Début d'été (3/10)
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Début d'été (3/10)
Début d’été.
3ème partie (3/10)
« « Vous avez suivi Marine et Alicia à la piscine ? vous avez fait la connaissance de Janie et d’Houcine ?
Non ? Après tout, tant pis pour vous, c’était vachement bien !
Voyons comment se termine cet après-midi d’été … » »
Marine s’est baignée avant de retourner vers ses affaires. Elle n’en avait rien montré à Houcine, mais la petite séance ne l’avait pas laissée indifférente, et le bain était autant pour atténuer les effets de la chaleur que pour la calmer.
Janie dormait, ou faisait semblant, le front reposant sur ses mains croisées. Marine s’est agenouillée à ses côtés et a essoré ses cheveux sur le dos rosi de soleil, la faisant sursauter et déclenchant un petit cri de surprise.
- Je vous arrose parce que vous commencez à rougir dans le dos. Vous sentez pas que ça pique ?
Elle lui a épongé le dos avec sa serviette et a tendu le bras vers son flacon de protection solaire :
- Je vais vous mettre de la crème, bougez pas !
Janie a protesté que c’était inutile, mais Marine n’en a tenu aucun compte, vaporisant du produit sur tout son dos. Janie a poussé un soupir et s’est rallongée, résignée.
En levant les yeux, Marine a vu Alicia dire quelques mots aux garçons avec qui elle jouait aux cartes et tous se sont retournés avec un sourire entendu aux lèvres ; elle leur a fait un petit signe de la main et un clin d’œil, avant d’enjamber Janie et de s’asseoir sur ses cuisses en même temps qu’elle commençait à deux mains à étaler la crème dont elle avait très généreusement aspergé son dos. Elle s’est appliquée à un véritable massage, tournant souvent la tête vers Alicia et les garçons qui la regardaient toujours en riant et en échangeant des propos dont elle devinait qu’ils n’auraient pas plu à Janie.
Elle a pris son temps, massant les épaules et la ligne du dos, les reins, glissant parfois le bout des doigts sous l’élastique de la taille, et remontant à partir des hanches jusqu’à effleurer des doigts les seins qui débordaient un peu sur les côtés du torse, s’attardant là malgré le grognement de protestation de Janie, qui a replié ses coudes pour empêcher le contact indiscret, mais que Marine a repoussés aussitôt. Assise sur les cuisses de Janie, elle ondulait doucement du bassin en la massant, son ventre collé aux fesses, dans une lente imitation de l’amour qui provoquait l’hilarité silencieuse d’Alicia et de ses camarades, qui se sont lassés du spectacle ou sont allés cacher dans l’eau un émoi déclenché par son manège.
Janie, au bout d’un moment de ce traitement s’est secouée de droite à gauche :
- Arrête … s’il te plaît, arrête !
- Ça va, y a plus de crème de toute façon. Vous aimez pas les massages ?
Janie a tourné le visage vers Marine qui s’était allongée à ses côtés ; elle avait les joues bien rouges et le regard un peu égaré :
- … si, c’était … bien. Arrête, Marine, allons … y a du monde !
… un doigt glissé sous le maillot sur ses fesses, Marine le remettait en place …
- Il avait bougé, tu montrais tes fesses ! et puis c’est pas vrai, y a personne !
Janie a levé la tête pour regarder à droite et à gauche : plus de jeunes, les mères et leurs enfants n’étaient plus là non plus … et Marine caressait le côté d’un sein sous son bras, un sourire espiègle au coin des lèvres et un petit bout de langue dépassant entre ses lèvres.
- T’es une drôle de fille, toi …
- On m’a déjà dit ça y a pas longtemps !
Marine est allée s’asseoir au bord de la piscine, les pieds dans l’eau. Du coin de l’œil elle guettait Houcine qui faisait toujours les cents pas au bord du bassin, satisfaite des fréquents regards qu’il portait sur elle, et regardait Alicia chahuter dans l’eau, entourée des trois garçons qui laissaient traîner leurs mains, sur le dos, un sein, les fesses, déclenchant de fausses protestations, des rires trop forts, des tapes sur une épaule ou un bras.
Janie est venue la rejoindre, s’est assise à côté d’elle :
- Elle a du succès ta copine …
- Ouais, mais on dirait qu’elle a pas encore choisi !
- Elle les veut peut-être tous les trois !
- Eh ! Qui sait ! Mais y en a qu’un qui aura sa pastille !
- Chhuuut …
- Ben quoi, elle est vierge !
- Qu’est-ce que t’en sais, d’abord ?
Marine l’a regardée avec un sourire et lui a montré son majeur levé :
- C’est tout fermé, je te dis qu’elle est vierge !
Janie a refermé sa main sur ce doigt et abaissé la main de Marine :
- Allons ! voyons ! … quel vilain geste !
- Par contre, qu’est-ce qu’elle mouille !
- Oooooh ! arrête …
Janie a rougi mais elle avait du mal à retenir son fou-rire. Elle tenait toujours la main de Marine dans la sienne sur sa cuisse et a tardé à la repousser quand elle a senti Marine presser sa cuisse entre ses doigts, a baissé les yeux la première :
- Je vous croyais pas … copines à ce point-là !
