Découverte d'un nouveau plaisir

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Découverte d'un nouveau plaisir Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Découverte d'un nouveau plaisir
Il faut que je vous avoue, depuis quelque temps, je fantasmais sur les stimulateurs prostatiques… J’aime bien ce plaisir de ressentir un doigt qui vous masse lors d’une fellation, alors, pourquoi ne pas essayer le sex-toy spécifique à ce plaisir ?

En couple depuis longtemps, nous utilisons déjà des rosebuds, de plusieurs tailles, c’est excitant, j’aime bien sentir mon anus s’ouvrir lors de la pénétration, mais après je le sens moins. Idem, j’aime pénétrer ma partenaire lorsque cet accessoire est en elle, je me sens plus à l’étroit dans son vagin.

Je regarde les sites de vente, en suivant quelques discussions sur Internet, et je reviens toujours sur ce stimulateur… Il faut que j’essaie. Un soir, en quittant le bureau, je fais un détour pour passer devant ce sex-shop, O’Darling, une chaîne de magasins que l’on retrouve dans plusieurs villes françaises. Un bâtiment moderne avec sa grande enseigne rouge, en sortie d’une zone commerciale. La vitrine n’est pas surchargée d’accessoires, le magasin est accueillant et fait moderne.

J’entre. Une vendeuse d’une quarantaine d’années, jolie brune aux cheveux longs, relativement grande, me salue. Elle porte une tunique blanche avec une ceinture marron, un collant noir très opaque et des bottes plates. Rien d’excentrique comme je l’avais imaginé. Elle discute avec une cliente, grande également, métisse, à la carrure imposante, cheveux frisés retenus par une queue de cheval.
Elle est plus originale dans sa tenue, je ne dirais pas vulgaire, juste un peu provocante. Elle porte une jupe en cuir, largement fendue, laissant apparaître la lisière d’un bas en résille noir. Elle a un top moulant, noir également, à manches longues, dont les épaules sont dénudées et met en valeur sa généreuse poitrine, nue sous le textile.

Je traverse le magasin, laisse sur ma gauche la lingerie pour me diriger directement aux sex-toys. Le choix est vaste, je compare, découvre les stimulateurs prostatiques tant convoités. Alors que je compare, les deux femmes passent derrière moi et se dirigent sur les godes, juste à côté. La discussion est troublante, elles parlent un langage technique, dimensions, matière, entretien, dilatation possible, comme on parlerait d’outillage. Rien d’excitant, on est vraiment dans un monde commercial et technique.
Je reste donc avec deux modèles en main quand la métisse me dit d’un ton posé, sans sourire :

— Prenez-le en L, vous vous y habituerez vite et ça sera plus excitant si vous le portez longtemps.

Je reste interloqué, je repose le modèle en S, la remercie du conseil et me dirige vers la caisse. La vendeuse me rejoint et me propose un lubrifiant pour aller avec, ce que j’accepte volontiers. Elle me demande si je ne préférerais pas un modèle vibrant. Je lui explique que je n’aime pas la sensation de vibration que je ressens jusqu’au bassin, histoire de lui montrer que je ne suis pas un débutant moi non plus !

Je quitte le magasin avec mon achat, direction la maison. Sur la route, je ne cesse de repenser à cette cliente troublante, j’aurais davantage vu ce genre de personne en gérante d’un tel établissement. Je m’étais fait une fausse idée de ce type de magasin.

Seul pour quelques jours à la maison, je passe par la douche. Une fois détendu et savonné, je me fais un petit lavement, histoire de ne pas avoir de mauvaise surprise. Je nettoie le stimulateur avec un savon doux et pars avec une serviette m’allonger sur le lit. Une fois en main, l’engin est plus gros que je ne pensais. Il forme une boule reliée à un corps plus fin et se termine par une pièce assez longue qui reste à l’extérieur, bien calée entre les fesses. Je suis bien excité. Je lubrifie abondamment le sex-toy et essaie de l’insérer. La taille L est assez large, je dois m’y reprendre à plusieurs fois pour l’insérer, laisser le temps aux muscles de s’assouplir. J’adore cette sensation : sentir le muscle se relâcher, se dilater. Je le ressors une dernière fois, ajoute du lubrifiant et me l’enfonce jusqu’à la butée. Assis sur le lit, je bande très dur tout en m’habillant.

