Déchéance 4
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Déchéance 4
Les jours qui suivirent se déroulèrent selon le même schéma, j’arrivais tôt au bureau et j’assistais au défilé de mes collègues qui m’utilisaient selon leurs envies.
Il y avait un rituel immuable, en fin de journée, la secrétaire de Monsieur Li venait me chercher pour me conduire dans le bureau de mon patron. Là nue la plupart du temps et tenue en laisse, je subissais les derniers outrages. Je fus attachée, godée, fouettée, baisée dans toutes les positions imaginables, parfois Mr Li faisait venir sa garde rapprochée ou un de ses assistants qu’il voulait récompenser.
Aussi étrange que cela puisse paraitre, j’attendais ce rendez vous et j’appréciais d’être le réceptacle docile des fantasmes de ces hommes.
Peu à peu je m’étais habituée à cette situation et j’étais devenue la petite pute à qui on pouvait tout demander.
Aussi quelle ne fut pas ma surprise lorsque ce matin-là en arrivant au travail je trouvais Mr LI installé dans mon bureau.
- Bonjour Isabelle, je vous en prie asseyez-vous.
Je refermais la porte et m’installais dans le fauteuil en face de mon patron, comme il me l’avait appris j’écartais les jambes laissant apparaitre mon sexe glabre et baissais la tête.
- Vous me surprendrez toujours Isabelle, la métamorphose de l’avocate hautaine et désagréable en parfaite femelle soumise a été fulgurante et je dois dire que cela a dépassé mes espérances, mais il est temps de passer à autre chose.
Je n’osais pas bouger et je sentis une boule se nouer dans mon estomac, qu’allait-il encore inventer ?
- Tout d’abord, j’estime que votre apprentissage est terminé et à partir d’aujourd’hui vous n’êtes plus obligée de satisfaire vos collègues, bien sûr vous restez à ma disposition pour nos petites séances quotidiennes.
- Oui Monsieur.
- Néanmoins, nous ne pouvons plus nous passer de vos autres talents, je parle ici de votre professionnalisme.
Tu parles, j’avais appris que depuis qu’il avait confié certains de mes dossiers à d’autres, le cabinet avait subi de nombreux revers et perdu des sommes importantes.
- Nous serons d’accord pour convenir ensemble, que reprendre vos activités au sein de ce cabinet après ce qui s’est passé risque d’être problématique voire impossible.
Je me raidis sur mon siège, ce que remarqua mon patron.
- Ne vous inquiétez pas, j’ai une proposition plus qu’intéressante à vous faire. Comme vous le savez nous développons nos activités en Europe et nous venons de racheter un de nos concurrents à Lyon, je vous propose de prendre la tête de ce cabinet avec bien sûr les émoluments qui vont avec, qu’en pensez-vous ?
- Je ne sais pas quoi dire Monsieur, je vous remercie de cette offre.
A vrai dire, mes sentiments étaient mitigés, bien sûr c’était inespéré mais je me doutais qu’il y avait des contreparties et la suite me prouva que j’avais raison.
- Dans un premier temps je vous accompagnerais sur place pour vous aider dans vos nouvelles fonctions, j’attends de vous que vous vous donniez corps et âme et ceci dans tous les sens du terme, suis-je assez clair.
- Oui Monsieur, j’ai compris.
Je n’avais pas trop le choix, rester ici était en effet inenvisageable et je savais que peu de cabinets voudraient de moi à Paris car je m’étais fait pas mal d’ennemis. De plus l’idée de continuer à servir Mr Li n’était pas si déplaisante.
- Je vois que nous sommes d’accord, je vous propose de rentrer chez vous et de vous préparer, je vous invite ce soir pour sceller notre arrangement.
- Merci Monsieur, dis-je en me levant et en quittant le bureau sans me retourner. Je me demandais en quoi allait consister cette invitation et je ne savais pas trop quoi penser de tout ça.
Dire que le reste de la journée passa lentement est un doux euphémisme. Je repensais à cet entretien et je dois avouer que tout se mélangeait dans ma tête. En fin de journée je décidais de me préparer pour la soirée, on verra bien ce qui allait se passer et puis j’étais libre de refuser (au fond de moi je savais que j’accepterai tout mais un dernier sursaut de fierté me maintenait dans cette illusion).
