Déchéance 3
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Déchéance 3
La suite de la journée se déroula sans encombre, il faut croire que mes chers collègues n’étaient pas si pervers que je le croyais.
Ce soir-là en rentrant chez moi, je me fis couler un bain et laissais mon esprit vagabonder.
Finalement si je me focalisais sur les aspects positifs, j’avais toujours un job, même si sa teneur n’avait plus rien à voir et si je doutais fort que les choses redeviennent comme avant, moi qui finalement avais peu consacré de temps à ma vie sexuelle j’avais découvert en moi des choses que je n’imaginais pas.
N’allez pas croire que la situation me convenait mais au-delà de la honte j’avais éprouvé du plaisir dans ce genre de pratiques (d’ailleurs le plaisir venait aussi de la honte) et je n’avais plus besoin de me retrancher derrière le personnage de femme hautaine et méprisante qui me servait de carapace et pouvais me laisser aller en lâchant prise.
Bien sûr je me demandais comment tout cela allait finir mais je décidais d’être philosophe et demain serait un autre jour.
Ce deuxième matin, j’arrivais encore en avance au bureau n’ayant pas envie de croiser qui que ce soit dans l’ascenseur. Heureusement mon collègue un peu lourd était absent et je me senti soulagée.
Sur le bureau je remarquais une enveloppe que j’ouvris les mains tremblantes.
« Bonjour Truie ISA, j’espère que vous avez profité d’un repos réparateur car aujourd’hui j’ai décidé que vous alliez passer un cap.
Tenez-vous prête à servir ce matin, ma secrétaire viendra vous chercher vers 10h, vous devrez suivre ses instructions. Bien sûr je vous rappelle que vous êtes libre de refuser mais vous en connaissez le prix. Signé Mr Li » Tu parles que je suis libre, je suis coincée, impossible de ne pas obéir, mais je gardais quand même le mot me disant que cela pourrait peut-être me servir un jour.
En attendant j’avais deux heures à tuer et je me mis à faire du classement (j’évitais la machine à café n’ayant pas envie de me retrouver à genoux avec je ne sais quoi dans la bouche).
On peut dire beaucoup de choses des japonais mais ils sont ponctuels, à 10h tapante la secrétaire du patron se présenta devant moi.
Elle était assez grande (ce qui est rare pour une asiatique) entre deux âges, assez jolie avec de longs cheveux bruns, je remarquais qu’elle aussi portait la tenue de la parfaite « office lady » tailleur et jupe grise sur un chemisier immaculé et escarpins noirs.
Elle me sourit et dans un français impeccable mâtiné d’accent japonais, elle m’ordonna de me mettre nue.
Sa courtoisie n’était que de façade car elle haussa le ton trouvant que je n’étais pas assez rapide.
Un fois nue, elle me fit mettre à genoux et me relevant la tête elle me mit un collier de chien autour du cou. Je me laissais faire docilement et je ne bronchais pas quand elle fixa une laisse sur la boucle du collier.
Elle se recula un peu pour contempler le spectacle de cette grande blonde à genoux nue et soumise.
Elle poussa un petit soupir de satisfaction et tira un coup sec sur la laisse ce qui eut pour effet de me faire basculer en avant, cette fois j’étais vraiment une chienne, elle commença à avancer et je ne pus que la suivre à quatre pattes dans le couloir.
Heureusement nous ne croisâmes personne sur le parcours qui me semble interminable.
J’avançais le plus rapidement que je pouvais mais cela ne satisfaisait pas ma maitresse qui parfois s’arrêtait faisait le tour de mon corps pour reprendre sa route en tirant sur la laisse.
Je gardais la tête baissée jusqu’à la porte du bureau du boss.
J’entendis plusieurs voix d’hommes et devinais que mon patron avait fait venir sa garde rapprochée (des petits hommes tous fait sur le même modèle costumes impeccables, chaussure vernies…), quand elle ouvrit la porte du bureau et qu’elle me traina devant eux, je dois dire que je leur fis de l’effet, car mon entrée fut accompagnée de grognements de satisfaction et d’échanges entre eux (ne comprenant pas le japonais je ne saisis pas un mot de leur conversation).