Alors que je range mes affaires dans la maison, les moindres déplacements activent le stimulateur, surtout en marchant. C’est peu perceptible, mais je ressens bien cet appui permanent, c’est troublant. Je n’arrive pas à me calmer, même assis sur ma chaise, à l’ordinateur. Je ne peux m’empêcher de me trémousser, activant davantage le sex-toy.
Cela ne fait pas loin d’une heure que je l’ai en moi, c’en est trop, sans me toucher, je me sens partir, sans avoir le temps de me relever et filer à la salle de bain, je jouis, sentant le sperme couler. L’orgasme est long et non contrôlé, je suis parcouru par de nombreux spasmes. C’est bien plus fort que lorsque je me fais sucer avec deux doigts dans le cul !
J’ai depuis testé plusieurs fois ce sex-toy seul et je n’ai jamais repris un tel pied que cette première fois. Je l’ai montré à ma femme au bout de quelques jours et je l’utilise maintenant régulièrement lors de nos rapports. J’éjacule de grandes quantités de sperme à chaque fois, j’arrive à me contrôler et laisse toujours jouir ma femme avant de me lâcher en elle.

J’ai honteusement repensé plusieurs fois à la métisse au magasin, je garde son image en tête, sans trop, savoir pourquoi. À court de lubrifiant, j’ai une excuse pour retourner au sex-shop, un soir après le boulot. La vendeuse est au comptoir, un client passe avant moi. Je lui remémore ma venue et la femme qui l’accompagnait ce jour-là. Je lui dis tout le bien du monde à propos du stimulateur et reviens comme je peux sur cette cliente et leur discussion.
La gérante me coupe et me dit :

— Oui, je vois bien… Une cliente très régulière. C’est Monica, une copine. Enfin, pour un homme comme vous, ça serait sans doute Maîtresse Monica !

J’en apprends un peu plus sur elle. Croyant au début que cette femme était une travailleuse du sexe, j’apprends en fait qu’elle est la responsable des comptables dans un grand groupe industriel.
Le sexe est un loisir pour elle, un jeu, depuis son divorce. Elle y trouve une grande satisfaction et prend beaucoup de plaisir avec des hommes comme des femmes. Elle s’est spécialisée dans… "La dilatation anale".
Elle me propose de lui laisser mon numéro de portable, si je le souhaite, et peut-être me recontactera. Sans aucune garantie, car elle a déjà beaucoup de sex-friends.
Hésitant, et surtout cloué sur place par cette annonce, je dis, plus par réflexe, pourquoi pas. Je finis par régler mon achat et reprends ma voiture pour rentrer, un peu perturbé par cette annonce.

Je suis un peu ailleurs ces derniers jours, je repense à mon passage au magasin. Je regarde sur Internet en quoi consiste exactement la dilatation anale. Je me doute que je ne serai pas appelé, mon numéro de portable figure sur ma carte de fidélité, mais elle ne va pas appeler tous les clients du magasin. Et pourtant, deux semaines plus tard, je reçois un appel d’un numéro que je ne connais pas. Par réflexe, je décroche et reconnais immédiatement cette voix monocorde et posée :

— Bonsoir, c’est Monica. Ma copine m’a dit que vous seriez curieux de découvrir mes talents ? Je me souviens vaguement de vous, que voulez-vous ?
— C’est votre charisme et votre assurance que j’ai remarqués et qui m’attirent, mais les jeux de domination, non, désolé, ce n’est pas pour moi. Je ne veux pas être ridiculisé, attaché ou frappé ou tout autres sévices.
— C’est très bien tout ça, ça me changera de mes soumis, prêts à tout. Vous a-t-on parlé de ma… spécialité ?

J’enchaîne, en lui coupant presque la parole :

— Oui, la dilatation anale, Et... Je suis de plus en plus réceptif à ces caresses... Je préfère d’ailleurs la dilatation, chui pas fan de ses longues pénétrations et ses va-et-vient...
— Intéressant... Bon, j'vous donne rendez-vous pour jeudi, dans une semaine, à dix-huit heures, voilà mon adresse.

