découvert (première histoire)
Récit érotique écrit par transparent [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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découvert (première histoire)
Première histoire:découverte
Partager ici, ce que je ne raconte pas. Voila mon but. A la fois humble et ambitieux.
Pour cela, il me faut revenir quelques temps en arrière. C’était un vendredi soir. Je revenais en voiture d’un rendez-vous professionnel. Avocat, j’avais du me déplacer à un peu plus d’une heure de route. J’avais quitté l’autoroute, je voulais prendre le temps de rentrer. Il était déjà tard, je n’étais pas pressé. Je me suis arrêté sur une petite place de village pour acheter une bouteille d’eau, des bonbons, faire le plein. Avant de descendre je choisi le cd pour la suite du trajet. Mon dévolue se jète sur un pianiste de jazz, ce sera MONK qui me raccompagnera chez moi.
Quand je reviens à la voiture, en train de tenter d’ouvrir ma bouteille, je manque de bousculer une personne sur la place. Je m’arrête, je m’excuse, en attrapant de façon un peu réflexe l’épaule de cette personne que j’ai cru déséquilibrée. Il s’agit d’une jeune fille, environ la vingtaine. L’impression de déséquilibre que j’ai eu en la bousculant, provient du fait qu’elle porte des bagages. Je trouve ses yeux rouges, son visage est très pale, visiblement elle ne va pas bien.
Je vous prie de m’excuser, dis je en retirant ma main de son épaule.
Son regard planté dans le mien, elle ne semble pas comprendre.
Ça va? Je l’interroge, en baissant un peu la voix.
Oui, merci.
Vous avez besoin de quelque chose? Je peux vous aider?
Au loin MONK et son groupe se font entendre dans mon véhicule dont les vitres sont entrouvertes.
Non merci, c’est gentil.
Je lui fais un sourire et je la laisse la.
Je monte dans mon véhicule, je parviens enfin à ouvrir cette bouteille d’eau. Je pose le sac de bonbon, que je viens d’ouvrir, ma bouteille à coté, je monte un peu le son, bloque ma ceinture de sécurité. Je regarde l’heure quand j’entend qu’on frappe à la vitre. C’est cette jeune fille, qui me fait signe de baisser le carreau.
Vous allez à XXX?
Je suis un peu surpris, je marque un temps un peu plus long qu’il ne faudrait. Elle reprend, sans me laisser le temps de répondre.
J’ai besoin de rentrer à la cité universitaire ce soir. Mais je n’ai pas de voiture et je ne souhaite pas appeler mes parents. Elle se retourne et regarde les bagages qu’elle a laissé à une petite dizaine de mètres derrière elle.
Ça me rendrait vraiment service, si vous pouviez au moins me rapprocher.
Involontairement j’ai souri, j’ai débouclé ma ceinture, puis je l’ai aidé à charger ses bagages dans le coffre.
Elle m’apprendra par sa jolie voix douce, durant ce trajet, les raisons de sa présence dans ce petit patelin ce début de week end. Elle avait voulu faire une surprise à son copain, venir le rejoindre pour quelques jours. Mais lorsqu’elle a frappé à la porte du petit appartement qu’il occupait, depuis qu’il avait trouvé ce poste de paysagiste dans une boîte locale, c’est une autre qui lui ouvrit la porte. Lorsqu’elle aperçu à travers l’encadrement son copain, torse nu, l’air gêné, elle fit demie tour pour qu’il ne puisse voir les larmes dans ses yeux. Le bus l’avait conduit jusque la, elle était bloquée. Elle ne voulait ou ne pouvait appeler ses amis, ses parents, je fus une sorte d’apparition providentielle pour elle.
Peu à peu, on discute chemin faisant, elle fait des études de droit, je suis avocat, on avait de ce fait des points de convergence évidents. Elle m’interroge sur mon métier, mon cabinet, ma spécialisation. Lorsque je l’ai déposé devant la cité universitaire, après avoir déchargé ses bagages du coffre, nous avons échangé nos numéros. A travers le pare brise je l’ai regardé s’éloigner. Elle n’était pas pour ainsi dire tout à fait jolie, au sens que l’on ne se retournerait pas sur elle dans la rue, mais elle avait un petit quelque chose qui faisait son charme. Je n’aurais su définir quoi à ce moment. Mais j’étais tout à fait certain que l’on se retrouverait rapidement.
