Début de séjour bien agréable
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Récit érotique écrit par geniez19 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Début de séjour bien agréable
S. et moi partons pour quelques jours ensemble et seuls dans le Limousin. Après avoir hésité entre ça et le Luberon, notre choix s’est finalement porté sur mon lieu fétiche.
Malgré une veille agitée (nous ne sommes pas vus depuis plus de 2 semaines), nous démarrons de bonne heure de chez moi, afin de pouvoir un peu profiter de la 1ère journée sur place.
La route se passe sans encombre et nous serons sur place normalement vers 14 heures. Lorsque nous arrivons dans le département, je propose un jeu à S.
-Comme nous sommes ici pour vivre des moments de folie et rien qu'à nous, je te propose de te mettre à l'aise.
-Mais encore ?
-Quitter ton soutien-gorge et le mettre aux oubliettes pour notre séjour. Bien évidemment, tu es la seule maitresse du jeu et tu le remets quand tu veux, si une situation te gêne.
-Très sincèrement, tu te doutes bien que je pensais le faire à la 1ère occasion. Tu m'as juste devancé, je pensais le faire une fois arrivés. Mais comme tu me le demandes,mon Dingo, je ne peux pas te le refuser.
Ausssiôt dit, c'est tout naturellement que S. quitte son chemisier pour enlever son sous vêtement.
-J'attends pour doubler ou je peux y aller ?
-Tu l'as dit, nous sommes là pour un week-end de folie, et ce pauvre routier ne doit pas avoir beaucoup de distraction. Offrons lui en une.
-Je dois le klaxonner pour être sûr qu'il profite du spectacle ?
-Non, il n'a qu'à être attentif à ce qui se passe.
Nous rigolons et j'en profite pour lui pincer un téton, au moment même ou nous doublons (à faible allure).
Je vois S. se tendre comme elle sait le faire dans le plaisir.
De grands coups de klaxon du routier nous font comprendre qu'il a su profiter du spectacle. S. ouvre alors sa fenêtre et lui fait de grands gestes de la main.
-Tu vois qu'il était attentif à la route, me dit-elle.
-C'est vrai qu'avec mes appels de phare avant de le doubler, il devait bien se demander ce que je voulais .
-Tu es décidément plus vicieux que moi dans le jeu. Maintenant, à cause de toi j'ai le feu et je ne peux pas compter sur toi pour l'éteindre.
-L'éteindre ? Certainement pas. Regarde dans la boite à gants,il y a de quoi l'entretenir pour un moment.
S. ouvre, trouve une enveloppe et une fois encore sa réaction me comble.
-Avec ça au bout des tétons je vais finir trempée. Entre les pinces et le poids, je ne réponds de rien.
-Tu restes libre de les porter et pour le temps que tu veux.
-Les porter bien sûr que je veux. Pour le temps, tant que cela reste agréable, autant dire...
S. pose les « bijoux » en prononçant un petit cri de surprise, dû au pincement.
-Oh la vache, ça risque de donner. Tant pis pour l'état du siège, tu l'auras voulu. Déjà là, je sens mon minou devenir liquide et mon bouton commence les saltos.
-Tu dois me dire quand tu sens le plaisir arriver.
-Tu le verras et tu l'entendras bien tout seul. Tu as vu comme mes tétons sont déjà tout affolés. Je suis désolé mais comme tu ne peux rien pour moi pour l'instant, je me mets en mode auto combustion. S. caresse alors sa poitrine et son sexe par dessus ses vêtements.
Lorsque je lui demande si elle continue la route les seins à l'air, elle me répond :
-Ça me plairait assez. Maintenant si ça te gêne.
En disant cela, elle porte sa main à ma braguette et ajoute :
-Je ne pense pas, ça n'a pas l'air...
-Tu sais bien que ce que j'aime chez toi, c'est ta disponibilité, ton envie et ton plaisir de baiser en permanence.
-Et encore, c'est avec plaisir que je t'aurais sucé mais restons prudents. On verra ça une fois arrivés.
Plusieurs fois durant les minutes de voyage qui restent S. se crispe et me serre le bras. Signe évident de plaisir !
Nous arrivons à notre location.
S. à regret me dit elle, quitte les pinces et enfile son chemisier.
La propriétaire nous remet les clés et nous voilà rapidement maitres des lieux.
Aussitôt que cette brave dame est partie, S. me demande de la prendre.
-Vas y, baise moi, là tout de suite.
Par jeu, je refuse. Elle me dit alors qu je le paierai au prix fort.
J'y compte bien...
C’est alors avec un soleil radieux que nous commençons à vider la voiture. Je me trouve rapidement torse nu et en short. S. me traite alors de provocateur. Elle en profite à chaque occasion pour me caresser le torse et déposer un baiser sur un téton.
