le couloir. Lorsqu’elle l’a eu finie, elle est entrée dans les toilettes en le tirant d’une main à sa suite et s’est assise au bord d’un lavabo en levant haut une cuisse en appui sur la céramique.
- On sera plus tranquille, mais prends pas trop ton temps quand même, c’est jamais qu’une glace !
- T’es une drôle de nana, toi …
- Ah ouais ? Je te fais rire ?
- Non, tu me fais bander …
- Mmm, je vois ça.
Il a sorti un de ses seins du soutien-gorge d’une main et a voulu l’embrasser, mais elle a repoussé son visage :
- J’embrasse pas.
Elle n’a par contre pas protesté quand il a glissé sa main sur son ventre et entre ses jambes, pétrissant son sexe brutalement par-dessus son maillot de bain, se laissant faire complaisamment jusqu’au moment ou il a voulu glisser les doigts sous le maillot. Elle a retenu son poignet et remis sa main au-dessus de l’étoffe. En abandonnant son poignet, elle a plongé la main d’un seul mouvement dans le maillot du garçon, descendant les doigts profond entre les jambes en déformant le tissu et en étirant la taille du maillot de son poignet jusqu’à ce que le sexe libéré de sa prison se redresse. Elle a retiré sa main le temps d’abaisser le maillot sur les cuisses du garçon et a pris ses testicules dans sa main, les faisant rouler sous ses doigts trop fermes, serrant plus fort quand il a voulu reculer.
- Eh ! doucement ! c’est fragile !
- Laisse faire.
Elle a continué à lui masser le scrotum d’une main, resserrant à nouveau plus fort ses doigts au-dessus des testicules quand il a encore essayé de glisser les doigts sous son maillot. Sous l’effet de la douleur, il a très vite renoncé, se vengeant en fermant durement la main sur son sein. Elle le défiait du regard :
- Moi je m’en fous, j’aime ça ! et toi ?
Elle avait ponctué sa question d’une nouvelle contraction des doigts provoquant un gémissement du garçon :
- Ça va, ça va … arrête !
- C’est toi qui vois …
- C’est bon, arrête …
Elle a pris sa verge dans l’autre main et l’a branlé, vite et fort, en baissant les yeux sur le sexe :
- Première fois que je vois une bite circoncise …
Elle a gardé le même rythme rapide, serrant fort les doigts sur la queue, jusqu’à la première giclée de liquide blanc et épais, a donné encore deux ou trois coups de poignet secs et l’a lâché, n’accompagnant plus les spasmes de la verge que de pressions rythmées autour des couilles du garçon, regardant la verge tressauter à chaque sortie de sperme, de plus en plus espacées.
En le repoussant elle s’est remise debout, a passé ses mains sous l’eau dans le lavabo, et a quitté les toilettes sans un regard en arrière en remettant son soutien-gorge en place. Le garçon n’avait même pas encore remonté son maillot quand elle a passé la porte des toilettes.
Elle s’est arrêtée un instant au soleil en sortant du couloir, et a fait demi-tour. Le garçon était en train d’effacer au sol les traces de sperme avec une poignée de papier toilette quand elle a repassé la porte :
- C’est pas pour ça que j’étais venue !
Elle a poussé la porte d’un des deux WC à la turque et s’est accroupie en baissant son maillot sous ses genoux. Le garçon s’est retourné et l’a regardée faire pipi bouche bée et yeux exorbités :
- Comme ça t’as pas tout perdu, t’as vu ma chatte. Mignonne, non ?
Il n’a rien répondu, toujours figé, accroupi devant le lavabo, la boule de papier à la main.
- Quand t’auras retrouvé ta langue tu me diras comment tu t’appelles, d’acc ?
- … Houcine …

« « Pas froid aux yeux, cette Marine ! Vous croyez qu’elle peut jouer comme ça avec tout le monde ?
Moi, je voulais savoir, j’ai continué à la suivre … et vous, vous voulez voir la suite ?
… à bientôt … » »

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J'aime bien cette histoire et j'ai hate de voir la suite

Histoire Erotique
Quelle imagination ! J'adore cette manière de raconter. Qu'une chose à dire, vivement la
suite!



Texte coquin : Début d'été (2/10)
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