Découverte à la cave
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 157 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Conteur ont reçu un total de 312 953 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 6 259 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Découverte à la cave
Au retour à la ferme je me suis remis en tablier, cul nu et j’ai du éplucher des légumes dont des oignons qui m’ont fait pleurer. Éric et Jean étaient repartis travailler dans les champs.
Pierre est entré m’a mis la main aux fesses.
-T’es une chaude toi ! Tu t’es pris nos trois queues à la suite sans broncher. A la limite tu baises plus que mon clebs. Tu n’es plus Dominique mais Domi nique. Et je t’appellerais Domi, ça te plaît ?
Oui si vous aimez.
-Sors un verre et sers-moi un coup de vin.
J’ai obéi Éric m’avait prévenu que c’était lui le plus vicieux. Il a décalé sa chaise et une fois servi il m’a fait sortir sa queue pour sucer à genoux entre ses cuisses.
-Aller la cochonne, pompe-moi le dard pendant que je bois.
De tous il avait la plus épaisse mais pas la plus longue. En plus je crois qu’il savait et qu’il était vexé. J’ai caressé ses couilles ce qu’il a apprécié. Sa queue a pris un peu d’ampleur et en même temps qu’il vidait son verre Il s’est vidé les couilles.
-Bonne chienne Domi. Continue à préparer la soupe.
Il est sorti me laissant seul avec mes légumes. J’ai repéré le congélateur et j’ai mis dans un fait tout un morceau de bœuf avec de l’eau sur le feu ajoutant les carottes et l’oignon. Pendant que ça chauffait j’ai donné un coup de balai me demandant qui le faisait avant. J’ai dû descendre à la cave chercher du vin et là, dans une cage métallique un mec de mon âge, nu, rasé de la tête aux pieds s’est reculé au fond par peur. Une paillasse dans un coin lui servait de lit et une chiotte à le turc était dans un coin.
Mais, tu es qui toi ?
-Rémi le plus jeune des frères. Ils disent que je suis demeuré et je leur sers de souillon.
Pourquoi tu ne sors pas ?
-Regarde le collier et la chaîne à mon cou. Et quand je suis là ils attachent mes poignets au collier pour que je ne puisse pas me branler.
Approche tu m’excites. Plus près. Là, à genoux je suppose que tu les suces ?
-Oh oui et plus, je suis leur objet sexuel.
-Ok je comprends, tu as quel âge ?
-Vingt-deux ans et je suis là depuis quatre ans.
Tais-toi et suce-moi. Je n’ai eu que le tablier à écarter, je bandais ferme ! Il suçait bien et j’allais jouir quand Éric est arrivé sans bruit.
-Tu connais notre secret et dorénavant tu resteras ici la nuit avec lui. Maintenant monte finir le ragoût. Il commence à bouillir.
La vache, ils ne m’avaient pas prévenu de ça mais inconsciemment ça m’excitait. En plus il était mignon, pas gras et sa queue était plus grosse et plus belle que les leur. Sans ses poils, il faisait encore plus jeune que ces vingt-deux ans. Il devait avoir les couilles pleines ! Quand ils sont revenus pour se mettre à table Éric leur a dit que je savais pour Rémi.
-Bonne chose de faite on pourra changer de cul comme ça. Des nouvelles d’Amazon ?
-Oui tout était dispo et sera livré demain par le livreur habituel. Il connaît le coin et viendra directement à la ferme. On fera sortir Dominique pour recevoir le colis je signerais.
Mais je ne le connais pas !
=Et alors t’aime montrer tes fesses et elles sont jolies à voir. Aller sers nous ton ragoût. Gardes en un peu pour Remi. Toi tu manges à table, demain ce sera Remi.
Le ragoût était bon et il en est resté peu.
-Tu nous a crevé. Ce soir on dort. Prend un matelas et descend le à la cave. Je te descends une couverture.
On a été enfermé et sur un dormez bien il a éteint la lumière. Je me suis collé à Rémi qui a bandé assez vite : Ne pouvant pas se branler ni se toucher, c’est moi qui l’ai guidé dans mes fesses. J’ai grogné, il était épais mais après, c’est lui qui m’a donné de furieux coups de reins. Giclant deux fois sans sortir de mon cul. On a parlé un peu. Surtout il avait besoin de parler avec un ami.
-Tu sais quand nos parents sont morts mes frères ont pu à eux trois s’occuper de la ferme mais moi j’tais une charge et j’ai été mis sur les conseils d’une assistante mis en famille d’accueil. C’est là que j’ai appris l’amour entre garçon. Peu d’années après je suis allé à l’école des maristes et là encore j’avais des amis comme moi puis il y a eu un frère plus sévère mais aussi plus doux dont j’étais le chouchou et l’ami intime. A la suite de plainte de parents il a été transféré et j’ai fini ma scolarité là-bas. Chahuté par les uns mais aimé par d’autres. Enfin je suis revenu ici où vu l’isolement je n’ai pu que demander à jouer avec Pierre qui cette fois à tout compris et je leur sers de femme de ménage. Le plus souvent nu. Rasé pour que les rares qui viennent sachent ce que j’étais. Voilà ma vie. Il faut dormir Éric vient tôt me réveiller pour faire le café.
