Début de sa soumission 3
Récit érotique écrit par Belle-Mère [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Début de sa soumission 3
Après que Paul ait joui dans sa cage de chasteté, sous l’effet d’une abstinence des quelques jours que je n’avais pas comptés et de ma main remuant délicatement l’engin, j’étais bien surprise. Tout cela était nouveau pour moi : mon gendre amoureux, son désir pour moi, nos étreintes langoureuses, sa cage de chasteté et maintenant sa jouissance-surprise. J’étais choquée et troublée par tout ce nouveau monde après une vie normale passée avec mon mari. Désormais veuve à 75 ans, je me sentais très mure mais encore en bonne santé, et je goutais l’aventure et une liberté nouvelle. Cet épisode de mon gendre fondant dans sa cage et trempant son slip m’avait émoustillé. Je demandai à Paul de baisser les lumières pour me faire un baiser sur ma chatte.
- Je viens de jouir Annette, il me faut du temps pour avoir à nouveau envie. Peux-tu me dire où sont les clés de la cage? je voudrais me laver.
- Pardon ? j’ai envie de ta bouche maintenant. Je croyais que tu me désirais. Viens là à genoux t’occuper de moi. Il y a si longtemps que je n’ai pas eu de plaisir. Et pas question que tu retires ta cage : c’est moi qui décide quand je te prêterai les clés. Tu iras te nettoyer après avec ta cage bouclée et on mettra tes vêtements à la machine, allez, viens, à mon tour !
Paul, cachant une mauvaise grâce que je devinais et qui m’agaçait un peu, s’exécuta. Il y avait au moins 20 ans que la langue de mon mari ne m’avait pas caressé le minou. Attentive à tous les petits mouvements des lèvres pulpeuses de mon gendre et de sa langue autour de mon bouton et mes lèvres de chatte, je me laissais submerger de vagues violentes de plaisir. J’espérais que mon vagin orné de poils gris ne le dégoute pas, mais je voyais bien son appétit. Me laissant aller, je ne pouvais m’empêcher de pousser des cris gutturaux à chacun de mes orgasmes. Pressant sa tête entre mes jambes, je ne pouvais plus arrêter cette série d’explosions de jouissance. Enfin, je me repris, tremblante, comblée de sensualité et de bonheur.
Paul alla se débarbouiller ensuite. Je l’observais nu, portant sa cage de plastique noir que je ne voulais pas lui enlever, aller et venir chez moi. Cette cage était décidément une bonne idée et je trouvais mon nouvel homme assez beau ainsi habillé de sa seule cage, bien tenu, sans un engin bizarre qui valse et qui pend. Je souris quand il me vit le mater :
- Tu me montreras tes autres cages, n’est-ce-pas ? en métal, elles doivent être bien aussi. Je suis curieuse de les découvrir. Viens ne bouge pas, je prends une photo de toi en pied. Je commence une nouvelle collection d’images coquines de mon gendre encagé (rires). J’adore l’idée de garder les clés : moi seule déciderai de ta libération. Je réalise que tu ne pourras plus te masturber, n’est-ce-pas ? Par contre j’ai vu que tu as joui même en portant la cage. Cela ne me plait pas du tout. Je ne veux pas que tu jouisses sans mon autorisation ou à ma demande seulement. C’est bien compris ? Cela me mettra en colère si tu me désobéis là-dessus. Tu m’appartiens, ton désir et tes plaisirs aussi. C’est ce que je veux : jure-moi que tu vas te conformer à mon contrôle de ta libido ?
- Oui Annette, je t’aime. Je veux me donner à toi totalement, alors fais de moi ce que tu voudras. Je ne devrais pas te le dire, mais je veux me soumettre à toi et ne rien te cacher : tu es si belle et je t’aime plus que ta fille que je ne désirais plus depuis longtemps. Tu es mince, féminine, exigeante, je veux m’occuper de toi, te satisfaire…
- Alors, je suis heureuse de te dire que je veux bien que nous habitions ensemble. On verra comment nous gérerons les réactions de nos entourages. Je fixerai les règles de notre vie commune.
J’avais rapidement compris le pouvoir puissant que m’apporterait la frustration de mon homme notamment par le maintien permanent de son désir donc le contrôle de son abstinence…. Tout était dans ces deux petites clés : clés de son désir, de sa soumission à ma volonté et mes caprices, de son amour permanent pour moi. Elles étaient précieuses pour notre couple incongru, alors je les dissimulai dans un recoin du sous-sol. Plus tard, Paul m’expliquerait qu’il avait besoin de se laver régulièrement et que j’aurais à gérer ses sorties ponctuelles de cage. Il est vrai qu’un sexe d’homme n’est pas joli à mon goût, alors s’il sent mauvais, c’est insupportable.
