Découverte de la sexualité (2)
Récit érotique écrit par Robert Kincaid [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Découverte de la sexualité (2)
Le lendemain, Noël et Danièle se retrouvèrent à la porte du lycée. Danièle discutait avec des copines quand elle vit Noël qui s’approchait. Devant les autres, elle n’osa pas l’embrasser à pleine bouche, elle lui tendit sa joue. Noël joua le jeu afin de ne pas mettre mal à l’aise Danièle. Ils rentrèrent en cours sans rien laisser paraître de leur amour. Ce n’est qu’à l’heure de la récréation que Noël s’approcha de Danièle et lui glissa au creux de l’oreille :
- On se voit après les cours, à 16 H, mon amour ?
- Oui, j’ai hâte ! J’ai envie !
- Moi aussi, tu sais !
La journée passa lentement pour les deux jeunes gens. Les profs pouvaient raconter ce qu’ils voulaient, ils étaient tous les deux très loin de la classe, plongés dans des rêves amoureux. Enfin arriva la fin des cours, et tout naturellement, ils sortirent du lycée ensemble.
- Aujourd’hui, on va chez moi, dit Danièle. Mes parents ne rentrent pas avant 19 H, ça nous laisse deux bonnes heures devant nous.
Aussitôt qu’ils furent hors de vue de leurs camarades, il lui prit la main, la fit s’arrêter et voulut lui donner un baiser.
- Non attends, pas là, tout le monde me connaît dans le quartier.
- On ne fait rien de mal !
- Je sais mais je préfère attendre d’être à la maison.
(Je vous rappelle qu’on est dans les années 60 et que la tolérance et la mentalité des gens n’étaient pas du tout les mêmes qu’aujourd’hui. )
Danièle conduisit Noël jusqu’à son appartement et ouvrit la porte. A peine l’avait-elle refermée, que Noël prit sa compagne dans ses bras et lui donna le plus tendre des baisers. Sa langue explorait la bouche de Danièle qui ferma les yeux pour s’abandonner complètement à la bouche de Noël. Ce baiser dura très longtemps, ni l’un, ni l’autre n’arrivait à le rompre. Enfin quand Danièle éloigna ses lèvres, elle dit :
- Tu as bien dormi cette nuit ?
- Pas vraiment, non, je pensais à toi, tu le sais ; et toi ?
- Moi, je me suis endormi vers 3 heures du matin, mais combien de fois, j’ai repassé dans ma tête ce qu’on a fait hier.
- Et tu t’es caressée ?
- Non, ce n’est pas l’envie qui m’a manquée, mais je t’avais promis, et toi ?
- Non, moi non plus, mais je ne tiens plus là !
- Viens, je vais te faire visiter ma chambre.
Elle prit la main de Noël et le conduisit vers sa chambre. C’était une chambre de jeune fille, bien rangée, avec quelques peluches posées sur le lit.
Noël enlaça à nouveau sa partenaire, mais cette fois, ses mains caressaient le dos de Danièle. Très rapidement, elles vinrent se poser sur ses fesses, puis elles descendirent encore afin d’aller s’insinuer sous sa mini-jupe. Il colla son corps contre celui de Danièle et elle ne put ignorer l’effet qu’elle produisait sur lui. Elle eut envie alors d’aller toucher cette bosse qui déformait son pantalon ; tout de suite elle sentit les doigts de Noël s’infiltrer sous l’élastique de sa petite culotte, revenir vers le devant et lui caresser doucement sa petite fente.
- On se déshabille ?
- Oui, mais n’oublie pas, ce que je t’ai dit hier, je ne veux pas faire l’amour.
- Tu sais que tu peux avoir confiance en moi ?
- Oui bien sûr.
- Attends, c’est moi qui te déshabille.
Noël déboutonna son corsage, baissa le zip de sa jupe et Danièle était en sous-vêtements devant lui. Comme elle était belle ! Maladroitement, il chercha l’agrafe du soutien-gorge, mais, comme la première fois, n’arriva pas à le défaire, elle l’aida : sa poitrine menue apparut et fit battre le cœur de Noël un peu plus vite. Il passa une main sur chaque sein, comme pour s’en imprégner l’image dans le cerveau, puis il approcha ses lèvres d’un téton, et se mit à le lécher, puis à l’aspirer doucement. Quand il fut bien dur, il passa à l’autre. Pendant ce temps Danièle avait déboutonné à son tour la chemise de Noël et lui caressait le torse. Il enleva sa chemise, dégrafa son pantalon et l’ôta.