- On l’est pas tant que ça ! Je préfère les vraies femmes, comme toi !
Janie s’est laissé glisser dans l’eau, sans un regard, mais Marine a vu un sourire fugitif étirer ses lèvres avant qu’elle ne se tourne pour se laisser descendre dans l’eau.
Janie est restée accrochée au bord, les avant-bras dans la petite margelle de débordement. En se soulevant sur ses mains, Marine s’est déplacée, s’asseyant en face de Janie et en entourant ses épaules de ses jambes ouvertes, caressant ses épaules du bout des orteils.
Janie a vivement tourné la tête, surveillant d’un regard inquiet autour d’elle, avant de lever un regard de reproche sur Marine, qui, très contente d’elle, a remarqué le long regard qu’elle posait sur ses cuisses et son entre-jambe avant de s’écarter pour nager.
A l’autre bout de la piscine, Alicia sortait de l’eau, tirait d’un geste machinal le maillot sur ses fesses, ne se rendant pas compte qu’en étirant et en tendant le tissu sur elle, elle accentuait l’effet de transparence. Elle ne voyait pas non plus les regards outrés par tant d’impudeur des deux mères de familles qui jouaient dans l’eau avec leurs enfants.
Amusée, elle a vu Alicia se diriger en roulant des hanches vers les vestiaires, suivie de près par l’un des trois garçons, qui semblait nerveux, s’est fâché avec un de ses copains qui voulait le suivre mais est retourné dans l’eau, boudeur, après la brève explication.
Marine s’est levée, et a suivi des yeux Alicia jusqu’à ce qu’elle disparaisse à l’entrée des vestiaires. En marchant le long du bassin, elle a suivi Janie qui progressait d’une brasse maladroite, tout en surveillant le garçon qui à son tour a disparu à l’entrée du vestiaire.
Devant l’échelle, elle a tendu la main à Janie pour l’aider à sortir de l’eau, l’attirant vers elle d’un élan quand elle a atteint le dernier échelon :
- T’as quel âge ?
- …trente-deux …
- T’es plutôt bien pour une vieille !
Janie s’est penchée en avant et a pris Marine de cours en lui posant un petit baiser au coin des lèvres :
- T’es pas mal pour une gamine !
Marine, étonnée, l’a regardée s’éloigner, détaillant la silhouette aux hanches joliment arrondies sous la taille fine, le regard gourmand. Elle n’avait pas bougé quand Janie s’est enfin retournée et lui a fait un clin d’œil et un petit signe de la main.
- (… d’accord d’accord … tu veux jouer … eh bien on va jouer…)
Elle a tourné le dos et s’est dirigée vers l’entrée du vestiaire où Alicia et le garçon avaient disparu depuis cinq minutes.
- Eh ! t’es gouine ?
- Ta gueule, Houcine, occupe-toi de ton cul, fais pas chier !
Elle a traversé le pédiluve en évitant le jet de la douche automatique qui s’est déclenchée à son passage et s’est engagée dans le couloir sombre menant aux vestiaires.
Elle a dépassé la porte du vestiaire « Hommes » sans même un coup d’œil, et s’est arrêtée à la porte grande ouverte du vestiaire « Dames », avançant à peine la tête.
A gauche, les trois portes des cabines individuelles, à droite un long banc de bois sous les portes manteaux fixés au mur, et plus à droite encore, dans un renfoncement, la petite salle avec les deux pommes de douche où on peut se rincer avant de se rhabiller.
Ils étaient là, au milieu de la petite pièce ; ils s’embrassaient, yeux clos, bouches collées ; Alicia avait passé les bras autour du cou du garçon qui tenait les seins d’Alicia à pleines mains.
Ils étaient beaucoup trop occupés pour se rendre compte de sa présence, et elle est restée un long moment à les observer.
Sans interrompre leur baiser, le garçon pétrissait les seins avec application, puis a descendu une main dans le dos d’Alicia, hésitant sur la taille un instant avant de descendre sur les fesses, du plat de la main, effleurant à peine avant de remonter. Alicia pourtant s’était dressée sur la pointe des pieds, tout son corps plaqué à celui du garçon des cuisses aux seins qu’elle écrasait contre le torse maigre, emprisonnant la main entre eux ; elle l’encourageait à continuer mais il se montrait timide.
Marine attendait, curieuse de savoir si Alicia allait ou non prendre l’initiative ou si elle s’en remettait au garçon, se satisfaisait des ces effleurements, se montrant aussi timide que lui.
Tous les deux avaient les joues bien rouges et le souffle haché de leur baiser ininterrompu.
Lassée d’attendre, elle s’est avancée vers eux. Tous les deux ont sursauté en sentant ses bras sur leurs épaules et ont interrompu leur baiser, plus rouges encore qu’ils ne l’étaient déjà. Elle a dû resserrer sa prise sur les épaules du garçon pour éviter qu’il ne s’enfuie :
- Eh ! du calme ! Je suis pas là pour vous botter les fesses, au contraire ! vous êtes mignons tous les deux !
