decouverte de ma bi sexualite

- Par l'auteur HDS Laurant -
Récit érotique écrit par Laurant [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : decouverte de ma bi sexualite Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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decouverte de ma bi sexualite
A cette époque, les années 70, il n'y avait pas encore cette saloperie de maladie de SIDA, mais il existait toujours le conscription (le service militaire). A 21 ans je suis appelé pour aller servir la patrie en Allemagne, comme beaucoup de mecs dans ces années là. D'une grande timidité à cette époque, j'avais eu quelques attouchements avec des nanas, sans jamais oser conclure, j'étais donc encore puceau. Ayant travaillé très tôt, j'avais pu me payer une voiture avant l'armée. Cette auto me permettait de "remonter" sur Paris tous mes copains qui avaient une perm. en même temps que moi. Cela permettait de gagner un temps phénoménal, les trains militaires étant d'une lenteur inimaginable aujourd'hui. Un WE, pour une 48 heures, je ne trouve qu'un volontaire qui puisse m'accompagner; Il habite en Lorraine et je dois le laisser du côté de Thionville. Pas terrible pour moi et surtout pour le partage des frais de carburant, mais bon, faute de mieux on y va. Ce WE allait être riche d'imprévues et je n'était pas prêt de l'oublier. Arrivé à la frontière, le douanier me demande si je n'ai rien à déclarer, je réponds non, en taisant les 4 cartouches de cigarettes que j'ai achetées dans un magasin détaxé et qui ne doivent pas surtout pas sortir d'allemagne. Vous avez déjà deviné la suite, visite du véhicule, découverte du paquet roulé dans un plaid, procès verbal, taxes à payer + amende à régler. N'ayant pas suffisamment de sous sur nous pour régler tout ça, mise en garde à vue immédiate. Entré vendredi soir au poste, nous n'en sommes sortis que le samedi après midi. En plus des frais occasionnés, la 48h en avait pris un sacré coup. Sur proposition de mon copain, j'accepte volontiers de rester chez lui (chez ses parents) pour le reste de cette perm.
Le samedi soir, Gilles (appelons le comme cela) me fait découvrir quelques lieux ou il a ses habitudes, troquets et boites. N'ayant quasiment pas dormis la nuit précédente, nous sommes rentrés nous coucher vers 2 heures du matin. Il allait falloir nous partager le lit de Gilles(lit d'une personne), mais cela ne me posait pas de problème, à la guerre comme à la guerre! Nous nous sommes couchés tous les deux en slip. le manque de sommeil, la chaleur régnante en cette fin de septembre, l'abus d'alcool de la soirée ou la promiscuité de nos deux corps qui se touchaient occasionnellement, nous avaient passablement énervés. Comme des gamins, nous avons commencé à nous pousser mutuellement dans un grand fou rire. A plusieurs moments, j'ai senti son sexe toucher ma cuisse, sans plus y faire attention que cela. Très rapidement, j'ai senti qu'il prenait de plus en plus de volume pour finir par être complètement bandé. On s'est un peu calmé et je lui ai fait remarquer qu'il me semblait sacrément excité. Il a confirmé mes dires et m'a avoué avoir une super envie de se branler, ce qu'il aurait fait de suite s'il était tout seul. Je lui ai dit d'aller au toilettes s'il voulait, que cela ne me regardait pas, etc, etc..... Ces paroles m'ont bizarrement fait de l'effet et moi aussi je me suis mis surpris à bander violemment. Il a profité de se retourner dans le lit pour effleurer mon slip et s'apercevoir que mon état n'avait rien n'a envier au sien. C'est là qu'il m'a proposé que l'on se soulage tous deux ensemble. Je lui dit qu'il était fou, que je ne suis pas PD, que je vais finir la nuit par terre ou dans ma voiture s'il continu. Il a réussi à me calmer en me disant qu'il ne voulait surtout pas me choquer, mais que énervés comme nous l'étions, c'était une solution pour faire tomber la pression rapidement et pouvoir dormir. Lui avait déjà fait cela avec un cousin de son âge à l'adolescence pendant les vacances passées ensembles, qu'ils y avaient pris plaisir tous les deux, sans être PD pour cela, mais que, vue ma réaction, il se tournait de son cote et allait chercher à s'endormir. Nous nous sommes donc retrouvé chacun de son côté "à l'hôtel du cul tourné", sans pour autant pouvoir trouver le sommeil. A chaque mouvement, nos fesses se touchaient et cela ne nous aidait pas à nous calmer. Je n'arrivai pas à m'ôter