Découverte (suite): Contretemps

- Par l'auteur HDS Chacha11100 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Découverte (suite): Contretemps Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Découverte (suite): Contretemps
Vite rentrer à l’appartement. J’accélère le pas autant que je le peux, les hommes que je croise me sourient, j’ai même des regards bienveillants des femmes. Aucune remarque désobligeante sur ma tenue, pas de geste obscène, aussi je ne ressent aucune honte. Mes seins ballottent, agacés par le frottement des feuilles mes aréoles en sont douloureuses. A ainsi presser le pas je transpire beaucoup, aussi la sensation provoquée par le vent sur ma peau et mon sexe me rappelle que je suis pratiquement nue. Cette pensée me déconcentre. Cela doit bien faire dix minutes que je marche et j’ai bien du mal à rester concentrée sur mon but de rentrer au plus vite. Je suis de plus en plus excitée et la réaction produite par l’air qui s’immisce entre les lèvres de mon sexe me confirme que je mouille abondamment.

Il faut que je ralentisse le pas, mes plantes de pieds commencent à chauffer.
J’emprunte une rue en sens unique, des voitures stationnées de chaque côté contre les trottoirs, je fais quelques mètres puis me déchausse. Le contact du sol frais me donne des frissons. Je m’assois sur une marche d’escalier , mes fesses en contact direct sur la pierre me rappelle l’étroitesse de ma jupe.
Mes seins sont tellement durs qu’ils en sont douloureux, aussi je décide de détendre ma brassière qui me reste dans les mains, j’en profite pour me caresser. D’un geste j’ouvre ma jupe et en écarte les pans. Mon ventre est dur, douloureux, le sang afflue à mes joues, ma tête chauffe, j’ai peur qu’on me surprenne ainsi exposée; peur mais aussi envie d'être surprise dans ma nudité! Ce sentiment me trouble. Surtout ne pas me toucher profiter de ce moment hors du temps.
Brusquement je me lève, rassemble mes affaires sur la marche, traverse la rue sur la pointe des pieds puis la descend jusqu’à l’intersection d’où je viens. Je me lance un défis: remonter la rue complètement nue!
Surtout je ne dois pas courir, j’ai peur de me faire surprendre, démarre, je compte mes pas….. 33, un bruit de porte, je m'accroupis, un genou à terre, je me retourne: rien. Se donner du courage, encore dix pas puis je repars me couvrir. Un bras devant mes seins, non il ne faut pas, 43, aller encore 7 pas, jusqu’à 50. 52, il y a une intersection, je tourne à droite; 60, une femme sur le trottoir d’en face, vite accroupie derrière une voiture, je la surveille passer, mon ventre me cisaille! D’un doigt je frotte mon clitoris, passe entre mes lèvres, je suis inondée de cyprine. 80, une toute petite ruelle à droite très étroite, je m'y engage, je fais 10 pas, mes petits pieds aux ongles rouges contrastent avec les gros pavés noirs, les façades des maisons sont décrépies c’est moche. Si quelqu’un vient je serais piégée. Me déplaçant toujours sur la pointe des pieds, je compte encore 10 pas, j’arrive à une petite place cernée d’immeubles en mauvais état avec un puits au centre et des pots de fleurs, c’est vieux mais très beau! Je réalise en apercevant un psyché impeccable en fer forgé que c’est habité!
Je m’observe nue dans ce cadre hors du temps, je sais que je suis folle d’être nue ici, je cours à ma perte mais c’est trop fort, je ne peux plus revenir en arrière. Hypnotisée par l’image que me renvoie le miroir, je prends des poses, joue avec mes cheveux, écarte mes lèvres pour faire saillir mon bouton. Me masturber anéantirait cette félicité.
A droite de la glace une fontaine avec un savon et un arrosoir rempli d’eau. J’en fait couler sur mes pieds pour en nettoyer la plante , je les frottes, ils sont redevenus tout beaux. Je tresse mes cheveux puis rempli l’arrosoir et entreprend de me laver, je fais bien mousser le savon, me frotte. Pleine de mousse, je me regarde dans le miroir: si quelqu'un pouvait me voir! Je passe partout plusieurs fois puis me rince. Je me sens trop bien, la peau fraîche, toute douce, le miroir me renvoie l’image d’une héroïne de BD invincible! Je prends des poses genre Lara Croft, fais le grand écart devant la glace …. Je voudrais être vue, être touchée de partout! Devant le miroir, appuyée contre le puits je finis par malmener mon clitoris, me plante deux doigts dans le vagin. La tension est trop importante, je me reprends juste avant de jouir! Je fuis mon reflet qui affole mes sens.
Encore vingt pas, je suis sous un porche, ça y est je sais où je suis! La ruelle fait l’intersection avec la rue du vieux rempart, une rue piétonne bordée de commerces. Personne à gauche ni à droite.
Je suis tout prêt de l’appartement, 150 mètres tout au plus. Je dois redescendre la rue sur quelques mètres puis tourner dans la ruelle à gauche. Mon plan, je file retrouver Jérôme puis j'irais récupérer mes chaussures. Sans même regarder je m’engage dans la rue et face à moi, à trente mètres une dizaine de jeunes se sont arrêtés de marcher et me fixent! Piégée! Si je fuis ils me rattraperont! Je recule sous le porche et repart vers le puits, m’accroupis derrière et attend qu'ils passent. Mon cœur va exploser je les entends arriver.