Maintenant, ils étaient face à face et se regardaient dans les yeux. Le jeune homme approcha ses mains des hanches de sa partenaire, et tout doucement il fit glisser la petite culotte, dont elle se débarrassa en l’enjambant. A son tour, elle descendit le slip de Noël et fit jaillir son sexe tendu. Il l’obligea à s’étendre sur le lit, et vint la rejoindre.
Danièle avait retenu les leçons de la veille, et elle prit le sexe de Noël dans sa main et commença à le masturber doucement, car elle savait que lorsqu’il était excité, il fallait ne pas précipiter les choses. De son côté, le garçon glissa sa main entre les cuisses de sa partenaire qui écarta aussitôt les jambes, tant elle avait envie qu’il la caresse. Il trouva ses petites lèvres trempées et son doigt glissa sans peine dans l’entrée de sa vulve, mais ce qu’il cherchait c’est le petit bouton qu’il découvrit rapidement, et aussitôt qu’il le toucha, le corps de sa partenaire se cambra, il savait maintenant que ce n’était pas parce qu’elle avait mal, mais bien au contraire, parce qu’elle appréciait la caresse. Son doigt glissait sur son clitoris qu’il sentait grossir, alors que Danièle tenait dans sa main le sexe de Noël, sans bouger, trop absorbée dans la prise de son plaisir personnel. Il approcha ses lèvres des mamelons tendus et commença à les sucer sans interrompre sa caresse digitale, puis, sa bouche descendit sur le ventre de sa partenaire, sa langue explora toute la surface de sa peau, jusqu’à la toison odorante. Il sentit Danièle se dérober à ses baisers.
- Laisse-toi aller mon amour.
- Tu crois qu’on peut ?
- Bien sûr !
Sa langue descendit encore et remplaça son doigt sur le petit pistil tendu à l’extrême. Un ou deux aller et retour suffirent pour que Danièle se mette à gémir très fort. Elle resserra les cuisses sur sa tête, alors qu’il léchait la liqueur qui perlait entre ses lèvres. Elle jouit bruyamment en cambrant au maximum son corps vers la bouche qui la fouillait. Elle venait de recevoir son premier cunnilingus. Noël continua à parcourir l’intérieur de sa petite chatte, se régalant de ses secrétions, jusqu’à ce qu’elle lui relève la tête à l’aide de ses mains.
Elle lui donna un long baiser pour le remercier.
- Tu as aimé ?
- Je n’ai jamais joui comme ça, tu es merveilleux !
- Tu sais, j’aimerais bien que tu me fasses la même chose.
Sans se faire prier, elle se mit à genoux, tête bèche, et à son tour, elle posa ses premiers baisers sur le torse de Noël. Très vite, elle descendit sur son ventre, puis hésita un peu en voyant le pieu de chair dressé devant ses yeux. Timidement, elle posa un premier baiser sur la tige, puis ses lèvres remontèrent légèrement et vinrent sur le côté du gland encore recouvert du prépuce. Sa maladresse excitait terriblement Noël. D’une main, il le décalotta afin de sentir la bouche de Danièle sur son gland. Elle posa ses lèvres sur le sommet de son sexe et en profita pour goûter le liquide transparent qui sortait de son méat. Le goût légèrement salé ne lui parut pas désagréable et elle s’enhardit à envelopper progressivement tout le gland avec ses lèvres. Non, finalement, ce n’était pas du tout désagréable au goût !
- Mets-le dans ta bouche, suggéra Noël, et utilise ta langue.
Bien qu’encore maladroite, elle apprenait vite, et elle fit pénétrer le sexe de son amoureux dans sa bouche. Comme c’était doux sous sa langue ! Noël sentait qu’il ne tiendrait pas longtemps sous de telles caresses, pour la première fois, il ne voulait pas qu’elle reçoive son sperme dans sa bouche, et il prit la tête de Danièle juste avant que son orgasme vienne afin de lui épargner ce qu’elle aurait peut-être trouvé désagréable. Le premier jet de liqueur blanche arrosa le menton de la jeune fille qui ne s’était pas retirée suffisamment vite.
- Vite ta main pour finir !
Elle enveloppa le sexe dégoulinant de sperme, de ses doigts et il la guida afin de conclure sa jouissance. Elle regarda ses doigts souillés et resta comme ça sans bouger. Noël qui s’était relevé et qui la regardait lui dit :
- Tu n’as pas envie de goûter ?
- Si.
Elle avança le bout de la langue vers sa main et recueillit une goutte de liqueur qu’elle goûta.
- Ce n’est pas mauvais, c’est chaud.
Elle renouvela l’opération avec une goutte un peu plus grosse.
- Tu as déjà goûté toi ?
- Non !
