Déchéance de Charlotte

- Par l'auteur HDS Charlotte-la-salope -
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Récit libertin : Déchéance de Charlotte Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Déchéance de Charlotte
Bonjour à tous, ceci est un test d'appréciation, un extrait d'une très longue histoire que je suis occupée à écrire. Voici juste un passage :

Charlotte était une avocate, montée en grade et devenue procureure grâce à l'argent de papa qui lui avaient ouvert pas mal de porte, elle avait en charge aussi la direction financière de la prison du conté, qui compter plus d'un millier d'hommes et quelques centaines de femmes.

Par appât du gain, elle avait réussi à détourner l'argent destiné à cette prison, car elle estimait que les pensionnaires de cet établissement devaient être punis, vivre à la dure, qu'ils n'étaient pas là en vacances.......

Arrêtée, jugée, condamnée à cinq années de détention, elle allait gouter à la vie derrière les barreaux de la prison, avec des femmes qu'elle avait dirigées, d'autre qu'elle avait défendu en tant qu'avocate, et d'autre qu'elles avaient elle-même fait condamner

Bonne lecture.

— Nous allons passer à votre incarcération, veuillez me suivre, s'il vous plaît, me lança la gardienne Valérie, une nouvelle à peine embauchée. Nous devions traverser la grande salle où tous les membres du personnel se retrouvaient pour les moments de pause et arriver dans le cabinet utilisé comme infirmerie.

Elle me donna un grand sac afin d'y déposer toutes mes affaires personnelles. :

— « Déshabillez-vous et mettez toutes vos affaires dans ce sac. »

Encore sonnée de mon jugement, à savoir que j'allais passer cinq années dans une prison mixte que j'avais moi-même dirigé pendant quatre ans, et que, j'avais je l'avoue, pris ce second travail à la légère, le personnel connaissant très bien son travail, et moi, mon premier travail de procureure me prenant énormément de temps.

Sabrina, que je prenais pour une amie depuis toujours, ayant fait mes classes en duo, entrant dans la pièce : " T'as pas entendu? Tes affaires dans le sac!!!" .

Retirant mes bagues, bracelets, boucles d'oreilles, les mettant dans le sac.

Sabrina repris : "la robe aussi !" Un véritable coup de massue, comment pouvaient-ils, moi, leur patronne, comment pouvaient-ils me demander de me mettre en sous-vêtements devant elles ? Certes, nous étions entre femmes, mais jusqu'à il y a une heure, j'étais leur patronne.

Sabrina se rapprocha de moi et me gifla durement à plusieurs reprises et hurla :

"AU CAS OÙ TU NE L'AS PAS ENCORE COMPRIS, TU N'ES PLUS RIEN, NI PROCUREUR, NI PSEUDO-AVOCATE, NI DIRECTRICE DE CETTE PRISON!!!" OBÉIS, VIRE TA ROBE, TON SOUTIF, TON SLIP ET TON TAMPAX SI TU EN AS UN! TU METS TOUT DANS CE SAC, TU TE FOUS A POIL!!!!

J'obéis, retirant ma robe et mon soutien-gorge, mais je restai bloquée, impossible pour moi d'enlever ma culotte. Sabrina pris la parole :

— « On a affaire à une forte tête, on dirait, ici la fouille, c'est la règle, et si je te dis que ton corps est ma propriété pour les cinq années à venir, ce ne sont pas des paroles en l'air ! »

Elle agrippa mon string, tira dessus si fort, qu'elle l'arracha entre mes cuisses, me martyrisant le clitoris au passage.

— « Tu as plutôt intérêt à obéir plus vite à l'avenir, quand je te dis à poil, tu vires tout, tu te montres comme le jour de ta naissance, tu as compris, morue ? »

— Oui, c'est tout ce que j'ai pu répondre, ravalant mes larmes, d'être humiliée, nue devant ces femmes qui étaient, il y a peu, sous mes ordres. La fouille commença, la bouche, les oreilles, je dus ensuite suivre leurs ordres.

— Lève ton nichon gauche, puis lève ta mamelle droite, tourne-toi face au mur, jambes écartées, plie-toi À 90 degrés, mains sur les fesses, écartes, montre ton trou de cul, tousse, plus fort, tousse que je vois la rossasse de cul s'ouvrir, OK, je vais lui faire un toucher rectal.

— "Tu entends, salope, je vais de mettre les doigts dans le cul".

