Décapuchonner
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Décapuchonner
Décapuchonner un zizi
On m’avait dit, cette fille manque singulièrement de fantaisie.
Moi je la trouvais jolie, elle était à mon goût et je n’ai pas tenu compte des avertissements prodigués.
Surtout que, c’est toujours pareil, ces avertissements sont donnés par les filles de ma friendzone.
Il faut se méfier des avis émis par ces filles-là.
En bien, en fait, c’était vrai. Elle manquait totalement, désespéremment, cruellement de fantaisie.
Je lui avais fait le schéma standard, d’abord petite sortie de bureau resto midi rapide, suivie au vendredi soir quelques jours après, le temps de laisser mûrir, d’un bon gastro classe, puis visite de mon loft vue sur les toits pour concrétiser.
L’affaire s’était faite tout naturellement sans coup férir mais quand j’ai voulu la retourner pour le classique deuxième round, elle s’est rebiffée. Sa réticence m’a surpris d’autant que mes intentions étaient parfaitement nobles de seulement petite levrette normale et que je n’avais alors encore aucune prétention à sodomie. Du moins en ce tout début de soirée.
Elle m’a expliqué, lèvres à lèvres sur l’oreiller, que les êtres humains devaient s’aimer normalement comme des êtres humains et non pas comme des bêtes. Face à face pour se regarder mutuellement même quand il faisait tout noir dans la chambre et qu’on y voyait que dalle.
Elle m’a dit, à quatre pattes le nez dans le polochon, sans savoir qui exactement me met, je ne suis pas bien aise. D’autant qu’il n’y a pas que l’ambiguïté de partenaire qui me gêne, il y a aussi l’orifice enfilé qui peut être à l’origine d’un malaise. Nul n’est à l’abri d’une erreur d’aiguillage. Surtout dans l’obscurité. Et dans le feu de l’action, je n’oublie jamais qu’une bite n’a pas d’épaules et que quand la tête est entrée le reste suit en toute simplicité. Pour le meilleur ou pour le pire … on ne sait.
Alors je pensais, on ne m’a pas menti, cette fille manque cruellement de fantaisie. Si je reste avec elle je me condamne à jouer les missionnaires toutes les nuits durant.
Mais, perfide, elle a ajouté, pour les enculades, toujours je lève les jambes très haut, je croche mes pieds par les chevilles et j’ouvre largement les cuisses. Le résultat est épatant. Dans cette position mon cul s’ouvre en réflexe, pas même besoin de pousser fort et j’ai grand bonheur à être visitée jusqu’au coude du grand colon si mon partenaire est à la hauteur. A la longueur requise, devrais-je dire…
Et puis, comme je te dis, j’aime bien biser de bouche ardente celui qui me met plutôt que d’avoir le visage enfoui dans l’oreiller à plus pouvoir respirer sans savoir très bien ce qu’on va me faire ni où.
J’avoue que j’étais en expectative.
Pour une jeune fille en manque de fantaisie elle me paraissait finalement plutôt bien branchée.
Elle a ajouté, en empaumant à deux mains mon paquet, avec moi les gars ne sont pas réfractaires bien longtemps. Effectivement je rebandais déjà comme un âne.
C’est à ce moment que j’ai compris que si elle manquait effectivement totalement de fantaisie, elle avait en revanche une sacrée technique.
Mon sac à roupes malaxé énergiquement était dur et strié. Sa petite main le serrait fort.
Côté bite son autre paluche avait entrepris quelques allers retours masturbatoires entraînant le prépuce très bas sur la hampe, mouvements douloureux tant ils tendaient les peaux au niveau du frein et du sillon coronal.
Elle manquait peut-être de fantaisie, mais en revanche elle ne manquait pas, pas du tout de savoir faire. Elle avait, comme on dit, un sacré tour de main.
Elle combinait synchrone de petits lapés de gland avec posé furtif de lèvres sur le méat et serrage de hampe douloureux en tirant bas les peaux tendues de bandaison extrême.
A chaque coup, ses lèvres en cul de poule aspiraient l’urètre et pompaient les quelques minigouttes de liquide préséminal disponibles.
