Décompresser... à trois c'est mieux

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Décompresser... à trois c'est mieux Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Décompresser... à trois c'est mieux
LEONIE

J’avais décidé de laisser aller, de profiter, oui, c’est sûr, mais de là à vire ça !!!! De là à commencer une relation improbable, dérangeante pour beaucoup…

Après deux années de travail vraiment très chargée, j’avais besoin de prendre l’air, de déconnecter. J’avais tellement travaillé que mon petit ami avait rompu avec moi, pas capable de comprendre que le début de ma carrière était vraiment très important pour moi.

Il était persuadé que j’avais une affaire avec un collègue qu’il jugeait trop proche de moi, et était même jaloux de ma meilleure amie.

J’ai eu beau lui dire et lui redire que mon collègue était gay, rien à faire. Alors il a rompu et passé une très courte période à pleurer sur ma relation échouée, je me suis dit que j’étais très bien sans lui.

Avec ma meilleure amie, qui avait vécu à très peu de choses près la même année merdique, on a décidé de partir 2 semaines sur une île où on pourrait faire la fête, oublier un peu nos déboires amoureux. L’une comme l’autre, on est ouvertes aux autres mais pas vraiment dévergondées et on voulait se lâcher pendant ces vacances. Un flirt nous ferait vraiment du bien. Pour ma part, je n’avais couché avec personne depuis 5 mois et c’était au moins aussi long pour Marie.

Marie est jolie, des cheveux blonds comme les blés, ondulés. Pas très grande, son corps est fin et athlétique, avec une poitrine moins grosse que la mienne mais tout aussi belle. Elle plaît toujours mais comme moi, n’est pas du genre à coucher avec n’importe qui.

Moi, c’est Léonie, plus voluptueuse que Marie, et à peine plus grande. En dehors de mon travail, j’aime le fitness. D’ailleurs, c’est là qu’on s’est connues en rejoignant en même temps la même salle de sport. J’ai une taille fine et un ventre plat, des fesses musclées, tout comme mes jambes. Mes seins sont gros, des obus que la gravité n’a pas encore affecté du haut de mes 25 ans.

Et ils font clairement partie des raisons qui m’ont permis d’obtenir mon poste car je n’avais pas encore l’expérience nécessaire. J’ai donc dû compenser ce manque d’expérience par une quantité de travail encore plus importante. Et aussi, dans le même temps, repousser les avances exécrables de mon supérieur.

Dans mes années étudiantes, j’avais un peu profité, passant d’un petit ami à l’autre sans avoir à faire aucun effort. Dès que je me lassais, je changeais, même si 4 petits amis en 4 ans, ce n’est pas non plus énorme. La seule chose à laquelle je faisais attention, c’était d’éviter les mecs arrogants, vantards, machos. J’aimais sentir l’attention d’un mec gentil et mignon.

On est donc parti en emportant nos tenues les plus festives et osées, sans compter quelques-unes achetées ensemble. Lors d’une de nos séances de shopping, Marie a essayé un bikini très osé. Elle était magnifique dedans. Sa peau déjà délicatement et naturellement dorée me paraissait d’une douceur incroyable et semblait appeler les caresses. Elle a rigolé quand elle a vu ma tête, espérant obtenir la même réaction de la part des mec là-bas.

Quand j’ai essayé le mien, Marie est venue derrière moi, regardant dans la glace par-dessus mon épaule. Le bas de mon maillot laissait presque nues mes fesses et le haut dévoilait ma poitrine dans toute sa splendeur. Ses mains ont parcouru mes hanches après avoir effleuré mes fesses, puis ma taille, et sont montées pour prendre doucement mes seins en coupe. Elle m’a chuchoté dans l’oreille « Tu vas faire des ravages ma chérie ! » et a déposé un baiser à la base de ma nuque qui a envoyé un frisson dans tout mon corps. Mes tétons déjà proéminent ont encore gonflé. J’aurai juré voir un désir très fort dans les yeux de Marie. Je n’ai jamais abordé le sujet avec elle mais je sais que je l’attire, certains regards ne trompent pas.

Marie et moi avons toujours été très proches mais jamais aussi intimes que ça et de plus en plus depuis nos ruptures. Ces vacances me tentaient de plus en plus…

Les trois premiers jours, on a commencé par bronzer, profiter de la piscine et de la plage. De nombreuses fois, on s’est faite accoster, draguer, mais on s’était laissé quelques jours pour réellement flirter en retour.

Enfin, le quatrième soir, on a décidé de se laisser plus aller. On est allé dans un bar à cocktails, rempli de mecs aux muscles magnifiques et de filles avec guère plus que leur bikini sur elles, les verres allaient bon train sans qu’on en paye un seul.

Au bout d’une heure, il était temps de manger quelque chose. 2 mecs nous plaisaient particulièrement alors on a accepté leur invitation à manger des tapas avec eux. La soirée était super agréable, chaude et en compagnie de deux mecs vraiment mignons. Après un dernier verre dans un bar, on en était arrivées à être assises sur leur genoux. Leurs mains un peu baladeuses s’égaraient sur notre taille nue ou sur nos cuisses. Marie était juste un peu pompette, un peu gaie et prête à aller plus loin avec son mec et j’étais contente pour elle. Ils nous ont quitté pour aller chez lui.

Moi, je n’étais pas encore sûre mais j’ai accepté l’invitation de Miguel en lui disant bien que je ne promettais rien d’autres que des baisers et des caresses. Il était d’accord avec ça. Clairement, il était un peu trop bourré, mais gentil et très drôle donc ça ne me gênait pas tant que ça.

On a parlé sur son canapé autour d’un verre. Son torse aux muscles fins m’attirait, ses lèvres aussi. On a commencé à s’embrasser et de plus en plus, je me voyais bien passer la nuit avec lui. C’est à ce moment-là que la porte de son appart s’est ouverte et qu’un mec est entré, surpris de me voir, mais il a souri.

Il était clair qu’ils étaient colocataires. A ma grande surprise, le mec parlait un français parfait et on a fait connaissance. Il s’appelait Djibril et était né à Paris. Comme Miguel, il occupait un poste lié au tourisme même s’il a été très vague. Il regardait beaucoup mon corps, mon décolleté.

- Djibril : Miguel, fais comme si je n’étais pas là !

Miguel a recommencé à m’embrasser, a me caresser un peu les cuisses. Ma jupe légère et déjà ultra courte ne cachait bientôt plus grand-chose. Ce qui m’étonnait le plus, c’est que je le laissais faire, que j’offrais même plus mon corps à ses caresses et donc au regard de Djibril. Miguel était doux et patient. Mon haut est passé par-dessus ma tête, offrant à leur regard ma poitrine libre de soutien-gorge. La situation m’excitait au plus haut point. Miguel, que je ne connaissais qu’à peine, léchait maintenant mes seins sous le regard d’un inconnu.

- Djibril : Ta poitrine est magnifique. J’aurais voulu te rencontrer avant Miguel.

- Moi : Merci.

- Djibril : tu permets ?

Djibril était un mec très séduisant, grand et large d’épaules, un sourire ravageur et plein d’assurance sans l’arrogance qui me faisait horreur. Je sentais sous moi l’érection de Miguel mais de plus en plus, c’est Djibril qui me donnait envie de lui. Je me demandais ce qu’il voulait faire, ce que je devais lui permettre. Est-ce qu’il voulait me toucher ? Est-ce que j’allais le laisser faire ?

Mais il a simplement enlevé son tee-shirt, dévoilant un torse splendide et musculeux, une peau d’ébène qui semblait douce, sans aucun poil. Sous mes yeux ébahis, alors que Miguel continuait de me caresser mais de plus en plus doucement, Djibril a ouvert son short et l’a descendu un peu, libérant un sexe déjà presque dur, impressionnant.

J’ai tourné la tête vers Miguel pour m’apercevoir qu’il avait les yeux à peine ouverts. L’alcool avait fait son chemin et je doutais fort qu’il soit capable de quoi que ce soit. Pourtant, j’avais vraiment envie, entre ses caresses et la vue du corps de Djibril, Mon sexe était une fontaine bouillante.

Miguel a juste eu le temps de dire un petit « désolé » avant de fermer les yeux. J’ai regardé Djibril et on a rigolé doucement tous les deux.

- Djibril : Miguel ne tiens pas l’alcool. Je ne sais pas pourquoi il s’obstine. Il tombe toujours de sommeil tout d’un coup. Quel gâchis pour lui ! Tu es magnifique !

Mon regard a parcouru son corps, ses pectoraux, ses abdos, et finalement la barre de fer qu’il branlait doucement tout en me regardant droit dans les yeux.

Il s’est levé et s’est mis totalement nu.

- Djibril : Si tu es ici, avec Miguel, c’est que tu cherchais juste à passer un bon moment. Ma chambre est juste là ! Tu fais comme tu veux mais Miguel ne t’en voudra pas et ne m’en voudra pas non plus. On ne se connaît pas donc je ne veux absolument pas te forcer la main… C’est juste que tu es vraiment splendide… Et que je suis plus que partant…

Là-dessus, il est passé dans un couloir et est entré dans sa chambre, laissant la porte entre-ouverte. Je me suis levée et comme un zombie, Miguel est parti en titubant dans sa propre chambre, me laissant en plan, sans un mot.