- T’inquiète pas, Pascal, elle est cool !
Marine s’est glissée dans le dos d’Alicia et a pris ses seins dans ses mains. Pascal restait la bouche ouverte de stupéfaction, les yeux écarquillés allant des mains de Marine aux yeux d’Alicia, revenant sur les mains qui trituraient les tétons à travers l’étoffe.
Alicia ne protestait pas, se tenait immobile, le souffle court, ses bras toujours autour du cou de Pascal. Elle ne s’est pas défendue quand Marine lui a dénoué les doigts croisés derrière la nuque du garçon et a fait glisser les bretelles du maillot sur ses bras, a soulevé les mains de Pascal sur les seins nus. Elle a avancé la bouche pour un nouveau baiser. Elle a vaguement senti un glissement, les bras de Marine bouger autour de ses hanches, Pascal trembler contre elle et ses mains se crisper sur ses seins ; elle s’en remettait entièrement à Marine, n’esquissait pas un geste. Elle sentait un mouvement contre son ventre.
Marine avait baissé le slip de bain de Pascal et le branlait doucement, se retenant de rire en entendant son petit gémissement étouffé par la bouche d’Alicia. Elle a arrêté sa caresse et attiré une main d’Alicia sur le sexe dressé entre eux :
- Tu sais comment ça marche ! vas-y !
Alicia a eu un long frisson en fermant la main sur la verge et a commencé un lent va-et vient, les images vues sur internet en début d’après-midi défilant devant ses paupières fermées. Le contact dans sa main, le souffle chaud et précipité de Pascal dans sa bouche l’excitait énormément ; Marine faisait glisser le maillot de ses hanches à ses cuisses, et tout naturellement elle a soulevé un pied après l’autre pour la laisser le lui enlever. Elle souriait sur la bouche du garçon en sentant la main de Marine s’insinuer entre ses cuisses et lui ouvrir le sexe d’un doigt.
- Waouh, Alicia ! On dirait que ça te plaît vachement !
Agenouillée dans son dos, elle enveloppait le sexe d’Alicia de sa main, le majeur planté dans l’étroite ouverture du vagin. De l’autre main elle a tiré le bras du garçon et l’a accompagné d’une main ferme sur le ventre d’Alicia. Elle le sentait trembler, a perçu sa résistance quand il a touché sa main à elle, puis sa brusquerie à fermer sa main, sans doute pour la première fois sur ce sexe de fille.
Marine s’est redressée, abandonnant Alicia à Pascal. Ils s’embrassaient toujours, pour ne pas avoir à se regarder peut-être, tous les deux penchés l’un vers l’autre, taille cassée pour donner de l’espace à leurs caresses.
Marine a regardé un moment les mouvements saccadés et maladroits de la main d’Alicia et l’a interrompue en posant sa main sur son poignet. De son autre bras, en pesant sur ses épaules, elle l’a arrachée au baiser du garçon. Alicia a froncé les sourcils d’inquiétude en tournant le visage vers elle. Elle avait les joues enflammées, les lèvres gonflées et humides, de petites grimaces et des retraits du bassin quand la caresse du garçon était trop brusque et maladroite.
- Lui d’abord ! ça va ?
Alicia n’a pas répondu, lèvres tremblantes. Marine a appuyé plus fort sur ses épaules :
- Allez, baisse-toi !
Marine aussi s’est agenouillée, dans le dos d’Alicia. Elle a placé les mains d’Alicia sur les fesses du garçon et a pris la verge dans sa main, la pliant vers la bouche d’Alicia qu’elle poussait de tout son corps vers le garçon.
Alicia résistait, gardait la bouche fermée devant le gland tendu que Marine frottait sur ses lèvres, tournait le visage.
- Allez Ali, fais-toi plaisir ! tu vas voir, c’est bon ! Et puis il est pas bien gros ! t’imagine si c’était celui d’internet ?
Alicia a eu un hoquet de rire nerveux et s’est enfin décidée, d’abord du bout de la langue, et puis elle a pris le gland que Marine tendait vers elle entre ses lèvres. De la tête et de son corps, collée au dos d’Alicia, Marine poussait la tête d’Alicia, la forçant à avaler le sexe plus profond, ne lui laissant aucune chance de s’échapper. Elle a lâché la verge du garçon et posé ses mains sur les mains d’Alicia, sur les fesses de Pascal, donnant le rythme, s’appuyant toujours plus fort sur Alicia pour l’obliger à avaler le sexe.
Ensembles elles ont senti sous leurs doigts les muscles des fesses se durcir et trembler. Marine a entendu le hoquet de surprise d’Alicia et son recul. Elle s’y attendait. Elle l’a empêchée, se serrant contre elle. Le garçon était immobile, tendu, comme tétanisé. D’elle-même Alicia a repris de petits mouvements de va-et-vient de sa bouche et Marine a relâché sa pression, s’est écartée pour se relever en s’appuyant sur l’épaule d’Alicia qui a continué à sucer la verge avec application en la branlant d’une main.
Pascal s’est retiré de sa bouche et a très vite remonté son maillot de bain.