Je la traite aussi vite de garce et lui fait remarquer qu’elle n’est jamais fatiguée.
-Et encore, tu n’as pas tout vu, je ne fais que commencer.
Ça je n’en doute pas, connaissant ses capacités à me mettre le feu en permanence.
Alors que je rentre avec une valise à la main, S. sort de la chambre. Elle porte un large débardeur sous lequel ses seins sont libres et un de mes caleçons (comme elle en a pris maintenant l’habitude lorsque nous sommes ensemble).
-Y a pas de raisons que tu sois seul à être à l’aise.
-Tu as bien raison et ça me facilite l’accès.
Je passe alors ma main dans l’échancrure du débardeur et commence à lui caresser un sein.
-hum je sens que je vais me plaire ici. Y a pas trop de voisins et la vue et superbe. Si le temps reste comme ça, je devrais même pouvoir bronzer toute nue.
-Si tu bronzes nue ici tu vas avoir tout le village à la porte du logis. Il suffit qu’un te voit et ça va vite faire le tour.
-On verra bien.
Nous continuons le déchargement du véhicule. Vers quatre heures après avoir fini, on se paye un café sur la terrasse devant le chalet. Nous sommes en plein soleil et il fait plutôt chaud. Depuis un moment déjà, ma tenue est la même que celle de S. J’ai quitté mon short et suis ainsi en boxer, torse nu.
S. est assise, regarde le paysage et me dit que l’endroit est charmant et reposant. Je ris et lui dis que pour le repos ce n’est pas forcement gagné. Mes mains accompagnent mes mots et caressent ses seins. Elle se laisse venir en arrière, contre moi et me répond que c’est tant pis pour le repos. De plus en plus actif, je lui pince les tétons. Son air apaisé et ses yeux clos me font comprendre qu’elle aime ce que je lui fais.
Sans hésitation, alors que je continue d’une main à jouer avec sa poitrine, l’autre remonte le vêtement afin de l’enlever. S. prend le relais, et quitte ainsi l’habit.
Elle se retourne, les seins libres et me regarde droit dans les yeux comme elle sait le faire pour un défi.
-J’ai quitté un fringue, il n’y a pas de raison pour que ce ne soit pas ton tour.
Etant toujours debout et elle assise face à moi maintenant, elle attrape mon boxer et le fait descendre jusqu’à terre.
-Je vois que l’air du coin te fait du bien et que tu tiens la forme.
-Je ne suis pas sûr que ce soit l’air du coin qui entretienne une érection pareille. Le temps se couvre et peut être qu’un peu d’humidité et de pluie vont me ramener à la décence.
-Ce serait bien dommage.
Elle attaque alors une pipe dont elle a le secret. Cette fille est douée pour le cul et je crois que les situations les plus perverses ou extravagantes la motivent encore plus. Ses yeux dans les miens, elle pompe comme une déesse.
Elle prend alors son café et boit. Aussi vite elle reprend ma queue en bouche. Le jus chaud a un effet terrible. Je suis proche de la jouissance et la prévient. Elle accélère la cadence et me dit :
-J’y compte bien.
Ces seuls mots suffisent et je pars dans un jet que S. s’empresse d’avaler. Voyant son accord, je pose alors mes mains sur sa tête pour le tenir dans cette position. L’orage passé, elle prend ma queue dans une main, sa tasse dans l’autre et me finit ainsi.
-pas question de perdre une goutte de cette liqueur. Je l’aime trop et je suis sûre qu’elle fait du bien.
Je me penche, l’embrasse à pleine bouche. Elle a encore le goût de mon sperme.
-Si nos quelques jours se passent tous comme ça, je crois que je vais revenir souvent.
-Pas de soucis, tu es ici chez toi. Je ne peux rien refuser à la baiseuse que tu es. Si à chaque occasion nous devons baiser, soit la bienvenue…
Je passe ma main dans son caleçon et constate une certaine moiteur.
-Question humidité, j’ai l’impression qu’elle ne va pas venir que du ciel.
-Et encore l’orage est déjà passé.
-Parce que tu as déjà pris ton pied ?
- Ta queue dans ma bouche, l’endroit et la situation ont largement suffit à me faire exploser. Avec toi, je ne sais pas ce qui est interdit. En plus le café ici est très bon. Tu veux goûter.
Persuadée que je le refuserais (avec du sperme dedans) elle me tend la tasse. Je prends son bras et bois tout en la fixant à mon tour.
Le séjour ne fait que commencer et il promet d’être chaud.