J’ai repassé mon teeshirt et j’avais la main sur la poignée de la porte de l’appartement quand j’ai repensé au corps de Djibril, à ses yeux pleins de désirs. J’étais venue sur cette île dans le but de m’éclater, de vivre des moments un peu fous. Je suis loin d’être prude mais il y avait quand même une part de tabou. Djibril était noir comme la nuit et serait le premier homme de couleur pour moi.

Comme dans un rêve, je suis allée vers sa chambre, laissant au passage une chaussure, puis l’autre. Miguel saura ou je suis s’il se relève, tant pis pour lui. Mon petit haut et ma jupe à la main, j’ai poussé sa porte. Seule une petite lampe de chevet éclairait faiblement la pièce. Djibril était allongé sur le dos, son sexe contre une hanche, moins dur, mais tout aussi tentant.

Seulement quand il m’a vu dans l’embrasure de sa porte, nue à part mon string, son sourire est réapparu. Sa proie avait succombé.

Il s’est assis au bord du lit et m’a attiré sur ses genoux. J’étais dans la même position que sur le canapé avec Miguel, mais sous mes cuisses, c’était un homme d’une toute autre puissance, et entièrement nu.

- Djibril : Ne t’inquiètes pas ! Avec toi dans mes bras, aucune chance que je m’endorme, Léonie… Et je n’ai bu que des sodas ce soir…

- Moi : J’espère bien !

Sans réellement toucher nos parties intimes, on a commencé à s’occuper du corps de l‘autre. J’étais incroyablement excitée par ce mâle sous mes doigts, par la force tranquille qui se dégageait de lui. Mes mains me paraissaient minuscules sur ses pectoraux, sur ses épaules. Ses lèvres et sa langue étaient douces, exigeantes, terribles quand il s’aventurait dans mon cou ou sur mes seins tendus de désir.

En alternance, je m’occupais de découvrir son corps avec ma bouche et mes mains, puis c’était son tour. Tout était bon, nouveau. Alors que mon string disparaissait et que ses doigts découvraient à quel point je mouillais pour lui, mes mains se saisissaient de son sexe dur comme la pierre, long, mais surtout large, un gland attirant, énorme et déjà brillant de ses sécrétions. J’ai embouché le gland en me délectant de son goût. Djibril libérait en moi des désirs fous. Je le voulais partout en moi. Je voulais goûter son sperme, le boire. Je voulais sentir son sexe au fond de moi. Pour la première fois de ma vie, je voulais offrir mes fesses, et à un inconnu qui plus est. Je gémissais tout en le suçant.

- Djibril : Surtout n’arrête pas ! Tu es douée !

- Moi : J’ai tellement envie ! Ne jouis pas tout de suite !

Il n’a rien dit mais a souri, sûr de lui. Dans la position où j’étais, ses doigts effleuraient sans cesse mon clitoris, ma vulve ou mon anus, augmentant encore mon désir. De son autre main, il pinçait doucement mes tétons. J’étais au bord de l’orgasme !!!

- Moi : J’en peux plus ! Viens en moi !

Je ne lui ai pas laissé le temps de réfléchir et je me suis empalée sur sa si belle queue.

Son gland est entré en moi avec une facilité qui m’a surpris. Il était gros, large, imposant, mais entrait sans problème. Je le sentais progresser, repousser mes limites.

Il m’a basculé sur le dos et je me suis offerte totalement, l’attirant à moi, l’embrassant partout où je pouvais. Il respirait fort, était très excité lui aussi.

Il a commencé à bouger et il n’a fallu que quelques allers-retours pour que je jouisse, fort et longtemps. J’ai repris mes esprits alors qu’il était immobile en moi et m’embrassait passionnément.

- Djibril : combien de temps restes-tu en vacances ?

- Moi : Encore 10 jours.

- Djibril : Je veux que ces 10 jours, tu sois à moi seul !

- Moi : Oh ! Vraiment ?

Un coup de bassin m’a fait crier de plaisir.

- Djibril : Oui ! Je te comblerai !

- Moi : Oh Mon dieu OUI ! LA ! OOHHHHH !

- Djibril : Tous les jours !

- Moi : Tu as intérêts !§

- Moi : OOUUUUIIIIII !

Djibril me clouait au lit, me baisait comme un dieu. Je n’avais jamais connu ça.

Après un 3ème orgasme fabuleux, il est sorti de moi et s’est masturbé, éjaculant dans un râle viril une bonne quantité de sperme sur mon ventre et mes seins. C’était érotique, hard, excitant et inconnu pour moi. Mais ce n’était rien comparé à ce qu’il a fait après. Il a récupéré sur mon sein une traînée de sperme avec sa propre langue et m’a embrassé, partageant avec moi sa semence. J’ai presque eu un orgasme rien que par la luxure de son geste. Et un amant capable de faire ça ! J’en étais complètement chamboulée.

Après une rapide douche, on s’est recouché.

- Moi : Que fais-tu comme travail ici ?

- Djibril : Disons que j’agrémente les soirées des fêtardes qui viennent ici pour se lâcher.

- Moi : Des filles comme moi ?

Un pointe de jalousie complètement incohérente m’a piqué. Je n’étais bien sûre pas la seule à profiter de ses faveurs. Un homme comme lui devait avoir toutes les filles à ses pieds. Puis, une pensée un peu plus effrayante. Pas habituée des coups d’un soir, j’avais totalement oublié l’usage d’un préservatif.

- Djibril : Non ! Pas comme toi. Je fais des stripteases et je suis barman. Il y a beaucoup de flirt et de drague mais me suis juré de ne jamais rentrer chez moi avec une fille que j’ai rencontré là où je bosse et je m’y suis tenu.

- Moi : D’accord !

- Djibril : Et avant que tu flippes, je tiens à te dire que je suis clean. Habituellement, je me protège ! Et puis regarde…

Là, il m’a montré deux préservatifs posés sur son lit.

- Djibril : J’allais en mettre un mais tu ne m’a pas vraiment laissé le temps et j’étais très excité aussi.

- Moi : Vraiment désolée ! Mais je t’assure que je suis clean aussi.

- Djibril : Je me suis fait tester il y a peu et toujours protégé depuis.

- Moi : Ce n’est pas vraiment mon genre… Ce qui vient de se passer entre nous…

- Djibril : Tu regrettes ?

Je me suis collée à lui en embrassant le téton à ma portée et en frottant ma cuisse contre lui, ma main sur sa fesse.

- Moi : Non ! Pas du tout ! Mais ce que tu as dit pour les 10 prochains jours…

- Djibril : J’étais sérieux ! Ton corps est à moi pour dix jours. Aucun autre mec n’a le droit de te toucher !

J’ai rigolé car même si je sentais que c’était ce qu’il souhaitait, son ton était à la plaisanterie.

- Moi : Ca marche dans les deux sens tu sais ? Si je ne peux coucher qu’avec toi, tu n’as pas non plus le droit d’avoir une autre fille… Mais je suis venue avec une copine et je ne peux pas la laisser en plan.

- Djibril : Je comprends.

- Moi : D’ailleurs, je vais rentrer. J’ai eu un texto et elle est rentrée à l’appart.

Djibril s’est levé en même temps que moi et ce qu’il a fait m’a beaucoup plu.

- Djibril : Je te ramène. C’est assez calme dans le quartier mais je ne vais pas te laisser te balader seule dans les rues à cette heure-là.

- Moi : Merci, c’est gentil. Je dois avouer que je n’étais pas plus rassurée que ça.

- Djibril : C’est normal.

On a échangé nos coordonnées en se promettant de se rappeler le lendemain. Quand il m’a déposé et qu’il m’a embrassé, j’ai aussitôt regretté la chaleur de sa peau et la sensation de son corps viril contre moi.

J’ai jeté un œil dans la chambre de Marie qui dormait déjà et je me suis couchée et endormie en repensant à Djibril, un sourire aux lèvres.


J’ai retrouvé Marie pour le petit déjeuner. Il ne nous a fallu qu’une seconde pour savoir qu’on avait déjà réussi à atteindre l’un des objectifs de nos vacances, à savoir prendre du bon temps dans les bras d’un amant sachant ce qu’il faisait. Marie rayonnait, belle comme un cœur, joyeuse, une petite nuisette très courte pour tout vêtement et ses seins faisaient pointer le tissu.

- Moi : Alors ? C’était bien ?

- Marie : MMMMHH ! Oui ! Et ça faisait si longtemps que j’en avait besoin !

- Moi : A voir ton visage, je te crois. C’est vrai que Marco était pas mal foutu !

- Marie : Oui, même s’il était surtout doué avec sa langue et ses doigts, j’ai vraiment passé un bon moment… Et toi ? Miguel était vraiment mignon aussi !

- Moi : Disons que Miguel était vraiment mon type de mec oui. Et on a commencé par des caresses et des baisers super agréables mais… Il avait trop bu et est parti se coucher.

- Marie : Oh merde ! Mais… J’aurais pourtant cru que ta nuit avait été aussi bonne que la mienne. Et tu es rentrée plus tard que moi !