Une fille appelle:- Hé petite, sors de derrière le puits, on t'a vue.

Que faire, appeler au secours? Comment expliquer que je suis toute nue en pleine ville? Deuxième appel, elle dit qu'ils ne me feront pas de mal. J'ai peur mais en même temps j'ai envie d'être vue. Mon visage brûle! J'attends, ils parlent entre eux, puis plus un bruit. Seraient-ils partis?
Je me redresse lentement, ils sont là brandissant des téléphones qui me filment. Un bras barrant mes seins, une main devant mon sexe je fais face à 6 filles et 5 garçons d’une vingtaine d’années. Elle reprend la parole visiblement surprise en me voyant:
- J'ai crue que tu étais une gamine, tu as quel âge, tu habites ici ?

Ils m’encerclent.

- Que fais-tu toute nue?

Je ne réponds rien.

- Retires tes mains où on appelle les flics et ils te coffreront pour attentat à la pudeur.

Je n'avais pas pensée que je pourrais être arrêtée par la police. Vaincue je m’exécute.

- Je pensais que tu étais une gamine du fait de ta taille et de ta chatte rasée.

Elle s’approche tout prêt, tourne autour de moi:
- Tu sens bon! Tu sors de la douche? Tu habites ici? Tu t’es fait un délire à poil? C'est un pari? Pourquoi tu n'es pas rentrée chez toi? Tu es une exhibe?

Je suis obligée de parler:
- C'est un pari que j'ai fait avec mon mari, je me suis déshabillée deux rues plus haut, j'ai tout laissée sur une marche et je dois le retrouver chez nous à 150 mètres d'ici.
- Lucas, tu peux aller récupérer ses frusques? Alors tu as quel âge?
- 27 ans
Ils se présentent à tour de rôle, ils sont tous en seconde année d'école d’ingénieur, on pourrait penser à une équipe de basket tant ils sont grands, chacun me fait la bise, certains me font même une accolade! Au feu qui dévore mes joues je sais que je suis rouge comme une pivoine!
Lucas revient déjà avec mes affaires et les lui donnes.

- Jolis talons! Et ça c’est des feuilles? Tu étais dans une soirée déguisée? Tiens mets-les.

Elle me tend mes chaussures. Je les poses au sol, me frotte les pieds et les passes. Je relève la tête et ne peut que constater qu'elle a mis mes tressages en pièces! Les larmes me viennent à la pensée d'être à leur merci.