Elle raccroche aussitôt après, me laissant sans voix.

Me voilà bien avec ce rendez-vous qui m’attire et m’excite, et ma femme qui m’attend à la maison… Je ne sais pas trop quoi faire.

À peine rentré, j’explique tout à ma Caline qui rigole et se moque de moi. Elle finit par m’annoncer que, de toute façon, ce n’est pas elle qui va me mettre plus de deux doigts dans le cul, ça ne l’excite pas. Par contre, si je veux vivre cette nouvelle expérience, elle veut bien m’accompagner et restera spectatrice.

Cette discussion a fini sous la couette, car l’idée nous a bien chauffés !

Samedi matin, j’ai le droit à une séance d’épilation intégrale du maillot jusqu’aux fesses, par ma femme. Chose que je pratique déjà l’été, je suis donc habitué. À la fin de la séance, une fois que je suis bien crémé, ma femme m’insère, sans me prévenir, un rosebud taille L et me demande de me rhabiller pour cuisiner. Nous nous chauffons tout le week-end avec ces jeux, finissant sous la couette à chaque fois.

La semaine s’écoule doucement : boulot, réunion, rien d’amusant… quand arrive enfin le jeudi. À midi, je reçois un SMS :

«Venez à 18 h, comme prévu, lavé et vidé !»

Je décide de rentrer plus tôt à la maison et croise ma femme qui se prépare également : top rouge moulant et dentelle noire, jupe trapèze noire fendue, escarpins à talons, des bas noirs fins. Oui, c’est ça, des bas, j’ai vérifié, en soulevant la jupe, ce qui me vaut quelques réprimandes !

Caline est une belle quadragénaire, brune, nous sommes ensemble depuis vingt ans, et formons ce que certains appellent un couple fusionnel.

Je file sous la douche me préparer comme demandé et pars m’habiller. J’hésite et demande à ma femme :

— String ou pas string ?
— Tu vas certainement rentrer avec le trou du cul en chou-fleur, j’éviterai le string à ta place, mets un boxer ! Me répond-elle.

Pas faux, j’opte pour un boxer rouge au motif floral. Avant de l’enfiler, ma femme s’approche de moi et me glisse un petit rosebud métallique lubrifié dans le cul.
Effet de surprise !
C’est froid et ça rentre tout seul est... Rapidement !

— Ça te préparera un peu avant d’arriver ! Me glisse-t-elle avant de m’embrasser.

J’enfile un jean et un polo sous un pull tout classique. Je ne dis rien sur la route, je suis un peu stressé.
Pourquoi ai-je accepté ?
Qu’est-ce que j’en attends de cette rencontre en fait ?

Arrivés à Meudo, à l’adresse indiquée, nous stationnons devant une maison de ville, bien entretenue, dont la porte en bois bleu marine donne directement sur le trottoir. Je sonne.
Des bruits de talons approchant de la porte se font entendre. La porte s’ouvre doucement.

— Vous êtes ponctuel, c’est bien. Par contre, vous n’êtes pas seul, ce n’était pas prévu !
— Ma femme ne participera pas, elle restera spectatrice et ne dira rien, si vous le souhaitez, elle veut partager ce moment.
— Très bien... Vous êtes très belle madame, entrez, passons au bureau.

La porte se referme automatiquement derrière nous. Nous suivons Monica qui porte des cuissardes en cuir aux talons vertigineux, toujours des résilles, une jupe courte étonnante, fendue en deux pans sur le devant et un haut en résille également.
Elle n’a pas de soutien-gorge.
Elle est encore plus grande que la dernière fois. Perchée sur ses hauts talons, elle mesure au moins un mètre quatre-vingt-dix. Ses cheveux, relevés et maintenus en chignon, lui donnent un air sévère.

La maison est ancienne, elle a du style. Nous traversons un couloir au parquet en bois ciré. Les murs sont blancs, recouverts de moulures et de cadres au décor marin. Le plafond est haut, une moulure en plâtre orne le plafond, d’où descend un long lustre. Toutes les portes sont fermées, sauf celle sur notre gauche qui donne accès au bureau.