Assise sur ses talons, Alicia a tendu la main vers Marine pour qu’elle l’aide à se relever. Elle avait un éclair de fierté dans les yeux.
Debout, dans une attitude que Marine a trouvé risible et ridicule, Alicia cachait ses seins sous ses mains, pendant que Pascal semblait embarrassé de lui-même, dansait d’un pied sur l’autre, et paraissait prêt à s’enfuir, le regard en coin rivé sur le ventre nu d’Alicia.
- Venez !
Marine, les tenant tous les deux par les épaules, les a conduit dans le vestiaire où elle a poussé Alicia sur le banc. Assise jambes serrées, Alicia, gagnée par une pudeur tardive, protégeait ses seins d’une main et du bras, cachait son sexe de l’autre main.
Marine a obligé Pascal à s’agenouiller avec elle devant Alicia qui avait l’air un peu inquiète, et à deux mains a obligé Alicia à écarter grand les genoux.
- Regarde bien, toi ! et apprends !
Elle a écarté la main dont Alicia protégeait son sexe et de la main gauche posée sur le ventre au-dessus du sexe elle a ouvert les lèvres, exposant et étirant les chairs roses et brillantes de cyprine :
- Pour les filles, c’est là que ça se passe !
Du plat du l’index de la main droite, elle repoussait le capuchon du clitoris, le titillait doucement, avant de masser tout autour en montant et descendant, de l’index et du majeur tendus, de chaque côté du bouton rose vif le long des petites lèvres, branlant entre ses deux doigts la tige durcie au-dessus du petit bouton.
Alicia adossée au mur respirait fort, bouche ouverte, les yeux cachés sous son bras levé.
- A toi mon grand, donne-lui du plaisir, et toi Ali, explique-lui si ça te va pas, t’as compris ?
Sans baisser le bras sous lequel elle se cachait, Alicia a hoché la tête.
Marine a cédé sa place à Pascal entre les jambes d’Alicia, et a quitté le vestiaire en passant la main dans les cheveux du garçon :
- Eh ! avec ta langue, c’est vachement bon aussi !
- T’étais où ?
- Je rendais service !
- A ta copine ? Tu lui as dit pour le maillot ?
- Elle l’a enlevé !
- C’est bien, c’est plus sympa …
- Ouais t’as raison, j’ai été sympa sur ce coup-là !
- Qu’est-ce qui te fait rire ?
- Rien, rien ! t’habites au Lycée pendant les vacances ? Tu restes là ?
- Oui, et c’est pas trop drôle. Comme je paie pas de loyer, je sers de gardienne en juillet, j’arrose les plates-bandes de fleurs, je surveille un peu. Je partirai en vacances en août. Et toi, tu passes l’été ici ?
- Comme toi, et on part en août aussi, deux semaines. Tu dois t’emmerder toute seule dans ce grand bahut ! t’as pas peur ?
- Non, j’ai l’habitude …
Janie était assise, le dos appuyé au grillage, son livre plié sur son ventre. Marine s’était allongée à plat ventre en la rejoignant, avait dégrafé son soutien-gorge et la regardait en appui sur les coudes. Elle avait guetté et remarqué avec satisfaction les fréquents coups d’œil de Janie sur ses seins. Du dos d’un doigt, elle caressait comme machinalement la cuisse de l’infirmière.
- Si je viens te tenir compagnie, je vais déclencher les alarmes ?
- C’est sûr ! Il faudrait me prévenir avant.
- C’est moins drôle si je te préviens ! c’est plus une surprise !
- Et pourquoi tu voudrais me surprendre ?
- T’aimerais pas ? T’as les seins bronzés, t’as peur que je te surprenne à poil ?
- Non, j’ai pas peur …
En surveillant autour d’elle derrière ses lunettes de soleil, Janie avait lâché son livre d’une main qu’elle avait posé sur les avant-bras de Marine.
- Tu les mets tout le temps, les alarmes ?
- Oui, tout le temps.
D’un doigt levé, elle a fugitivement effleuré le haut d’un sein de Marine :
- Si tu veux passer, mieux vaut me prévenir …
- Des fois je me balade le soir, après le dîner.
Après une pression des doigts sur un bras de Marine, Janie a repris son livre à deux mains et l’a rangé dans son sac :
- J’attendrais un peu avant de rebrancher les alarmes, alors …
- Bonne idée ! Je me baigne encore une fois et je rentre. Tu viens ?
- D’accord.
« « Sacrée Marine ! étonnante, non ? Vous avez eu des copines comme elle, vous ? Moi pas !
Et Janie … je vais les surveiller toutes les deux … vous me suivez ? » »
3ème partie (3/10)
« « Vous avez suivi Marine et Alicia à la piscine ? vous avez fait la connaissance de Janie et d’Houcine ?
Non ? Après tout, tant pis pour vous, c’était vachement bien !
Voyons comment se termine cet après-midi d’été … » »
Marine s’est baignée avant de retourner vers ses affaires. Elle n’en avait rien montré à Houcine, mais la petite séance ne l’avait pas laissée indifférente, et le bain était autant pour atténuer les effets de la chaleur que pour la calmer.
