Découverte (suite): retour
Récit érotique écrit par Chacha11100 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Découverte (suite): retour
- Quand on t'a rencontrée on allait au stade pour faire du fond. Nous devions y être à 09h00 et il est 10h00 passé. Nous allons devoir accélérer la cadence sinon il y aura trop de monde pour pouvoir courir tranquille.
- Je ne peux pas venir, pas toute nue !
- Fais-nous confiance, on va t'encercler, comme ça personne à par nous ne te verra.
- Et Jérôme, il faut que je le prévienne, il doit être mort d'inquiétudes !
- Tiens appelles-le avec mon téléphone.
Maintenant, que lui dire ? Il va vouloir savoir ce qui s'est passé. Sur les conseils de Céline je vais le culpabiliser et lui dire que je suis avec une copine. Dans le stress, au premier appel je me trompe et appelle mon téléphone, quand j'ai Jérôme sur le sien il est tout d'abord rassuré puis je l’assomme de reproches. Il finit par me dire qu'il m'aime et qu'il m'attends à la maison. Moi aussi je suis rassurée d’entendre sa voix, je voudrais qu'il me serre fort dans ses bras comme il le fait si souvent, Jérôme mon amour... j'en ai des larmes aux yeux. Céline reprend son téléphone et me serre fort dans ses bras. Elle a devinée ce dont j'avais besoin, je me laisse aller dans cette étreinte hors du temps.
Desserrant son étreinte elle essuie mes yeux et tout en me fixant tendrement me dit qu'il faut y aller.
Anaïs et Céline de chaque coté me prennent les mains. Nous nous mettons en marche. Ils disent qu’ils sont mes « bodyguards ». La palissade ainsi formée m’empêche de voir. Je regarde derrière : il est bien exact que je suis dans une bulle.
Personne ne parle, en fait ils me semblent très concentrés à me protéger. Je réfléchis à l'itinéraire que nous allons emprunter. Le stade est à vingt minutes à pied en sens opposé de mon appartement.
La peur vient de m'assaillir: on va traverser les rues commerçantes, la place de la mairie, tout le centre ville. En plus le samedi il y a le marché !
Nous marchons bon train et les bruits d'agitation de la ville parviennent à mes oreilles. Nous commençons à rencontrer beaucoup de monde et de temps à autre je vois les gens qui viennent face à moi, si je les vois ils peuvent me voir ! Je commence à avoir peur ! Que se passerait-il si ils m'abandonnaient ? Céline a du s'en rendre compte car elle vient de me faire un baiser sur le front. Une bousculade, un gros trou vient de se former, ouf, il se referme aussitôt, personne ne m'a vue. Nous sortons de la rue, je sens la douce brûlure du soleil sur mes seins.
- Céline, par où vas-t-on traverser le marché ?
- Ne t’inquiète pas !
- Mais on n'arrivera jamais à tous passer, lors des bousculades on va me voir ! Je te rappelle que je suis nue comme un vers !
- Ne t'en fais pas, je t’ai dit qu'on te protégerai. Et puis, depuis quand es-tu miss la pudeur ? Montrer tes seins et ta chatte n'a pas l'air de te gêner, en plus tu nous as laissés te caresser et donner du plaisir! Tu as été d'accord pour venir à poil avec nous. Je ne pense pas que monter un bout de sein te pose problème. Ta remarque est vraiment déplacée.
Elle a raison, comment argumenter ? En plus je n'en ai pas envie, je suis vraiment bien avec Céline. Je regarde mes seins et constate que mon clitoris est toujours complètement sorti, ce qui n'est finalement pas anormal tant je suis excitée.
- Alors, tu me réponds, quel est le problème ?
- J'ai peur d'être reconnue !
Elle s'arrête et me regarde fixement :
- Justement, tu es à poils, et je ne pense pas trop que ce soit ton visage qu'on regarde en premier quand on te vois. En plus je suis sûre que ça te fait mouiller comme une folle de risquer d'être découverte ainsi. Que ferais-tu si on laissait ici ? Ce serait facile, il nous suffirait de te lâcher et de partir. Tu ferais quoi sans nous ?
Tout en me parlant elle caresse mon sexe. Comme un réflexe mes cuisses s'ouvrent, d'un doigt elle me pénètre, fait de lents vas et viens, m'embrasse dans le cou puis tout en laissant ses doigts dans mon sexe :
- J'avais raison, tu mouilles comme une folle. J'ai des fringues dans mon sac. Je t'en donne, tu les mets et tu rentres chez toi avec ton Jérôme ou tu restes avec nous et on te ramènera après le stade. Tu es libre.