- Moi : Son coloc est arrivé et disons que… Il m’a plu.

- Marie : C’est pas vrai ?? Toi !! Tu as couché avec un total inconnu ?

- Moi : Oui ! Et c’était de loin les 3 plus gros orgasmes de ma vie.

- Marie : OUAHH ! Alors là ! Il était comment ?

- Moi : Grand, pas loin d’1,85m je dirais. Très baraqué et musclé de partout. Très viril, en dessous de la ceinture aussi, si tu vois ce que je veux dire.

- Marie : Ouah ! Mais les fous de muscu, c’est pas vraiment ton genre d’habitude.

- Moi : Non mais maintenant, je vais y repenser sérieusement ! Je peux t’assurer qu’il savait y faire aussi… Et puis, il est français d’origine Ivoirienne.

- Marie : Tu t’es fait un black ????

- Moi : Oui !

- Marie : Tu vas le revoir ?

- Moi : Il m’a dit que j’étais à lui pour dix jours !

- Marie : Possessif ton mec !

- Moi : Oui mais je m’en fiche pas mal si il peut me faire jouir aussi fort les autres fois… Et toi, tu vas revoir Marco ?

- Marie : Non, ce n’est pas prévu. Il y a d’autres mecs ici, très bien foutus aussi. Je ne dis pas que je vais changer tous les soirs mais Marco n’est pas suffisamment exceptionnel pour me donner envie de continuer avec lui, bien qu’il le souhaitait.

- Moi : Tu n’auras aucun mal. Tu es l’une des plus belles filles de l’île. Tu n’auras qu’à leur montrer tes jambes parfaites et ton joli derrière, leur faire un sourire un peu coquin et hop !

- Marie : Peut-être que ton Djibril a un ou deux potes à me présenter ?

- Moi : Peut-être !

- Marie : Mais il faut qu’ils me voient avant de te voir sinon ils vont tous tomber amoureux de ton corps de déesse et de tes seins parfaits… Sans compter ton charme naturel…

- Moi : Arrêtes ! bon, merci quand même mais tu vas un peu loin non ?

A ma grande surprise, Marie est venue vers moi et a ouvert mon petit peignoir fin pour voir ma poitrine. J’étais assise sur un tabouret de bar donc pile à sa hauteur. Mes gros seins fermes étaient offerts à sa vue.

- Marie : La preuve ! Ton mec t’a laissé des marques ! Ça fait mal ?

En effet, j’avais la trace d’un suçon mais ça ne faisait pas mal bien sûr. Le regard de Marie était focalisé sur mes seins et mon ventre dénudés alors que d’un doigt, elle passait doucement sur le téton. Nos regards se sont croisés et sans me quitter des yeux, elle a déposé un petit baiser sur le suçon, puis, sur mon téton.

Elle s’est redressée, timide tout d’un coup, mais très proche de moi.

- Marie : Léonie, je suis désolée, je n’aurais pas dû… Mais tu sais que je suis bi et parler de tout ça, avec toi… Si belle ce matin… Si… Tentante.

Sa main était posée sur ma cuisse nue. De son autre main, elle a caressé ma joue, puis, a passé ses doigts dans mes cheveux au niveau de ma nuque. Ce séjour était fou et je voulais qu’il le soit encore plus. Marie était parfaite pour ça.

- Moi : Djibril a été clair ! Le seul homme qui peut me toucher, c’est lui, Marie ! Je le lui ai promis.

- Marie : Je comprends ! Je ne t’en veux pas !

- Moi : Mais tu n’es pas un homme alors tu attends quoi ?

Tout était comme au ralenti, nos regards, nos lèvres qui se rapprochaient. J’avais toujours trouvé Marie superbe mais je ne m’étais jamais vraiment considérée bi. Sur cette île, tout était bouleversé. Je m’étais faite baiser par un black et j’avais joui comme jamais. Et là, Marie m’embrassait. C’était doux et tendre. Sans vraiment y penser, j’ai fait tomber les bretelles de sa nuisette qui est tombée au sol, à peine ralentie par ses jolies fesses.

- Marie : Tu es sûre ?

J’ai juste fait pression sur sa nuque pour qu’elle gobe mon sein. Marie s’en délectait et mon peignoir en satin n’était plus qu’un souvenir sur moi. Marie était d’un douceur exquise. Elle m’a pris la main et mené à sa chambre où on s’est allongé sur le lit.

- Marie : Si tu savais depuis le temps que je rêve de ça mais… Je ne veux pas gâcher notre amitié.

- Moi : J’ai envie de toi ! Montres-moi ce que c’est d’être avec toi !

Sa peau était de soie, parfaite sous mes doigts, parfaite quand nos corps se frottaient ou se frôlaient. Sa bouche a entamé une descente le long de mon corps.

- Marie : Il portait un préservatif ? Il a joui en toi ?

- Moi : Pas de préservatif non, mais il a jouit sur moi, pas en moi.

- Marie : Où ?

D’un doigt, j’ai tracé les traînées de spermes que Djibril avait laissé sur moi, même si lavées depuis. Chaque fois que mon doigt se posait, elle déposait un baiser ou léchait ma peau. Plus mon doigt descendait bas, plus elle léchait. Le message était clair et ses yeux pétillaient de malice. Elle mordillait parfois mes tétons et envoyait des ondes de désir à travers mon corps. Je la touchais autant que je le pouvais, autant qu’elle le permettait.

Finalement, j’ai placé mon doigt à hauteur de mon sexe.

- Marie : Il a joui là aussi ?

- Moi : Non, mais j’en avais envie… C’est pareil non ?

Elle a rigolé un peu mais s’est placée entre mes jambes. Elle a déposé des baisers, sorti sa langue pour me laper. C’était différent d’un homme, plus doux, plus tendre que ce que j’avais pu connaître jusque-là.

Elle alternait et venait parfois sucer mes seins. Plus forte qu’elle, j’en profitais pour l’attirer à moi et goûter mon jus sur ses lèvres. Je passais la main sur son sexe et la doigtais un peu, ravie de l’entendre gémir.

Je suis passée sur elle, lui donnant mes seins, l’un après l’autre, avant de moi aussi découvrir son corps. J’ai aimé débusquer son clitoris, sentir son corps se cabrer pour réclamer mes caresses, réclamer plus. La première chatte de ma vie était délicieuse, taboue, elle aussi.

Rapidement, on s’est retrouvées en 69, se dévorant l’une l’autre, nos corps totalement imbriqués. Je ne sais pas qui, de moi ou elle a commencé à jouir en premier mais c’était quasi simultané, magique.

S’en est suivi un fou rire de dingue quand on a repris nos esprits. Notre complicité avait pris un nouveau tournant et j’étais certaine que c’était pour le meilleur.




MARIE

Un rêve venait de devenir réalité. Je venais de faire l’amour à ma meilleure amie, celle dont j’étais tombée amoureuse presque au premier jour. Je suis bi. J’aime coucher avec un homme, mais je suis également attirée par les femmes. Et dans le cas particulier par Léonie, belle, douce, parfaite, si féminine dans tous ce qu’elle fait.

Je ne pensais pas qu’elle me laisserait la toucher, encore moins lui faire l’amour, mais ça venait de se produire pourtant. Je devais faire attention à ne pas la brusquer, à ne pas perdre son amitié. Je préférais rester son amie plutôt que de ne pas l’avoir dans ma vie du tout, quitte à souffrir de la voir avec quelqu’un d’autre.

Maintenant, il me restait à trouver un moyen de savoir si, pour elle, ce ne serait qu’un moment de folie, ou si elle serait tentée de renouveler l’expérience… Et dans le meilleur des cas, rendre ça plus permanent. L’espoir aussi infime soit-il d’une possible relation avec Léonie me faisait battre le cœur comme une folle.

On a passé l’après-midi à la plage, nous baignant tranquillement de temps en temps, aguicheuses envers les mecs qui nous draguaient mais nous amusant comme des gamines à repousser gentiment leurs avances. Léonie me poussait à en accepter certaines mais si elle avait Djibril en tête, moi, je l’avais elle.

Ce soir-là, Djibril avait pris sa soirée pour être avec Léonie mais nous a invité toutes les deux dans un restos bar à tapas qu’il fréquentait régulièrement.

Quand il est arrivé, j’ai compris immédiatement pourquoi Léonie avait accepté de coucher avec lui. Il était une force de la nature, avait un charme et un charisme de dingue, et m’a accueilli avec gentillesse et tact.

J’ai été jalouse de leurs baisers, de leur complicité, mais pendant la soirée, Léonie posait régulièrement la main sur ma cuisse ou sur ma main, des gestes assez intimes qui me laissaient un espoir. Seulement, l’espoir était mince. Plus la soirée avançait, plus je comprenais l’attraction de Léonie pour Djibril. Il avait de l’esprit et était gaulé comme un dieu.