de l'esprit sa proposition et je devais bien m'avouer qu'elle m'excitait plus que de raison. A un moment j'ai pris la décision d'accepter ce qui m'était inacceptable quelques minutes plus tôt. Après tout, j'étais plus fort et plus baraqué que lui, donc il ne pourrait rien m'imposer que je ne veuille pas. je me suis retourné sur le dos et lui ai dit: "je crois que tu as raison, faisons tomber la pression comme tu le veux". Il s'est rapidement retourné, tout joyeux et, contre toute attente, m'a déposé un petit bisou sur la joue en me remerciement. Il a ensuite fait voler le drap qui nous recouvrait et son slip à suivi. Il était là, étendu à 10 cm de moi, la bite bandée. Ce sexe me paraissait énorme, c'était le premier que je voyais et je pense que la petite taille de mon copain et son petit gabarit, donnait plus de volume à son sexe que réellement. J'étais abîmé dans ma contemplation et ne bougeait plus. Impossible d'ôter mon regard de ce sexe fièrement bandé. Il m'a demandé ce que j'attendais pour faire comme lui. J'ai réussi à ôter le dernier rempart de ma virilité et il en a profité pour commencer à se branler, langoureusement au début, puis de plus en plus fort, jusqu'à sa délivrance, arrivée dans une forte jouissance qui l'a fait crié. De mon côté, je n'avais pratiquement pas bougé, pétrifié de voir cette jouissance se dérouler à quelques cm de mes yeux. Il a pris un mouchoir, s'est essuyé et m'a dit de faire pareil que lui, qu'il me regardait pour m'encourager. Justement, au contraire, je pense que son regard m'a plutôt démotivé, j'avais du mal à essayer de me donner du plaisir en étant observé. J'aurais donné cher pour pouvoir m'isoler et me soulager seul. Bien que je sois encore super excité par ce qui venait d'arriver, que des images de branle et de jute se bousculent dans mon esprit, ma bandaison commençait à perdre de sa vigueur. Voyant cela, Gilles me dit: "soit gentil, laisse moi faire, tu ne sera pas déçu" Sans réponse de ma part, il a pris l'initiative de prendre mon sexe en main. Après un geste de de recul de ma part, je me suis détendu et me suis laissé faire. je ne me reconnaissait plus. J'ai fermé les yeux et me suis laissé caressé par mon copain. Mon sexe n'a pas tardé à reprendre sa taille maximale et c'est à ce moment que Gilles, encouragé, peut être par mes yeux fermés, à approché sa bouche et à commencé à me sucer. Quand j'ai senti ce qui se passait, j'ai voulu lui éloigner la tète, mais il s'est accroché et la douce chaleur de sa bouche m'a fait jouir en moins de 2 mn. Je venais de recevoir ma toute première pipe qui, bien que rapide, je doit avouer qu'elle m'avait parue super et j'avais joui comme jamais je n'avais joui au cours de mes branlettes solitaires. Gilles s'est essuyé mon sperme sur ses joues et m'a dit qu'il avait beaucoup aimé me sucer et qu'il espérait que ça m'avait fait plaisir. J'étais heureux et culpabilisé en même temps. Sans plus parler, nous sommes convenus qu'il était maintenant temps de dormir. Je suis resté sur le dos et lui s'est endormi sur le ventre, une de ses mains posée sur mon torse. J'ai eu du mal à m'endormir. Je contemplais, dans la pénombre de la chambre, son petit cul que je trouvai très beau et il me vint l'envie de sentir sa peau sous mes doigts. Je n'en fis rien et c'est comme cela que me suis enfin endormi. A mon réveil, Gilles semblait dormir encore, mais sa main avait quittée ma poitrine pour se retrouver sur ma bite, comme souvent le matin je bandais fort, et sa main exerçait à intervalles réguliers de petites pressions. J'étais de nouveau super excité et apreciait cette caresse inedite pour moi. J'observai toujours ses petites fesses exposées et osait poser ma main dessus. Ce contact ma électrisé et j'ai joui avec juste l'aide de la main de gilles posée sur mon sexe. Il s'est réveillé au cris de jouissance que j'ai poussé, sa main recouverte de mon foutre et la mienne toujours posée sur son derrière. J'ai voulu me saisir de son mouchoir pour essuyer sa main, il m'a dit de ne pas bouger et de continuer à lui caresser le cul, que mon sperme il se chargeait de se le nettoyer lui même. Il a alors mis sa main à sa bouche et se l'ai lèché en faisant des "huuummmm, miam,maim, etc...." Quand il eu fini il me dit que mon sperme était trop bon et que je devrai bien essayer de goûter le sien. Sa proposition ma horrifiée et m'a excitée en même temps. Devant le plaisir que semblait