Déchéance 02
Récit érotique écrit par Ligerine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Déchéance 02
CHAPITRE 2
Pour une fois, j’étais revenue assez tôt au domicile. Après avoir pris le relais de
notre bonne et m’être occupée de ma fille, je préparai le dîner, non sans râler en
moi-même sur l’arrivée tardive de mon mari. Ma fille couchée, j’allumai la télé pour
passer le temps, mais sans m’y intéresser sérieusement.
Enfin il apparut, l’air toujours aussi soucieux, je ne pus m’empêcher de lui reprocher
à la fois son retard et sa mine renfrognée. Inévitablement, sans que le niveau sonore
de notre échange ne s’élève (pour ne pas réveiller la petite), celui-ci dériva vers
d’autres griefs.
On en vint à se reprocher mutuellement nos manques d’attention respectifs, je me
défendis en arguant de ma responsabilité envers le cabinet, atténuant ma libido. J’eus
alors droit à une réplique que je garde en mémoire :
- Tu étais plus disponible malgré tes études quand tu faisais la pute pour ta sœur !
Ma réplique fut aussi acerbe du style :
- Et toi tu tenais plus la distance pour me sauter !
C’est à ce moment que tout bascula !
- Ce n’est pas ce que disent les autres !
- Quoi !!! .. Les autres ? Tu me trompes ?
Malgré moi le ton avait brusquement monté. Un long moment de silence de nous deux
succéda à cette interrogation. Mes pensées s’entrechoquaient, la surprise de cette
révélation me laissa interdite. Je vis le visage de mon mari passer par touts les
couleurs. Lorsque enfin il rompit le silence c’est d’une voix à peine audible qu’il
avoua.
- Je voulais t’en parler depuis très longtemps mais je n’ai jamais senti un moment
propice… Enfin peut être n’en ais-je jamais eu le courage…
Je restais silencieuse, ahurie par ces propos. Il reprit sa confession. Je compris
alors qu’insatisfait sexuellement depuis la naissance de notre fille il avait
multiplié les aventures avec diverses patientes sans doute aussi frustrées que lui.
Mais ce qui était plus grave, il était tombé amoureux de l’une d’elle.
Assommée par ces révélations je m’assis et le laissais continuer. J‘appris alors que
cette femme n’était autre qu’une gamine qui faisait ses études à la fac. Il l’avait
connue lors d’une consultation et avait été séduit par sa maturité, qui plus est
c’était une noire, sénégalaise de surcroît, et était venue en France pour devenir
manager d’entreprise, ses parents étant de gros propriétaires dans son pays.
Sur le plan sexuel il avait entière satisfaction avec cette gamine, elle n’avait aucun
tabou, selon lui elle se régalait de son sperme et outre se faire sauter comme une
véritable pute, elle acceptait de se faire sodomiser sans problèmes. Ce que moi
j’avais toujours refusé !
Enfin, l’apothéose… A l’issue de l’année scolaire elle devait repartir dans son pays
pour reprendre les affaires de ses parents, et Yves avait déjà envisagé de la
rejoindre au plus tôt. Il avait donc contacté diverses ONG pour obtenir un poste
durable dans le pays en question. Totalement abattue par cette succession de
révélations, je m’enfuis dans la chambre sans même dîner. Je me déshabillai très vite
et me couchai.
Incapable de dormir, je me tournai et retournai dans mon lit. Longuement je
réfléchissais à la situation dans laquelle j’allais me retrouver. Je n’avais aucune
inquiétude quant à mon avenir financier, je gagnais bien ma vie. J’étais plus inquiète
sur mes conditions de vie habituelle, notre bonne arrivait trop tard pour amener ma
fille à l’école, et autres difficultés de ce genre que j’aurais à assumer.
A mon réveil, je constatai que j’avais passé la nuit seule, Yves avait eu la
délicatesse de dormir ailleurs. La nuit porte conseil dit-on, c’était le cas, j’avais,
malgré les cauchemars émaillant ma nuit, pris ma décision. C’est donc assez sereine
que je me levai et préparai le petit-déjeuner. Pendant que ma fille déjeunait,
j’appelai mon cabinet pour informer de mon retard, puis pris ma douche et me
préparai. Je m’occupai de la petite, en peu de temps nous fûmes prêtes à partir pour
l’école.