- Tu veux dire que je peux partir ?
- Oui mais tu ne sauras pas ce qu'on t'avais prévu.
Elle vient de s'approcher, m'embrasse, me caresse, je sens d'autres mains rejoindre les siennes, à nouveau je les laisses accéder à mon corps sans limite. Alors que tous continuent de me caresser Céline me demande :
- Alors ma chérie que veux-tu faire ?
- Si je reste vous me ramènerez après le stade ?
- Je te l'ai dit.
- Promis ?
- Bien sûr.
Je suis complètement folle d'hésiter mais l'envie de braver le monde nue est vraiment trop forte, j'en perds ma lucidité.
- Céline, je préfère rentrer, je suis désolée.
- Ce n'est pas grave, ce sera pour une autre fois. Prends le tee-shirt, en contrepartie donnes-moi tes chaussures.
- Mes chaussures ?
- Oui, je te donnes un vêtement tu m'en donnes un, à moins que tu ne veuille les garder, dans ce cas je garde le tee-shirt.
- Je me déchausse et lui tend mes chaussures qu'elle range dans son sac. Des frissons me parcourent le corps alors que je pose mes pieds nus sur les pavés de pierre. Je me sent plus nue que nue ! Les caresses se sont arrêtées et franchement je souhaiterai qu'elles reprennent. Je m'habille, deux fines bretelles posent sur mes épaules, court il m’arrive au ras des fesses, trop large l’échancrure est tellement importante que mes seins menacent de s’échapper! Devant mon étonnement la réponse fuse :- Je te rassure, il t’arrive sous les fesses et comme il est ample on ne voit rien. De toute façon je n’ai rien d’autre à te passer mais si tu préfère je te rends tes chaussures!
Ma décision est prise, tant pis, c’est décidé je rentre chez moi. Elle me demande mon adresse pour ramener mes talons ce soir et aussitôt fait, ils me font la bise et reprennent leur chemin me laissant toute seule.
Retour :
Je me mets en marche, je croise vraiment beaucoup de passants. Qui s'étonnent en voyant ! Ils doivent se demander si j'ai une culotte en dessous. Cette pensée me fait sourire ! Je me retourne et constate que le gens que j'ai croisée sont aussi retournés ! Je fais le spectacle! Je dois me dépêcher si je ne veux pas croiser des personnes que je connais. L’impossibilité d'accélérer le rythme vient de m'apparaître: mes seins s'échappent ! En plus, pieds nus, je suis obligée de faire attention où je marche ! En passant devant une vitrine je comprends l'étonnement des passants, il ne fait aucun doute sur la présence d'une culotte, le bas de mes lèvres est visible ! Si cherche à cacher mon sexe mes seins s'échappent! Dans ce cas la seule solution est de courir pour rentrer au plus vite ! Tout sourires, deux types la quarantaine font comme s'ils voulaient m'arrêter, en les contournant je sens des doigts passer sous ma bretelle gauche qui se déchire, cela ne me fait pas ralentir. En m'éloignant j'entends qu'ils se font engueuler par leurs femmes, bien fait. Je n'ose imaginer le spectacle que j'offre, un sein à l'air, l'autre plus souvent découvert que couvert, mon sexe exposé ! Enfin je quitte la rue piétonne pour les ruelles, je suis presque arrivée. Arrivant dans ma rue, je marque un temps d'arrêt, j'ai de la chance, pas de voisins aux fenêtres, je me rajuste et vais sonner à la porte de l'immeuble en marchant. Elle s'ouvre et alors que je monte Jérôme vient à ma rencontre ! C'est folle de joie que je l 'étreints ! Nous montons à l'appartement, la première chose que je fais est de me mettre nue et de sauter sur mon amour, j'ai trop besoin de le sentir en moi. Il ne se fait pas prier et m'allonge sur la table de la cuisine. Alors qu'il m'embrasse les seins, je lui crie que je le veux en moi de suite ! Ça y est je le sent, que c'est bon ! Je me délecte de ce nomment ! Je l'empêche de toucher mon clitoris ou mes seins, je veux prendre du plaisir par son sexe uniquement, ce qui arrive juste avant qu'il éjacule en moi ! La contraction brutale de mon vagin lors de mon orgasme lui provoque toujours son éjaculation. Je suis repue et vais m'allonger dans mon lit.
Quand je me réveille Jérôme est à assis sur le bord et me demande de lui raconter ce qui m'est arrivée. Je lui dis juste qu'on m'a prêté un tee-shirt et que je suis rentrée. Je lui fais comprendre que je ne veux plus en parler tout en lui glissant que je recommencerai bien dès que possible.