— Mais quelle fourbie, on voit que tu aimes la richesse et la fourrure, toi, même ta chatte en est fournie!!! J'espère que tu n'y tiens pas trop à tes poils, car là, je vois riens, et je vais tondre, puis rasé ta moule, après tout, tu es ici pour être rééduquée à être une citoyenne qui ne viole pas la loi, donc renaître, et il ne me semble pas que tu sois née avec une chatte poilue, Valérie, va me chercher le nécessaire, qu'on lui fasse une belle chatte lisse de petite fille vierge et innocente. Je les ai suppliées d'épargner ma toison pubienne, mais la réponse de Sabrina me glaça le sang.

— Ne me pousse pas à bout, car il me semble qu'un nouveau-né n'a pas de cheveux. Tu n'as pas envie de voir ta belle tignasse disparaître et de te retrouver le crâne aussi chauve que ta chatte ?

Elles poussèrent le vice jusqu'à m'obliger à regarder vers le bas, en direction de mon pubis, pendant que ma toison disparaissait, dévoilant mon bas ventre, puis mes grandes lèvres vaginales, je redécouvrais depuis plusieurs années ma chatte lisse, dont les grandes lèvres fermer formaient une fente juvénile, on aurait dit une chatte de pucelle.

— Écarte tes lèvres avec tes doigts, ne fait pas ta timide, écarte qu'on voit bien l'intérieur de ta moule, fait comme si tu invitais une bite à visiter ta fente de pute!!!, ne t'inquiète pas va, d'ici à une semaine, la centaine de femmes de l'aile F auras vu ton minou et certaine l'auront même goutée.

Et d'ici à quelque mois, quand tu seras gavée d'aphrodisiaque que l'on met partout, boisson, nourriture, et même dans le système de ventilation, c'est tout l'ensemble de notre communauté, les gardiens, tout le personnel, tous les prisonniers, les hommes comme les femmes qui t'auront vue à poil ! ta pudeur, tu l'oublies vite fait compris ! on va te faire griller le cerveau à coup d'orgasme répéter, ton esprit ne pensera plus qu'à te faire prendre le sexe, tu ne penseras plus qu'à jouir!!!

— On va passer dans la salle à côté pour quelques questions afin de savoir comment agrémenter pour nous ton séjour parmi nous.

— Donnez-moi quelque chose pour couvrir ma nudité, s'il vous plaît.

— S'il vous plaît, s'il vous plaît, voyons voir ce qui me plaît, j'ai bien envie de t'humiliée, devant tout le personnel que tu as snobé depuis tant d'années, je suis sûre que beaucoup de gardiennes t'ont déjà imaginé t'avoir à leurs pieds embrassant leurs chaussures, et combien de gardien se sont secoué la nouille et éjaculer des litres de sperme en imaginant leurs bites entre tes gros nichons qui se balance au rythme de tes pas, c'est un fantasme courant, de voir leur patronne à poil tu sais, enfin là, comme je t'ai dit, tu n'es plus rien, ici, tu vas réapprendre comment s'en sortir dans la vie sans le soutien de papa et maman, et sans ton mari qui te passe tes caprices, uniquement à la force du poignet, je devrais plutôt dire à la force de ta chatte, car crois-moi, tes seules amies ici, sont tes nichons, ta chatte et ton trou de cul.

Dans la pièce remplie de tous mes (anciens maintenant) employés hommes et femmes, Sabrina me fit prendre cette position humiliante sur un plateau de table, les pieds à plat dessus, les genoux bien écartés, mes grandes lèvres que grâce à la position de mes cuisses ouverte faisait bâiller dévoilant même mes petites lèvres.
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Questionnaire pour incarcération et informations

personnelles :

Nom : De Beauregard de la cuisse (oui, je sais, je n'ai pas été très inventive sur le nom).

Prénom : Charlotte

Âge : 32 ans (j'ai le droit de me rajeunir dans mes récits)

Sexe : femme

Profession : membre du barreau, avocate, promue au rang de procureur il y a trois ans.

— Faux, me reprend Sabrina, tu as été éjectée du barreau, tu as perdu aussi le droit d'exercer ton métier d'avocate, on reprend.