Elle approcha ses doigts de la bouche de Noël qui avança la langue pour goûter à son tour sa semence.
- Tu as raison, ça n’a pas mauvais goût !
- Si tu veux la prochaine fois je me déverserai dans ta bouche, ce sera tellement mieux !
- Comment veux-tu que je te dise non, je t’aime tellement !
- On se voit après les cours, à 16 H, mon amour ?
- Oui, j’ai hâte ! J’ai envie !
- Moi aussi, tu sais !
La journée passa lentement pour les deux jeunes gens. Les profs pouvaient raconter ce qu’ils voulaient, ils étaient tous les deux très loin de la classe, plongés dans des rêves amoureux. Enfin arriva la fin des cours, et tout naturellement, ils sortirent du lycée ensemble.
- Aujourd’hui, on va chez moi, dit Danièle. Mes parents ne rentrent pas avant 19 H, ça nous laisse deux bonnes heures devant nous.
Aussitôt qu’ils furent hors de vue de leurs camarades, il lui prit la main, la fit s’arrêter et voulut lui donner un baiser.
- Non attends, pas là, tout le monde me connaît dans le quartier.
- On ne fait rien de mal !
- Je sais mais je préfère attendre d’être à la maison.
(Je vous rappelle qu’on est dans les années 60 et que la tolérance et la mentalité des gens n’étaient pas du tout les mêmes qu’aujourd’hui. )
Danièle conduisit Noël jusqu’à son appartement et ouvrit la porte. A peine l’avait-elle refermée, que Noël prit sa compagne dans ses bras et lui donna le plus tendre des baisers. Sa langue explorait la bouche de Danièle qui ferma les yeux pour s’abandonner complètement à la bouche de Noël. Ce baiser dura très longtemps, ni l’un, ni l’autre n’arrivait à le rompre. Enfin quand Danièle éloigna ses lèvres, elle dit :
- Tu as bien dormi cette nuit ?
- Pas vraiment, non, je pensais à toi, tu le sais ; et toi ?
- Moi, je me suis endormi vers 3 heures du matin, mais combien de fois, j’ai repassé dans ma tête ce qu’on a fait hier.
- Et tu t’es caressée ?
- Non, ce n’est pas l’envie qui m’a manquée, mais je t’avais promis, et toi ?
- Non, moi non plus, mais je ne tiens plus là !
- Viens, je vais te faire visiter ma chambre.
Elle prit la main de Noël et le conduisit vers sa chambre. C’était une chambre de jeune fille, bien rangée, avec quelques peluches posées sur le lit.
Noël enlaça à nouveau sa partenaire, mais cette fois, ses mains caressaient le dos de Danièle. Très rapidement, elles vinrent se poser sur ses fesses, puis elles descendirent encore afin d’aller s’insinuer sous sa mini-jupe. Il colla son corps contre celui de Danièle et elle ne put ignorer l’effet qu’elle produisait sur lui. Elle eut envie alors d’aller toucher cette bosse qui déformait son pantalon ; tout de suite elle sentit les doigts de Noël s’infiltrer sous l’élastique de sa petite culotte, revenir vers le devant et lui caresser doucement sa petite fente.
- On se déshabille ?
- Oui, mais n’oublie pas, ce que je t’ai dit hier, je ne veux pas faire l’amour.
- Tu sais que tu peux avoir confiance en moi ?
- Oui bien sûr.
- Attends, c’est moi qui te déshabille.
Noël déboutonna son corsage, baissa le zip de sa jupe et Danièle était en sous-vêtements devant lui. Comme elle était belle ! Maladroitement, il chercha l’agrafe du soutien-gorge, mais, comme la première fois, n’arriva pas à le défaire, elle l’aida : sa poitrine menue apparut et fit battre le cœur de Noël un peu plus vite. Il passa une main sur chaque sein, comme pour s’en imprégner l’image dans le cerveau, puis il approcha ses lèvres d’un téton, et se mit à le lécher, puis à l’aspirer doucement. Quand il fut bien dur, il passa à l’autre. Pendant ce temps Danièle avait déboutonné à son tour la chemise de Noël et lui caressait le torse. Il enleva sa chemise, dégrafa son pantalon et l’ôta.
Maintenant, ils étaient face à face et se regardaient dans les yeux. Le jeune homme approcha ses mains des hanches de sa partenaire, et tout doucement il fit glisser la petite culotte, dont elle se débarrassa en l’enjambant. A son tour, elle descendit le slip de Noël et fit jaillir son sexe tendu. Il l’obligea à s’étendre sur le lit, et vint la rejoindre.