La secrétaire me conduisit au milieu de la pièce, me fit mettre à genoux en écartant mes cuisses avec ses pieds. Elle prit mes mains et me les fit mettre dans le dos, enfin elle appuya sur ma tête pour la faire baisser.
La position était humiliante et semble satisfaire les spectateurs.
Je n’osais pas lever les yeux et quand ils s’approchèrent de moi je ne vis que leurs chaussures bien cirées.
Ils tournèrent autour de moi en faisant des commentaires dans leur langue et j’entendis des rires.
Puis je sentis qu’un d’entre eux qui s’était mis derrière moi, m’empoignait les seins sans délicatesse. Je sursautais et tentais de me protéger mais il saisit fermement mes bras et les replia dans mon dos, ils avaient pris de l’assurance car je fus bientôt palpée par ces hommes qui me pinçaient les tétons, caressaient ma chatte avec leurs chaussures, me donnaient des petites claques sur les fesses.
L’un de mes bourreaux me releva la tête et en me fixant il m’ordonna de tirer la langue, comme je tentais de le repoussais il me gifla et je m’exécutais. Aussitôt ma langue sortie il s’approcha de mon visage et m’embrassa où plutôt il me mangea littéralement la bouche en bavant beaucoup, je sentais la salive s’écouler sur mon menton, pendant ce temps les autres continuaient à me ploter violemment, certains s’étant même aventurés à me fouiller avec leurs doigts.
Je dois avouer à ma plus grande honte, que je commençais à aimer ça et que je mouillais, ce qui sembla les satisfaire.
Ils se relayèrent pour m’embrasser où plutôt pour me lécher le visage, celui-ci dégoulinait de bave et me prenant au jeu je sortais ma langue de plus belle.
• Je vois que truie Isa aime ce qu’on lui fait mais il ne faudrait pas qu’elle prenne trop de plaisir, amenez là devant le bureau et plaquez là-dessus je veux que son cul soit bien visible ?
Vous avez deviné que mon patron avait décidé de reprendre le contrôle de la situation, ses subordonnés me relevèrent sans ménagement, me plaquèrent sur le bureau, l’un d’eux se plaça devant moi et me saisit les bras en les maintenant fermement.
En me relevant, j’eus le temps d’apercevoir que mon boss se faisait sucer par sa secrétaire à genoux devant lui jupe relevée.
Il la repoussa violemment et se dirigea vers moi.
• La truie va être punie d’être si facile, écartes les jambes et cambre-toi.
Il accompagna cette phrase d’une claque cinglante sur mon cul.
Je me mis en position me doutant bien de ce qui allait suivre.
• Tu vas prendre 25 coups de badine et tu compteras et remercieras à chaque fois.
Avais-je le choix ? Je commençais le décompte rythmé par les coups sur mes fesses, je commençais à sentir les larmes monter et je me tortillais sous les impacts.
Il faut croire que le spectacle avait émoustillé mon bourreau, car aussitôt le dernier coup asséné, il me pénétra violemment et jouis assez rapidement répandant son sperme sur mon cul martyrisé.
Il ordonna quelque chose à ses sbires, qui me relevèrent sans ménagement et me replacèrent à genoux au milieu de la pièce.
Je tenais mon rôle car sans qu’on me le demande je mis les mains dans le dos et écartais les cuisses.
Je fus entourée par les hommes qui se branlaient devant moi, certains plus audacieux forçaient ma bouche et je les pompais goulument.
Inutile de préciser que je fus bientôt recouverte de leur semence, les cheveux, le visage, les seins, tout y est passé.
Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre j’eu alors un orgasme fulgurant qui me laissa pantelante et je m’écroulais en perdant à moitié connaissance.
Lorsque je me réveillais, j’ignorais combien de temps c’était écoulé.
J’étais allongée nue, recouverte d’un plaid, sur le canapé en cuir du bureau de mon patron.
La pièce était déserte et la nuit était tombée. Quelqu’un avait pris soin de me laver car plus aucune trace de sperme sur mon corps ne subsistait. Et si ce n’était la douleur au niveau de mon cul, j’aurais pu croire que j’avais rêvé la scène.
Au pied du canapé, je notais une tenue propre que je me pressais d’enfiler.