Profession ; je laisse un grand blanc ne sachant plus que répondre, tout s'est passée si vite depuis ce matin, quand la police est intervenue chez moi, m'emmenant menottée à la vue de tout passant dans la rue, mon transport en fourgon pénitencier, avec des ours qui me disaient que j'allais connaître l'autre côté de ma propre prison, que j'allais en baver, puis cette visite d'entrée, ma mise à poil forcée, l'inspection de mon corps, même sous mes seins que j'ai dû lever chacun leur tour, comme si je pouvais cacher quelque chose sous mes mamelles de 110D puis chaque orifice, buccal, vaginales, anal, la perte de ma toison pubienne, me faisait paraitre comme une fillette ! Et maintenant, je dois répondre à un interrogatoire à poil (enfin, poils que je n'ai plus) devant l'ensemble de mon ancien personnel, hommes et femmes ! C'est trop pour moi, et il n'est même pas midi.

— ALORS PROFESSION SALOPE!!! accompagnée d'une gifle magistrale qui me rendit sourde de l'oreille gauche pendant un bon moment.

— Sans profession, répondis-je.

— Exactement reprise Sabrina de suite, sans rien, tu n'es plus rien, qu'une merde, un corps, une poupée de chair et de sang avec qui je, ou plutôt, nous tous, allons jouer durant cinq ans, voire plus si je te fais de mauvais rapports, qui prolongera ton séjour en tôle, tu pourrais vite passer de cinq ans à quinze, jusqu'à ma retraite en fait, garde bien cela à l'esprit!

Orientation sexuelle : hétéro

Un grand éclat de rire de Sabrina ; « là où tu vas, les queues bien dures sont rares, et c'est moi qui choisirai sur quelle queue tu as le droit de laisser enfiler, c'est moi qui choisirai à qui tu DEVRAS ouvrir les cuisses !, mais il y a tout un tas de chattes, de moules, de fentes baveuse, de tous âges, de dix-neuf à, je pense que la plus vieille hétéro comme toi devenue gouine avec mention +++ à presque quatre-vingts ans, et tu sais quoi, vu tes restrictions quand tu as dirigé ici, TOUTES n'ont que cela à faire toute la journée, et même la nuit, elles branlent des chattes, les leurs, celles de leurs camarades, des broutes-minou, oh, je suis sûre qu'une hétéro comme toi en manque de zizi bien dur ne mettra pas longtemps avant de lécher tes colocataires de chambrée de notre joli palace ».

Nombre de rapports sexuels hebdomadaires?

Je me contente de lui répondre que cela ne la regarde pas.

— Tu commences bien mal, patronne, tu veux déjà rajouter du temps à ton séjour? Répond!!! Combien de fois par semaine tu laisses ton homme virer ta culotte? Combien de fois tu lui ouvres les cuisses pour qu'il te saute comme une chienne?

— Deux fois.

— Deux fois par semaine? Seulement?

— Deux fois par mois

— Deux fois par mois, ne t'étonne pas alors si ton mari joue de la flûte avec ses stagiaires qui savent qu'il est trop influent et se laissent sucer la queue par ton homme, et comme ses secrétaires qu'il saute à la moindre occasion.
Elles ont trop peur, et des coups de bites valent mieux que pointé au chômage.

Encore ce rire. Louisa, une gardienne cheffe de l'aile F, m'expliqua un peu le déroulement d'une journée type dans l'aile réservée aux femmes.

— Ici chérie, dis-toi bien que ta moule se fera bouffer au moins trois fois avant l'heure du petit déjeuner, et ça, sept jours sur sept, et trois cent soixante-cinq jours par ans, que tu le veuilles ou non, à deux ou trois voir quatre détenues, elles t'attraperont, elles te foutront à poil, et c'est parti pour la dégustation de moule, tu n'as plus qu'à te laisser faire et attendre qu'elles en aient marre, je les laisse faire,car j'adore croiser le regard d'une pure hétéro comme toi, gueuler des "non, non, s'il vous plait", les suppliées, et qui fini quand même à poil, les cuisses ouvertes à tout vent, la moule à l'air et joui en pleurant de ce rapport, trahie par leur salope de chatte, comme ont t'as dit, avec les aphrodisiaque, tu ne mettra pas longtemps avant de toi-même réclamer à te faire brouter !

D'ailleurs, allez, ouvre tes cuisses bien fort, montre-nous à tous comment tu te fais mouiller de la petite chatte, montre-nous comment tu es quand tu jouis, à savoir si tu gueuleras de plaisirs quand tes copines t'attraperont sous la douche ou n'importe où dans la prison. Allez, astique ton berlingot!

Je restais incapable de bouger quand une nouvelle série de taloches m'atterrie sur le visage.

— Branle-toi chiennasse, taquine ton clito, fourre-toi les doigts dans la moule, on reprendra quand tu auras joui et fait giclée toute ta mouille, aller salope!!!