Les jours par la suite s’enchainèrent, sans que je repense à cette histoire. Jusqu’à un soir ou je trainais plutôt tard au travail. Célibataire, sans enfant, trentenaire presque quadra, mon travail occupe la majeure partie de mon temps. Mon portable me signale que j’ai reçu un texto. C’était je pense bien plus de trois semaines après.
Bonsoir, Je voulais te dire merci même si c’est un peu tard pour m’avoir raccompagnée l’autre soir. Un peu déboussolée ce soir la, je ne suis pas certaine de l’avoir fait. En tout cas merci, c’était vraiment sympa. Je ne sais pas comment j’aurais fait, si tu n’avais pas été la.
Hello, heureux de savoir que ça va mieux à présent pour toi. Ce fut avec joie. J’imagine que tu dois attaquer la révision des partiels, je te souhaite bon courage, c’est toujours des moments intenses.
On échangea ainsi quelques mots par textos interposés les jours qui suivent. Puis quelques temps avant ces partiels, on décide de se retrouver à la terrasse d’un bar de la ville. Je discutais au téléphone, en marchant pour la rejoindre à la terrasse, quand je l’aperçu qui se dirigeait vers notre lieu de rendez-vous. Elle ne me voyait pas, elle était de dos sur le trottoir d’en face à quelques mètre devant moi. Elle avait un superbe cul, une cambrure tout à fait démoniaque. Elle n’étais pas apprêtée. Un jean’s des baskets, un tee-shirt ample. Ses cheveux défaits sur les épaules, châtains foncés. Une peau un peu pale, mais qui doit prendre rapidement des couleurs me semble t il. Un bus stoppa au feu rouge, m’empêchant de la détailler mieux. C’est à cet instant que je su qu’il y aurait quelque chose entre nous.
A suivre….
Partager ici, ce que je ne raconte pas. Voila mon but. A la fois humble et ambitieux.
Pour cela, il me faut revenir quelques temps en arrière. C’était un vendredi soir. Je revenais en voiture d’un rendez-vous professionnel. Avocat, j’avais du me déplacer à un peu plus d’une heure de route. J’avais quitté l’autoroute, je voulais prendre le temps de rentrer. Il était déjà tard, je n’étais pas pressé. Je me suis arrêté sur une petite place de village pour acheter une bouteille d’eau, des bonbons, faire le plein. Avant de descendre je choisi le cd pour la suite du trajet. Mon dévolue se jète sur un pianiste de jazz, ce sera MONK qui me raccompagnera chez moi.
Quand je reviens à la voiture, en train de tenter d’ouvrir ma bouteille, je manque de bousculer une personne sur la place. Je m’arrête, je m’excuse, en attrapant de façon un peu réflexe l’épaule de cette personne que j’ai cru déséquilibrée. Il s’agit d’une jeune fille, environ la vingtaine. L’impression de déséquilibre que j’ai eu en la bousculant, provient du fait qu’elle porte des bagages. Je trouve ses yeux rouges, son visage est très pale, visiblement elle ne va pas bien.
Je vous prie de m’excuser, dis je en retirant ma main de son épaule.
Son regard planté dans le mien, elle ne semble pas comprendre.
Ça va? Je l’interroge, en baissant un peu la voix.
Oui, merci.
Vous avez besoin de quelque chose? Je peux vous aider?
Au loin MONK et son groupe se font entendre dans mon véhicule dont les vitres sont entrouvertes.
Non merci, c’est gentil.
Je lui fais un sourire et je la laisse la.
Je monte dans mon véhicule, je parviens enfin à ouvrir cette bouteille d’eau. Je pose le sac de bonbon, que je viens d’ouvrir, ma bouteille à coté, je monte un peu le son, bloque ma ceinture de sécurité. Je regarde l’heure quand j’entend qu’on frappe à la vitre. C’est cette jeune fille, qui me fait signe de baisser le carreau.