Janie dormait, ou faisait semblant, le front reposant sur ses mains croisées. Marine s’est agenouillée à ses côtés et a essoré ses cheveux sur le dos rosi de soleil, la faisant sursauter et déclenchant un petit cri de surprise.
- Je vous arrose parce que vous commencez à rougir dans le dos. Vous sentez pas que ça pique ?
Elle lui a épongé le dos avec sa serviette et a tendu le bras vers son flacon de protection solaire :
- Je vais vous mettre de la crème, bougez pas !
Janie a protesté que c’était inutile, mais Marine n’en a tenu aucun compte, vaporisant du produit sur tout son dos. Janie a poussé un soupir et s’est rallongée, résignée.
En levant les yeux, Marine a vu Alicia dire quelques mots aux garçons avec qui elle jouait aux cartes et tous se sont retournés avec un sourire entendu aux lèvres ; elle leur a fait un petit signe de la main et un clin d’œil, avant d’enjamber Janie et de s’asseoir sur ses cuisses en même temps qu’elle commençait à deux mains à étaler la crème dont elle avait très généreusement aspergé son dos. Elle s’est appliquée à un véritable massage, tournant souvent la tête vers Alicia et les garçons qui la regardaient toujours en riant et en échangeant des propos dont elle devinait qu’ils n’auraient pas plu à Janie.
Elle a pris son temps, massant les épaules et la ligne du dos, les reins, glissant parfois le bout des doigts sous l’élastique de la taille, et remontant à partir des hanches jusqu’à effleurer des doigts les seins qui débordaient un peu sur les côtés du torse, s’attardant là malgré le grognement de protestation de Janie, qui a replié ses coudes pour empêcher le contact indiscret, mais que Marine a repoussés aussitôt. Assise sur les cuisses de Janie, elle ondulait doucement du bassin en la massant, son ventre collé aux fesses, dans une lente imitation de l’amour qui provoquait l’hilarité silencieuse d’Alicia et de ses camarades, qui se sont lassés du spectacle ou sont allés cacher dans l’eau un émoi déclenché par son manège.
Janie, au bout d’un moment de ce traitement s’est secouée de droite à gauche :
- Arrête … s’il te plaît, arrête !
- Ça va, y a plus de crème de toute façon. Vous aimez pas les massages ?
Janie a tourné le visage vers Marine qui s’était allongée à ses côtés ; elle avait les joues bien rouges et le regard un peu égaré :
- … si, c’était … bien. Arrête, Marine, allons … y a du monde !
… un doigt glissé sous le maillot sur ses fesses, Marine le remettait en place …
- Il avait bougé, tu montrais tes fesses ! et puis c’est pas vrai, y a personne !
Janie a levé la tête pour regarder à droite et à gauche : plus de jeunes, les mères et leurs enfants n’étaient plus là non plus … et Marine caressait le côté d’un sein sous son bras, un sourire espiègle au coin des lèvres et un petit bout de langue dépassant entre ses lèvres.
- T’es une drôle de fille, toi …
- On m’a déjà dit ça y a pas longtemps !
Marine est allée s’asseoir au bord de la piscine, les pieds dans l’eau. Du coin de l’œil elle guettait Houcine qui faisait toujours les cents pas au bord du bassin, satisfaite des fréquents regards qu’il portait sur elle, et regardait Alicia chahuter dans l’eau, entourée des trois garçons qui laissaient traîner leurs mains, sur le dos, un sein, les fesses, déclenchant de fausses protestations, des rires trop forts, des tapes sur une épaule ou un bras.
Janie est venue la rejoindre, s’est assise à côté d’elle :
- Elle a du succès ta copine …
- Ouais, mais on dirait qu’elle a pas encore choisi !
- Elle les veut peut-être tous les trois !
- Eh ! Qui sait ! Mais y en a qu’un qui aura sa pastille !
- Chhuuut …
- Ben quoi, elle est vierge !
- Qu’est-ce que t’en sais, d’abord ?
Marine l’a regardée avec un sourire et lui a montré son majeur levé :
- C’est tout fermé, je te dis qu’elle est vierge !
Janie a refermé sa main sur ce doigt et abaissé la main de Marine :
- Allons ! voyons ! … quel vilain geste !
- Par contre, qu’est-ce qu’elle mouille !
- Oooooh ! arrête …
Janie a rougi mais elle avait du mal à retenir son fou-rire. Elle tenait toujours la main de Marine dans la sienne sur sa cuisse et a tardé à la repousser quand elle a senti Marine presser sa cuisse entre ses doigts, a baissé les yeux la première :
- Je vous croyais pas … copines à ce point-là !
- On l’est pas tant que ça ! Je préfère les vraies femmes, comme toi !
Janie s’est laissé glisser dans l’eau, sans un regard, mais Marine a vu un sourire fugitif étirer ses lèvres avant qu’elle ne se tourne pour se laisser descendre dans l’eau.
