Début dans la nature
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Début dans la nature
Et si nous allions faire une promenade en voiture.
Tu as une idée dans la tête ?
Ouais ! Une si grande que je ne t'en dirais rien.
Je me doute de ce qu'elle veut. Je vais obéir comme si c'était mon genre.
Nous voilà partis nous promener. Nous possédons ne petite voiture juste bonne à se déplacer, pas à faire des folies.
Elle me guide vers un bois. Nous allons le plus loin possible, jusqu'à la fin de l'allée dans laquelle nous nous sommes engagés.
Elle a raison, un paysage merveilleusement rare nous y attend. Au loin une montage avec un pic enneigé. Plus près des arbres qui pour moi sont inconnus. Et une clairière isolée avec de l'herbe haute. Nous somme revenus à la nature, presque comme dans un camp naturiste.
Elle s'étire, commence à se mettre toute nue. Elle sort une grande couverture de la malle, Marie m'invite à venir moi aussi me coucher au soleil avec elle.
Je ne reste pas deux minutes tranquille, il faut que je me mette moi aussi nu.
Je reste devant elle avec ma bite qui pendouille lamentablement. Elle en rit en se moquant de moi.
Je m'en fiche, je me couche près d'elle sans intention de la « déshonorer ». C'est vrai que c'est agréable d'être sans vêtement, au soleil, en plein air. Je m'installe sur le ventre.
Marie ne trouve rien de mieux que de me chatouiller avec une paille. Je me crispe pour résister. Elle se met sur le coté, passe sa main sur mes fesses, ce qui en soi est toujours captivant, sauf qu'elle ne résiste pas : elle loge sa main dans ma raie. C'est plus fort que moi, j'écarte et la raie et les jambes.
Curieuse, elle voudrait connaître l'effet de sa main dans la raie. Elle sait bien que plus bas, j'ai un anus, plus loin des couilles et enfin une bite qui se dilate. Si je lui en faisais autant elle rouspéterait en disant que je ne la respecte pas.
J'espère qu'elle vient me prendre la bite pour me masturber comme elle aime le faire.
Non, aujourd'hui elle veut autre chose.
Elle vient voir sa main qui va dans ma raie prolonger son exploration vers le cul. Je sens, au début un doigt qui caresse le pourtour de l'anus. Puis, lentement elle rentre un doigt en moi, puis un deuxième. Je lui fait pareil souvent, elle aime que mes doigts lui fouille le cul. Elle me fait presque pareil. J'ignorais l'effet chez moi. Pour un fille, je comprends qu'elle aime ça qui remplace une petite bite, mais pour moi ?
Elle n'arrête pas, elle sort presque le doigt, elle le rentre à fond.
Je me mets sur le dos, avec la bite bandée. Elle continue sa caresse particulière. Je la laisse faire, d'abord pour la laisser exprimer son désir et à peine plus tard par le plaisir qu'elle me donne.
Placée comme elle est je peux moi aussi passer une main entre ses jambes. Je ne trouve que son sexe. J'y mets deux doigts directement. Elle se laisse faire sans abandonner mon anus. Elle accélère son mouvement. Il me semble avoir un machin plus gros en moi.
J'ai eux ou trois émissions de sperme sans jamais avoir été touché par sa main.
Enfin elle se décide, lancée par le désir.
Elle vient sur moi, m'enjambe, prend la pine dans main, sans tenir compte de mes envies, elle s'enfile dessus.
Je suis en elle, je glisse dans son étui, je vais au fond, comme elle le désire. Je passe une main sur ses fesses puis dans sa raie. Je suis sur son anus. J'entre un doigt puis eux dans son trou arrière.
Elle n'arrête pas son rythme de baise, au contraire : elle jouit une fois puis presque de suite après je sens une deuxième rafale de spasmes. Je sens sa jouissance dans son cul.
Je lui donne mon sperme sans mégoter.
Nous repartons en voiture, elle presque nue, moi encore mouillé de sa cyprine que je lui ai prise.
J'ai, à sa demande gardé ma pine dehors.
Ce que nous avons fait ne lui suffit pas, elle prend encore ma queue , se penche la met dans sa bouche, arrive à me faire encore bander.
Je conduis comme je peux avec sa bouche qui me mange la bite. Nous arrisons chez nous : je bande toujours.
Reste ainsi ta queue dehors pour entrer.
On va me voir !
Et alors tu n'as rien à cacher. Penses que tu va me la mettre encore, cette fois dans le cul.
Je sors de la voiture la queue dehors, à peine bandée. Elle la prend dans sa main pour me mener vers l'appartement. Et là.....