La demi-heure la plus longue de ma vie, j'avais beau m'astiquer le clito avec rage, me pénétrée jusqu'à trois doigts dans le vagin, rien n'y fait avec tous ces yeux qui me fixaient comme une artiste donnerait un spectacle, ce n'est que trente minutes plus tard que le cerveau fit abstraction et me laissa là, à moitié assommer, n'en revenant pas d'avoir joui devant tant de personne, et je n'avais jamais giclée de cyprine aussi fortement.

Sabrina reprit son interrogatoire.

Nombre de partenaires : 3 à ce jour

Sodomie : jamais

Avale-tu la semence des hommes? : une fois par accident

Moyen de contraception : stérilet

— Bien, nous avons fini l'interrogatoire pour le moment. Si j'ai d'autres questions, je te les ferais demander. Après tout, ce n'est pas comme si je ne savais pas où te trouver.

— Tu connais Benoît, je pense, tu l'as engagé, car c'est le fils de quelqu'un habitant ta rue ou ton patelin, je ne sais plus trop où, mais tu le vois souvent.

Oui, je connaissais très bien ce garçon, a peine majeur, il était le fils du comptable avec qui j'ai effectué ce stupide détournement de fonds de plusieurs milliers d'euros.

— Eh bien, je lui apprends le métier et comment s'occuper d'une femme, Benoît, passe ta main sur sa fente, elle est encore humide?

— Elle est trempée et ouverte.

— Qu'est-ce que je t'ai dit de faire quand une moule est dans cet état d'excitation avancée?

— Vous m'avez dit d'en profiter, cheffe.

— Et oui Charlotte, Benoît va te sauter, il va mettre sa queue dans ta moule, et larguer ses soldats dans le fond de ta matrice, je t'ai dit que je choisirai quelle bite visiterait ta fente, toi, tu te contentes de lui ouvres les cuisses, et tu te laisses faire, tu te laisses limer la chatte comme une vulgaire prostituée, profites-en, c'est mon cadeau de bienvenue aux hétéros comme toi, car ensuite, c'est l'infirmerie pour retirer ton stérilet, car il n'y a pas de zizi sauvage qui traîne les couloirs, tu ne risques pas de tombée en cloque, et tu n'es pas près de recevoir de nouveau une queue dans la chatte.

Quelle ironie, le père de Benoît me promettait des millions juste pour avoir une chance de me mettre dans son lit, et c'est son fils qui va me prendre, me baiser, éjaculer son sperme au fond du ventre, mon dernier sexe masculin avant un très long moment.

— Profite bien de ce moment de plaisir, mon petit Benoît...

Après être repassée par l'infirmerie pour retirer mon stérilet, direction la douche, lavée avec une lance du service incendie, afin d'être fraîche, les dernières paroles de Sabrina avant de fermer les grilles me laisser peu d'imagination pour la fin de journée, et nuit à venir.

— Derrière ses grilles qui t'enfermeront, il y a beaucoup de femmes qui veulent te revoir pour te remercier de les avoir, soit défendue comme une merde quand tu étais avocate, soit condamnée ici en étant procureur.

Voici le début de mes cinq années à venir.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Tu es vraiment une belle grosse Salope !!! Trop bandante !! Continue à écrire ! Hâte de Vous humilier !

Il n'a beaucoup d'histoire sur les pénitenciers, mais à ma connaissance, aucune sur une avocate et gérante financière de prison qui se retrouvent derrière les barreaux de sa propre prison, et devra affronter la vengeance de détenues qu'elle a fait enfermer.

Voilà une histoire qui démarre bien
Dans un milieu mal connu.
.. lieu de beaucoup de fantasmes en tout genre.
.nul doute que les cinq ans de Charlotte vont être très "sexe"..
.. es-ce que tout ne seras que plaisir ??.

J'ajoute que j'aime beaucoup votre profil d'auteur...
À l'occasion échanger !
La suite..
Merci
Rudy

Histoire Erotique
Bonjour Charlotte !
Histoire originale! C'est pas courant des histoires dans ce contexte sur ce site!
Vivement la suite !
LNA

Histoire Erotique
Fantastique histoire, j'ai bandé du début à la fin...
Vivement l'intégralité...

Cyrille

Histoire Libertine
Pourquoi 1 récit pareil, il y en a assez non question decheance de femmes comme Colybacca & co.



Texte coquin : Déchéance de Charlotte
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