Je sorti du bureau en titubant et regagnais ma voiture me demandant quelle serait la prochaine étape.
Ce soir-là en rentrant chez moi, je me fis couler un bain et laissais mon esprit vagabonder.
Finalement si je me focalisais sur les aspects positifs, j’avais toujours un job, même si sa teneur n’avait plus rien à voir et si je doutais fort que les choses redeviennent comme avant, moi qui finalement avais peu consacré de temps à ma vie sexuelle j’avais découvert en moi des choses que je n’imaginais pas.
N’allez pas croire que la situation me convenait mais au-delà de la honte j’avais éprouvé du plaisir dans ce genre de pratiques (d’ailleurs le plaisir venait aussi de la honte) et je n’avais plus besoin de me retrancher derrière le personnage de femme hautaine et méprisante qui me servait de carapace et pouvais me laisser aller en lâchant prise.
Bien sûr je me demandais comment tout cela allait finir mais je décidais d’être philosophe et demain serait un autre jour.
Ce deuxième matin, j’arrivais encore en avance au bureau n’ayant pas envie de croiser qui que ce soit dans l’ascenseur. Heureusement mon collègue un peu lourd était absent et je me senti soulagée.
Sur le bureau je remarquais une enveloppe que j’ouvris les mains tremblantes.
« Bonjour Truie ISA, j’espère que vous avez profité d’un repos réparateur car aujourd’hui j’ai décidé que vous alliez passer un cap.
Tenez-vous prête à servir ce matin, ma secrétaire viendra vous chercher vers 10h, vous devrez suivre ses instructions. Bien sûr je vous rappelle que vous êtes libre de refuser mais vous en connaissez le prix. Signé Mr Li » Tu parles que je suis libre, je suis coincée, impossible de ne pas obéir, mais je gardais quand même le mot me disant que cela pourrait peut-être me servir un jour.
En attendant j’avais deux heures à tuer et je me mis à faire du classement (j’évitais la machine à café n’ayant pas envie de me retrouver à genoux avec je ne sais quoi dans la bouche).
On peut dire beaucoup de choses des japonais mais ils sont ponctuels, à 10h tapante la secrétaire du patron se présenta devant moi.
Elle était assez grande (ce qui est rare pour une asiatique) entre deux âges, assez jolie avec de longs cheveux bruns, je remarquais qu’elle aussi portait la tenue de la parfaite « office lady » tailleur et jupe grise sur un chemisier immaculé et escarpins noirs.
Elle me sourit et dans un français impeccable mâtiné d’accent japonais, elle m’ordonna de me mettre nue.
Sa courtoisie n’était que de façade car elle haussa le ton trouvant que je n’étais pas assez rapide.
Un fois nue, elle me fit mettre à genoux et me relevant la tête elle me mit un collier de chien autour du cou. Je me laissais faire docilement et je ne bronchais pas quand elle fixa une laisse sur la boucle du collier.
Elle se recula un peu pour contempler le spectacle de cette grande blonde à genoux nue et soumise.
Elle poussa un petit soupir de satisfaction et tira un coup sec sur la laisse ce qui eut pour effet de me faire basculer en avant, cette fois j’étais vraiment une chienne, elle commença à avancer et je ne pus que la suivre à quatre pattes dans le couloir.
Heureusement nous ne croisâmes personne sur le parcours qui me semble interminable.
J’avançais le plus rapidement que je pouvais mais cela ne satisfaisait pas ma maitresse qui parfois s’arrêtait faisait le tour de mon corps pour reprendre sa route en tirant sur la laisse.
Je gardais la tête baissée jusqu’à la porte du bureau du boss.
J’entendis plusieurs voix d’hommes et devinais que mon patron avait fait venir sa garde rapprochée (des petits hommes tous fait sur le même modèle costumes impeccables, chaussure vernies…), quand elle ouvrit la porte du bureau et qu’elle me traina devant eux, je dois dire que je leur fis de l’effet, car mon entrée fut accompagnée de grognements de satisfaction et d’échanges entre eux (ne comprenant pas le japonais je ne saisis pas un mot de leur conversation).
La secrétaire me conduisit au milieu de la pièce, me fit mettre à genoux en écartant mes cuisses avec ses pieds. Elle prit mes mains et me les fit mettre dans le dos, enfin elle appuya sur ma tête pour la faire baisser.