Vu son physique, je comprenais complètement qu’il fasse du striptease mais ça ne collait pas vraiment avec le niveau d’éducation qu’il semblait avoir. D’ailleurs, à y réfléchir, je trouvais que c’était comme si il jouait un rôle et ça ne me plaisait pas trop. Je ne voulais pas que Léonie souffre de quelque chose qu’il pouvait faire. Une sorte de besoin de la protéger montait en moi. C’est sorti de ma bouche avant que j’ai le temps de réfléchir, en tous cas, je ne voulais pas le dire sur ce ton-là.

- Moi : Djibril, à quel jeu tu joues ?

- Djibril : Quoi ?

- Moi : Je veux savoir à quoi tu joues… Tu as un succès fou avec les filles, tu dois avoir la possibilité d’en avoir une nouvelle chaque soir… Le striptease… Qu’est-ce que ça t’apporte ? Parce que tu ne vas pas me faire croire que tu ne peux faire que ça de ta vie ?

- Léonie : Marie, ça ne va pas ?

- Moi : Léonie, il cache quelque chose… Et je ne veux pas de ça avec toi… Je ne veux pas qu’il te fasse du mal…

- Léonie : Je ne comprends pas ce que tu veux dire !

- Djibril : Attends Léonie ! Marie t’aime beaucoup, ça se voit et elle a le droit de se poser des questions. Continues Marie…

- Moi : Tu joues un rôle ici. Striptease, barman, charmeur… Je ne suis pas sûr que ce soit toi… Et j’ai bien l’impression que tu es sacrément intelligent malgré l’impression que tu veux donner de vivre tout à la légère… Léonie, je suis quasiment persuadée qu’il est encore plus diplômé que nous et du coup, je ne comprends pas pourquoi il fait ce qu’il fait. Pourquoi il te cache ça ?

Djibril a souri.

- Djibril : Tu es très franche Marie.

- Léonie : Oui, très franche… Trop franche parfois. Ecoute Marie, on est venu s’amuser ici et moi aussi, j’ai senti ce que tu dis mais j’aime bien Djibril et je veux juste profiter d’un mec gentil et… qui a plein d’autres qualités… Ne t’en fais pas pour moi d’accord ?

- Moi : Je suis désolée. Je ne voulais pas être désagréable, je le promets.

J’avais des larmes aux yeux, honteuse de gâcher leur soirée. Je me suis levée.

- Moi : Je vais vous laisser.

- Djibril : Non, s’il te plaît. Reste !

Je me suis rassise.

- Djibril : Pour tout vous dire, je ne joue pas vraiment un rôle. Je suis vraiment comme je veux être en ce moment et profiter de la vie. En effet, je ne ferais pas ça toute ma vie mais pour l’instant, je gagne suffisamment d’argent et je m’amuse. Et tu es très perspicace. Oui, j’ai des diplômes. Je suis radiologue.

- Léonie : Ouah ! Pas mal !

- Djibril : Mais la plupart des filles ne viennent pas ici pour s’amuser avec un « radiologue ».

Ça m’a fait sourire et j’étais contente qu’il s’ouvre.

- Moi : Oui, ça manque d’exotisme.

- Djibril : Exactement ! Et c’est ce que tout le monde recherche ici, même vous…

- Moi : Je suis comptable. Et Léonie est commerciale en produits pharmaceutiques. On sait toutes les deux que tu gagnerais plus en exerçant ton métier. Je vois que Léonie est bien avec toi. Tu me dis pourquoi tu vis ici et tout es ok !

- Djibril : Ahahah ! Tu ne lâches pas l’affaire.

Il s’est assombri un peu.

- Djibril : Mon frère est mort l’année dernière, en début d’année. Un stupide accident en rentrant tard du boulot. Les gendarmes sont persuadés qu’il s’est juste endormi au volant… Sauf qu’à 130km/h, ça ne pardonne pas quand la voiture passe par-dessus la barrière de sécurité…

- Moi : Merde, je suis désolée.

- Djibril : J’ai juste eu besoin de décompresser un peu après ça ! Vous savez que c’est la première fois que je raconte ça !

Je me suis sentie mal car bien qu’il aurait pu nous raconter des bobards, je sentais qu’il était sincère.

Léonie est allée sur ses genoux, sentimentale comme à son habitude, adorable. Elle l’a embrassé avec passion et j’aurais voulu être à la place de Djibril, pour recevoir ces baisers. Ou bien à la place de Léonie, pour goûter les lèvres si sexy de Djibril, je ne savais plus de trop.

A ce moment-là, Léonie a décidé de changer de sujet totalement. Et j’ai éclaté de rire.

- Léonie : Au fait, j’ai couché avec quelqu’un d’autre que toi ce matin.

Il a eu un mouvement de recul.

- Djibril : Hein ! En une matinée, tu as trouvé un autre mec ? Je… Pourquoi ??? Je croyais que tu étais d’accord ? Que ça s’était bien passé entre nous ?

- Moi : Djibril ! Elle m’a parlé de votre accord et elle ne l’a pas rompu, calme toi !

- Djibril : Mais ?

- Léonie : Tu as dit qu’aucun autre mec n’avait droit de me toucher. Tu n’as jamais parler d’une fille…

A ce moment, elle m’a regardé et bien que je rigolais franchement, je sais que j’ai rougi. Djibril était béat.

- Djibril : Marie et toi ?

- Léonie : C’est nouveau… tout nouveau…

- Djibril : Et moi là-dedans ?

- Léonie : A toi de voir.

Léonie m’a scié complètement avec la suite.

- Léonie : Ces vacances sont de la folie… J’adore être avec toi et je veux te connaître plus. Marie m’adore, je m’en rends compte et je crois que je ressens la même chose… en tous cas, je veux explorer plus avec elle… Et à voir son regard sur toi, tu ne la laisses pas indifférente… Je joue moi aussi souvent la bimbo un peu naïve. Je la connais depuis longtemps… Elle voudrait être à ma place, avec tes mains et ta bouche sur elle. Ou à ta place, à me caresser ou m’embrasser… Reste à savoir ce que « toi » tu veux ? Même si tu déshabille Marie des yeux depuis ton arrivée.

Léonie m’a regardé dans les yeux avec intensité et s’est assise à côté de moi avant de se pencher pour m’embrasser devant tout le restaurant, ma main parcourant son dos, la sienne à la base de mon sein. Est-ce qu’elle vivait juste à fond ces vacances ? Est-ce qu’elle allait vouloir plus, après ? Elle a murmuré dans mon oreille, sa voix couverte par la musique.

- Léonie : C’est un mec bien. Il peut nous combler… Toutes les deux… Je veux voir sa queue te faire jouir, t’embrasser alors qu’il te baise…

- Moi : Mon dieu ! C’est vraiment ce que tu veux ?

- Léonie : Et plus encore ! Sa queue est magnifique Marie ! Tu vas aimer !

- Moi : Tu n’as pas à me dire ça pour que j’ai envie de lui, c’est déjà le cas… Mais si tu es là aussi… Je vais faire en sorte que tu ne puisses plus jamais te passer de moi ! Je t’aime et je prendrais ce que tu me donnes.

- Léonie : J’ai mis du temps à m’en apercevoir mais je t’aime aussi…

- Moi : Alors profitons ensemble… Toutes les deux… Ou encore mieux à trois !

On a regardé Djibril et le désir était évident dans ses yeux.

- Léonie : On n’est pas juste deux filles prêtes à tout pour s’amuser Djibril… Si tu nous veux…

- Djibril : La question ne se pose pas ! Belles ! Intelligentes ! Différentes ! J’adore !

- Moi : Tu es sûr que tu peux gérer Djibril ? Léonie m’a vanté tes prouesses mais…

Je crois n’avoir jamais vu Léonie plus gênée alors qu’elle me donnait une gentille claque sur l’épaule. Le sourire charmeur de notre probable futur amant commun est revenu, craquant.

- Djibril : Je n’ai jamais fait ça donc je ne veux pas m’avancer. Mais je suis définitivement prêt à tout faire pour ! Où va-t’on ?

- Moi : Le lit de Léonie n’a pas encore vu d’action. Et il est plus grand que le mien…

10 minutes plus tard, on passait notre porte. La nervosité qui m’habitait était énorme mais me rendait vivante, pleine de désir, d’appréhension.

Léonie nous a tiré sans ménagement par la main dans sa chambre. Elle s’est mise dans mon dos et doucement, m’a guidé dans les bras de Djibril sans se décoller de moi. J’ai retenu ma respiration, excitée, tellement pleine de désir. J’ai alors réalisé que j’avais autant envie de Léonie que de Djibril.

La suite a été un mélange de douceur, de partage, de luxure. Tantôt, j’embrassais l’un, puis l’autre. Chaque vêtement arrivait par terre à tour de rôle. Les mains noires comme la nuit, très larges et puissantes de Djibril contrastaient avec les mains fines, blanches et douces de Léonie alors qu’elles couraient sur ma peau dorée. J’avais l’impression que Djibril pouvait me casser en deux sans effort mais il était très sensuel avec moi comme avec Léonie et nos gémissements se mêlaient.

Léonie a appuyé sur mes épaules et je me suis retrouvée à hauteur de son sexe majestueux. Je comprenais mieux le regard d’adoration de Léonie pour Djibril.

