Déchéance 2
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Déchéance 2
Aussi bizarre que cela semble, j’avais aimé ce qui s’était passé avec mon patron, être traitée comme une chose sans aucune considération m’avait profondément troublée.
Inutile de dire que malgré tout je redoutais ce qui allait suivre quand je retournerai au travail.
Le matin suivant après une douche salutaire, je remis ma tenue de secrétaire salope, bien sûr je ne mis pas de sous-vêtements.
J’arrivais tôt, les locaux étaient encore vides, je m’installais sur mon fauteuil et comme je n’avais rien à faire, je commençais à me caresser.
• Je vois que la petite pute est déjà chaude.
Je sursautais et je reconnu un de mes collègues, un avocat rondouillard, le genre de vieux beau gominé avec du bide et des costumes douteux, je me demandais pourquoi il ne s’était pas encore fait virer celui-là, car en plus de son physique répugnant il est connu pour être assez mauvais dans son job.
• Continue à te branler chiennasse et écartes bien tes cuisses.
Je savais qu’il avait pris l’habitude de me mater et qu’il faisait des commentaires graveleux sur moi mais je l’avais traité comme les autres par le mépris.
• C’est bien tu obéis salope, ça fait longtemps que tu me fais bander avec tes airs de grande dame, mais là je sens que je vais bien m’amuser.
J’avais honte mais je devais respecter l’accord et je me caressais de plus belle, me disant que dès que j’aurai jouie il me laisserait tranquille.
• Tout doux la nympho, on a le temps, lèves toi et appuies toi sur le bureau en relevant ta jupe je veux voir ton gros cul.
Une fois dans cette position, je sentis ses mains qui palpaient mes fesses, je devrais dire qui les malaxaient.
• Ça a l’air de te plaire de faire la putain, écartes tes fesses avec tes mains, je suis certain que tu mouilles.
Et sans ménagement il enfonça deux doigts dans ma chatte.
• Qu’est-ce que je disais, la truie du cabinet est trempée, tu vas gouter ton jus et appliques toi.
Il me releva la tête et me présenta ses doigts gluants, j’hésitais un peu et eu un mouvement de recul.
• Ne fais pas ta mijaurée, je t’ai vu sucer le boss et je sais que tu adores, alors lèches mes doigts et appliques toi, sinon je dis au boss que tu es désobéissante.
Malgré mon dégout je le laissais enfoncer ses doigts au fond de ma gorge.
• Voilà tu vois quand tu veux, lèches bien salope, si tu es sage je te donnerai autre chose à bouffer.
Je commençais à être excitée par la situation et je suçais les doigts comme je l’aurais fait d’un sexe.
• Je savais que tu n’étais qu’une petite pute, écartes bien tes miches que je vois ton petit trou.
A peine avais-je obéis, qu’il s’enfonça violemment dans mon anus, ce qui me fit échapper un cri de douleur.
• Tu ne vas pas me dire que tu ne t’es jamais fait enculer, allez remue moi ce cul.
Et il commença à frapper mes fesses tout en me pistonnant. Je bougeais pour mieux le sentir car désormais je ne m’appartenais plus, j’étais devenue sa chienne.
Il ne mit pas beaucoup de temps à jouir, il me tira par les cheveux et me fit mettre à genoux.
• Putain c’était trop bon, allez nettoies ma bite connasse, j’ai des rendez-vous et je ne veux pas que mes clients sentent que j’ai baisé la salope du cabinet.
Je passais ma langue le long de sa queue devenue flasque, l’odeur était forte mais je fis de mon mieux pour tout nettoyer.
Il s’écarta, remonta son pantalon et sorti du bureau sans un regard. Me laissant là à genoux, sur le sol les cuisses humides.
Et ce n’était que le début de la journée.
J’avais à peine eu le temps de me remettre de mes émotions, qu’on me demanda de descendre aux archives. Je me doutais bien que ce n’était pas pour faire du classement mais je ne me posais pas de questions et descendis.
C’était un local poussiéreux, mal éclairé, sentant le renfermé, sur les murs il y avait des étagères en fer jusqu’au plafond chargées de cartons. Je dois avouer que je n’y avais jamais mis les pieds.
Arrivée en haut des marches, je reconnu la voix qui m’interpella.
• Alors la grande avocate vient faire sa salope ?
C’était la voix de Maitre Florence Binot, une avocate de 50 ans vieille fille, assez enrobée, brune aux cheveux courts et le moins que l’on puisse dire c’est que nous n’étions pas amis (il avait fallu 20 ans pour qu’elle devienne associée du cabinet alors que pour moi seuls quelques mois avaient suffis).