- Je viens de jouir Annette, il me faut du temps pour avoir à nouveau envie. Peux-tu me dire où sont les clés de la cage? je voudrais me laver.
- Pardon ? j’ai envie de ta bouche maintenant. Je croyais que tu me désirais. Viens là à genoux t’occuper de moi. Il y a si longtemps que je n’ai pas eu de plaisir. Et pas question que tu retires ta cage : c’est moi qui décide quand je te prêterai les clés. Tu iras te nettoyer après avec ta cage bouclée et on mettra tes vêtements à la machine, allez, viens, à mon tour !
Paul, cachant une mauvaise grâce que je devinais et qui m’agaçait un peu, s’exécuta. Il y avait au moins 20 ans que la langue de mon mari ne m’avait pas caressé le minou. Attentive à tous les petits mouvements des lèvres pulpeuses de mon gendre et de sa langue autour de mon bouton et mes lèvres de chatte, je me laissais submerger de vagues violentes de plaisir. J’espérais que mon vagin orné de poils gris ne le dégoute pas, mais je voyais bien son appétit. Me laissant aller, je ne pouvais m’empêcher de pousser des cris gutturaux à chacun de mes orgasmes. Pressant sa tête entre mes jambes, je ne pouvais plus arrêter cette série d’explosions de jouissance. Enfin, je me repris, tremblante, comblée de sensualité et de bonheur.
Paul alla se débarbouiller ensuite. Je l’observais nu, portant sa cage de plastique noir que je ne voulais pas lui enlever, aller et venir chez moi. Cette cage était décidément une bonne idée et je trouvais mon nouvel homme assez beau ainsi habillé de sa seule cage, bien tenu, sans un engin bizarre qui valse et qui pend. Je souris quand il me vit le mater :
- Tu me montreras tes autres cages, n’est-ce-pas ? en métal, elles doivent être bien aussi. Je suis curieuse de les découvrir. Viens ne bouge pas, je prends une photo de toi en pied. Je commence une nouvelle collection d’images coquines de mon gendre encagé (rires). J’adore l’idée de garder les clés : moi seule déciderai de ta libération. Je réalise que tu ne pourras plus te masturber, n’est-ce-pas ? Par contre j’ai vu que tu as joui même en portant la cage. Cela ne me plait pas du tout. Je ne veux pas que tu jouisses sans mon autorisation ou à ma demande seulement. C’est bien compris ? Cela me mettra en colère si tu me désobéis là-dessus. Tu m’appartiens, ton désir et tes plaisirs aussi. C’est ce que je veux : jure-moi que tu vas te conformer à mon contrôle de ta libido ?
- Oui Annette, je t’aime. Je veux me donner à toi totalement, alors fais de moi ce que tu voudras. Je ne devrais pas te le dire, mais je veux me soumettre à toi et ne rien te cacher : tu es si belle et je t’aime plus que ta fille que je ne désirais plus depuis longtemps. Tu es mince, féminine, exigeante, je veux m’occuper de toi, te satisfaire…
- Alors, je suis heureuse de te dire que je veux bien que nous habitions ensemble. On verra comment nous gérerons les réactions de nos entourages. Je fixerai les règles de notre vie commune.
J’avais rapidement compris le pouvoir puissant que m’apporterait la frustration de mon homme notamment par le maintien permanent de son désir donc le contrôle de son abstinence…. Tout était dans ces deux petites clés : clés de son désir, de sa soumission à ma volonté et mes caprices, de son amour permanent pour moi. Elles étaient précieuses pour notre couple incongru, alors je les dissimulai dans un recoin du sous-sol. Plus tard, Paul m’expliquerait qu’il avait besoin de se laver régulièrement et que j’aurais à gérer ses sorties ponctuelles de cage. Il est vrai qu’un sexe d’homme n’est pas joli à mon goût, alors s’il sent mauvais, c’est insupportable.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
belle histoire !!
Belle histoire que j'aimerais vivre
Bonjour madame
Merci de nous partager votre histoire.je viens de rattraper les trois chapitres avec un réel plaisir et une envie d'être encagé de nouveau à la lecture de votre plume
Merci de nous partager votre histoire.je viens de rattraper les trois chapitres avec un réel plaisir et une envie d'être encagé de nouveau à la lecture de votre plume
C'est une très belle histoire, très excitante aussi. Vivement la suite.
Au contraire, ils construisent quelque chose ensemble avec leurs désirs et envies
Elle n'a aucun respect pour son homme nulle