Après un bain revigorant je me maquillais et choisi ma tenue.
Un tailleur crème avec une jupe crayon, des bas et des escarpins de la même couleur. Depuis mon expérience de « truie » j’avais abandonné le port de sous-vêtements et je décidais en plus de ne rien porter sous la veste du tailleur.
Vers vingt heures, la limousine de Mr Li vint me chercher, je pris place à ses côtés à l’arrière. Je fus un peu déçue car c’est à peine s’il me regarda, il était plongé dans un dossier et ne prit même pas la peine de me saluer.
Je laissais mon esprit vagabonder et essayer de deviner où nous allions.
La voiture s’arrêta devant un immeuble cossu et je suivi Mr Li à l’intérieur, nous descendîmes un escalier qui nous mena dans ce qui ressemblait à une salle de restaurant, quelques tables étaient dressées et un personnel constitué d’hommes sévères en tenue de serveurs s’agitait autour des rares convives.
La pièce était mal éclairée mais je distinguais des couples qui avaient la particularité d’être composés d’hommes que l’on devinait d’un bon niveau social accompagnés de femmes généralement plus jeunes et assez élégantes.
Le repas se déroula normalement, Mr Li avait changé d’attitude et se montrait charmant, je me détendis et me disait qu’après tout il fallait profiter de cette soirée de répit.
Soudain, la lumière de la salle diminua et une estrade que je n’avais pas remarquée s’illumina, un homme sans âge se tenait face à nous.
- Mes chers amis, j’espère que le diner vous a plu mais il est temps de passer au vrai motif de cette soirée, j’invite donc les femmes présentes à me rejoindre sur l’estrade.
Je regardais Mr Li d’un air interrogateur, il me sourit et me tendit un collier de chien orné d’une plaque avec un numéro.
Machinalement je le passais autour de mon coup et je rejoignis les femmes qui se dirigeaient vers l’estrade, toutes harnachée du même collier avec des numéros.
Le speaker nous fit mettre face au public et je remarquais que la salle s’était remplie d’hommes qui regardaient la scène d’un air très intéressé.
- Ce soir est exceptionnel, nous avons 21 femmes qui vont je le sais combler vos désirs, comme vous en avez l’habitude je vais tirer au sort dans ce chapeau des numéros correspondant au collier de nos charmantes invitées et si ce numéro correspond à celui qui vous a été distribué à l’entrée vous pourrez profiter des faveurs de ces dames ici ou dans les espaces privés qui ont été aménagés.
Je ne m’attendais vraiment pas à ça et je sentis l’anxiété me gagner. Nous étions alignées sur cette estrade comme de vulgaires marchandises et certaines d’entre nous avaient du mal à retenir leurs larmes.
Commença alors un étrange ballet.
Le speaker plongeait sa main dans un chapeau, tirait un numéro et la femme désignée devait s’avancer sous les projecteurs, l’animateur détaillait alors le pédigrée de l’élue et deux hommes masqués et vêtus de noir la déshabillaient lui faisait prendre des poses plus ou moins humiliantes. Puis dans la salle on entendait un cri et l’on devinait un bras brandissant le numéro qui ferait d’un homme, l’espace d’un moment le Maitre de la femme.
Je me fis la réflexion que peut être Mr Li aurait mon numéro, au moins avec lui je savais ce qui m’attendait, mes espoirs furent vite déçus quand il se leva pour prendre possession d’une jolie brune qui le suivit docilement dans une des arrière-salles.
L’ambiance était devenue très bizarre si la plupart des couples préférait l’intimité des espaces privés certains consommaient sur place (si vous me permettais ce terme), c’est ainsi que certaines femmes se faisaient prendre plus ou moins brutalement aux yeux de tous sans la moindre pudeur.
L’air de rien je commençais à trouver le temps long et le tirage au sort s’éternisait sans que mon numéro fût tiré, non pas que je fus impatiente.