Vous allez à XXX?
Je suis un peu surpris, je marque un temps un peu plus long qu’il ne faudrait. Elle reprend, sans me laisser le temps de répondre.
J’ai besoin de rentrer à la cité universitaire ce soir. Mais je n’ai pas de voiture et je ne souhaite pas appeler mes parents. Elle se retourne et regarde les bagages qu’elle a laissé à une petite dizaine de mètres derrière elle.
Ça me rendrait vraiment service, si vous pouviez au moins me rapprocher.
Involontairement j’ai souri, j’ai débouclé ma ceinture, puis je l’ai aidé à charger ses bagages dans le coffre.
Elle m’apprendra par sa jolie voix douce, durant ce trajet, les raisons de sa présence dans ce petit patelin ce début de week end. Elle avait voulu faire une surprise à son copain, venir le rejoindre pour quelques jours. Mais lorsqu’elle a frappé à la porte du petit appartement qu’il occupait, depuis qu’il avait trouvé ce poste de paysagiste dans une boîte locale, c’est une autre qui lui ouvrit la porte. Lorsqu’elle aperçu à travers l’encadrement son copain, torse nu, l’air gêné, elle fit demie tour pour qu’il ne puisse voir les larmes dans ses yeux. Le bus l’avait conduit jusque la, elle était bloquée. Elle ne voulait ou ne pouvait appeler ses amis, ses parents, je fus une sorte d’apparition providentielle pour elle.
Peu à peu, on discute chemin faisant, elle fait des études de droit, je suis avocat, on avait de ce fait des points de convergence évidents. Elle m’interroge sur mon métier, mon cabinet, ma spécialisation. Lorsque je l’ai déposé devant la cité universitaire, après avoir déchargé ses bagages du coffre, nous avons échangé nos numéros. A travers le pare brise je l’ai regardé s’éloigner. Elle n’était pas pour ainsi dire tout à fait jolie, au sens que l’on ne se retournerait pas sur elle dans la rue, mais elle avait un petit quelque chose qui faisait son charme. Je n’aurais su définir quoi à ce moment. Mais j’étais tout à fait certain que l’on se retrouverait rapidement.
Les jours par la suite s’enchainèrent, sans que je repense à cette histoire. Jusqu’à un soir ou je trainais plutôt tard au travail. Célibataire, sans enfant, trentenaire presque quadra, mon travail occupe la majeure partie de mon temps. Mon portable me signale que j’ai reçu un texto. C’était je pense bien plus de trois semaines après.
Bonsoir, Je voulais te dire merci même si c’est un peu tard pour m’avoir raccompagnée l’autre soir. Un peu déboussolée ce soir la, je ne suis pas certaine de l’avoir fait. En tout cas merci, c’était vraiment sympa. Je ne sais pas comment j’aurais fait, si tu n’avais pas été la.
Hello, heureux de savoir que ça va mieux à présent pour toi. Ce fut avec joie. J’imagine que tu dois attaquer la révision des partiels, je te souhaite bon courage, c’est toujours des moments intenses.
On échangea ainsi quelques mots par textos interposés les jours qui suivent. Puis quelques temps avant ces partiels, on décide de se retrouver à la terrasse d’un bar de la ville. Je discutais au téléphone, en marchant pour la rejoindre à la terrasse, quand je l’aperçu qui se dirigeait vers notre lieu de rendez-vous. Elle ne me voyait pas, elle était de dos sur le trottoir d’en face à quelques mètre devant moi. Elle avait un superbe cul, une cambrure tout à fait démoniaque. Elle n’étais pas apprêtée. Un jean’s des baskets, un tee-shirt ample. Ses cheveux défaits sur les épaules, châtains foncés. Une peau un peu pale, mais qui doit prendre rapidement des couleurs me semble t il. Un bus stoppa au feu rouge, m’empêchant de la détailler mieux. C’est à cet instant que je su qu’il y aurait quelque chose entre nous.
A suivre….
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