• Approche que je te vois mieux, je ne vais pas te manger, d’ailleurs c’est toi qui vas manger.
Et elle éclata de rire.
Moi je commençais à être inquiète de la tournure des évènements mais comme vous le savez je n’avais pas le choix et je m’avançais vers la lumière.
• Voilà, c’est mieux, je trouve qu’il fait chaud ici, déshabilles toi et vite.
Le ton était devenu cassant, je me mis nue aussi vite que je pus, et je me plaçais devant elle, essayant maladroitement de cacher mes seins et mon sexe avec mes mains.
• Joli corps, je sens que je vais bien m’amuser, met les mains sur la tête, ne fais pas la prude tout le monde sait que tu n’es qu’une trainée, Tourne sur toi-même que je vois si l’envers vaut l’endroit et garde tes mains où elles sont.
J’obéis sans broncher, elle me laissa tourner plusieurs fois me demandant d’accélérer, si bien qu’au bout d’un moment je trébuchais et tombais sur le sol crasseux.
• Tu es vraiment une cruche, relève-toi et va te placer face à l’étagère du fond.
J’avançais vers le mur en gardant mes mains sur la tête.
• Je vois que tu as compris ton rôle, met tes mains de chaque côté de l’étagère et écartes tes jambes.
Elle s’était rapprochée et je sentais son souffle dans mon cou, elle prit chacune de mes mains et les attacha aux montants en fer.
• Cambre ton cul, je vais te faire payer les années d’humiliation que tu m’as fait subir.
• Je n’ai jamais voulu vous humilier.
• Ta Gueule connasse, je ne t’ai pas autorisé à parler et d’abord tu m’appelles Madame, Compris ?
Et elle ponctua sa phrase d’une grande claque sur mes fesses ce qui eut pour effet de me faire crier.
• Remarques tu peux gueuler ça m’excite et puis tout le monde sait que tu aimes ça.
Les coups sur mes fesses redoublèrent, de plus en plus violents, je me tordais de douleur mais elle n’avait aucune pitié, à un moment elle prit un objet et me m’approcha du visage.
• J’ai vu que tu aimais sucer des bites, bouffe ce god et mouille le bien car il va finir dans ton petit trou.
Malgré les larmes qui inondaient mes joues j’ouvris la bouche et elle enfonça un god énorme dans ma gorge ce qui déclencha des hauts le cœur.
• Vas-y sale chiennasse, pense que c’est la bite du boss.
J’essayais de suivre les mouvements qu’elle faisait mais c’était trop brutal et je commençais à laisser échapper de la bile sur mon menton et sur le sol.
• Tu es vraiment une poufiasse, regarde ce que tu as fait, tu vas nettoyer.
Elle me détacha, m’empoigna par les cheveux et me mis à quatre pattes en appuyant ma tête sur le sol.
• Lèche tes saletés, je viens de comprendre pourquoi il t’appelle truie ISA.
Je fermais les yeux et passait ma langue sur le sol. Je n’avais pas remarqué qu’elle s’était avancée et qu’elle se tenait face à moi.
• Je vais t’avouer quelque chose, j’ai toujours eu envie que tu sois ma chienne, de te rabaisser, de te faire ravaler tes airs de pimbêche, Tu vas lécher mes chaussures et je veux que ça brille, tu as compris truie ISA.
• Oui Madame.
Je commençais à passer ma langue sur ses escarpins, elle me guidait du geste et de la voix, de temps en temps une claque sur mes fesses me rappelait que je n’y mettais pas assez de zèle.
Elle me releva la tête en me tirant les cheveux, elle avait retroussé sa jupe et d’une main elle écarta sa culotte dévoilant une chatte poilue.
J’avais compris ce qu’elle voulait et je commençais à la lécher.
• C’est bien, je n’ai même plus besoin de te dire quoi faire.
Et elle plaqua mon visage contre sa touffe malodorante, elle jouit en me maintenant la tête a deux mains, Je faillis basculer en arrière tellement elle tremblait de jouissance, mon menton était inondé par sa mouille.
• Tu es une bonne petite chienne, dit-elle en rajustant sa tenue, attends que je sois partie pour sortir je ne veux pas que l’on nous voit ensemble et rappelle-toi que si je t’appelles tu rappliques en courant comme la petite salope que tu es.
• Oui Madame.