Je découvrais une facette de Léonie que je ne connaissais pas et j’adorais. Elle se libérait, était d’une sensualité à couper le souffle, sublime. Sa main s’est saisie du sexe de notre amant.

- Léonie : Tu vois comme elle est belle ? tu la veux ?

- Moi : Oui !

- Djibril : Tu me tues là Léonie ! C’est trop bon tout ça !

J’ai passé ma main sur la fente de Léonie. Elle coulait.

- Moi : Elle n’en peux plus et on n’a pas encore commencé.

Léonie a gémi sous mes caresses. De mon autre main, j’ai branlé lentement Djibril.

- Djibril : Ton visage d’ange Marie, c’est magique ! Suce-moi ma belle ! Montre-moi que tu as envie de moi !

J’ai léché, sucé, récompensée par ses râles de plaisir. Le gland emplissait ma bouche, comblait mon égo à chaque fois que ma langue le faisait frémir. J’ai tourné la tête et passé ma langue sur le clito de Léonie dont les jambes ont tremblé mais elle m’a relevé, m’a embrassé avec passion et est tombée sur le lit avec moi. Elle m’a dévoré alors que je voyais Djibril s’approcher d’elle. Son cul était cambré, offert. J’ai saisi les cheveux de Léonie pour capter son regard au moment où Djibril s’enfonçait en elle.

Sa bouche s’est ouverte, sa respiration s’est bloquée. Djibril emmanchait son pieu lentement, la fourrait. Un son rauque et érotique est sorti de la gorge de la femme dont je tombais folle amoureuse. Je me moquais de ne pas en être à l’origine. Je voulais juste entendre encore et encore ce son.

- Moi : Elle est bonne sa queue ?

- Léonie : Oui ! OOOHHHHH ! Si grosse ! Et j’aime que tu sois là !


- Moi : Fais la jouir Djibril !

J’ai clairement vu Djibril raffermir sa prise sur les hanches de Léonie et commencer à la pilonner en levrette. Je me suis redressée pour regarder mais Djibril m’a attiré à lui pour m’embrasser. Les cris de plaisir de Léonie emplissaient la chambre. Quand l’orgasme de Léonie l’a laissée sans force, Djibril m’a allongée sur le dos et j’ai ouvert en grand le compas de mes jambes. Djibril m’a caressé un bon moment, fasciné par mes jambes fines et musclées, par mon sexe totalement glabre.

Son gland passait sur ma chatte, s’imprégnait de mon jus.

- Djibril : Tu es magnifique Marie ! Tu m’as lancé le défi de vous satisfaire toutes les deux tout à l’heure ! A mon tour… Est-ce que « tu » crois pouvoir me satisfaire ?

A ce moment, Léonie, qui avait retrouvé ses esprits, m’a embrassé tendrement.

- Léonie : Prends la Djibril ! Tu vas adorer. Elle est très serrée la petite chatte de ma chérie.

Les mains de Léonie, sa bouche et sa langue sur mes seins, les mains de Djibril maintenant mes jambes écartées, sont sexe frottant le mien, j’étais déjà à deux doigts de l’orgasme.

Il est entré en moi délicieusement lentement, mes sens exacerbés par toutes les attentions dont je faisais l’objet. Je ne savais plus où j’en étais, les baisers de Léonie mêlés à ceux de Djibril, sa belle queue atteignant des endroits incroyables, tout me faisait perdre la tête. Mon orgasme est arrivé comme une vague, irrésistible alors que j’aurai presque voulu profiter plus longtemps de mes deux amants. J’ai joui, mes cris étouffés par le baiser de Léonie avant de redescendre petit à petit sur terre.

- Léonie : Il est bon non ?

- Moi : Oui ! J’aime sa belle queue !

- Léonie : Moi aussi.

Je regardais Djibril dans les yeux en disant ça et il souriait.

- Djibril : Je crois que j’ai gagné. Je vous ai fait jouir toutes les deux avant moi.

D’un regard, avec Léonie, on s’est compris. On a basculé notre amant, plutôt docile, sur le dos. Je me suis empalée sur lui dans un grand râle. Mon premier orgasme m’avait laissé sur ma faim. Je voulais plus.

- Moi : Tu crois nous avoir satisfaites parce qu’on a joui une fois ? Tu es loin d’avoir rempli le contrat ! Je veux encore jouir ! Et après, il y aura Léonie !

Il a rigolé et placé ses mains sur mes seins alors que je commençais des coups de bassin rapides et précis. Son gland frottait tous les bon endroits et j’allais à nouveau jouir mais mes mouvements ne le laissaient pas de marbre. Son visage montrait les prémices du plaisir.

J’ai attiré Léonie à moi.

- Moi : Est-ce que ton homme a le droit de jouir en moi ?

Léonie a regardé Djibril qui semblait proche du nirvana, planté au fond de ma chatte serrée.

- Léonie : Est-ce que tu es mon homme ? Est-ce que je t’autorise à jouir dans ma chérie ?

- Djibril : J’ai couché avec toi en premier… Mais j’aime penser que je suis à vous OOOOOHHHHH rien qu’à vous, toutes les deux !!!!

- Léonie : 2 chattes pour toi ?

- Djibril : Oui !

- Moi : Qu’est-ce qu’il est bon Léonie ! Tu crois qu’on pourrait le garder ? Le mettre dans nos bagages ? OOOOHHHHH MON DIEU OUIIIIII !

- Léonie : Tu es magnifique quand tu jouis ma puce ! Vous êtes beau comme ça.

Djibril était vraiment beau sous moi et ça ajoutait à mon excitation. Mon corps s’est cabré sous la violence de mon orgasme alors que Djibril jouissait en moi. Comme dans un brouillard, j’ai vu Léonie jouir grâce aux doigts de Djibril mêlés aux siens.

Je me suis réveillée le lendemain avec les gémissements de Léonie à côté de moi. Djibril la prenait en missionnaire. Elle était en extase, cuisses ouvertes pour l’accueillir en elle. Djibril m’a souri tout en faisant des mouvements amples et lents. Je voyais les phalanges de Léonie blanchir tellement elle serrait fort les biceps de Djibril, ongles enfoncés dans sa peau. Djibril n’a dit qu’un mot « Viens ».

Mon corps s’est collé aux leurs et Djibril m’a embrassé. Il y avait beaucoup de tendresse. Léonie a réagi à mon contact contre sa cuisse, à mes doigts s’aventurant sur sa fesse et dans la raie. Djibril s’est redressé et Léonie m’a attiré, avec un regard très intense, pour un patin qui m’a laissé essoufflée, pleine de désir.

Quelque instants plus tard, les mains puissantes de Djibril m’avaient placé sur elle, nos seins écrasés entre nous, nos lèvres soudées. Djibril a positionné son gland et m’a prise comme ça, le cul offert à ses assauts. Léonie avait les mains sur mes fesses ou griffait légèrement mon dos. Djibril donnait des coups de boutoirs, utilisant toute la longueur de sa queue pour me prendre. Prise en sandwich entre les deux, j’étais au paradis. Nos peaux en sueur glissaient, brillaient. J’ai joui plus fort que jamais et notre amant a pénétré Léonie, puis moi, grognant de plaisir, d’excitation, jusqu’à sa jouissance sur nos corps repus de plaisir.

Djibril est parti peu après car il avait des choses à régler, nous laissant seules. On en a profité pour monter au cœur de l’île, voir un volcan, avant de s’arrêter dans un petit bistro.

LEONIE

J’avais besoin de réfléchir et de parler seule à seule avec Marie.

Toute la journée, on s’était baladées en de tenant la main, ou par la taille. Suivant celle qui conduisait, un main s’aventurait sur un bras ou une cuisse. C’était tendre, affectueux, intime. Je tombais folle amoureuse de Marie. Et je savais qu’il ne faudrait pas longtemps pour développer des sentiments pour Djibril. Il était loin d’être le dragueur dépourvu d’émotion qu’il pouvait laisser paraître au tout début. Il était plein d’humour, quand on n’était pas en train de baiser. Et Marie avait raison, côté cerveau, il n’était pas bête du tout.

Juste avant de rentrer dans le bar, j’ai collé Marie contre un mur, un peu à l’écart des passants. Sous son regard troublé, j’ai déposé un baiser plein de passion sur ses lèvres et avant qu’elle ne réagisse, j’ai pris sa main pour l’entraîner dans un petit bar, pour être à l’abri de la chaleur, et à l’abri des oreilles indiscrètes. Seulement, j’avais du mal à me concentrer. En l’embrassant, Marie avait fondu dans mes bras, yeux pleins de désir. J’adorais cette sensation de pouvoir la rendre aussi sensible à mes attentions. J’aimais cette fille parfaite, belle et si sensible.

- Moi : Marie, je crois qu’il faut qu’on parle.

Léonie m’a regardé un peu apeurée.

- Marie : Je sais que tu aimes les garçons, et Djibril te plaît bien plus que n’importe quel autre homme avec lequel je t’ai vu. Ne t’inquiètes pas. Je vais m’en remettre. Je m’y attendais. Mais j’ai aimé ce qu’on a partagé…

- Moi : Hein ? arrêtes, c’est justement pour ça que je t’ai embrassé avant de rentrer ici. Tu as vraiment l’impression que mon baiser était dépourvu de sentiments ?