Malgré une veille agitée (nous ne sommes pas vus depuis plus de 2 semaines), nous démarrons de bonne heure de chez moi, afin de pouvoir un peu profiter de la 1ère journée sur place.
La route se passe sans encombre et nous serons sur place normalement vers 14 heures. Lorsque nous arrivons dans le département, je propose un jeu à S.
-Comme nous sommes ici pour vivre des moments de folie et rien qu'à nous, je te propose de te mettre à l'aise.
-Mais encore ?
-Quitter ton soutien-gorge et le mettre aux oubliettes pour notre séjour. Bien évidemment, tu es la seule maitresse du jeu et tu le remets quand tu veux, si une situation te gêne.
-Très sincèrement, tu te doutes bien que je pensais le faire à la 1ère occasion. Tu m'as juste devancé, je pensais le faire une fois arrivés. Mais comme tu me le demandes,mon Dingo, je ne peux pas te le refuser.
Ausssiôt dit, c'est tout naturellement que S. quitte son chemisier pour enlever son sous vêtement.
-J'attends pour doubler ou je peux y aller ?
-Tu l'as dit, nous sommes là pour un week-end de folie, et ce pauvre routier ne doit pas avoir beaucoup de distraction. Offrons lui en une.
-Je dois le klaxonner pour être sûr qu'il profite du spectacle ?
-Non, il n'a qu'à être attentif à ce qui se passe.
Nous rigolons et j'en profite pour lui pincer un téton, au moment même ou nous doublons (à faible allure).
Je vois S. se tendre comme elle sait le faire dans le plaisir.
De grands coups de klaxon du routier nous font comprendre qu'il a su profiter du spectacle. S. ouvre alors sa fenêtre et lui fait de grands gestes de la main.
-Tu vois qu'il était attentif à la route, me dit-elle.
-C'est vrai qu'avec mes appels de phare avant de le doubler, il devait bien se demander ce que je voulais .
-Tu es décidément plus vicieux que moi dans le jeu. Maintenant, à cause de toi j'ai le feu et je ne peux pas compter sur toi pour l'éteindre.
-L'éteindre ? Certainement pas. Regarde dans la boite à gants,il y a de quoi l'entretenir pour un moment.
S. ouvre, trouve une enveloppe et une fois encore sa réaction me comble.
-Avec ça au bout des tétons je vais finir trempée. Entre les pinces et le poids, je ne réponds de rien.
-Tu restes libre de les porter et pour le temps que tu veux.
-Les porter bien sûr que je veux. Pour le temps, tant que cela reste agréable, autant dire...
S. pose les « bijoux » en prononçant un petit cri de surprise, dû au pincement.
-Oh la vache, ça risque de donner. Tant pis pour l'état du siège, tu l'auras voulu. Déjà là, je sens mon minou devenir liquide et mon bouton commence les saltos.
-Tu dois me dire quand tu sens le plaisir arriver.
-Tu le verras et tu l'entendras bien tout seul. Tu as vu comme mes tétons sont déjà tout affolés. Je suis désolé mais comme tu ne peux rien pour moi pour l'instant, je me mets en mode auto combustion. S. caresse alors sa poitrine et son sexe par dessus ses vêtements.
Lorsque je lui demande si elle continue la route les seins à l'air, elle me répond :
-Ça me plairait assez. Maintenant si ça te gêne.
En disant cela, elle porte sa main à ma braguette et ajoute :
-Je ne pense pas, ça n'a pas l'air...
-Tu sais bien que ce que j'aime chez toi, c'est ta disponibilité, ton envie et ton plaisir de baiser en permanence.
-Et encore, c'est avec plaisir que je t'aurais sucé mais restons prudents. On verra ça une fois arrivés.
Plusieurs fois durant les minutes de voyage qui restent S. se crispe et me serre le bras. Signe évident de plaisir !
Nous arrivons à notre location.
S. à regret me dit elle, quitte les pinces et enfile son chemisier.
La propriétaire nous remet les clés et nous voilà rapidement maitres des lieux.
Aussitôt que cette brave dame est partie, S. me demande de la prendre.
-Vas y, baise moi, là tout de suite.
Par jeu, je refuse. Elle me dit alors qu je le paierai au prix fort.
J'y compte bien...
C’est alors avec un soleil radieux que nous commençons à vider la voiture. Je me trouve rapidement torse nu et en short. S. me traite alors de provocateur. Elle en profite à chaque occasion pour me caresser le torse et déposer un baiser sur un téton.
Je la traite aussi vite de garce et lui fait remarquer qu’elle n’est jamais fatiguée.
-Et encore, tu n’as pas tout vu, je ne fais que commencer.
Ça je n’en doute pas, connaissant ses capacités à me mettre le feu en permanence.