Je me lève, un bon bain, soins du corps, coiffage, maquillage, je suis en pleine forme ! Je vaque nue dans l'appartement et consulte mon téléphone. Un message, Céline me dit qu'elle ne pourra pas passer ce soir me rendre mes chaussures. Comment as-t-elle eu mon numéro ? C'est vrai elle m'a permis d'appeler avec le sien Jérôme et je me suis trompée. Il y a un lien avec le message. Je clique dessus et tombe sur une page avec des fichiers à télécharger. J'ouvre le premier et c'est une vidéo de moi allongée sur la margelle du puits ! Ce n'est pas possible ! On voit tout ! Il y a même des gros plans sur mon visage alors que je jouis ! Il y a 36 vidéos ! J'ai trop peur qu'elle le diffuse sur le net ! Je lui écrit un message en lui demandant ce qu'elle compte en faire. En retour elle me dit : Rien, c'est juste pour toi. Ouf ! Un autre message arrive : Rendez-vous mercredi chez toi à 12h30. Bisous ma chérie.
Que vas-t-il se passer ? Je stresse jusqu'à ce que Jérôme me propose d'aller à la mer puis d'aller au restaurant, c'est notre dernière soirée avant son déplacement de la semaine prochaine. Je passe une jupette, un débardeur, une paire de tongs et nous partons à la plage. Ce qui est bien à la plage naturiste c'est que personne ne prête attention au physique de ses voisins, alors même si mon clitoris est sorti je ne me sens pas en situation d'exhib. Je me baigne pendant une dizaine de minutes puis je m'allonge sur ma serviette. La plage de Mateille est grande, il y a bien une zone naturistes mais on y croise aussi des textiles. Plus on remonte vers le village plus le textile est prépondérant, en fait la plage naturiste commence là où la plage surveillée s’arrête, cela ne pose aucun problème, c'est familial et bien pensant.
Je demande à Jérôme de venir se promener. Il a décidé de rester bronzer sur la serviette avec sa revue automobile, je pars donc seule avec mes tongs, mon portable à la main et mes écouteurs.
Je n'arrête pas de penser à ma matinée et je finis par penser que d'être nue au milieu de gens habillés n'a rien d’obscène et attire même plutôt la sympathie. Une vibration de mon téléphone, un message vient d'arriver, c'est Céline :
....
- Je ne peux pas venir, pas toute nue !
- Fais-nous confiance, on va t'encercler, comme ça personne à par nous ne te verra.
- Et Jérôme, il faut que je le prévienne, il doit être mort d'inquiétudes !
- Tiens appelles-le avec mon téléphone.
Maintenant, que lui dire ? Il va vouloir savoir ce qui s'est passé. Sur les conseils de Céline je vais le culpabiliser et lui dire que je suis avec une copine. Dans le stress, au premier appel je me trompe et appelle mon téléphone, quand j'ai Jérôme sur le sien il est tout d'abord rassuré puis je l’assomme de reproches. Il finit par me dire qu'il m'aime et qu'il m'attends à la maison. Moi aussi je suis rassurée d’entendre sa voix, je voudrais qu'il me serre fort dans ses bras comme il le fait si souvent, Jérôme mon amour... j'en ai des larmes aux yeux. Céline reprend son téléphone et me serre fort dans ses bras. Elle a devinée ce dont j'avais besoin, je me laisse aller dans cette étreinte hors du temps.
Desserrant son étreinte elle essuie mes yeux et tout en me fixant tendrement me dit qu'il faut y aller.
Anaïs et Céline de chaque coté me prennent les mains. Nous nous mettons en marche. Ils disent qu’ils sont mes « bodyguards ». La palissade ainsi formée m’empêche de voir. Je regarde derrière : il est bien exact que je suis dans une bulle.
Personne ne parle, en fait ils me semblent très concentrés à me protéger. Je réfléchis à l'itinéraire que nous allons emprunter. Le stade est à vingt minutes à pied en sens opposé de mon appartement.
La peur vient de m'assaillir: on va traverser les rues commerçantes, la place de la mairie, tout le centre ville. En plus le samedi il y a le marché !
Nous marchons bon train et les bruits d'agitation de la ville parviennent à mes oreilles. Nous commençons à rencontrer beaucoup de monde et de temps à autre je vois les gens qui viennent face à moi, si je les vois ils peuvent me voir ! Je commence à avoir peur ! Que se passerait-il si ils m'abandonnaient ? Céline a du s'en rendre compte car elle vient de me faire un baiser sur le front. Une bousculade, un gros trou vient de se former, ouf, il se referme aussitôt, personne ne m'a vue. Nous sortons de la rue, je sens la douce brûlure du soleil sur mes seins.