- Marie : Non… Bien sûr que non… Mais…

- Moi : Je trouve certaine fille jolies, depuis toujours. Mais avec toi… C’est différent ! Tu ne le vois pas ? Tu ne vois pas que je ne veux pas que ça s’arrête à nos vacances ?

- Marie : Il y a juste une différence entre en être sûre et avoir de l’espoir. J’ai de l’espoir depuis qu’on s’est rencontré… Et ça fait longtemps que je suis amoureuse de toi…

- Moi : J’ai combattu mon attirance pour toi, c’est tout… Et moi aussi je veux être avec toi. Je t’aime aussi ! Mon ex était jaloux de toi et je crois qu’il avait compris ce que je ressentais avant moi.

Léonie avait les larmes aux yeux mais en même temps un sourire franc sur son visage.

- Moi : Mais j’ai quand même un autre souci.

- Marie : Djibril !

- Moi : Oui… Et non ! Je veux dire, il est génial ! Et au lit ! OUAH !

- Marie : Entièrement d’accord ! Pour être franche, je mouille rien que de penser à lui.

- Moi : AHAHAHA ! Je voulais juste te faire part d’une chose… Importante pour moi… Je n’ai pas couché avec un mec pendant des mois après ma rupture donc je peux m’en passer… Mais pas pour toujours. Est-ce que… Est-ce que ça te paraît insurmontable qu’on envisage d’inviter un homme… De temps en temps ? Et Djibril pour la fin des vacances ? Au moins ?

Là, le sourire sur le visage de Léonie s’est encore agrandi.

- Marie : Bien sûr que non ce n’est pas insurmontable! Moi aussi j’aime ce qu’un homme me fait sentir…

- Moi : Ouf !

- Marie : Ce que Djibril me fait sentir… Et pas que dans mon corps…

Elle avait dit ça en baissant un peu la tête, un peu rouge.

- Moi : Je sais ! Il est… facile de succomber à son charme non ?

- Marie : Oui. Il est charismatique et un peu dominateur mais tellement gentil en même temps.

- Moi : Tu aimes être dominée ? Qu’il te domine ?

- Marie : Si tu es là avec moi… Je vous laisserai me faire ce que vous voulez tu sais…

- Moi : Bon sang Léonie ! On est dans un lieu public ! Tu sais seulement ce que tu fais à ma culotte là ?

- Marie : Plus sérieusement… Tout va très vite… Trop vite peut-être. Mais j’aime quand on est tous les trois.

- Moi : Moi aussi ! J’ai l’impression que c’est ce que je cherche depuis longtemps.

- Marie : Profitons de la fin des vacances ! Toi et moi en priorité ! Et avec Djibril quand il peut.

- Moi : Ça me va !

On a bu notre thé glacé tranquillement, un peu plus en silence, avant de reprendre la route. Devant notre logement un énorme bouquet de fleurs nous attendait avec un petit message « Pour les deux magnifiques jeunes femmes qui me font vivre des choses incroyables ! Merci ! Vous me manquez ! »

On est entrées et on était joyeuses, heureuses même.

- Marie : Djibril te plaît vraiment ?

- Moi : Oui ! Et c’est adorable ce bouquet !

- Marie : Alors on ne doit pas le laisser filer.

- Moi : Comment ça ?

- Marie : On va le combler, lui donner un plaisir fou, le faire se sentir bien avec nous.

- Moi : …

- Marie : Et quand il aura compris à quel point il peut être heureux avec nous, il ne tardera pas à venir nous retrouver… Nos langues vont lui manquer, nos mains… Je veux son sperme dans ma bouche, dans mes fesses !

- Moi : J’aime ce que tu dis ! Je lècherai ta chatte !

- Marie : Mon dieu ! Oui ! Et toi ? Tu dois la prendre par derrière aussi. Quand il te prendra par les hanches pour t’enculer, ce sera encore pire qu’un corde au cou !

- Moi : Tu peux parler ! Tu crois qu’il sera comment quand il verra sa grosse queue glisser dans ton mignon petit cul bien fendu

On a rigolé comme des folles. On n’allait peut-être pas réussir à ramener Djibril dans nos bagages mais on était d’accord sur un point, essayer allait être très fun.


DJIBRIL

En un an et demi passé sur cette île dédiée aux soirées de folies, j’avais vécu des moments assez incroyables. J’avais eu besoin de couper les ponts avec ma vie tranquille et tracée pendant un temps après la perte de mes parents, puis de mon frère. Je savais que je n’étais pas là indéfiniment et je profitais juste de ma jeunesse. Diplôme en poche, j’aurai juste à retrouver du travail. Je ne m’en faisais pas vraiment pour ça. Le retour à mon métier serait sans doute un peu compliqué mais je m’en sortirai. L’aspect financier n’est pas un problème pour moi. Mes parents nous ont eu très tard, mon frère et moi et ne sont malheureusement plus de ce monde mais m’ont laissé un héritage conséquent, sans compter la part qui m’est revenue quand mon frère est parti lui aussi, bien trop tôt.

Par contre, les 5 derniers jours qui venaient de s’écouler étaient totalement fous. J’aidais toujours mes potes pour leur business, dansais un peu, prenais les pourboires, mais cette vie liée à la fête n’était même pas ce qui rendait les derniers jours incroyables. Non, ce qui était fou, c’était ma rencontre avec Léonie et Marie.

Léonie, pulpeuse, un corps incroyablement bien fait, avec des hanches, une taille fine et une poitrine fabuleuse, sans compter des fesses et des jambes musclées, parfaites pour me chevaucher des heures. On voit clairement qu’elle aime le fitness. Léonie est sûre d’elle, joyeuse et pétillante.

Marie, elle, est différente. Avec quelques centimètres de plus, je suis persuadée qu’elle aurait pu être top model. Elle a un visage doux, frais, avec des yeux verts splendides et des cheveux blonds dorés splendides. Elle est plus timide mais a un caractère fort, un esprit affuté. Elle adore Léonie. Quand elle la regarde, elle fond complètement. Et comme je sais qu’elles ne sont ensembles que depuis quelques jours, ça veut dire qu’elle devait avoir ces sentiments depuis longtemps. Envers moi, Marie est timide, réservée mais je la sens quand même en confiance. Au lit, elle s’abandonne complètement, nous laisse le champ libre, suit nos désirs. Son corps est fin et tonique, des seins qui pointent vers le ciel, sensible à l’excès. Quand elle se penche et m’offre son corps en levrette, c’est une vision de paradis. Je peux prendre sa taille fine quasiment en entier entre mes mains. Son cul fendu est splendide et j’adore voir ma queue entrer et sortir d’elle alors qu’elle crie de plaisir.

Mais depuis 2 jours, c’est encore plus terrible. Elles sont plus libérées l’une envers l’autre, m’offrent un spectacle dont je ne me lasse pas, débordant de sensualité.

Elles repartent dans 4 jours et je me demande maintenant comment je vais faire quand elles ne seront plus là. Même la vie nocturne trépidante de l’île me paraîtra bien terne. C’est pour ça que j’ai informé toutes mes connaissances que je prenais quelques jours pour moi. Je voulais profiter au maximum de leurs derniers jours ici. D’autant plus que tous les jours, elles se faisaient draguer ouvertement et en rigolaient. Seulement moi, à chaque fois, une pointe de jalousie me vrillaient le ventre. Elles étaient là pour s’amuser. Nous n’étions pas officiellement ensemble. Rien ne leur interdisait un flirt, voir même coucher avec un autre. Pourtant, je n’arrivais pas à m’imaginer l’une ou l’autre avec un autre homme. J’étais presque en colère rien que de penser qu’un autre homme pourrait embrasser les lèvres délicates, douces et tendre de Marie, ou profiter de la sensualité phénoménale dégagée par Léonie quand elle voulait créer du désir…

Je vivais presque en permanence avec elles, à leur demande et pour mon plus grand plaisir. Je suis rentré ce soir-là à l’appartement et Marie et Léonie préparaient une salade pour le dîner. On a pris un petit verre d’apéro et on a mangé. Habituellement, ensuite, je prenais la direction du bar pour quelques heures de service. Elles me rejoignaient un peu plus tard et j’étais alors témoin des nombreuses tentatives de drague.

- Moi : Les filles, j’ai posé les prochains jours. Je ne travaille plus jusqu’à votre départ.

Elle se sont regardées en souriant.

- Moi : Est-ce que vous voulez sortir un peu ? Ou simplement faire une balade ?

- Léonie : dis-donc toi… Est-ce que par hasard, tu ne serais pas jaloux de nous voir nous faire aborder ? Tu veux pouvoir contrôler la situation, c’est ça ?

- Moi : Peut-être un peu, je l’avoue. Mais je veux surtout profiter de votre présence.

- Marie : En tous cas, merci. Je ne sais pas ce qu’en pense Léonie mais moi, une balade en bord de plage tous les trois me tente bien.

- Léonie : Alors c’est parti.