La pièce est sobre, il y a bien un petit bureau en bois verni, mais surtout une armoire et des étagères où trônent toutes sortes de sex-toys. Dans un angle, un évier blanc au style néo-rétro. Au milieu, une table de gynécologie assez basse… Un tabouret, bas également... Et là, un fauteuil type crapaud et ici un genre de grande croix, dont je devine l’usage…

Monica dispose le fauteuil derrière le tabouret légèrement décalé, je suppose que cela permettra à ma femme d’avoir une meilleure vue sur ce que Monica me prodigue.

— Déshabillez-vous entièrement devant nous, laissez vos affaires au sol et allongez-vous sur la table, sur le dos.

Je m’exécute, je suis nu et déjà bien excité, je bande assez dur.

— C’est loin d’être la plus grosse et la plus longue que j’ai vue passer ici ! Me lance-t-elle d’un air méprisant.

Ma femme répond :

— Chaque serrure à sa clé... Et la sienne... Elle me fait jouir à chaque fois.

Monica se retourne, sourit à ma femme et revient vers moi.

— Belle comparaison, Madame... Un bon point, pour vous Monsieur... peau lisse, je déteste les poils.

Je suis donc sur le dos, allongé sur la table à regarder le plafond. Les jambes relevées, les pieds sur les supports métalliques, je croise les mains sur le ventre, ne sachant où les poser.
Monica ne me touche pas, ne m’attache pas. Elle prépare des accessoires, ne manque pas de me féliciter sur le port du rosebud qu’elle retire d’un coup sec.

— Petite taille aussi ! Rassure-toi, je vais y remédier ! Lâche-t-elle avec un sourire malicieux.

Ses doigts me travaillent, elle étale de grandes quantités de lubrifiant, elle glisse un premier plug, qu’elle m'avait d'abord montré.

— Pour les débutants, je travaille avec des plugs coniques, ils rentrent progressivement. Mes disciples les plus assouplis sont maintenant capables de recevoir mes deux mains et avant-bras.

Ces paroles ne me rassurent pas, je ne veux pas aller jusque-là. Je sens que le plug entre facilement, du moins le premier tiers. Mes sphincters se relâchent doucement, la pénétration est progressive, je me dilate, j’aime cette sensation.

Première étape, le niveau le plus gros est bien passé. Pour le moment, je tolère bien, le plug est en place.

Monica me félicite et fait une pause. Je ne vois rien, regarde le plafond, je subis, c’est très... "Excitant" !
Elle se retourne et dit à ma femme :

— Vous voyez ? Il s’ouvre bien... Vous lui travaillez le cul régulièrement ?
— Non, juste lors de nos jeux de temps en temps, mais pas toujours, et surtout pas aussi large, j’aurais peur de lui faire mal, ça n’est pas forcément ce qui m’excite.
— OK, je vois... Mais ce qui est certain, c'est qu'il a du potentiel... Bok on va passer à la taille au-dessus. J’ai du XL. L’anus – dit-elle en parlant comme une conférencière – est un muscle, il va s’habituer et reprendra sa forme quelques minutes après mon traitement.

Elle retire le plug, me laissant ouvert et vide. Monica part vers son armoire dans un claquement de talons et revient avec un gros gode à trois boules de tailles différentes.

Elle l’enduit de lubrifiant et le pose sur mon anus qui s’était déjà refermé. Elle n’a pas besoin de forcer pour que la tête du gode me pénètre. Elle entre lentement, je sens les épaulements forcer mes sphincters.
La première boule entre facilement...
La deuxième force un peu plus...
Mon anus continue de se dilater sans trop de douleurs.
Elle fait tourner le gode pour me dilater.
À l’insertion de la troisième et dernière boule, la plus grosse, je suis pris d’un violent orgasme, sans prévenir, j’éjacule une dose importante de sperme sur mon ventre et mon torse. Comme lorsque j’ai joui pour la première fois avec le stimulateur de prostate, le même.
Monica se fâche :

— Lorsque je vous ai envoyé le SMS «lavé et vidé», ce n’était pas que pour vos intestins, il s’agissait aussi de vous masturber avant de venir ! Je déteste voir du sperme partout. Il va falloir nettoyer cela.