Alors que je rentre avec une valise à la main, S. sort de la chambre. Elle porte un large débardeur sous lequel ses seins sont libres et un de mes caleçons (comme elle en a pris maintenant l’habitude lorsque nous sommes ensemble).
-Y a pas de raisons que tu sois seul à être à l’aise.
-Tu as bien raison et ça me facilite l’accès.
Je passe alors ma main dans l’échancrure du débardeur et commence à lui caresser un sein.
-hum je sens que je vais me plaire ici. Y a pas trop de voisins et la vue et superbe. Si le temps reste comme ça, je devrais même pouvoir bronzer toute nue.
-Si tu bronzes nue ici tu vas avoir tout le village à la porte du logis. Il suffit qu’un te voit et ça va vite faire le tour.
-On verra bien.
Nous continuons le déchargement du véhicule. Vers quatre heures après avoir fini, on se paye un café sur la terrasse devant le chalet. Nous sommes en plein soleil et il fait plutôt chaud. Depuis un moment déjà, ma tenue est la même que celle de S. J’ai quitté mon short et suis ainsi en boxer, torse nu.
S. est assise, regarde le paysage et me dit que l’endroit est charmant et reposant. Je ris et lui dis que pour le repos ce n’est pas forcement gagné. Mes mains accompagnent mes mots et caressent ses seins. Elle se laisse venir en arrière, contre moi et me répond que c’est tant pis pour le repos. De plus en plus actif, je lui pince les tétons. Son air apaisé et ses yeux clos me font comprendre qu’elle aime ce que je lui fais.
Sans hésitation, alors que je continue d’une main à jouer avec sa poitrine, l’autre remonte le vêtement afin de l’enlever. S. prend le relais, et quitte ainsi l’habit.
Elle se retourne, les seins libres et me regarde droit dans les yeux comme elle sait le faire pour un défi.
-J’ai quitté un fringue, il n’y a pas de raison pour que ce ne soit pas ton tour.
Etant toujours debout et elle assise face à moi maintenant, elle attrape mon boxer et le fait descendre jusqu’à terre.
-Je vois que l’air du coin te fait du bien et que tu tiens la forme.
-Je ne suis pas sûr que ce soit l’air du coin qui entretienne une érection pareille. Le temps se couvre et peut être qu’un peu d’humidité et de pluie vont me ramener à la décence.
-Ce serait bien dommage.
Elle attaque alors une pipe dont elle a le secret. Cette fille est douée pour le cul et je crois que les situations les plus perverses ou extravagantes la motivent encore plus. Ses yeux dans les miens, elle pompe comme une déesse.
Elle prend alors son café et boit. Aussi vite elle reprend ma queue en bouche. Le jus chaud a un effet terrible. Je suis proche de la jouissance et la prévient. Elle accélère la cadence et me dit :
-J’y compte bien.
Ces seuls mots suffisent et je pars dans un jet que S. s’empresse d’avaler. Voyant son accord, je pose alors mes mains sur sa tête pour le tenir dans cette position. L’orage passé, elle prend ma queue dans une main, sa tasse dans l’autre et me finit ainsi.
-pas question de perdre une goutte de cette liqueur. Je l’aime trop et je suis sûre qu’elle fait du bien.
Je me penche, l’embrasse à pleine bouche. Elle a encore le goût de mon sperme.
-Si nos quelques jours se passent tous comme ça, je crois que je vais revenir souvent.
-Pas de soucis, tu es ici chez toi. Je ne peux rien refuser à la baiseuse que tu es. Si à chaque occasion nous devons baiser, soit la bienvenue…
Je passe ma main dans son caleçon et constate une certaine moiteur.
-Question humidité, j’ai l’impression qu’elle ne va pas venir que du ciel.
-Et encore l’orage est déjà passé.
-Parce que tu as déjà pris ton pied ?
- Ta queue dans ma bouche, l’endroit et la situation ont largement suffit à me faire exploser. Avec toi, je ne sais pas ce qui est interdit. En plus le café ici est très bon. Tu veux goûter.
Persuadée que je le refuserais (avec du sperme dedans) elle me tend la tasse. Je prends son bras et bois tout en la fixant à mon tour.
Le séjour ne fait que commencer et il promet d’être chaud.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je pourrais me reconnaître dans cette histoire. Avec mon amant, qui lui aussi déborde d idées, nous avons vecu du similaire (coup du routier, location, plus 1 ou 2 détail
s).
Tout comme son histoire de rencontre fortuite.
Hasard ???
Pas les autres, dommage!
s).
Tout comme son histoire de rencontre fortuite.
Hasard ???
Pas les autres, dommage!
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