La position était humiliante et semble satisfaire les spectateurs.
Je n’osais pas lever les yeux et quand ils s’approchèrent de moi je ne vis que leurs chaussures bien cirées.
Ils tournèrent autour de moi en faisant des commentaires dans leur langue et j’entendis des rires.
Puis je sentis qu’un d’entre eux qui s’était mis derrière moi, m’empoignait les seins sans délicatesse. Je sursautais et tentais de me protéger mais il saisit fermement mes bras et les replia dans mon dos, ils avaient pris de l’assurance car je fus bientôt palpée par ces hommes qui me pinçaient les tétons, caressaient ma chatte avec leurs chaussures, me donnaient des petites claques sur les fesses.
L’un de mes bourreaux me releva la tête et en me fixant il m’ordonna de tirer la langue, comme je tentais de le repoussais il me gifla et je m’exécutais. Aussitôt ma langue sortie il s’approcha de mon visage et m’embrassa où plutôt il me mangea littéralement la bouche en bavant beaucoup, je sentais la salive s’écouler sur mon menton, pendant ce temps les autres continuaient à me ploter violemment, certains s’étant même aventurés à me fouiller avec leurs doigts.
Je dois avouer à ma plus grande honte, que je commençais à aimer ça et que je mouillais, ce qui sembla les satisfaire.
Ils se relayèrent pour m’embrasser où plutôt pour me lécher le visage, celui-ci dégoulinait de bave et me prenant au jeu je sortais ma langue de plus belle.
• Je vois que truie Isa aime ce qu’on lui fait mais il ne faudrait pas qu’elle prenne trop de plaisir, amenez là devant le bureau et plaquez là-dessus je veux que son cul soit bien visible ?
Vous avez deviné que mon patron avait décidé de reprendre le contrôle de la situation, ses subordonnés me relevèrent sans ménagement, me plaquèrent sur le bureau, l’un d’eux se plaça devant moi et me saisit les bras en les maintenant fermement.
En me relevant, j’eus le temps d’apercevoir que mon boss se faisait sucer par sa secrétaire à genoux devant lui jupe relevée.
Il la repoussa violemment et se dirigea vers moi.
• La truie va être punie d’être si facile, écartes les jambes et cambre-toi.
Il accompagna cette phrase d’une claque cinglante sur mon cul.
Je me mis en position me doutant bien de ce qui allait suivre.
• Tu vas prendre 25 coups de badine et tu compteras et remercieras à chaque fois.
Avais-je le choix ? Je commençais le décompte rythmé par les coups sur mes fesses, je commençais à sentir les larmes monter et je me tortillais sous les impacts.
Il faut croire que le spectacle avait émoustillé mon bourreau, car aussitôt le dernier coup asséné, il me pénétra violemment et jouis assez rapidement répandant son sperme sur mon cul martyrisé.
Il ordonna quelque chose à ses sbires, qui me relevèrent sans ménagement et me replacèrent à genoux au milieu de la pièce.
Je tenais mon rôle car sans qu’on me le demande je mis les mains dans le dos et écartais les cuisses.
Je fus entourée par les hommes qui se branlaient devant moi, certains plus audacieux forçaient ma bouche et je les pompais goulument.
Inutile de préciser que je fus bientôt recouverte de leur semence, les cheveux, le visage, les seins, tout y est passé.
Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre j’eu alors un orgasme fulgurant qui me laissa pantelante et je m’écroulais en perdant à moitié connaissance.
Lorsque je me réveillais, j’ignorais combien de temps c’était écoulé.
J’étais allongée nue, recouverte d’un plaid, sur le canapé en cuir du bureau de mon patron.
La pièce était déserte et la nuit était tombée. Quelqu’un avait pris soin de me laver car plus aucune trace de sperme sur mon corps ne subsistait. Et si ce n’était la douleur au niveau de mon cul, j’aurais pu croire que j’avais rêvé la scène.
Au pied du canapé, je notais une tenue propre que je me pressais d’enfiler.
Je sorti du bureau en titubant et regagnais ma voiture me demandant quelle serait la prochaine étape.
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