Je m’excuse, mais cela ne change rien. Dans son regard, je vois nettement de la colère. Elle se relève et part se laver les mains avant de revenir vers moi. Ma femme reste cloîtrée dans son fauteuil et ne dit rien.
De ses mains, Monica récupère au mieux le sperme et me l’applique par surprise sur et dans la bouche.

— Ici, le sperme vient et va ou retourne dans le corps, on ne gâche pas ! Avale tout ! On en boit des litres dans une vie, certains hommes aussi, ça n’a jamais tué personne ! Dit-elle d’un ton sévère.

Je m’exécute, pas dégoûté, mais surpris, j’avale plusieurs gorgées à chaque fois que ses mains reviennent chargées de ma semence.

— OK, c’est bien, tu sais te faire pardonner... Mais pour ta peine, tu vas devoir me satisfaire, me dit-elle d’un ton plus détendu.

Monica s’éloigne de moi, me laissant toujours avec le gode dans les fesses, planté au plus loin en moi. J’entends ma femme glousser. Sans comprendre, je vois Monica venir au-dessus de mon visage.
Elle a relevé et immobilisé les pans de sa jupe par deux pressions à la ceinture. Sa combinaison en résille est largement ouverte à l’entrejambe et, à ma plus grande surprise, laisse apparaître un sexe d’homme, mais un gros calibre, même en demi-repos. Je vois bien ce sexe qu’elle pose sur ma bouche, d’où l’intérêt de cette table basse. Elle passe ainsi aisément au-dessus de sa victime.

— Tu comprends ce que tu as à faire ? Ne me déçois pas si tu veux que je te dilate davantage après.

À ces mots, je comprends le pourquoi de la tonalité de cette voix. Je me laisse porter par le jeu, et dans un geste réflexe, j’ouvre la bouche et lèche timidement le gland en partie décalotté de ce sexe encore mou. Il n’a pas mauvais goût, ni d’odeur, j’en suis surpris.
Le sexe, encore en demi-sommeil, entre et sort de ma bouche. J’ose le saisir d’une main, je continue mon jeu, en le branlant un peu tout en resserrant les lèvres, j’aspire timidement, joue de ma langue sur cet intrus.
Je distingue qu’elle porte aussi un bijou d’anus : une belle rosace en diamant orne sa peau mate. Le sexe prend forme et continue de gonfler. J’ai du mal à le prendre en bouche, ma main n’en fait pas le tour, il est beaucoup plus gros que le mien.
Elle ressort de ma bouche et se redresse en regardant ma femme en souriant :

— Il est doué.

Puis elle s’adresse à moi :

— Si tu fais ça bien, je peux jouir rapidement et abréger ton calvaire.

Elle bascule la partie haute de la table en arrière, ce qui fait tomber ma tête vers le bas. Elle présente son sexe bandé devant ma bouche et me pénètre.
J’ai peur d’étouffer, pas évident de respirer tout en suçant un tel objet. Je la branle en même temps. Elle ne s’occupe pas de moi et fait de grands va-et-vient. Elle se branle dans ma bouche… Je subis et je jubile, tout simplement, déglutis quand je peux, il faut qu’elle jouisse rapidement, je ne vais pas supporter ça longtemps.
Je ne bande plus, mon anus toujours occupé, me fait mal.
Monica accélère encore et encore, puis dans de grands et longs râles m’envoie plusieurs gorgées de sperme dans la bouche et au fond de la gorge. Je déglutis au fur et à mesure. Je ne sens pas le goût ni l’aspect liquoreux. Elle reste en moi, le temps que les dernières gouttes sortent.

— Merci... Tu comprends ce que je veux dire maintenant quand je dis que le sperme doit passer de corps en corps et ne pas être gâché ? Pour un novice, tu m’as apporté beaucoup de plaisir. Je vais continuer ta dilatation.

Elle redresse la table, je suis moins allongé, plus incliné.
Je vois ma femme qui me regarde, les joues rouges et le regard dans le vide. Sa jupe est relevée, ses jambes aussi. Les escarpins sont aux pieds du fauteuil, laissant voir ses ongles de pieds vernis de noir au travers des bas fins.
Cette coquine n’a rien trouvé de mieux à faire que de se caresser pendant que je subissais les assauts de Monica !
Caline me demande à mi-voix :

— Ça va ? T’as géré grave mon chéri !
— Oui, ça va ! C’était imprévisible et surprenant, mais pas dégoûtant. Le goût du sperme commence à être fort en bouche.