- Céline, par où vas-t-on traverser le marché ?
- Ne t’inquiète pas !
- Mais on n'arrivera jamais à tous passer, lors des bousculades on va me voir ! Je te rappelle que je suis nue comme un vers !
- Ne t'en fais pas, je t’ai dit qu'on te protégerai. Et puis, depuis quand es-tu miss la pudeur ? Montrer tes seins et ta chatte n'a pas l'air de te gêner, en plus tu nous as laissés te caresser et donner du plaisir! Tu as été d'accord pour venir à poil avec nous. Je ne pense pas que monter un bout de sein te pose problème. Ta remarque est vraiment déplacée.
Elle a raison, comment argumenter ? En plus je n'en ai pas envie, je suis vraiment bien avec Céline. Je regarde mes seins et constate que mon clitoris est toujours complètement sorti, ce qui n'est finalement pas anormal tant je suis excitée.
- Alors, tu me réponds, quel est le problème ?
- J'ai peur d'être reconnue !
Elle s'arrête et me regarde fixement :
- Justement, tu es à poils, et je ne pense pas trop que ce soit ton visage qu'on regarde en premier quand on te vois. En plus je suis sûre que ça te fait mouiller comme une folle de risquer d'être découverte ainsi. Que ferais-tu si on laissait ici ? Ce serait facile, il nous suffirait de te lâcher et de partir. Tu ferais quoi sans nous ?
Tout en me parlant elle caresse mon sexe. Comme un réflexe mes cuisses s'ouvrent, d'un doigt elle me pénètre, fait de lents vas et viens, m'embrasse dans le cou puis tout en laissant ses doigts dans mon sexe :
- J'avais raison, tu mouilles comme une folle. J'ai des fringues dans mon sac. Je t'en donne, tu les mets et tu rentres chez toi avec ton Jérôme ou tu restes avec nous et on te ramènera après le stade. Tu es libre.
- Tu veux dire que je peux partir ?
- Oui mais tu ne sauras pas ce qu'on t'avais prévu.
Elle vient de s'approcher, m'embrasse, me caresse, je sens d'autres mains rejoindre les siennes, à nouveau je les laisses accéder à mon corps sans limite. Alors que tous continuent de me caresser Céline me demande :
- Alors ma chérie que veux-tu faire ?
- Si je reste vous me ramènerez après le stade ?
- Je te l'ai dit.
- Promis ?
- Bien sûr.
Je suis complètement folle d'hésiter mais l'envie de braver le monde nue est vraiment trop forte, j'en perds ma lucidité.
- Céline, je préfère rentrer, je suis désolée.
- Ce n'est pas grave, ce sera pour une autre fois. Prends le tee-shirt, en contrepartie donnes-moi tes chaussures.
- Mes chaussures ?
- Oui, je te donnes un vêtement tu m'en donnes un, à moins que tu ne veuille les garder, dans ce cas je garde le tee-shirt.
- Je me déchausse et lui tend mes chaussures qu'elle range dans son sac. Des frissons me parcourent le corps alors que je pose mes pieds nus sur les pavés de pierre. Je me sent plus nue que nue ! Les caresses se sont arrêtées et franchement je souhaiterai qu'elles reprennent. Je m'habille, deux fines bretelles posent sur mes épaules, court il m’arrive au ras des fesses, trop large l’échancrure est tellement importante que mes seins menacent de s’échapper! Devant mon étonnement la réponse fuse :- Je te rassure, il t’arrive sous les fesses et comme il est ample on ne voit rien. De toute façon je n’ai rien d’autre à te passer mais si tu préfère je te rends tes chaussures!
Ma décision est prise, tant pis, c’est décidé je rentre chez moi. Elle me demande mon adresse pour ramener mes talons ce soir et aussitôt fait, ils me font la bise et reprennent leur chemin me laissant toute seule.