Tu as une idée dans la tête ?
Ouais ! Une si grande que je ne t'en dirais rien.
Je me doute de ce qu'elle veut. Je vais obéir comme si c'était mon genre.
Nous voilà partis nous promener. Nous possédons ne petite voiture juste bonne à se déplacer, pas à faire des folies.
Elle me guide vers un bois. Nous allons le plus loin possible, jusqu'à la fin de l'allée dans laquelle nous nous sommes engagés.
Elle a raison, un paysage merveilleusement rare nous y attend. Au loin une montage avec un pic enneigé. Plus près des arbres qui pour moi sont inconnus. Et une clairière isolée avec de l'herbe haute. Nous somme revenus à la nature, presque comme dans un camp naturiste.
Elle s'étire, commence à se mettre toute nue. Elle sort une grande couverture de la malle, Marie m'invite à venir moi aussi me coucher au soleil avec elle.
Je ne reste pas deux minutes tranquille, il faut que je me mette moi aussi nu.
Je reste devant elle avec ma bite qui pendouille lamentablement. Elle en rit en se moquant de moi.
Je m'en fiche, je me couche près d'elle sans intention de la « déshonorer ». C'est vrai que c'est agréable d'être sans vêtement, au soleil, en plein air. Je m'installe sur le ventre.
Marie ne trouve rien de mieux que de me chatouiller avec une paille. Je me crispe pour résister. Elle se met sur le coté, passe sa main sur mes fesses, ce qui en soi est toujours captivant, sauf qu'elle ne résiste pas : elle loge sa main dans ma raie. C'est plus fort que moi, j'écarte et la raie et les jambes.
Curieuse, elle voudrait connaître l'effet de sa main dans la raie. Elle sait bien que plus bas, j'ai un anus, plus loin des couilles et enfin une bite qui se dilate. Si je lui en faisais autant elle rouspéterait en disant que je ne la respecte pas.
J'espère qu'elle vient me prendre la bite pour me masturber comme elle aime le faire.
Non, aujourd'hui elle veut autre chose.
Elle vient voir sa main qui va dans ma raie prolonger son exploration vers le cul. Je sens, au début un doigt qui caresse le pourtour de l'anus. Puis, lentement elle rentre un doigt en moi, puis un deuxième. Je lui fait pareil souvent, elle aime que mes doigts lui fouille le cul. Elle me fait presque pareil. J'ignorais l'effet chez moi. Pour un fille, je comprends qu'elle aime ça qui remplace une petite bite, mais pour moi ?
Elle n'arrête pas, elle sort presque le doigt, elle le rentre à fond.
Je me mets sur le dos, avec la bite bandée. Elle continue sa caresse particulière. Je la laisse faire, d'abord pour la laisser exprimer son désir et à peine plus tard par le plaisir qu'elle me donne.
Placée comme elle est je peux moi aussi passer une main entre ses jambes. Je ne trouve que son sexe. J'y mets deux doigts directement. Elle se laisse faire sans abandonner mon anus. Elle accélère son mouvement. Il me semble avoir un machin plus gros en moi.
J'ai eux ou trois émissions de sperme sans jamais avoir été touché par sa main.
Enfin elle se décide, lancée par le désir.
Elle vient sur moi, m'enjambe, prend la pine dans main, sans tenir compte de mes envies, elle s'enfile dessus.
Je suis en elle, je glisse dans son étui, je vais au fond, comme elle le désire. Je passe une main sur ses fesses puis dans sa raie. Je suis sur son anus. J'entre un doigt puis eux dans son trou arrière.
Elle n'arrête pas son rythme de baise, au contraire : elle jouit une fois puis presque de suite après je sens une deuxième rafale de spasmes. Je sens sa jouissance dans son cul.
Je lui donne mon sperme sans mégoter.
Nous repartons en voiture, elle presque nue, moi encore mouillé de sa cyprine que je lui ai prise.
J'ai, à sa demande gardé ma pine dehors.
Ce que nous avons fait ne lui suffit pas, elle prend encore ma queue , se penche la met dans sa bouche, arrive à me faire encore bander.
Je conduis comme je peux avec sa bouche qui me mange la bite. Nous arrisons chez nous : je bande toujours.
Reste ainsi ta queue dehors pour entrer.
On va me voir !
Et alors tu n'as rien à cacher. Penses que tu va me la mettre encore, cette fois dans le cul.
Je sors de la voiture la queue dehors, à peine bandée. Elle la prend dans sa main pour me mener vers l'appartement. Et là.....
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