On est passé devant tous les bars branché du bord de mer, profitant de la musique et de l’ambiance mais pas tentés d’y rester. Je ne les ai quitté des yeux que 5 petites minutes pour leur acheter une glace mais ça a suffi pour que 3 mecs les abordent. Elles répondaient gentiment et bien que je savais pertinemment qu’elles n’allaient pas aller plus loin que ça avec eux, j’en étais un peu jaloux quand même. Je suis retourné vers elles et leur ai tendu leur glace.

- Léonie : Merci Chéri.

- Marie : Oui, merci chéri.

Elle m’ont toutes les deux fait un petit bisou sur les lèvres. Il n’en a pas fallu plus pour que les trois mecs s’en aillent avec un air bizarre.

- Moi : Vous voyez, il ne faut pas que je vous laisse seules.

- Léonie : Entièrement d’accord.

- Marie : Mais ce n’est pas parce que tu nous laissera seules qu’on va faire des bêtises… Tant qu’on est sûres de te revoir très vite.

- Moi : En tous cas, on se fait très facilement à l’idée d’avoir des baisers par deux aussi jolies filles.

Le reste de la balade, il y a eu des baisers, des caresses discrètes. Je ne voulais pas que ça se termine si vite, les 4 jours qui restaient à passer ensemble ne seraient pas suffisant.

Arrivés à l’appartement, elles se sont faites douces et tendre, avec des baisers magiques. Je me suis laissé faire quand elles m’ont déshabillé. Elles riaient, me taquinaient, m’embrassaient. Elles ses sont effeuillées devant moi en s’embrassant aussi, relayant leurs mains sur mon sexe dur comme de la pierre.

Ce qui a suivi est certainement encore à ce jour l’un des meilleurs souvenirs de ma vie. Elles m’ont fait allonger sur le dos et se sont mises à déposer des baisers partout sur mon corps, me donnant par fois un seins à lécher, une chatte. Leurs visages se trouvaient maintenant à hauteur de mon sexe.

- Léonie : On est désolé si tu n’aimes pas. C’est une première pour nous. Ne nous en veux pas d’accord ?

- Moi : Bon sang !

Une lange de chaque côté de mon gland, leurs lèvres. A tour de rôle elles me suçaient, caressaient mes boules, léchaient mon gland comme une glace et s’embrassaient. J’étais un gamin dans une fête foraine. Je ne savais pas où donner de la tête.

- Marie : On a vu une vidéo. Elles faisaient comme ça ! Tu aimes ?

Elles ont enlacés leurs doigts et ont saisi mon manche pour me branler doucement et se sont mises à me lécher juste sous le gland. C’était trop, beaucoup trop. J’ai rejeté la tête en arrière, la jouissance venait, forte, bonne. J’ai crié de plaisir, un jet énorme sortant de mon gland dans les airs et retombant sur leurs visages.

- Léonie : Suces-le ! N’en perd pas !

Marie m’a embouché, sucé alors que je continuais à jouir. Elle gémissais autour de ma queue et les vibrations se répercutais en moi comme une vague.

- Moi : Mon dieu ! C’était… Grandiose !

Marie a lâché mon gland et avalé avant que Léonie ne lèche la joue de Marie, récupérant une traînée de sperme.

- Léonie : C’était pour te remercier d’avoir posé des congés. C’était très gentil.

J’ai passé l’heure suivante à les lécher à tour de rôle, à les doigter aussi bien dans la chatte que dans les fesses, sans me préoccuper de mon érection revenue au galop. Celle que je ne léchais pas m’aidait à rendre l’autre folle de plaisir.

- Moi : Si belles ! Si parfaites pour moi ! Je suis en train de tomber amoureux !

- Marie : De laquelle ?

- Moi : De vous deux ! C’est pas croyable ! Je n’ai jamais ressenti ça pour personne !

- Léonie : Mais tu vis ici !

- Moi : C’était temporaire ! Et si vous voulez me donner une chance… Si vous pensez qu’on peut vivre tous les trois…

- Léonie : J’aime Marie. Et je tombe amoureuse de toi aussi Djibril !

- Moi : Et toi Marie ?

- Marie : Je n’ai jamais été aussi sûre de moi de ma vie. On doit essayer. Vous me rendez folle. J’aime tellement tout ce qu’on fait… Et aussi l’idée de tout ce qu’on pourrait vivre ensemble… La vie à trois… Le sexe… Des enfants… Je suis prête à tout pour qu’on essaye… S’il vous plaît

Marie était craquante, adorable, si ouverte. Léonie et moi avons entamé un ballet de mains, de bouches et de langues sur elle. Elle s’offrait, de cambrait, réclamait.

- Léonie : Djibril, Marie est trop bandante non ?

- Moi : Oui. Ce qu’elle vient de dire, c’était… Parfait !

- Léonie : Marie est prête à tout pour qu’on vive tous les trois, pour qu’on s’aime tous les trois.

- Moi : Et j’aime ça !

- Léonie : Je veux la voir jouir. Elle le mérite, non ?

- Marie : Oui ! Oui, je le mérite…

Léonie a murmuré dans son oreille mais suffisamment fort pour que je l’entende et son sourire éclatant était la preuve que c’était totalement voulu.

- Léone : Tu vas lui offrir tes fesses Marie. Je veux te voir jouir avec sa belle bite dans ton petit trou.

- Marie : Oh mon dieu !

Un doigt de Léonie était dans ses fesses jusqu’à la dernière phalange et Marie se trémoussait dessus.

- Moi : J’adore ton cul Marie. J’en ai envie depuis que tu es entrée dans le restaurant la première fois où je t’ai vu. Il m’a fallu beaucoup d’effort pour ne pas bander rien qu’en e voyant dans ton petit short rouge moulant.

- Marie : Oh mon dieu Léonie, là !

- Léonie : Tu aimes ?

- Marie : Oui !

- Léonie : Mais tu voudrais qu’il t’encule hein ?

- Marie : Mon dieu ! Oui ! J’ai envie ! Tellement !


Les minutes suivantes ont été passées s’embrasser et à se caresser. Son anus était l’objet d’attentions particulières et Marie montrait les signes d’une jouissance proche. Léonie à lubrifié mon sexe aussi bien que l’anus de Marie.

Marie était positionnée en levrette, le cul offert, déjà palpitant, magnifique. Marie n’arrêtait pas de gémir, de demander la pénétration. J’ai cru jouir tout de suite quand Léonie m’a murmuré dans l’oreille « J’ai hâte de te voir enculer la femme que j’aime »

J’ai enfin pénétré Marie, uniquement mon gland pendant un bon moment, avant de m’enfoncer plus. Ses gémissements n’étaient que de plaisir et de luxure pure. Ses poings serraient les draps alors qu’elle me tendait son cul le plus possible, acceptant mes coups de queue de plus en plus facilement.

L’espace d’un instant, elle s’est tue et son corps s’est immobilisé.

- Marie :: Oh mon dieu ça vient ! OH MON DIEU ! AAAAAHHHH ! OOOOHHHHHH !

Marie jouissais comme une folle autour de ma grosse queue noire. Elle était belle et excitante. Son corps s’est mis à trembler et s’en était trop pour moi. J’ai maintenu ses fesses contre moi alors que je me lâchas en elle. Je suis sorti d’elle lentement et avec précaution mais même une fois hors de son cul, elle continuait à gémir et à trembler, un rictus de plaisir intense sur le visage.

Léonie m’a attiré à elle et on s’est embrassé et cajolé un moment pendant que Marie reprenait ses esprits. Ensuite, Léonie a couvert le corps de Marie de baisers doux et tendre.

- Léonie : C’était intense ! Et très excitant !

- Marie : Très ! C’était incroyable !

- Moi : Vous êtes vraiment géniale les filles.

- Léonie : On sait !

Marie s’est collée à moi et m’a parlé mais a regardé Léonie dans les yeux.

- Marie : Il faudra que tu sois très patient avec Léonie quand tu l’enculeras mon chéri… Elle n’a jamais rien eu dans les fesses notre petite Léonie… Et tu es si gros…

Léonie respirait fort, entre anxiété et désir.

- Moi : Oui ! l doit y avoir une vraie égalité entre vous si on veut que ça marche nous trois.

Marie a donné du plaisir à Léonie mais pour ma part, j’étais hors-jeu. Voir ma queue entrer et sortir du cul parfait de Marie m’avait complètement vidé et on s’est endormi après une bonne douche.



LEONIE

Les vacances de rêve sont malheureusement terminées et Marie et moi sommes rentrées en France. Marie a refusé que Djibril nous accompagne à l’aéroport. J’ai découvert à quel point Elle était sensible.

Il était pourtant prévu que Djibril nous rejoigne rapidement mais ça ne l’empêchait pas de ressentir cette séparation avec beaucoup de tristesse.

Je sais qu’elle a parlé seule à seul avec Djibril quelques instants et qu’il a rigolé et m’a fait un clin d’œil pour dire que tout allait bien.

1 semaine après notre retour, Marie emménageait chez moi. Mon appartement n’était pas bien grand mais il était mieux placé que le sien. Tous les soirs, on parlait avec Djibril, puis on se couchait et souvent, on faisait l’amour avant de s’endormir ensemble. On était bien, heureuse mais Djibril nous manquait. Son côté viril manquait à notre quotidien. Bien sûr, ses performances au lit nous manquaient aussi beaucoup mais il avait aussi beaucoup d’humour et était intelligent.