J’essaie d’avaler ce qu’il reste, c’est gluant. Monica reprend :

— Maintenant que tout le monde est calmé, même toi, ma belle, on va reprendre, lance-t-elle avec un grand sourire complice vers ma femme.

Elle se replace entre mes jambes relevées et retire le gode à boules, laissant mon anus grand ouvert.
Je la regarde s’éloigner vers le placard pour se saisir d’un harnais équipé d’un gode noir de bon diamètre.

Elle fait signe à ma femme de s’approcher.

— Garde tes bas, retire ton string et enfile ça, on va le finir !

D’abord hésitante, ma femme s’approche dans une démarche féline. Elle me fixe droit dans les yeux, de son regard aguicheur, saisit le harnais, passe les jambes dedans et voit que le gode-ceinture est aussi équipé d’un mini gode qu’elle s’introduit en elle. Mouillée comme elle est, il entre sans problème, lui déclenchant un soupir de plaisir.
Monica lui ajuste les lanières et me dit :

— Mets-toi à quatre pattes sur la table, tu vas te faire prendre par ta femme. Avec la préparation que tu as reçue, un gode XL va rentrer tout seul.

Je m’exécute, secrètement, le gode-ceinture faisait aussi partie de mes fantasmes non avoués…

Bien posé, Monica enduit le gode de lubrifiant. Ma femme pose ses mains sur mes hanches par réflexe. Monica pointe le gode sur mon anus toujours ouvert. Le gland du gode entre assez facilement.
La suite, c’est plus compliqué, car il est large, très large même. Malgré la préparation, il faut s’y prendre à plusieurs reprises pour que je l’accepte sans douleur et ma femme est maladroite pour le guider.
Monica l’aide, ajoute du lubrifiant. Après quelques passages, et sorties non maîtrisés, ma femme commence les va-et-vient, un peu désordonnés, puis avec de plus en plus d’assurance.
Je me fais limer.
C’est très bon !
Je ressens mon anus tout ouvert, une sensation de chaleur m’envahit, le gode est long, ça s’ajuste difficilement dans les intestins. Ma femme couine un peu, le petit gode en elle ne la laisse pas insensible.
Monica se replace devant moi et me dit :

— Refais-moi ce que tu m’as fait tout à l’heure, quand tu aspirais en roulant la langue sous mon gland, c’était très bon.

Flatté de ce compliment, je me ressaisis de ce sexe un peu gonflé qui pointe déjà devant ma bouche, qui s’ouvre par réflexe. Il finit de grossir en moi. La position est plus facile, je suis moins passif que tout à l’heure et je gère mieux ma succion.
Je m’applique sur cette fellation. Est-ce que sucer une transsexuelle fait de moi un gay ?
Je ne pense pas, si ce corps n’avait pas été féminin, jamais je ne l’aurais touché, ni même regardé.
Je me fais culbuter par ma femme qui porte un gros gode-ceinture tout en ayant, en bouche, une queue d’un calibre non négligeable.
Sur le moment, intérieurement, je me suis traité de petite salope, puis j’ai pompé avidement cette queue tout en la branlant.
Tout est confus dans ma tête, je ne suis plus qu’un tuyau lubrifié dans lequel on coulisse à chaque extrémité. Je donne du plaisir en en recevant. J’aimerais que ce moment dure longtemps, c’est trop bon...
Je me remets à bander. Ma femme me sort de mes pensées en partant dans un petit orgasme, accompagné de petits gémissements. Puis elle se retire, laissant un trou de mon cul béant, tout du moins, c’est la sensation que j’ai. Monica quitte rapidement ma bouche, fait le tour de la table, et me pénètre d’un grand coup de reins. Elle me prend jusqu’à la garde et nous dit :

— Pas de sperme sur la table !