Janie est restée accrochée au bord, les avant-bras dans la petite margelle de débordement. En se soulevant sur ses mains, Marine s’est déplacée, s’asseyant en face de Janie et en entourant ses épaules de ses jambes ouvertes, caressant ses épaules du bout des orteils.
Janie a vivement tourné la tête, surveillant d’un regard inquiet autour d’elle, avant de lever un regard de reproche sur Marine, qui, très contente d’elle, a remarqué le long regard qu’elle posait sur ses cuisses et son entre-jambe avant de s’écarter pour nager.
A l’autre bout de la piscine, Alicia sortait de l’eau, tirait d’un geste machinal le maillot sur ses fesses, ne se rendant pas compte qu’en étirant et en tendant le tissu sur elle, elle accentuait l’effet de transparence. Elle ne voyait pas non plus les regards outrés par tant d’impudeur des deux mères de familles qui jouaient dans l’eau avec leurs enfants.
Amusée, elle a vu Alicia se diriger en roulant des hanches vers les vestiaires, suivie de près par l’un des trois garçons, qui semblait nerveux, s’est fâché avec un de ses copains qui voulait le suivre mais est retourné dans l’eau, boudeur, après la brève explication.
Marine s’est levée, et a suivi des yeux Alicia jusqu’à ce qu’elle disparaisse à l’entrée des vestiaires. En marchant le long du bassin, elle a suivi Janie qui progressait d’une brasse maladroite, tout en surveillant le garçon qui à son tour a disparu à l’entrée du vestiaire.
Devant l’échelle, elle a tendu la main à Janie pour l’aider à sortir de l’eau, l’attirant vers elle d’un élan quand elle a atteint le dernier échelon :
- T’as quel âge ?
- …trente-deux …
- T’es plutôt bien pour une vieille !
Janie s’est penchée en avant et a pris Marine de cours en lui posant un petit baiser au coin des lèvres :
- T’es pas mal pour une gamine !
Marine, étonnée, l’a regardée s’éloigner, détaillant la silhouette aux hanches joliment arrondies sous la taille fine, le regard gourmand. Elle n’avait pas bougé quand Janie s’est enfin retournée et lui a fait un clin d’œil et un petit signe de la main.
- (… d’accord d’accord … tu veux jouer … eh bien on va jouer…)
Elle a tourné le dos et s’est dirigée vers l’entrée du vestiaire où Alicia et le garçon avaient disparu depuis cinq minutes.
- Eh ! t’es gouine ?
- Ta gueule, Houcine, occupe-toi de ton cul, fais pas chier !
Elle a traversé le pédiluve en évitant le jet de la douche automatique qui s’est déclenchée à son passage et s’est engagée dans le couloir sombre menant aux vestiaires.
Elle a dépassé la porte du vestiaire « Hommes » sans même un coup d’œil, et s’est arrêtée à la porte grande ouverte du vestiaire « Dames », avançant à peine la tête.
A gauche, les trois portes des cabines individuelles, à droite un long banc de bois sous les portes manteaux fixés au mur, et plus à droite encore, dans un renfoncement, la petite salle avec les deux pommes de douche où on peut se rincer avant de se rhabiller.
Ils étaient là, au milieu de la petite pièce ; ils s’embrassaient, yeux clos, bouches collées ; Alicia avait passé les bras autour du cou du garçon qui tenait les seins d’Alicia à pleines mains.
Ils étaient beaucoup trop occupés pour se rendre compte de sa présence, et elle est restée un long moment à les observer.
Sans interrompre leur baiser, le garçon pétrissait les seins avec application, puis a descendu une main dans le dos d’Alicia, hésitant sur la taille un instant avant de descendre sur les fesses, du plat de la main, effleurant à peine avant de remonter. Alicia pourtant s’était dressée sur la pointe des pieds, tout son corps plaqué à celui du garçon des cuisses aux seins qu’elle écrasait contre le torse maigre, emprisonnant la main entre eux ; elle l’encourageait à continuer mais il se montrait timide.
Marine attendait, curieuse de savoir si Alicia allait ou non prendre l’initiative ou si elle s’en remettait au garçon, se satisfaisait des ces effleurements, se montrant aussi timide que lui.
Tous les deux avaient les joues bien rouges et le souffle haché de leur baiser ininterrompu.
Lassée d’attendre, elle s’est avancée vers eux. Tous les deux ont sursauté en sentant ses bras sur leurs épaules et ont interrompu leur baiser, plus rouges encore qu’ils ne l’étaient déjà. Elle a dû resserrer sa prise sur les épaules du garçon pour éviter qu’il ne s’enfuie :
- Eh ! du calme ! Je suis pas là pour vous botter les fesses, au contraire ! vous êtes mignons tous les deux !
- T’inquiète pas, Pascal, elle est cool !
Marine s’est glissée dans le dos d’Alicia et a pris ses seins dans ses mains. Pascal restait la bouche ouverte de stupéfaction, les yeux écarquillés allant des mains de Marine aux yeux d’Alicia, revenant sur les mains qui trituraient les tétons à travers l’étoffe.