Quand elle a jugé que l’organe était à point, elle est venue assise à califourchon, son visage à mes pieds, agenouillée, empalée, comme en prière musulmane.
Et elle montait descendait son bassin pour ramoner en profondeur son ventre trempé en chantant une douce mélopée.
Je sentais la coule sur mon pubis, chaude et fluide. Et aussi les mille villosités de ses intérieurs qui glissaient sur mon gland en allers et en retours.
A chaque fois elle retombait bas et je sentais ses poils frisés tout mouillés contre moi et mon extrémité qui butait contre le dur de son col. Et chaque fois ce col se faisait plus accueillant plus ouvert.
Quand mon bonheur est venu et que les giclées se sont déclenchées elle s’est délibérément assise sur moi, ajustant le dur d’utérus contre mon gland, col tout ouvert épousant la tête pour ne rien perdre de ce que j’avais à donner.
Sûr que cette fille manquait sévèrement de fantaisie mais pour le reste, franchement, ça allait bien…
Du moins, c’est mon opinion
Et je la partage.
Quand elle a jugé que la source était définitivement tarie elle s’est longuement dépliée vers le haut pour se dégager de la bite encore longue et raide. Elle s’est allongée contre moi et a pris l’engin en main.
Elle a dit, repos. Et elle a ramené les peaux prépuciales pour couvrir le gland glabre. Elle a dit, je n’aime pas les quiques sémites avec gland apparent.
Enfin disons que j’aime bien les sucer mais pas les voir.
Moi, j’ai pensé, voila bonne opportunité.
J’ai dit à la fille, puisque nous sommes en obscurité tu ne vois rien de mon grand chauve. Viens donc le gober et te rassasier de sa texture tendre et douce et de sa peau satinée.
Elle n’a rien pu répondre vu qu’elle était déjà bouche pleine à m’aspirer.
Puis elle s’est relevée.
Elle n’a rien dit mais elle y est retournée. En psalmodiant une mélodie chrétienne habituellement jouée à l’orgue au moment de la communion.
De fond de gorge, par le nez.
Cette fille manquait réellement de fantaisie.
On m’avait dit, cette fille manque singulièrement de fantaisie.
Moi je la trouvais jolie, elle était à mon goût et je n’ai pas tenu compte des avertissements prodigués.
Surtout que, c’est toujours pareil, ces avertissements sont donnés par les filles de ma friendzone.
Il faut se méfier des avis émis par ces filles-là.
En bien, en fait, c’était vrai. Elle manquait totalement, désespéremment, cruellement de fantaisie.
Je lui avais fait le schéma standard, d’abord petite sortie de bureau resto midi rapide, suivie au vendredi soir quelques jours après, le temps de laisser mûrir, d’un bon gastro classe, puis visite de mon loft vue sur les toits pour concrétiser.
L’affaire s’était faite tout naturellement sans coup férir mais quand j’ai voulu la retourner pour le classique deuxième round, elle s’est rebiffée. Sa réticence m’a surpris d’autant que mes intentions étaient parfaitement nobles de seulement petite levrette normale et que je n’avais alors encore aucune prétention à sodomie. Du moins en ce tout début de soirée.
Elle m’a expliqué, lèvres à lèvres sur l’oreiller, que les êtres humains devaient s’aimer normalement comme des êtres humains et non pas comme des bêtes. Face à face pour se regarder mutuellement même quand il faisait tout noir dans la chambre et qu’on y voyait que dalle.
Elle m’a dit, à quatre pattes le nez dans le polochon, sans savoir qui exactement me met, je ne suis pas bien aise. D’autant qu’il n’y a pas que l’ambiguïté de partenaire qui me gêne, il y a aussi l’orifice enfilé qui peut être à l’origine d’un malaise. Nul n’est à l’abri d’une erreur d’aiguillage. Surtout dans l’obscurité. Et dans le feu de l’action, je n’oublie jamais qu’une bite n’a pas d’épaules et que quand la tête est entrée le reste suit en toute simplicité. Pour le meilleur ou pour le pire … on ne sait.