Pourquoi ai-je répondu ça, elle me releva le visage, me cracha dessus et me gifla avant de sortir en titubant de la pièce
Inutile de dire que malgré tout je redoutais ce qui allait suivre quand je retournerai au travail.
Le matin suivant après une douche salutaire, je remis ma tenue de secrétaire salope, bien sûr je ne mis pas de sous-vêtements.
J’arrivais tôt, les locaux étaient encore vides, je m’installais sur mon fauteuil et comme je n’avais rien à faire, je commençais à me caresser.
• Je vois que la petite pute est déjà chaude.
Je sursautais et je reconnu un de mes collègues, un avocat rondouillard, le genre de vieux beau gominé avec du bide et des costumes douteux, je me demandais pourquoi il ne s’était pas encore fait virer celui-là, car en plus de son physique répugnant il est connu pour être assez mauvais dans son job.
• Continue à te branler chiennasse et écartes bien tes cuisses.
Je savais qu’il avait pris l’habitude de me mater et qu’il faisait des commentaires graveleux sur moi mais je l’avais traité comme les autres par le mépris.
• C’est bien tu obéis salope, ça fait longtemps que tu me fais bander avec tes airs de grande dame, mais là je sens que je vais bien m’amuser.
J’avais honte mais je devais respecter l’accord et je me caressais de plus belle, me disant que dès que j’aurai jouie il me laisserait tranquille.
• Tout doux la nympho, on a le temps, lèves toi et appuies toi sur le bureau en relevant ta jupe je veux voir ton gros cul.
Une fois dans cette position, je sentis ses mains qui palpaient mes fesses, je devrais dire qui les malaxaient.
• Ça a l’air de te plaire de faire la putain, écartes tes fesses avec tes mains, je suis certain que tu mouilles.
Et sans ménagement il enfonça deux doigts dans ma chatte.
• Qu’est-ce que je disais, la truie du cabinet est trempée, tu vas gouter ton jus et appliques toi.
Il me releva la tête et me présenta ses doigts gluants, j’hésitais un peu et eu un mouvement de recul.
• Ne fais pas ta mijaurée, je t’ai vu sucer le boss et je sais que tu adores, alors lèches mes doigts et appliques toi, sinon je dis au boss que tu es désobéissante.
Malgré mon dégout je le laissais enfoncer ses doigts au fond de ma gorge.
• Voilà tu vois quand tu veux, lèches bien salope, si tu es sage je te donnerai autre chose à bouffer.
Je commençais à être excitée par la situation et je suçais les doigts comme je l’aurais fait d’un sexe.
• Je savais que tu n’étais qu’une petite pute, écartes bien tes miches que je vois ton petit trou.
A peine avais-je obéis, qu’il s’enfonça violemment dans mon anus, ce qui me fit échapper un cri de douleur.
• Tu ne vas pas me dire que tu ne t’es jamais fait enculer, allez remue moi ce cul.
Et il commença à frapper mes fesses tout en me pistonnant. Je bougeais pour mieux le sentir car désormais je ne m’appartenais plus, j’étais devenue sa chienne.
Il ne mit pas beaucoup de temps à jouir, il me tira par les cheveux et me fit mettre à genoux.
• Putain c’était trop bon, allez nettoies ma bite connasse, j’ai des rendez-vous et je ne veux pas que mes clients sentent que j’ai baisé la salope du cabinet.
Je passais ma langue le long de sa queue devenue flasque, l’odeur était forte mais je fis de mon mieux pour tout nettoyer.
Il s’écarta, remonta son pantalon et sorti du bureau sans un regard. Me laissant là à genoux, sur le sol les cuisses humides.
Et ce n’était que le début de la journée.
J’avais à peine eu le temps de me remettre de mes émotions, qu’on me demanda de descendre aux archives. Je me doutais bien que ce n’était pas pour faire du classement mais je ne me posais pas de questions et descendis.
C’était un local poussiéreux, mal éclairé, sentant le renfermé, sur les murs il y avait des étagères en fer jusqu’au plafond chargées de cartons. Je dois avouer que je n’y avais jamais mis les pieds.
Arrivée en haut des marches, je reconnu la voix qui m’interpella.
• Alors la grande avocate vient faire sa salope ?
C’était la voix de Maitre Florence Binot, une avocate de 50 ans vieille fille, assez enrobée, brune aux cheveux courts et le moins que l’on puisse dire c’est que nous n’étions pas amis (il avait fallu 20 ans pour qu’elle devienne associée du cabinet alors que pour moi seuls quelques mois avaient suffis).