Alicia ne protestait pas, se tenait immobile, le souffle court, ses bras toujours autour du cou de Pascal. Elle ne s’est pas défendue quand Marine lui a dénoué les doigts croisés derrière la nuque du garçon et a fait glisser les bretelles du maillot sur ses bras, a soulevé les mains de Pascal sur les seins nus. Elle a avancé la bouche pour un nouveau baiser. Elle a vaguement senti un glissement, les bras de Marine bouger autour de ses hanches, Pascal trembler contre elle et ses mains se crisper sur ses seins ; elle s’en remettait entièrement à Marine, n’esquissait pas un geste. Elle sentait un mouvement contre son ventre.
Marine avait baissé le slip de bain de Pascal et le branlait doucement, se retenant de rire en entendant son petit gémissement étouffé par la bouche d’Alicia. Elle a arrêté sa caresse et attiré une main d’Alicia sur le sexe dressé entre eux :
- Tu sais comment ça marche ! vas-y !
Alicia a eu un long frisson en fermant la main sur la verge et a commencé un lent va-et vient, les images vues sur internet en début d’après-midi défilant devant ses paupières fermées. Le contact dans sa main, le souffle chaud et précipité de Pascal dans sa bouche l’excitait énormément ; Marine faisait glisser le maillot de ses hanches à ses cuisses, et tout naturellement elle a soulevé un pied après l’autre pour la laisser le lui enlever. Elle souriait sur la bouche du garçon en sentant la main de Marine s’insinuer entre ses cuisses et lui ouvrir le sexe d’un doigt.
- Waouh, Alicia ! On dirait que ça te plaît vachement !
Agenouillée dans son dos, elle enveloppait le sexe d’Alicia de sa main, le majeur planté dans l’étroite ouverture du vagin. De l’autre main elle a tiré le bras du garçon et l’a accompagné d’une main ferme sur le ventre d’Alicia. Elle le sentait trembler, a perçu sa résistance quand il a touché sa main à elle, puis sa brusquerie à fermer sa main, sans doute pour la première fois sur ce sexe de fille.
Marine s’est redressée, abandonnant Alicia à Pascal. Ils s’embrassaient toujours, pour ne pas avoir à se regarder peut-être, tous les deux penchés l’un vers l’autre, taille cassée pour donner de l’espace à leurs caresses.
Marine a regardé un moment les mouvements saccadés et maladroits de la main d’Alicia et l’a interrompue en posant sa main sur son poignet. De son autre bras, en pesant sur ses épaules, elle l’a arrachée au baiser du garçon. Alicia a froncé les sourcils d’inquiétude en tournant le visage vers elle. Elle avait les joues enflammées, les lèvres gonflées et humides, de petites grimaces et des retraits du bassin quand la caresse du garçon était trop brusque et maladroite.
- Lui d’abord ! ça va ?
Alicia n’a pas répondu, lèvres tremblantes. Marine a appuyé plus fort sur ses épaules :
- Allez, baisse-toi !
Marine aussi s’est agenouillée, dans le dos d’Alicia. Elle a placé les mains d’Alicia sur les fesses du garçon et a pris la verge dans sa main, la pliant vers la bouche d’Alicia qu’elle poussait de tout son corps vers le garçon.
Alicia résistait, gardait la bouche fermée devant le gland tendu que Marine frottait sur ses lèvres, tournait le visage.
- Allez Ali, fais-toi plaisir ! tu vas voir, c’est bon ! Et puis il est pas bien gros ! t’imagine si c’était celui d’internet ?
Alicia a eu un hoquet de rire nerveux et s’est enfin décidée, d’abord du bout de la langue, et puis elle a pris le gland que Marine tendait vers elle entre ses lèvres. De la tête et de son corps, collée au dos d’Alicia, Marine poussait la tête d’Alicia, la forçant à avaler le sexe plus profond, ne lui laissant aucune chance de s’échapper. Elle a lâché la verge du garçon et posé ses mains sur les mains d’Alicia, sur les fesses de Pascal, donnant le rythme, s’appuyant toujours plus fort sur Alicia pour l’obliger à avaler le sexe.
Ensembles elles ont senti sous leurs doigts les muscles des fesses se durcir et trembler. Marine a entendu le hoquet de surprise d’Alicia et son recul. Elle s’y attendait. Elle l’a empêchée, se serrant contre elle. Le garçon était immobile, tendu, comme tétanisé. D’elle-même Alicia a repris de petits mouvements de va-et-vient de sa bouche et Marine a relâché sa pression, s’est écartée pour se relever en s’appuyant sur l’épaule d’Alicia qui a continué à sucer la verge avec application en la branlant d’une main.
Pascal s’est retiré de sa bouche et a très vite remonté son maillot de bain.
Assise sur ses talons, Alicia a tendu la main vers Marine pour qu’elle l’aide à se relever. Elle avait un éclair de fierté dans les yeux.
Debout, dans une attitude que Marine a trouvé risible et ridicule, Alicia cachait ses seins sous ses mains, pendant que Pascal semblait embarrassé de lui-même, dansait d’un pied sur l’autre, et paraissait prêt à s’enfuir, le regard en coin rivé sur le ventre nu d’Alicia.
- Venez !