Marie caressait souvent mes fesses, léchait mon petit trou. Elle a commencé avec sa langue, un doigt, puis deux. La combinaison de sa langue sur mon clitoris et de son doigt dans mes fesses m’emmenait à chaque fois vers l’orgasme mais les paroles de Marie n’ étaient jamais innocentes non plus. Les mots étaient crus, érotiques, hard. Elle me demandait d’imaginer Djibril à sa place, ses mains larges et puissante tenant fermement mes hanches pour me baiser le cul, m’enculer.

Djibril n’a pas pu faire autrement que de passer quelques semaines de plus sur l’île pour organiser son retour et tout mettre au clair là-bas.

On était un vendredi soir, en train de finir de ranger notre vaisselle quand la sonnette à retenti. J’ai juste entendu une cri aigu et interminable alors de Marie allait ouvrir. Je suis allée voir qui pouvait déclencher une telle hystérie quand j’ai vu marie pendue au cou de Djibril, ses chevilles croisées dans son dos et le serrant le plus fort possible contre elle. Elle l’embrassait passionnément. Djibril avait un sourire jusqu’au oreille alors que j’étais bouche bée dans le couloir.

Marie a lâché Djibril et il m’a attiré dans ses bras pour un baiser long et tendre qui m’a fait complètement fondre et m’a fait monter les larmes aux yeux. Il m’avait terriblement manqué.

- Marie : Tu aurais dû nous dire que tu arrivais aujourd’hui !!!!

- Djibril : Je voulais vous faire la surprise. Vous avez mangé je suppose ?

- Moi : Oui, et toi ?

- Djibril : Oui. Mettez un gilet, je vous emmène quelque part !

On s’est dépêché de se préparer mais apparemment, on pouvait rester dans nos tenues décontractées. Il nous a fait monté dans une jolie petite voiture et s’est garé à peine 1 km plus loin.

Nous sommes entrés dans un bel immeuble, puis dans un appartement au dernier étage.

- Marie : On est chez qui là ?

- Djibril : Visitez et je vous le dirai après.


L’appartement faisait 4 fois la taille du mien au minimum, récent et avec une terrasse splendide. En dernier, on est entré dans une chambre spacieuse, décorée avec goût. Le lit était immense et au-dessus, trônait un selfie en grand format de nous trois le troisième jour de notre rencontre, au bord d’une plage.

- Moi : Djibril ! Pourquoi il y a notre photo au-dessus d’un lit ?

- Marie : J’aimerai aussi savoir.

- Djibril : La photo peut être mise ailleurs… Et si l’appartement ne vous plaît pas ou que vous voulez en visiter d’autres, pas de problème mais… On pourrait vivre ici tous les trois ?

- Marie : L’appartement est splendide mais… Ca doit coûter une fortune de louer ça !

- Djibril : J’ai signé un compromis de vente aujourd’hui. J’ai 7 jours pour me rétracter mais le propriétaire me fait un sacré prix si on conclu la vente très tôt. Il a besoin de l’argent… Et je l’ai. C’est un bon investissement pour moi.

Avec Marie, on s’est regardé, abasourdie, avant de sauter de joie.

- Moi : Quand peut-on emménager ?

- Djibril : J’ai les clés… L’appartement est libre…

J’ai attitré Marie à moi et on s’est embrassé. Notre effeuillage a été lent, sensuel. Marie léchait mes gros seins, mordillait mes tétons, sous les yeux pleins de désir de Djibril. L’index de Marie est passé entre les lèvres de mon sexe, l’exhibant trempé devant les yeux de Djibril qui d’un geste rapide a saisi la poignet de Marie et a sucé son doigt pour me goûter en grognant de bonheur.

Je coulais et Marie n’était pas mieux.

2 minutes plus tard, Djibril était nu, le sexe au garde à vous et plus gros que jamais. On a basculé sur le lit, nous mélangeant, retrouvant la sensation enivrante de nos corps dans le feu de la passion. J’aime Marie. J’aime son corps, mais il me manquait la puissance virile de notre amant black. Marie a sucé Djibril quelques instants et je me suis retrouvée à quatre patte, la mains puissantes de Djibril enserrant ma taille alors que Marie guidaient son manche en moi. J’ai feulé de plaisir de me sentir écartelée par ce membre adoré.

- Djibril : Vous m’avez manqué !

Marie m’embrassait, embrassait Djibril, lubrifiait le sexe qui me fourrait, me mettait un ou deux dans l’anus. Je jouissais, reprenais mes esprits, puis jouissais à nouveau.

- Marie : C’est le moment ma chérie !

- Moi : Hein ? Quel moment ? OOOOHHHH OUIII!

- Marie : Le moment où il te prend les fesses ! Djibril ! Sors de Léonie !

- Djibril : D’accord mais j’étais bien là !

- Marie : Tu seras encore mieux bientôt !

Marie a sucé Djibril, puis a lubrifié son sexe avant de le présenter à l’entrée de mon cul. Je gémissais d’impatience et d’appréhension mêlées.

- Marie : Tu vas adorer Léonie… C’est si bon !

Djibril est entré en moi doucement, dur comme du bois, gros, énorme. Et pourtant, je voulais ça plus que tout. Marie avait réussi par deux fois à l’avoir en elle par là. Je réussirai aussi. Djibril caressait mes fesses et mon dos. Marie m’embrassait, pinçait les tétons de mes seins.

- Marie : Tu es si belle ! Tu est faite pour la que de notre homme. Il entre bien !

- Moi : Oh mon dieu ! Si gros !

- Marie : Oui ! Il t’ouvre bien !

Djibril bougeait à peine mais je le sentais toujours plus en moi. La sensation me rendait folle. J’ai moi-même bougé mon bassin et crié de surprise au plaisir que j’y ai pris. Je savais qu’il n’étais pas totalement en moi mais il a commencé ses allers et retours dans mes fesses. Moins d’une minute plus tard, j’étais en transe, criant et bavant, jouissant comme une dingue.

J’ai même senti les soubresauts de la queue de Djibril dans mon cul alors qu’il éjaculait en moi.

Je me suis effondrée, terrassée par l’orgasme et je me suis assoupie. Des gémissements faibles mais bien reconnaissables m’ont réveillé.

Marie m’a regardé avec un petit sourire et des yeux vitreux « Désolée ». Djibril était entre ses jambes et son sexe allait et venait lentement en elle, de toute sa longueur. Il faisait l’amour à Marie et ils étaient superbes. Chaque fois que Djibril poussait sa queue en elle, Marie semblait être dans un autre monde.
- Marie : Je ne voulais… OOOOOHHHH… pas te réveiller mais…. OH MON DIEU… c’est trop bon…

- Moi : Je sais… Je vous aime… On sera heureux ici.

Ils ont joui, fort et longtemps.

- Djibril : Je ne sais pas ce que l’avenir nous réserve mais je suis le plus heureux des hommes. Vous êtes exceptionnelles et je vous aime comme un fou.

A ce moment, une pensée m’a traversé l’esprit et j’ai regardé Marie en souriant.

- Moi : Tant mieux car on ne savait pas quand tu arrivais… Et on a toutes les deux fait enlever notre stérilet dès notre arrivée en France… Et on n’a pas encore commencé la pilule…

- Marie : Tu nous as prises au dépourvu et on avait trop envie… Alors est-ce que tu imagines ce qu’un homme jeune et viril comme toi peut faire à deux belles jeunes femmes en chaleur comme nous.

Djibril a souri légèrement et m’a attiré à lui.

- Djibril : Je ne vais pas faire de jalouses ! J’ai joui dans tes fesses Léonie ! Je suis sûr que tu ne voudrais pas manquer l’occasion d’être enceinte en même temps que Marie.

- Moi : Non !

Cette fois l’idée qu’il puisse me mettre enceinte faisait monter en moi un désir plus fort encore qu’avant. Alors que Djibril me pénétrait à nouveau et que Marie m’embrassait tendrement, je me disais que la vie à trois commençais terriblement bien…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle histoire. La vie a trois doit être incroyable ! Pas de baisse de régime, en constante envie de plaire au deux autres partenaire... L'intensité du désire et de la séduction doit être à son maximum...

Deux femmes bis à la recherche d'un blanc ayant réussi, étant séducteur et voulant tanter l'expérience à 3, puis à 5 🤰🤰🤵

Histoire Libertine
A quand la suite de vos histoires , on va vous appeler Désirée à force !!! LOL

La chipie

Histoire Libertine
A quand d’autres histoires ???

Histoire Libertine
On est en septembre. Les vacances sont finies. Merci de vous remettre au travail !!! LOL

La chipie

Merci pour ce commentaire, c'est très encourageant même si à la relecture, je me suis aperçu de fautes de frappes.

Histoire Erotique
Encore un excellent texte, une histoire incroyablement érotique où personne n'est lésé. Bravo



Texte coquin : Décompresser... à trois c'est mieux
Histoire sexe : Une rose rouge
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