Je me suis collé à lui sous la couverture pour sa chaleur et son corps que je découvrais si semblable à moi.
Pierre est entré m’a mis la main aux fesses.
-T’es une chaude toi ! Tu t’es pris nos trois queues à la suite sans broncher. A la limite tu baises plus que mon clebs. Tu n’es plus Dominique mais Domi nique. Et je t’appellerais Domi, ça te plaît ?
Oui si vous aimez.
-Sors un verre et sers-moi un coup de vin.
J’ai obéi Éric m’avait prévenu que c’était lui le plus vicieux. Il a décalé sa chaise et une fois servi il m’a fait sortir sa queue pour sucer à genoux entre ses cuisses.
-Aller la cochonne, pompe-moi le dard pendant que je bois.
De tous il avait la plus épaisse mais pas la plus longue. En plus je crois qu’il savait et qu’il était vexé. J’ai caressé ses couilles ce qu’il a apprécié. Sa queue a pris un peu d’ampleur et en même temps qu’il vidait son verre Il s’est vidé les couilles.
-Bonne chienne Domi. Continue à préparer la soupe.
Il est sorti me laissant seul avec mes légumes. J’ai repéré le congélateur et j’ai mis dans un fait tout un morceau de bœuf avec de l’eau sur le feu ajoutant les carottes et l’oignon. Pendant que ça chauffait j’ai donné un coup de balai me demandant qui le faisait avant. J’ai dû descendre à la cave chercher du vin et là, dans une cage métallique un mec de mon âge, nu, rasé de la tête aux pieds s’est reculé au fond par peur. Une paillasse dans un coin lui servait de lit et une chiotte à le turc était dans un coin.
Mais, tu es qui toi ?
-Rémi le plus jeune des frères. Ils disent que je suis demeuré et je leur sers de souillon.
Pourquoi tu ne sors pas ?
-Regarde le collier et la chaîne à mon cou. Et quand je suis là ils attachent mes poignets au collier pour que je ne puisse pas me branler.
Approche tu m’excites. Plus près. Là, à genoux je suppose que tu les suces ?
-Oh oui et plus, je suis leur objet sexuel.
-Ok je comprends, tu as quel âge ?
-Vingt-deux ans et je suis là depuis quatre ans.
Tais-toi et suce-moi. Je n’ai eu que le tablier à écarter, je bandais ferme ! Il suçait bien et j’allais jouir quand Éric est arrivé sans bruit.
-Tu connais notre secret et dorénavant tu resteras ici la nuit avec lui. Maintenant monte finir le ragoût. Il commence à bouillir.
La vache, ils ne m’avaient pas prévenu de ça mais inconsciemment ça m’excitait. En plus il était mignon, pas gras et sa queue était plus grosse et plus belle que les leur. Sans ses poils, il faisait encore plus jeune que ces vingt-deux ans. Il devait avoir les couilles pleines ! Quand ils sont revenus pour se mettre à table Éric leur a dit que je savais pour Rémi.
-Bonne chose de faite on pourra changer de cul comme ça. Des nouvelles d’Amazon ?
-Oui tout était dispo et sera livré demain par le livreur habituel. Il connaît le coin et viendra directement à la ferme. On fera sortir Dominique pour recevoir le colis je signerais.
Mais je ne le connais pas !
=Et alors t’aime montrer tes fesses et elles sont jolies à voir. Aller sers nous ton ragoût. Gardes en un peu pour Remi. Toi tu manges à table, demain ce sera Remi.
Le ragoût était bon et il en est resté peu.
-Tu nous a crevé. Ce soir on dort. Prend un matelas et descend le à la cave. Je te descends une couverture.
On a été enfermé et sur un dormez bien il a éteint la lumière. Je me suis collé à Rémi qui a bandé assez vite : Ne pouvant pas se branler ni se toucher, c’est moi qui l’ai guidé dans mes fesses. J’ai grogné, il était épais mais après, c’est lui qui m’a donné de furieux coups de reins. Giclant deux fois sans sortir de mon cul. On a parlé un peu. Surtout il avait besoin de parler avec un ami.
-Tu sais quand nos parents sont morts mes frères ont pu à eux trois s’occuper de la ferme mais moi j’tais une charge et j’ai été mis sur les conseils d’une assistante mis en famille d’accueil. C’est là que j’ai appris l’amour entre garçon. Peu d’années après je suis allé à l’école des maristes et là encore j’avais des amis comme moi puis il y a eu un frère plus sévère mais aussi plus doux dont j’étais le chouchou et l’ami intime. A la suite de plainte de parents il a été transféré et j’ai fini ma scolarité là-bas. Chahuté par les uns mais aimé par d’autres. Enfin je suis revenu ici où vu l’isolement je n’ai pu que demander à jouer avec Pierre qui cette fois à tout compris et je leur sers de femme de ménage. Le plus souvent nu. Rasé pour que les rares qui viennent sachent ce que j’étais. Voilà ma vie. Il faut dormir Éric vient tôt me réveiller pour faire le café.
Je me suis collé à lui sous la couverture pour sa chaleur et son corps que je découvrais si semblable à moi.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Conteur
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...