Ce premier matin seule s’était bien passé et ce n’est qu’avec un quart d’heure de
retard sur mon horaire habituel que j’arrivai au cabinet. Dès mon arrivée je demandai
à voir Simone.
C’était la première femme que j’avais embauchée, elle état divorcée et avait, elle
aussi, une fille. Je lui narrai ma situation et lui demandai de prendre en charge mon
divorce.
Mon choix était parfait, jugeant l’urgence de la chose, Simone accéléra la procédure
et il put rejoindre sa pute rapidement. Je me retrouvai donc célibataire chargé de
famille à l’issue des vacances scolaires.
Vous devez vous demander pourquoi je traite cette fille de pute ? Tout simplement, car
lors de ses recherches pour mon dossier, Simone avait découvert que ses parents non
seulement étaient de gros propriétaires terriens, mais aussi dirigeaient une bonne
douzaine de bordels dans diverses villes du pays. D’ailleurs à l‘issue de la
conciliation échangeant avec mon Ex, et lui ayant parlé de la chose il me dit :
- Tu pourras venir travailler chez eux si tu as envie de reprendre ton activité de
jeune pute !
Les deux années qui suivirent s’écoulèrent calmement. Trentenaire libre, je me
partageai entre mon travail, le cabinet se développait, et la vie courante. Ma fille
avait maintenant dix ans et assez mature cela me soulageait des contraintes
maternelles. Seule évolution notable, j’étais plus disponible familialement, Je voyais
ma grande sœur plus souvent, car elle était seule la semaine et ma fille appréciait de
passer des après-midi entier avec sa cousine.
Un jour que nous étions seules, ce devait être un samedi car les filles étaient de
sortie. La conversation dériva sur le sexe. Ma sœur me lança :
- Toi qui te faisais sauter si facilement quand nous étions jeunes le sexe ne te
manque pas ?
Cette interrogation me rappela la réflexion de mon Ex. Je racontais alors à Anne la
remarque…
Anne - Il a eu raison, tous ceux qui nous ont sautées vantaient tes dons de baiseuse !
Moi - Mais lui aussi a été de ceux, qui ont profités de nous !
A - Crois moi… Tu étais alors une bonne pute pour moi, aurai-tu perdu tes dons ?
M - Tu exagères, je n’éprouve pas le besoin de me faire sauter comme tu dis.
A - Je crois qu’en réalité tu es en manque, mais tu ne veux pas te l‘avouer …
En disant cela Anne avait remonté ma jupe, et posé sa main sur mon pubis…
A – D’ailleurs tu mouilles déjà quand on te parle de cul ! Tu vois que tu es toujours
la bonne salope que j’ai connue…
Le pire était que, l’humidité de mon slip lui donnait raison. Je tentai de me
contrôler, mais cette main sur une zone si sensible, et si intime de mon corps, me
troublait trop fortement au point de machinalement, écarter légèrement mes cuisses
pour m’offrir mieux à cette caresse.
A - Eh bien ma chérie ! Je vois que tu es toujours aussi chaude. Viens on va aller
dans un endroit plus tranquille et on y sera plus à l’aise pour continuer…
Les paroles étaient pourtant douces, mais le ton s’était durci, le souvenir de mon
obéissante jeunesse me revint. De nouveau, c’était Anne ma maîtresse et mon
initiatrice qui resurgissait, de même que ma soumission.
Je me laissai entraîner vers la chambre dont elle ferma soigneusement la porte, me
jetant :
- Mets toi nue sœurette, comme au bon vieux temps.
Docile je m’exécutai retirant rapidement mes vêtements. Je restai nue debout
pendant qu’elle faisait de même, elle termina en s’allongeant sur le lit, relevant ses
genoux, elle écarta largement les cuisses découvrant son pubis parfaitement entretenu
et m’ordonna
Viens me lécher !.. J’espère que tu n’as pas perdu ta bonne habitude de me faire jouir
avec ta langue… Viens salope !