Alors je pensais, on ne m’a pas menti, cette fille manque cruellement de fantaisie. Si je reste avec elle je me condamne à jouer les missionnaires toutes les nuits durant.
Mais, perfide, elle a ajouté, pour les enculades, toujours je lève les jambes très haut, je croche mes pieds par les chevilles et j’ouvre largement les cuisses. Le résultat est épatant. Dans cette position mon cul s’ouvre en réflexe, pas même besoin de pousser fort et j’ai grand bonheur à être visitée jusqu’au coude du grand colon si mon partenaire est à la hauteur. A la longueur requise, devrais-je dire…
Et puis, comme je te dis, j’aime bien biser de bouche ardente celui qui me met plutôt que d’avoir le visage enfoui dans l’oreiller à plus pouvoir respirer sans savoir très bien ce qu’on va me faire ni où.
J’avoue que j’étais en expectative.
Pour une jeune fille en manque de fantaisie elle me paraissait finalement plutôt bien branchée.
Elle a ajouté, en empaumant à deux mains mon paquet, avec moi les gars ne sont pas réfractaires bien longtemps. Effectivement je rebandais déjà comme un âne.
C’est à ce moment que j’ai compris que si elle manquait effectivement totalement de fantaisie, elle avait en revanche une sacrée technique.
Mon sac à roupes malaxé énergiquement était dur et strié. Sa petite main le serrait fort.
Côté bite son autre paluche avait entrepris quelques allers retours masturbatoires entraînant le prépuce très bas sur la hampe, mouvements douloureux tant ils tendaient les peaux au niveau du frein et du sillon coronal.
Elle manquait peut-être de fantaisie, mais en revanche elle ne manquait pas, pas du tout de savoir faire. Elle avait, comme on dit, un sacré tour de main.
Elle combinait synchrone de petits lapés de gland avec posé furtif de lèvres sur le méat et serrage de hampe douloureux en tirant bas les peaux tendues de bandaison extrême.
A chaque coup, ses lèvres en cul de poule aspiraient l’urètre et pompaient les quelques minigouttes de liquide préséminal disponibles.
Quand elle a jugé que l’organe était à point, elle est venue assise à califourchon, son visage à mes pieds, agenouillée, empalée, comme en prière musulmane.
Et elle montait descendait son bassin pour ramoner en profondeur son ventre trempé en chantant une douce mélopée.
Je sentais la coule sur mon pubis, chaude et fluide. Et aussi les mille villosités de ses intérieurs qui glissaient sur mon gland en allers et en retours.
A chaque fois elle retombait bas et je sentais ses poils frisés tout mouillés contre moi et mon extrémité qui butait contre le dur de son col. Et chaque fois ce col se faisait plus accueillant plus ouvert.
Quand mon bonheur est venu et que les giclées se sont déclenchées elle s’est délibérément assise sur moi, ajustant le dur d’utérus contre mon gland, col tout ouvert épousant la tête pour ne rien perdre de ce que j’avais à donner.
Sûr que cette fille manquait sévèrement de fantaisie mais pour le reste, franchement, ça allait bien…
Du moins, c’est mon opinion
Et je la partage.
Quand elle a jugé que la source était définitivement tarie elle s’est longuement dépliée vers le haut pour se dégager de la bite encore longue et raide. Elle s’est allongée contre moi et a pris l’engin en main.
Elle a dit, repos. Et elle a ramené les peaux prépuciales pour couvrir le gland glabre. Elle a dit, je n’aime pas les quiques sémites avec gland apparent.
Enfin disons que j’aime bien les sucer mais pas les voir.
Moi, j’ai pensé, voila bonne opportunité.
J’ai dit à la fille, puisque nous sommes en obscurité tu ne vois rien de mon grand chauve. Viens donc le gober et te rassasier de sa texture tendre et douce et de sa peau satinée.
Elle n’a rien pu répondre vu qu’elle était déjà bouche pleine à m’aspirer.
Puis elle s’est relevée.
Elle n’a rien dit mais elle y est retournée. En psalmodiant une mélodie chrétienne habituellement jouée à l’orgue au moment de la communion.
De fond de gorge, par le nez.
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Un sacré brin de fantaisie coule de votre plume, merci