Alors, ma femme, à peine remise, retire le gode-ceinture et se place sous moi pour me prendre en bouche, j’en profite pour sucer son clitoris, devenu sensible. Première sodomie avec une vraie queue, et pas une petite !
Décidément, c’est la soirée des nouveautés.
Elle est chaude, douce, ses va-et-vient sont bruts, mais c’est très bon, mieux que le gode précédemment, plus naturel, moins douloureux, plus petit aussi.
C’est en 69 que j’éjacule dans la bouche de ma femme, pendant qu’elle est prise d’un nouvel orgasme, dû à mes succions, plus fort que le précédent. Elle enserre ma tête entre ses cuisses, puis se détend et regarde ce sexe entrer et sortir de mon cul.
Il y a longtemps que j’ai débandé, mais l’assaut de Monica me procure un autre plaisir, quelque chose d’intérieur, un bien-être qui vient du ventre, une sorte de boule chaude intérieure.
Elle me lime longuement et finit par me remplir le cul de sa semence. Elle a des orgasmes longs, il faudra que je lui demande comment elle fait. J’essaie de contracter mes sphincters pour mieux l’enserrer, bien étreindre cette queue, la garder en moi.
Nous restons quelques secondes dans cette position.
Ma femme se redresse doucement, Monica commence à débander et finit par abandonner mon cul qui se referme un peu. Mais afin de ne rien perdre, elle m’enfonce un rosebud, assez gros pour que la rosace reste bloquée à l’extérieur et qu’il n’y ait pas de risque que l’anus l’aspire.
Nous nous redressons.
Repu, j’embrasse ma femme, puis nous aidons Monica à tout ranger.
Devant l’évier, elle finit par retirer son sex-toy. Elle portait un stimulateur prostatique. Je comprends mieux ses orgasmes.
Nous l’aidons aussi à nettoyer et désinfecter correctement les accessoires.
Chose qu’elle apprécie, car d’habitude, personne ne le fait, elle est obligée alors de missionner un de ses soumis pour cela.
Nous avons l’autorisation de nous essuyer un peu et de nous rhabiller pour sortir du bureau.
J’ai du mal à marcher correctement :
J’ai quand même pris cher, comme on dit…

Monica nous invite à boire une coupe de champagne, pour débriefer et échanger sur nos pratiques.
Elle est beaucoup plus détendue, plus abordable, souriante. Ce n’est plus la même femme. Nous échangeons sur ce que l’on a apprécié, pas aimé, ce que l’on aimerait faire ou refaire.
Y aura-t-il une prochaine fois ?
Sucer une bite et me faire sodomiser, j’ai toujours aimé !
Alors, oui, nous sommes partants pour de nouveaux jeux sexuels.
Ma femme souhaite participer davantage lors d’une prochaine séance, elle a bien aimé le gode-ceinture.
Monica nous a dit avoir apprécié de changer un peu de registre du traditionnel scénario de la maîtresse et du soumis.

Nous nous souhaitons une bonne soirée, il n’est pas loin de vingt-trois heures lorsque nous la quittons.
Je gesticule dans la voiture.
Je repense au fait que je suis chargé de sperme et le rosebud me gêne. Il est temps de rentrer pour que je le retire. J’ai l’impression que ma femme fait exprès de rouler doucement pour prolonger cette dernière pénétration !

En espérant que cette aventure vous a mis l'eau à la bouche et je vous donne donc rendez-vous prochainement pour la lecture une nouvelle aventure !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Monica va t’elle arriver à assouplir le mari de Câline pour un fist profond ? Cher Tamis faites nous le vivre.

"superbe histoire , toutes les femmes devraient pouvoir vivre cela::avec mon conjoint j'y travaille!!"
Cela va vous être un souvenir, un plaisir MÉ...MO...RABLE !!!

Histoire Libertine
superbe histoire , toutes les femmes devraient pouvoir vivre cela::avec mon conjoint j'y travaille!!

Merci pour vos encouragements

Histoire Erotique
Très bon texte on attend le suivant

Histoire Erotique
Très bien écrit et très excitant . Merci pour ce récit qui m’a bien fait jouir

Histoire Erotique
Oui l' eau et une envie de bite à la bouche aussi!
Nico

Histoire Erotique
Excellent, très excitant.



Texte coquin : Découverte d'un nouveau plaisir
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