ressentir mon acolyte au jeux du sexe entre homme, je me suis décidé, pour ne pas mourir idiot, à lui dire "OK, je vais te rendre ta politesse de cette nuit et je vais essayer de te sucer. Seule condition tu ne joui pas dans ma bouche, tu me préviens que je puise me retirer à temps" Après son consentement, j'ai pris son sexe en main, l'ai branlé doucement et lorsqu'il a été en forme, je l'ai embouché. J'ai rapidement eu des haut de coeur et heureusement que je n'avais pas déjeuné car je pense que je ne serait pas arrivé au bout de ma tâche. Comme j'avais promis, j'ai malgré tout continué ma suce et après un moment mes nausées ont disparues. Ma fellation ne me dégoûtait plus et je commençait même à y prendre modérément goût. A un moment sa respiration s'est accélérée et j'ai senti que sa jouissance arrivait, je me suis retiré et je l'ai amené à l'orgasme en le branlant. Comme je voulais goûter son sperme, j'ai commencé par en recueillir sur mes doigts, les ai léchés, et comme j'ai trouvé que son goût n'était pas très éloigné du mien, que j'avais l'habitude de boire, j'ai fini de lui nettoyer le ventre à l'aide de ma langue. Tout cela m'avait de nouveau excité, j'étais comme fou de cette activité sexuelle, nouvelle pour moi qui ne connaissait pratiquement rien encore la veille. Nous avons décidé de nous arrêter là pour l'instant, d'aller nous soulager la vessie (suite à notre soirée bien arrosée, ça commençait à presser) et d'aller prendre notre petit déjeuné. Avant de renfiler nos vêtements, Gilles s'est collé contre moi et m'a roulé une super pelle à laquelle j'ai répondu après le premier moment de surprise passé. Avant de quitter la chambre et voir ses parents, il m'a fait jurer de ne rien dire à personne et surtout de recommencer bientôt nos petits jeux. De retour au régiment et jusqu'à ma libération, dès que nous avions un petit moment de liberté, nous nous sommes retrouvés dans un grenier, dont j'avais la clef grâce à mon emploie au casernement (entretient des locaux et des abords) et ou était entreposé tous les vieux meubles cassés ou périmés. Sur un vieux lit nous nous sommes envoyés en l'air un nombre de fois incalculables. Gilles m'a fait découvrir toutes les possibilités de l'amour entre hommes, sauf la sodomie à laquelle je me suis toujours refusé, active ou passive. J'étais tombé complètement dingue amoureux de mon copain Gilles, moi, amoureux d'un homme!!! J'ai été libéré 4 mois avant Gilles et malgré nos milliers de promesses de nous revoir, j'ai décidé de rompre complètement avec lui et cette période. Je ne l'ai donc jamais revu. J'ai rencontré ma future femme 1 an après et me suis marié à 23 ans. Je lui ai fait 2 super enfants et lui suis resté fidèle (H et Foui oui c'est vrai) jusqu'à mes 45 ans. A cet âge, malgré l'amour que je continu à porter à mon épouse, notre vie sexuelle étant devenue fade et monotone, je me suis mis à fréquenter les sauna gay de Paris et là, régulièrement, je m'envoie en l'air. Maintenant je ne m'interdit plus rien et je suis complètement épanoui. Conclusion, il est possible de se faire dépuceler par un homme, vivre une grande partie de son existence en pur hétéro et finir par vivre son amour auprès de sa femme et rencontrer des homos ou des bi pour s'éclater à fond. C'est dans ces lieux, que je fréquentes maintenant depuis 10 ans, que je me suis aperçu que mon cas n'était pas unique. En effet peut être la moitié des mec qui viennent se faire défoncer là, sont des hommes mariés. Etonnant non?
Je vous rapporterai plus tard quelques histoires excitantes ou marrantes qui me sont arrivées au cours de ces journées de débauche. A bientôt et bonne branle à vous tous.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'ai toujours adoré ces récits d'expériences homosexuelles démarrant à l'occasion d'une nuit où les circonstances obligent à partager son lit avec un copain ou un cousin. Le contact des corps peut alors être très troublant surtout si l'on ressent du désir pour son compagnon de couche et l'on peut être tenté de poser une main sur sa croupe ou sur son sexe tout en faisant semblant de dormir. On peut aussi oser de véritables caresses ou même se coller contre son dos pour se frotter la bite sur son sillon fessier mais les risques encourus sont alors bien plus élevés.



Texte coquin : decouverte de ma bi sexualite
Histoire sexe : Une rose rouge
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