Marine, les tenant tous les deux par les épaules, les a conduit dans le vestiaire où elle a poussé Alicia sur le banc. Assise jambes serrées, Alicia, gagnée par une pudeur tardive, protégeait ses seins d’une main et du bras, cachait son sexe de l’autre main.
Marine a obligé Pascal à s’agenouiller avec elle devant Alicia qui avait l’air un peu inquiète, et à deux mains a obligé Alicia à écarter grand les genoux.
- Regarde bien, toi ! et apprends !
Elle a écarté la main dont Alicia protégeait son sexe et de la main gauche posée sur le ventre au-dessus du sexe elle a ouvert les lèvres, exposant et étirant les chairs roses et brillantes de cyprine :
- Pour les filles, c’est là que ça se passe !
Du plat du l’index de la main droite, elle repoussait le capuchon du clitoris, le titillait doucement, avant de masser tout autour en montant et descendant, de l’index et du majeur tendus, de chaque côté du bouton rose vif le long des petites lèvres, branlant entre ses deux doigts la tige durcie au-dessus du petit bouton.
Alicia adossée au mur respirait fort, bouche ouverte, les yeux cachés sous son bras levé.
- A toi mon grand, donne-lui du plaisir, et toi Ali, explique-lui si ça te va pas, t’as compris ?
Sans baisser le bras sous lequel elle se cachait, Alicia a hoché la tête.
Marine a cédé sa place à Pascal entre les jambes d’Alicia, et a quitté le vestiaire en passant la main dans les cheveux du garçon :
- Eh ! avec ta langue, c’est vachement bon aussi !
- T’étais où ?
- Je rendais service !
- A ta copine ? Tu lui as dit pour le maillot ?
- Elle l’a enlevé !
- C’est bien, c’est plus sympa …
- Ouais t’as raison, j’ai été sympa sur ce coup-là !
- Qu’est-ce qui te fait rire ?
- Rien, rien ! t’habites au Lycée pendant les vacances ? Tu restes là ?
- Oui, et c’est pas trop drôle. Comme je paie pas de loyer, je sers de gardienne en juillet, j’arrose les plates-bandes de fleurs, je surveille un peu. Je partirai en vacances en août. Et toi, tu passes l’été ici ?
- Comme toi, et on part en août aussi, deux semaines. Tu dois t’emmerder toute seule dans ce grand bahut ! t’as pas peur ?
- Non, j’ai l’habitude …
Janie était assise, le dos appuyé au grillage, son livre plié sur son ventre. Marine s’était allongée à plat ventre en la rejoignant, avait dégrafé son soutien-gorge et la regardait en appui sur les coudes. Elle avait guetté et remarqué avec satisfaction les fréquents coups d’œil de Janie sur ses seins. Du dos d’un doigt, elle caressait comme machinalement la cuisse de l’infirmière.
- Si je viens te tenir compagnie, je vais déclencher les alarmes ?
- C’est sûr ! Il faudrait me prévenir avant.
- C’est moins drôle si je te préviens ! c’est plus une surprise !
- Et pourquoi tu voudrais me surprendre ?
- T’aimerais pas ? T’as les seins bronzés, t’as peur que je te surprenne à poil ?
- Non, j’ai pas peur …
En surveillant autour d’elle derrière ses lunettes de soleil, Janie avait lâché son livre d’une main qu’elle avait posé sur les avant-bras de Marine.
- Tu les mets tout le temps, les alarmes ?
- Oui, tout le temps.
D’un doigt levé, elle a fugitivement effleuré le haut d’un sein de Marine :
- Si tu veux passer, mieux vaut me prévenir …
- Des fois je me balade le soir, après le dîner.
Après une pression des doigts sur un bras de Marine, Janie a repris son livre à deux mains et l’a rangé dans son sac :
- J’attendrais un peu avant de rebrancher les alarmes, alors …
- Bonne idée ! Je me baigne encore une fois et je rentre. Tu viens ?
- D’accord.
« « Sacrée Marine ! étonnante, non ? Vous avez eu des copines comme elle, vous ? Moi pas !
Et Janie … je vais les surveiller toutes les deux … vous me suivez ? » »
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'en suis au 3eme et je suis en admiration.
j'ai rarement lu un récit aussi bien écrit.
je vais continuer, c'est trop de plaisir .......................
j'ai rarement lu un récit aussi bien écrit.
je vais continuer, c'est trop de plaisir .......................
Cette façon de raconter nous fait comprendre que tu n'as aucun tabou et qu'avec ton sans
gêne peu commun tu es indiscutablement très cochonne et capable de mettre les autres mal
à l'aise afin d'en tirer encore plus de jouissance. C'est aussi le prix que paie les
gens qui acceptent de te cotoyer. En quelque sorte tu es vache et fascinante. J'adore
ton genre de fille.
gêne peu commun tu es indiscutablement très cochonne et capable de mettre les autres mal
à l'aise afin d'en tirer encore plus de jouissance. C'est aussi le prix que paie les
gens qui acceptent de te cotoyer. En quelque sorte tu es vache et fascinante. J'adore
ton genre de fille.