Enfin je fus désignée, Je m’avançais lentement au milieu de la scène entourée des deux cerbères qui me maintenaient les bras.
- Messieurs, comme vous pouvez le voir nous avons ici une très jolie femme distinguée, elle nous est proposée par Mr Li qui ne nous a jamais déçu (c’est comme ça que j’appris que je n’étais pas la seule soumise de mon boss). Elle est une avocate réputée et je pense que certains d’entre vous ont déjà eu l’occasion de la croiser soit dans un prétoire ou sur un plateau de télévision. Mr Li nous assure qu’elle est très docile et que vous pourrez lui faire subir ce que vous voulez.
A ces mots les deux assistants me retirèrent sans ménagement ma veste et ma jupe dévoilant mon corps dont je tentais maladroitement de cacher les parties les plus intimes, c’était sans compter sur le zèle des deux hommes qui me maintenaient les bras dans le dos, m’obligeant à écarter les jambes, à me tourner pour exhiber mes fesses qu’ils écartèrent pour découvrir mon anus, allant même jusqu’à me fesser ce qui déclencha les rires de la salle qui s’amusait de me voir sursauter à chaque coup.
Enfin ils me firent mettre à genoux et toujours avec les mains dans le dos, je dû ouvrir la bouche et sortir ma langue en signe de soumission.
Ces humiliations auraient dû me remplir de honte mais j’éprouvais un certain plaisir d’être traitée de la sorte.
Du fond de la salle, un bras se leva et je découvris alors celui à qui j’allais devoir obéir.
Cette vision me figea car j’avais reconnu un des avocats que j’avais affronté lors d’un procès et que j’avais humilié en public.
Son sourire narquois ne laissait rien présager de bon surtout qu’il était accompagné du client à qui j’avais fait perdre beaucoup d’argent.
Visiblement l’heure de la revanche avait sonnée.
(Note de l’auteur : J’espère que cette mise en scène vous a plue, mais j’ai besoin de votre aide, écrire des scènes de sexe qui ne soient pas répétitives ou déjà vues n’est pas simple donc j’attends vos suggestions pour ce que l’on doit faire subir à Isabelle, je vous en remercie par avance)
Il y avait un rituel immuable, en fin de journée, la secrétaire de Monsieur Li venait me chercher pour me conduire dans le bureau de mon patron. Là nue la plupart du temps et tenue en laisse, je subissais les derniers outrages. Je fus attachée, godée, fouettée, baisée dans toutes les positions imaginables, parfois Mr Li faisait venir sa garde rapprochée ou un de ses assistants qu’il voulait récompenser.
Aussi étrange que cela puisse paraitre, j’attendais ce rendez vous et j’appréciais d’être le réceptacle docile des fantasmes de ces hommes.
Peu à peu je m’étais habituée à cette situation et j’étais devenue la petite pute à qui on pouvait tout demander.
Aussi quelle ne fut pas ma surprise lorsque ce matin-là en arrivant au travail je trouvais Mr LI installé dans mon bureau.
- Bonjour Isabelle, je vous en prie asseyez-vous.
Je refermais la porte et m’installais dans le fauteuil en face de mon patron, comme il me l’avait appris j’écartais les jambes laissant apparaitre mon sexe glabre et baissais la tête.
- Vous me surprendrez toujours Isabelle, la métamorphose de l’avocate hautaine et désagréable en parfaite femelle soumise a été fulgurante et je dois dire que cela a dépassé mes espérances, mais il est temps de passer à autre chose.
Je n’osais pas bouger et je sentis une boule se nouer dans mon estomac, qu’allait-il encore inventer ?
- Tout d’abord, j’estime que votre apprentissage est terminé et à partir d’aujourd’hui vous n’êtes plus obligée de satisfaire vos collègues, bien sûr vous restez à ma disposition pour nos petites séances quotidiennes.
- Oui Monsieur.
- Néanmoins, nous ne pouvons plus nous passer de vos autres talents, je parle ici de votre professionnalisme.
Tu parles, j’avais appris que depuis qu’il avait confié certains de mes dossiers à d’autres, le cabinet avait subi de nombreux revers et perdu des sommes importantes.