Je ne répondis pas à ces propos désobligeants et m’installai entre ses cuisses
ouvertes le visage collé à son bas ventre. Ma langue s’inséra aussitôt entre ses
grandes lèvres, à la recherche se son clitoris que je savais fort sensible. Pendant
cette exploration linguale, mes mains avaient remontées du mince traits de poils qui
subsistaient à ses seins fermes que je pétrissais sans délicatesse, tant ce contact
m’avait manqué des années durant. Le souvenir de nos étreintes lesbiennes me revenait
à l’esprit. Je retrouvais l’odeur et le goût si agréable de la cyprine dont le ventre
d’Anne n’était pas avare, elle mouillait comme une salope (Ce n’était plus moi la
salope)…
Je sentais mon bas ventre s’enflammer. Moi aussi je devais mouiller un maximum,
l’humidité envahissait mon sexe suintant à mon orifice et coulant le long de mes
cuisses. Les mains d’Anne pressaient mes tempes. Fouillant quelques instants ma
chevelure, elle m’attira sur elle. Nos corps nus étaient soudés. Nous échangeâmes un
long, très long baiser. Nos langues se cherchaient, s’enroulaient, se caressaient, nos
salives se mêlaient. Enfin rassasiées de ce contact amoureux nous restâmes joue contre
joue, reprenant notre respiration. Mon cœur battait la chamade, tant cet instant avait
été intense.
- Frotte tes seins sur les miens…
J’obéis immédiatement, nos tétons durcis par l’excitation caressaient les fermes
mamelles, celles-ci se déformaient sous leur pression. Nos souffles devenaient plus
courts. Nos monts de Vénus n’étaient pas en reste, ondulant pour mieux se toucher.
Sentant Anne à la limite du plaisir, je me redressai et cuisses largement écartées
nous entamâmes un frottement mutuel de nos sexes. Clitoris contre clitoris la
jouissance nous submergea au même moment.
Ecroulées sur le lit nous récupérions de ces orgasmes merveilleux. Anne rompit le
quasi silence simplement entrecoupé de soupirs et de respirations.
A - Tu vois ma chérie que tu as besoin de sexe…
M - J’avoue que j’ai apprécié cette étreinte lesbienne.
A – Maintenant que je t’ai retrouvée, je te promets qu’on recommencera !
M – Oui, mais j’ai aussi des obligations, et des responsabilités… Je ne serais pas
disponible comme jadis…
A – Bien sur Lise… Je comprends… Allons prendre une bonne douche avant que les filles
ne reviennent… Ensuite j’aurais des propositions à te faire…
Vous voulez savoir ce qu’elle a à me dire ? Dites-le-moi …
Pour une fois, j’étais revenue assez tôt au domicile. Après avoir pris le relais de
notre bonne et m’être occupée de ma fille, je préparai le dîner, non sans râler en
moi-même sur l’arrivée tardive de mon mari. Ma fille couchée, j’allumai la télé pour
passer le temps, mais sans m’y intéresser sérieusement.
Enfin il apparut, l’air toujours aussi soucieux, je ne pus m’empêcher de lui reprocher
à la fois son retard et sa mine renfrognée. Inévitablement, sans que le niveau sonore
de notre échange ne s’élève (pour ne pas réveiller la petite), celui-ci dériva vers
d’autres griefs.
On en vint à se reprocher mutuellement nos manques d’attention respectifs, je me
défendis en arguant de ma responsabilité envers le cabinet, atténuant ma libido. J’eus
alors droit à une réplique que je garde en mémoire :
- Tu étais plus disponible malgré tes études quand tu faisais la pute pour ta sœur !
Ma réplique fut aussi acerbe du style :
- Et toi tu tenais plus la distance pour me sauter !
C’est à ce moment que tout bascula !
- Ce n’est pas ce que disent les autres !
- Quoi !!! .. Les autres ? Tu me trompes ?
Malgré moi le ton avait brusquement monté. Un long moment de silence de nous deux
succéda à cette interrogation. Mes pensées s’entrechoquaient, la surprise de cette
révélation me laissa interdite. Je vis le visage de mon mari passer par touts les
couleurs. Lorsque enfin il rompit le silence c’est d’une voix à peine audible qu’il
avoua.
- Je voulais t’en parler depuis très longtemps mais je n’ai jamais senti un moment
propice… Enfin peut être n’en ais-je jamais eu le courage…
Je restais silencieuse, ahurie par ces propos. Il reprit sa confession. Je compris
alors qu’insatisfait sexuellement depuis la naissance de notre fille il avait
multiplié les aventures avec diverses patientes sans doute aussi frustrées que lui.
Mais ce qui était plus grave, il était tombé amoureux de l’une d’elle.