Retour :
Je me mets en marche, je croise vraiment beaucoup de passants. Qui s'étonnent en voyant ! Ils doivent se demander si j'ai une culotte en dessous. Cette pensée me fait sourire ! Je me retourne et constate que le gens que j'ai croisée sont aussi retournés ! Je fais le spectacle! Je dois me dépêcher si je ne veux pas croiser des personnes que je connais. L’impossibilité d'accélérer le rythme vient de m'apparaître: mes seins s'échappent ! En plus, pieds nus, je suis obligée de faire attention où je marche ! En passant devant une vitrine je comprends l'étonnement des passants, il ne fait aucun doute sur la présence d'une culotte, le bas de mes lèvres est visible ! Si cherche à cacher mon sexe mes seins s'échappent! Dans ce cas la seule solution est de courir pour rentrer au plus vite ! Tout sourires, deux types la quarantaine font comme s'ils voulaient m'arrêter, en les contournant je sens des doigts passer sous ma bretelle gauche qui se déchire, cela ne me fait pas ralentir. En m'éloignant j'entends qu'ils se font engueuler par leurs femmes, bien fait. Je n'ose imaginer le spectacle que j'offre, un sein à l'air, l'autre plus souvent découvert que couvert, mon sexe exposé ! Enfin je quitte la rue piétonne pour les ruelles, je suis presque arrivée. Arrivant dans ma rue, je marque un temps d'arrêt, j'ai de la chance, pas de voisins aux fenêtres, je me rajuste et vais sonner à la porte de l'immeuble en marchant. Elle s'ouvre et alors que je monte Jérôme vient à ma rencontre ! C'est folle de joie que je l 'étreints ! Nous montons à l'appartement, la première chose que je fais est de me mettre nue et de sauter sur mon amour, j'ai trop besoin de le sentir en moi. Il ne se fait pas prier et m'allonge sur la table de la cuisine. Alors qu'il m'embrasse les seins, je lui crie que je le veux en moi de suite ! Ça y est je le sent, que c'est bon ! Je me délecte de ce nomment ! Je l'empêche de toucher mon clitoris ou mes seins, je veux prendre du plaisir par son sexe uniquement, ce qui arrive juste avant qu'il éjacule en moi ! La contraction brutale de mon vagin lors de mon orgasme lui provoque toujours son éjaculation. Je suis repue et vais m'allonger dans mon lit.
Quand je me réveille Jérôme est à assis sur le bord et me demande de lui raconter ce qui m'est arrivée. Je lui dis juste qu'on m'a prêté un tee-shirt et que je suis rentrée. Je lui fais comprendre que je ne veux plus en parler tout en lui glissant que je recommencerai bien dès que possible.
Je me lève, un bon bain, soins du corps, coiffage, maquillage, je suis en pleine forme ! Je vaque nue dans l'appartement et consulte mon téléphone. Un message, Céline me dit qu'elle ne pourra pas passer ce soir me rendre mes chaussures. Comment as-t-elle eu mon numéro ? C'est vrai elle m'a permis d'appeler avec le sien Jérôme et je me suis trompée. Il y a un lien avec le message. Je clique dessus et tombe sur une page avec des fichiers à télécharger. J'ouvre le premier et c'est une vidéo de moi allongée sur la margelle du puits ! Ce n'est pas possible ! On voit tout ! Il y a même des gros plans sur mon visage alors que je jouis ! Il y a 36 vidéos ! J'ai trop peur qu'elle le diffuse sur le net ! Je lui écrit un message en lui demandant ce qu'elle compte en faire. En retour elle me dit : Rien, c'est juste pour toi. Ouf ! Un autre message arrive : Rendez-vous mercredi chez toi à 12h30. Bisous ma chérie.
Que vas-t-il se passer ? Je stresse jusqu'à ce que Jérôme me propose d'aller à la mer puis d'aller au restaurant, c'est notre dernière soirée avant son déplacement de la semaine prochaine. Je passe une jupette, un débardeur, une paire de tongs et nous partons à la plage. Ce qui est bien à la plage naturiste c'est que personne ne prête attention au physique de ses voisins, alors même si mon clitoris est sorti je ne me sens pas en situation d'exhib. Je me baigne pendant une dizaine de minutes puis je m'allonge sur ma serviette. La plage de Mateille est grande, il y a bien une zone naturistes mais on y croise aussi des textiles. Plus on remonte vers le village plus le textile est prépondérant, en fait la plage naturiste commence là où la plage surveillée s’arrête, cela ne pose aucun problème, c'est familial et bien pensant.
Je demande à Jérôme de venir se promener. Il a décidé de rester bronzer sur la serviette avec sa revue automobile, je pars donc seule avec mes tongs, mon portable à la main et mes écouteurs.
Je n'arrête pas de penser à ma matinée et je finis par penser que d'être nue au milieu de gens habillés n'a rien d’obscène et attire même plutôt la sympathie. Une vibration de mon téléphone, un message vient d'arriver, c'est Céline :
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