Céline s’approche, pose une main sur mon ventre et m’embrasse tendrement dans le cou. Je n’ose bouger. Elle vient d’embrasser mon sein droit. Je la repousse. Le cercle qui s'est formé autour de nous se resserre, sa main descend maintenant sur mon sexe, à nouveau je la repousse. Elle revient à la charge! Elle aspire maintenant mon sein gauche, tout en en caressant le droit, vraiment elle sait s’y prendre. D’un éclair de lucidité je me dégage, j'en perds une mule. Le répits n’est que de courte durée. Son regard: j’ai l’impression que je suis sa proie! A nouveau elle charge, son insistance a raison de moi. Je me surprends à la laisser faire. Mes seins pointent, mon esprit dit non mais mon corps crie oui, je suis vaincue par tant de détermination..

- N’aie pas peur, je ne te veux pas de mal, et puis je vois quelque chose qui me plaît beaucoup, laisses-moi t’embrasser ma chérie.

Céline pose ses lèvres sur mon ventre puis se mettant à genoux sa bouche prend possession de mon sexe. Je ne résiste plus. D’autorité elle écarte et lève très haut ma jambe dont le pied est nu, je suis maintenant en équilibre sur un pied, pour ne pas tomber je prends appui avec les mains sur ceux que je peux. Je sens mon sexe s’ouvrir et la laisse aspirer mes chairs. Une autre (Anaïs) prend possession de mes seins et les agaces, je ressens des sensations entièrement nouvelles, c’est la première fois que des femmes me touchent. C’est très agréable et si elles continuent je vais prendre rapidement du plaisir. Céline aspire mon clitoris, caresse de sa langue mes lèvres, elle passe sa main dans ma raie, je ferme les yeux, je suis partagée entre la peur, le plaisir et la honte. Mon plaisir est là, ma vulve est prise de contractions, un doigt, deux trois peut-être me pénètrent. Délaissant mon clitoris pour mon vagin je ne peux m’empêcher de contracter mes muscles sur ses doigts afin de les empêcher de sortir! Je voudrais l’implorer de reprendre mon clitoris en bouche. Ouvrant les yeux je suis saisie par le regard de ma tortionnaire qui me fixe.
Je suis aux portes de l’orgasme, tout en maintenant ma jambe levée elle me murmure à l’oreille:
- Tu es adorable mais je te garde pour plus tard. Je vais me régaler, tu as un très gros clitoris très expressif.

Elles me laissent frustrée au bord de l’orgasme le sexe ouvert, enflé, mon intimité offerte aux caresses du vent, je sens mon bouton continuer librement ses contractions. Je voudrais qu’elles «me finissent», j’en perds le peu de fierté qu’il me reste. Quelle honte de me laisser manipuler ainsi! Céline recommence à m’embrasser les seins, dans le cou, de temps en temps elle caresse mon sexe. J’aperçois les garçons, les pantalons ont visiblement bien du mal à contenir leurs sexes.
on n’en a pas encore fini
c'est alors qu'elle s’écarte et m’expose aux regards des garçons. De ma main droite je cherche à me protéger, mais aussitôt Anaïs s’en saisit ainsi que de la gauche et tout en maintenant mes mains rapprochées dans mon dos m’oblige à ma cambrer. Les garçons fixent du regard mon sexe ouvert. Mon esprit crie pitié, n’ayant plus de petites lèvres l’entrée de mon vagin est complètement exposé. Tant qu’elle tient ma jambe levé haut mon anatomie est offerte à leurs regards. Mortifiée je ferme les yeux, je me concentre sur mes sensations, je sens mon plaisir monter. Elle passe dans mon dos, écarte encore ma jambe. Comme un maître de danse qui continue de me contraindre elle me retient pour que je ne tombe pas et me dit:
- Tu es très souple ma chérie. Je t’assure que tu nous chauffe tous à blanc!

Tout en me mordillant le lobe de l’oreille elle me maintien ainsi, les contractions redoublent, de sa main libre elle saisit mon clitoris et le fait glisser entre ses doigts, puis elle caresse l’entrée de mon vagin. L’orgasme vient, il est là la vague de plaisir me submerge, je ne peux retenir le cri de plaisir conséquence de l'orgasme qui me déchire au plus profond. Les doigts abandonnent mon nid, j’ouvre les yeux et sous les applaudissements observe mon auditoire.