- Nous serons d’accord pour convenir ensemble, que reprendre vos activités au sein de ce cabinet après ce qui s’est passé risque d’être problématique voire impossible.
Je me raidis sur mon siège, ce que remarqua mon patron.
- Ne vous inquiétez pas, j’ai une proposition plus qu’intéressante à vous faire. Comme vous le savez nous développons nos activités en Europe et nous venons de racheter un de nos concurrents à Lyon, je vous propose de prendre la tête de ce cabinet avec bien sûr les émoluments qui vont avec, qu’en pensez-vous ?
- Je ne sais pas quoi dire Monsieur, je vous remercie de cette offre.
A vrai dire, mes sentiments étaient mitigés, bien sûr c’était inespéré mais je me doutais qu’il y avait des contreparties et la suite me prouva que j’avais raison.
- Dans un premier temps je vous accompagnerais sur place pour vous aider dans vos nouvelles fonctions, j’attends de vous que vous vous donniez corps et âme et ceci dans tous les sens du terme, suis-je assez clair.
- Oui Monsieur, j’ai compris.
Je n’avais pas trop le choix, rester ici était en effet inenvisageable et je savais que peu de cabinets voudraient de moi à Paris car je m’étais fait pas mal d’ennemis. De plus l’idée de continuer à servir Mr Li n’était pas si déplaisante.
- Je vois que nous sommes d’accord, je vous propose de rentrer chez vous et de vous préparer, je vous invite ce soir pour sceller notre arrangement.
- Merci Monsieur, dis-je en me levant et en quittant le bureau sans me retourner. Je me demandais en quoi allait consister cette invitation et je ne savais pas trop quoi penser de tout ça.
Dire que le reste de la journée passa lentement est un doux euphémisme. Je repensais à cet entretien et je dois avouer que tout se mélangeait dans ma tête. En fin de journée je décidais de me préparer pour la soirée, on verra bien ce qui allait se passer et puis j’étais libre de refuser (au fond de moi je savais que j’accepterai tout mais un dernier sursaut de fierté me maintenait dans cette illusion).
Après un bain revigorant je me maquillais et choisi ma tenue.
Un tailleur crème avec une jupe crayon, des bas et des escarpins de la même couleur. Depuis mon expérience de « truie » j’avais abandonné le port de sous-vêtements et je décidais en plus de ne rien porter sous la veste du tailleur.
Vers vingt heures, la limousine de Mr Li vint me chercher, je pris place à ses côtés à l’arrière. Je fus un peu déçue car c’est à peine s’il me regarda, il était plongé dans un dossier et ne prit même pas la peine de me saluer.
Je laissais mon esprit vagabonder et essayer de deviner où nous allions.
La voiture s’arrêta devant un immeuble cossu et je suivi Mr Li à l’intérieur, nous descendîmes un escalier qui nous mena dans ce qui ressemblait à une salle de restaurant, quelques tables étaient dressées et un personnel constitué d’hommes sévères en tenue de serveurs s’agitait autour des rares convives.
La pièce était mal éclairée mais je distinguais des couples qui avaient la particularité d’être composés d’hommes que l’on devinait d’un bon niveau social accompagnés de femmes généralement plus jeunes et assez élégantes.
Le repas se déroula normalement, Mr Li avait changé d’attitude et se montrait charmant, je me détendis et me disait qu’après tout il fallait profiter de cette soirée de répit.
Soudain, la lumière de la salle diminua et une estrade que je n’avais pas remarquée s’illumina, un homme sans âge se tenait face à nous.
- Mes chers amis, j’espère que le diner vous a plu mais il est temps de passer au vrai motif de cette soirée, j’invite donc les femmes présentes à me rejoindre sur l’estrade.
Je regardais Mr Li d’un air interrogateur, il me sourit et me tendit un collier de chien orné d’une plaque avec un numéro.
Machinalement je le passais autour de mon coup et je rejoignis les femmes qui se dirigeaient vers l’estrade, toutes harnachée du même collier avec des numéros.