• Approche que je te vois mieux, je ne vais pas te manger, d’ailleurs c’est toi qui vas manger.
Et elle éclata de rire.
Moi je commençais à être inquiète de la tournure des évènements mais comme vous le savez je n’avais pas le choix et je m’avançais vers la lumière.
• Voilà, c’est mieux, je trouve qu’il fait chaud ici, déshabilles toi et vite.
Le ton était devenu cassant, je me mis nue aussi vite que je pus, et je me plaçais devant elle, essayant maladroitement de cacher mes seins et mon sexe avec mes mains.
• Joli corps, je sens que je vais bien m’amuser, met les mains sur la tête, ne fais pas la prude tout le monde sait que tu n’es qu’une trainée, Tourne sur toi-même que je vois si l’envers vaut l’endroit et garde tes mains où elles sont.
J’obéis sans broncher, elle me laissa tourner plusieurs fois me demandant d’accélérer, si bien qu’au bout d’un moment je trébuchais et tombais sur le sol crasseux.
• Tu es vraiment une cruche, relève-toi et va te placer face à l’étagère du fond.
J’avançais vers le mur en gardant mes mains sur la tête.
• Je vois que tu as compris ton rôle, met tes mains de chaque côté de l’étagère et écartes tes jambes.
Elle s’était rapprochée et je sentais son souffle dans mon cou, elle prit chacune de mes mains et les attacha aux montants en fer.
• Cambre ton cul, je vais te faire payer les années d’humiliation que tu m’as fait subir.
• Je n’ai jamais voulu vous humilier.
• Ta Gueule connasse, je ne t’ai pas autorisé à parler et d’abord tu m’appelles Madame, Compris ?
Et elle ponctua sa phrase d’une grande claque sur mes fesses ce qui eut pour effet de me faire crier.
• Remarques tu peux gueuler ça m’excite et puis tout le monde sait que tu aimes ça.
Les coups sur mes fesses redoublèrent, de plus en plus violents, je me tordais de douleur mais elle n’avait aucune pitié, à un moment elle prit un objet et me m’approcha du visage.
• J’ai vu que tu aimais sucer des bites, bouffe ce god et mouille le bien car il va finir dans ton petit trou.
Malgré les larmes qui inondaient mes joues j’ouvris la bouche et elle enfonça un god énorme dans ma gorge ce qui déclencha des hauts le cœur.
• Vas-y sale chiennasse, pense que c’est la bite du boss.
J’essayais de suivre les mouvements qu’elle faisait mais c’était trop brutal et je commençais à laisser échapper de la bile sur mon menton et sur le sol.
• Tu es vraiment une poufiasse, regarde ce que tu as fait, tu vas nettoyer.
Elle me détacha, m’empoigna par les cheveux et me mis à quatre pattes en appuyant ma tête sur le sol.
• Lèche tes saletés, je viens de comprendre pourquoi il t’appelle truie ISA.
Je fermais les yeux et passait ma langue sur le sol. Je n’avais pas remarqué qu’elle s’était avancée et qu’elle se tenait face à moi.
• Je vais t’avouer quelque chose, j’ai toujours eu envie que tu sois ma chienne, de te rabaisser, de te faire ravaler tes airs de pimbêche, Tu vas lécher mes chaussures et je veux que ça brille, tu as compris truie ISA.
• Oui Madame.
Je commençais à passer ma langue sur ses escarpins, elle me guidait du geste et de la voix, de temps en temps une claque sur mes fesses me rappelait que je n’y mettais pas assez de zèle.
Elle me releva la tête en me tirant les cheveux, elle avait retroussé sa jupe et d’une main elle écarta sa culotte dévoilant une chatte poilue.
J’avais compris ce qu’elle voulait et je commençais à la lécher.
• C’est bien, je n’ai même plus besoin de te dire quoi faire.
Et elle plaqua mon visage contre sa touffe malodorante, elle jouit en me maintenant la tête a deux mains, Je faillis basculer en arrière tellement elle tremblait de jouissance, mon menton était inondé par sa mouille.
• Tu es une bonne petite chienne, dit-elle en rajustant sa tenue, attends que je sois partie pour sortir je ne veux pas que l’on nous voit ensemble et rappelle-toi que si je t’appelles tu rappliques en courant comme la petite salope que tu es.
• Oui Madame.
Pourquoi ai-je répondu ça, elle me releva le visage, me cracha dessus et me gifla avant de sortir en titubant de la pièce
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