Assommée par ces révélations je m’assis et le laissais continuer. J‘appris alors que
cette femme n’était autre qu’une gamine qui faisait ses études à la fac. Il l’avait
connue lors d’une consultation et avait été séduit par sa maturité, qui plus est
c’était une noire, sénégalaise de surcroît, et était venue en France pour devenir
manager d’entreprise, ses parents étant de gros propriétaires dans son pays.
Sur le plan sexuel il avait entière satisfaction avec cette gamine, elle n’avait aucun
tabou, selon lui elle se régalait de son sperme et outre se faire sauter comme une
véritable pute, elle acceptait de se faire sodomiser sans problèmes. Ce que moi
j’avais toujours refusé !
Enfin, l’apothéose… A l’issue de l’année scolaire elle devait repartir dans son pays
pour reprendre les affaires de ses parents, et Yves avait déjà envisagé de la
rejoindre au plus tôt. Il avait donc contacté diverses ONG pour obtenir un poste
durable dans le pays en question. Totalement abattue par cette succession de
révélations, je m’enfuis dans la chambre sans même dîner. Je me déshabillai très vite
et me couchai.
Incapable de dormir, je me tournai et retournai dans mon lit. Longuement je
réfléchissais à la situation dans laquelle j’allais me retrouver. Je n’avais aucune
inquiétude quant à mon avenir financier, je gagnais bien ma vie. J’étais plus inquiète
sur mes conditions de vie habituelle, notre bonne arrivait trop tard pour amener ma
fille à l’école, et autres difficultés de ce genre que j’aurais à assumer.
A mon réveil, je constatai que j’avais passé la nuit seule, Yves avait eu la
délicatesse de dormir ailleurs. La nuit porte conseil dit-on, c’était le cas, j’avais,
malgré les cauchemars émaillant ma nuit, pris ma décision. C’est donc assez sereine
que je me levai et préparai le petit-déjeuner. Pendant que ma fille déjeunait,
j’appelai mon cabinet pour informer de mon retard, puis pris ma douche et me
préparai. Je m’occupai de la petite, en peu de temps nous fûmes prêtes à partir pour
l’école.
Ce premier matin seule s’était bien passé et ce n’est qu’avec un quart d’heure de
retard sur mon horaire habituel que j’arrivai au cabinet. Dès mon arrivée je demandai
à voir Simone.
C’était la première femme que j’avais embauchée, elle état divorcée et avait, elle
aussi, une fille. Je lui narrai ma situation et lui demandai de prendre en charge mon
divorce.
Mon choix était parfait, jugeant l’urgence de la chose, Simone accéléra la procédure
et il put rejoindre sa pute rapidement. Je me retrouvai donc célibataire chargé de
famille à l’issue des vacances scolaires.
Vous devez vous demander pourquoi je traite cette fille de pute ? Tout simplement, car
lors de ses recherches pour mon dossier, Simone avait découvert que ses parents non
seulement étaient de gros propriétaires terriens, mais aussi dirigeaient une bonne
douzaine de bordels dans diverses villes du pays. D’ailleurs à l‘issue de la
conciliation échangeant avec mon Ex, et lui ayant parlé de la chose il me dit :
- Tu pourras venir travailler chez eux si tu as envie de reprendre ton activité de
jeune pute !
Les deux années qui suivirent s’écoulèrent calmement. Trentenaire libre, je me
partageai entre mon travail, le cabinet se développait, et la vie courante. Ma fille
avait maintenant dix ans et assez mature cela me soulageait des contraintes
maternelles. Seule évolution notable, j’étais plus disponible familialement, Je voyais
ma grande sœur plus souvent, car elle était seule la semaine et ma fille appréciait de
passer des après-midi entier avec sa cousine.
Un jour que nous étions seules, ce devait être un samedi car les filles étaient de
sortie. La conversation dériva sur le sexe. Ma sœur me lança :
- Toi qui te faisais sauter si facilement quand nous étions jeunes le sexe ne te
manque pas ?
Cette interrogation me rappela la réflexion de mon Ex. Je racontais alors à Anne la
remarque…
Anne - Il a eu raison, tous ceux qui nous ont sautées vantaient tes dons de baiseuse !
Moi - Mais lui aussi a été de ceux, qui ont profités de nous !
A - Crois moi… Tu étais alors une bonne pute pour moi, aurai-tu perdu tes dons ?