- Tu vois tu as de vrais fans!

Lentement elle libère ma jambe, je suis épuisée, mon ventre est comme cisaillé. Je suis obligée de m'accroupir en attendant que les contractions se dissipent. Je les observent qui discutent entre eux tout en fouillant dans leurs sacs de sport. Anaïs revient avec un drap de bain qu'elle étale sur la margelle du puits. Céline vient et me guide pour que je m'allonge sur la serviette. A mon oreille elle me murmure «laisses-toi faire, ça va te détendre». Avant que je ne puisse répondre elle pose ses lèvres sur les miennes, sa langue pénètre ma bouche, je ne peux résister. Elle embrasse tellement bien que je ne cherche même pas à la repousser! Je sens Anaïs retirer ma mule puis étaler un liquide sur mon ventre, à l'odeur c'est du lait corporel. Ses mains se déplacent sur mes seins, mon sexe. Ma bouche est abandonnée, je la laisse me passer un masque de nuit sur les yeux, une douce musique sort des écouteurs qui prennent place dans mes oreilles. Quatre mains massent mes chairs, Céline revient prendre possession de ma bouche alors que mes bras écartés sont maintenus au dessus de ma tête. Je ne sais combien de mains on pris possession de mon corps. Mes chevilles sont saisies, alors que je résiste pour garder les jambes serrées Céline prend ma lèvre inférieure entre ses dents et commence à serrer. Je comprends que je ne dois pas résister. La récompense est la reprise de ma bouche par sa langue. Mes jambes sont écartées puis repliées et remontés de chaque coté de mes seins. Du lait est versé sur mon sexe, je le sens s'écouler, des mains l'étale entre mes fesses.

Mon Dieu! Je suis sure que les garçons participent à ma déchéance. Je voudrais lutter, ne pas leurs céder mes zones les plus secrètes mais c'est déjà trop tard, des doigts graissés sont déjà dans ma fente, d'autres doigts ont trouvés mon anus, la douce chaleur d'une bouche entoure mon clitoris. Plusieurs doigts, plusieurs bouches... Des doigts appartenant probablement à la même main glissent en serrant mes parois intimes... Combien de temps a pu durer cette torture? La langue de Céline s'enfuit de ma bouche alors que je ne suis plus qu'un orgasme! Je m'entends crier, le peu d'air qui parvient à mes poumons entre deux cris n'est pas suffisant pour m'oxygéner, je meurs de plaisir!
Libérée du masque, enfin j'observe mon public tout sourire, il est évident que tous on participé à mon orgasme, leurs suis-je redevable, dois-je les remercier? Un téléphone, tout a-t-il été filmé? Je ne peux toujours pas bouger tétanisée par un trop-plein de plaisir. Je commence à m'endormir quand Céline prend la parole:
- Alors ma chérie, as-tu aimé?
- Tu m'as menti, ça devait me détendre.
- Au contraire, je suis sûre que maintenant tu es très détendue! Veux-tu qu'on te ramène chez toi?
- Oui!
- Avant on va finir de te préparer. Assieds-toi.

Je réalise que plus personne ne me tiens et que je suis toujours dans cette position dégradante! Je me redresse, Céline défait mes cheveux et entreprend de me coiffer. Anaïs, Lucas, Gérald essuient la crème sur mes jambes, d'autres mon ventre, mon sexe, je les observes en me laissant faire, je n'ai plus de pudeur. Après avoir essuyé mes pieds on les glisses dans mes chaussures. Céline passe devant moi, prend mes mains dans les siennes, me fixe droit dans les yeux, je n'ai plus qu'à me lever.

- Je suis jalouse de ta tignasse ma chérie! J'ai eu du mal mais ils sont démêlés. Je veux que tu les passes devant pour que ta taille soit bien visible.
- Comme tu veux.
- Tu as aimé te laisser faire?
- Oui.
- Veux-tu continuer à m'obéir?
- Que veux-tu que je fasse?
- Juste m'obéir. Tu pourras t’arrêter quand tu voudras.
- Oui
....

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