Le speaker nous fit mettre face au public et je remarquais que la salle s’était remplie d’hommes qui regardaient la scène d’un air très intéressé.
- Ce soir est exceptionnel, nous avons 21 femmes qui vont je le sais combler vos désirs, comme vous en avez l’habitude je vais tirer au sort dans ce chapeau des numéros correspondant au collier de nos charmantes invitées et si ce numéro correspond à celui qui vous a été distribué à l’entrée vous pourrez profiter des faveurs de ces dames ici ou dans les espaces privés qui ont été aménagés.
Je ne m’attendais vraiment pas à ça et je sentis l’anxiété me gagner. Nous étions alignées sur cette estrade comme de vulgaires marchandises et certaines d’entre nous avaient du mal à retenir leurs larmes.
Commença alors un étrange ballet.
Le speaker plongeait sa main dans un chapeau, tirait un numéro et la femme désignée devait s’avancer sous les projecteurs, l’animateur détaillait alors le pédigrée de l’élue et deux hommes masqués et vêtus de noir la déshabillaient lui faisait prendre des poses plus ou moins humiliantes. Puis dans la salle on entendait un cri et l’on devinait un bras brandissant le numéro qui ferait d’un homme, l’espace d’un moment le Maitre de la femme.
Je me fis la réflexion que peut être Mr Li aurait mon numéro, au moins avec lui je savais ce qui m’attendait, mes espoirs furent vite déçus quand il se leva pour prendre possession d’une jolie brune qui le suivit docilement dans une des arrière-salles.
L’ambiance était devenue très bizarre si la plupart des couples préférait l’intimité des espaces privés certains consommaient sur place (si vous me permettais ce terme), c’est ainsi que certaines femmes se faisaient prendre plus ou moins brutalement aux yeux de tous sans la moindre pudeur.
L’air de rien je commençais à trouver le temps long et le tirage au sort s’éternisait sans que mon numéro fût tiré, non pas que je fus impatiente.
Enfin je fus désignée, Je m’avançais lentement au milieu de la scène entourée des deux cerbères qui me maintenaient les bras.
- Messieurs, comme vous pouvez le voir nous avons ici une très jolie femme distinguée, elle nous est proposée par Mr Li qui ne nous a jamais déçu (c’est comme ça que j’appris que je n’étais pas la seule soumise de mon boss). Elle est une avocate réputée et je pense que certains d’entre vous ont déjà eu l’occasion de la croiser soit dans un prétoire ou sur un plateau de télévision. Mr Li nous assure qu’elle est très docile et que vous pourrez lui faire subir ce que vous voulez.
A ces mots les deux assistants me retirèrent sans ménagement ma veste et ma jupe dévoilant mon corps dont je tentais maladroitement de cacher les parties les plus intimes, c’était sans compter sur le zèle des deux hommes qui me maintenaient les bras dans le dos, m’obligeant à écarter les jambes, à me tourner pour exhiber mes fesses qu’ils écartèrent pour découvrir mon anus, allant même jusqu’à me fesser ce qui déclencha les rires de la salle qui s’amusait de me voir sursauter à chaque coup.
Enfin ils me firent mettre à genoux et toujours avec les mains dans le dos, je dû ouvrir la bouche et sortir ma langue en signe de soumission.
Ces humiliations auraient dû me remplir de honte mais j’éprouvais un certain plaisir d’être traitée de la sorte.
Du fond de la salle, un bras se leva et je découvris alors celui à qui j’allais devoir obéir.
Cette vision me figea car j’avais reconnu un des avocats que j’avais affronté lors d’un procès et que j’avais humilié en public.
Son sourire narquois ne laissait rien présager de bon surtout qu’il était accompagné du client à qui j’avais fait perdre beaucoup d’argent.
Visiblement l’heure de la revanche avait sonnée.
(Note de l’auteur : J’espère que cette mise en scène vous a plue, mais j’ai besoin de votre aide, écrire des scènes de sexe qui ne soient pas répétitives ou déjà vues n’est pas simple donc j’attends vos suggestions pour ce que l’on doit faire subir à Isabelle, je vous en remercie par avance)
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