Danièle avait retenu les leçons de la veille, et elle prit le sexe de Noël dans sa main et commença à le masturber doucement, car elle savait que lorsqu’il était excité, il fallait ne pas précipiter les choses. De son côté, le garçon glissa sa main entre les cuisses de sa partenaire qui écarta aussitôt les jambes, tant elle avait envie qu’il la caresse. Il trouva ses petites lèvres trempées et son doigt glissa sans peine dans l’entrée de sa vulve, mais ce qu’il cherchait c’est le petit bouton qu’il découvrit rapidement, et aussitôt qu’il le toucha, le corps de sa partenaire se cambra, il savait maintenant que ce n’était pas parce qu’elle avait mal, mais bien au contraire, parce qu’elle appréciait la caresse. Son doigt glissait sur son clitoris qu’il sentait grossir, alors que Danièle tenait dans sa main le sexe de Noël, sans bouger, trop absorbée dans la prise de son plaisir personnel. Il approcha ses lèvres des mamelons tendus et commença à les sucer sans interrompre sa caresse digitale, puis, sa bouche descendit sur le ventre de sa partenaire, sa langue explora toute la surface de sa peau, jusqu’à la toison odorante. Il sentit Danièle se dérober à ses baisers.
- Laisse-toi aller mon amour.
- Tu crois qu’on peut ?
- Bien sûr !
Sa langue descendit encore et remplaça son doigt sur le petit pistil tendu à l’extrême. Un ou deux aller et retour suffirent pour que Danièle se mette à gémir très fort. Elle resserra les cuisses sur sa tête, alors qu’il léchait la liqueur qui perlait entre ses lèvres. Elle jouit bruyamment en cambrant au maximum son corps vers la bouche qui la fouillait. Elle venait de recevoir son premier cunnilingus. Noël continua à parcourir l’intérieur de sa petite chatte, se régalant de ses secrétions, jusqu’à ce qu’elle lui relève la tête à l’aide de ses mains.
Elle lui donna un long baiser pour le remercier.
- Tu as aimé ?
- Je n’ai jamais joui comme ça, tu es merveilleux !
- Tu sais, j’aimerais bien que tu me fasses la même chose.
Sans se faire prier, elle se mit à genoux, tête bèche, et à son tour, elle posa ses premiers baisers sur le torse de Noël. Très vite, elle descendit sur son ventre, puis hésita un peu en voyant le pieu de chair dressé devant ses yeux. Timidement, elle posa un premier baiser sur la tige, puis ses lèvres remontèrent légèrement et vinrent sur le côté du gland encore recouvert du prépuce. Sa maladresse excitait terriblement Noël. D’une main, il le décalotta afin de sentir la bouche de Danièle sur son gland. Elle posa ses lèvres sur le sommet de son sexe et en profita pour goûter le liquide transparent qui sortait de son méat. Le goût légèrement salé ne lui parut pas désagréable et elle s’enhardit à envelopper progressivement tout le gland avec ses lèvres. Non, finalement, ce n’était pas du tout désagréable au goût !
- Mets-le dans ta bouche, suggéra Noël, et utilise ta langue.
Bien qu’encore maladroite, elle apprenait vite, et elle fit pénétrer le sexe de son amoureux dans sa bouche. Comme c’était doux sous sa langue ! Noël sentait qu’il ne tiendrait pas longtemps sous de telles caresses, pour la première fois, il ne voulait pas qu’elle reçoive son sperme dans sa bouche, et il prit la tête de Danièle juste avant que son orgasme vienne afin de lui épargner ce qu’elle aurait peut-être trouvé désagréable. Le premier jet de liqueur blanche arrosa le menton de la jeune fille qui ne s’était pas retirée suffisamment vite.
- Vite ta main pour finir !
Elle enveloppa le sexe dégoulinant de sperme, de ses doigts et il la guida afin de conclure sa jouissance. Elle regarda ses doigts souillés et resta comme ça sans bouger. Noël qui s’était relevé et qui la regardait lui dit :
- Tu n’as pas envie de goûter ?
- Si.
Elle avança le bout de la langue vers sa main et recueillit une goutte de liqueur qu’elle goûta.
- Ce n’est pas mauvais, c’est chaud.
Elle renouvela l’opération avec une goutte un peu plus grosse.
- Tu as déjà goûté toi ?
- Non !
Elle approcha ses doigts de la bouche de Noël qui avança la langue pour goûter à son tour sa semence.
- Tu as raison, ça n’a pas mauvais goût !
- Si tu veux la prochaine fois je me déverserai dans ta bouche, ce sera tellement mieux !
- Comment veux-tu que je te dise non, je t’aime tellement !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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bonjour merci pour la suite de votre histoire toujours passionnent