M - Tu exagères, je n’éprouve pas le besoin de me faire sauter comme tu dis.
A - Je crois qu’en réalité tu es en manque, mais tu ne veux pas te l‘avouer …
En disant cela Anne avait remonté ma jupe, et posé sa main sur mon pubis…
A – D’ailleurs tu mouilles déjà quand on te parle de cul ! Tu vois que tu es toujours
la bonne salope que j’ai connue…
Le pire était que, l’humidité de mon slip lui donnait raison. Je tentai de me
contrôler, mais cette main sur une zone si sensible, et si intime de mon corps, me
troublait trop fortement au point de machinalement, écarter légèrement mes cuisses
pour m’offrir mieux à cette caresse.
A - Eh bien ma chérie ! Je vois que tu es toujours aussi chaude. Viens on va aller
dans un endroit plus tranquille et on y sera plus à l’aise pour continuer…
Les paroles étaient pourtant douces, mais le ton s’était durci, le souvenir de mon
obéissante jeunesse me revint. De nouveau, c’était Anne ma maîtresse et mon
initiatrice qui resurgissait, de même que ma soumission.
Je me laissai entraîner vers la chambre dont elle ferma soigneusement la porte, me
jetant :
- Mets toi nue sœurette, comme au bon vieux temps.
Docile je m’exécutai retirant rapidement mes vêtements. Je restai nue debout
pendant qu’elle faisait de même, elle termina en s’allongeant sur le lit, relevant ses
genoux, elle écarta largement les cuisses découvrant son pubis parfaitement entretenu
et m’ordonna
Viens me lécher !.. J’espère que tu n’as pas perdu ta bonne habitude de me faire jouir
avec ta langue… Viens salope !
Je ne répondis pas à ces propos désobligeants et m’installai entre ses cuisses
ouvertes le visage collé à son bas ventre. Ma langue s’inséra aussitôt entre ses
grandes lèvres, à la recherche se son clitoris que je savais fort sensible. Pendant
cette exploration linguale, mes mains avaient remontées du mince traits de poils qui
subsistaient à ses seins fermes que je pétrissais sans délicatesse, tant ce contact
m’avait manqué des années durant. Le souvenir de nos étreintes lesbiennes me revenait
à l’esprit. Je retrouvais l’odeur et le goût si agréable de la cyprine dont le ventre
d’Anne n’était pas avare, elle mouillait comme une salope (Ce n’était plus moi la
salope)…
Je sentais mon bas ventre s’enflammer. Moi aussi je devais mouiller un maximum,
l’humidité envahissait mon sexe suintant à mon orifice et coulant le long de mes
cuisses. Les mains d’Anne pressaient mes tempes. Fouillant quelques instants ma
chevelure, elle m’attira sur elle. Nos corps nus étaient soudés. Nous échangeâmes un
long, très long baiser. Nos langues se cherchaient, s’enroulaient, se caressaient, nos
salives se mêlaient. Enfin rassasiées de ce contact amoureux nous restâmes joue contre
joue, reprenant notre respiration. Mon cœur battait la chamade, tant cet instant avait
été intense.
- Frotte tes seins sur les miens…
J’obéis immédiatement, nos tétons durcis par l’excitation caressaient les fermes
mamelles, celles-ci se déformaient sous leur pression. Nos souffles devenaient plus
courts. Nos monts de Vénus n’étaient pas en reste, ondulant pour mieux se toucher.
Sentant Anne à la limite du plaisir, je me redressai et cuisses largement écartées
nous entamâmes un frottement mutuel de nos sexes. Clitoris contre clitoris la
jouissance nous submergea au même moment.
Ecroulées sur le lit nous récupérions de ces orgasmes merveilleux. Anne rompit le
quasi silence simplement entrecoupé de soupirs et de respirations.
A - Tu vois ma chérie que tu as besoin de sexe…
M - J’avoue que j’ai apprécié cette étreinte lesbienne.
A – Maintenant que je t’ai retrouvée, je te promets qu’on recommencera !
M – Oui, mais j’ai aussi des obligations, et des responsabilités… Je ne serais pas
disponible comme jadis…
A – Bien sur Lise… Je comprends… Allons prendre une bonne douche avant que les filles
ne reviennent… Ensuite j’aurais des propositions à te faire…
Vous voulez savoir ce qu’elle a à me dire ? Dites-le-moi …
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