Découverte de nouveaux plaisirs sur l’autoroute - histoire érotique

Ce récit est une histoire qui m’est arrivée il y a maintenant un peu plus de 7 ans lors d’un de mes nombreux déplacements professionnels.
En cette fin d’après-midi de décembre, je venais de quitter un de mes clients à Moulins et je reprenais vite fait l’autoroute pour rejoindre ma copine à Lyon. Ce rendez-vous avait duré un peu plus longtemps que prévu et je n’avais pas voulu l’interrompre malgré une envie se soulager ma vessie qui se faisait de plus en plus pressante.
Qu’importe je m’étais dit, je peux bien me retenir un peu jusqu’à une aire de repos sur l’autoroute.
Me voici donc au volant, la nuit était déjà tombée et la première aire de repos venue je me suis arrêté – direction les toilettes. C’était le genre avec juste un bâtiment de sanitaires, une cabine téléphonique, et des tables de pique-nique.
En avançant, je me suis rendu compte qu’il y avait quelques voiture garées avec leur conducteur au volant. Je me suis du coup senti rassuré de ne pas me trouver seul à cet endroit.
J’entre donc côté Hommes et sur les trois urinoirs, je choisi celui le plus éloigné de la porte.
J’avais à peine commencé à uriner qu’un homme est entré pour se placer devant le premier urinoir. Vêtu d’un costume sans cravate, tout comme moi, il se déboutonne et me lance un «Bonsoir !» auquel je réponds tout naturellement.
Le fait de m’être retenu rendait ma tâche bien plus longue que d’habitude. Ce que l’individu me fit remarquer alors que lui avait déjà terminé.
- « Eh bien, ça devait faire longtemps que vous attendiez ! »
- « Oui en effet, je ne pouvais plus me retenir » lui répondis-je tout en terminant et en commençant à secouer les dernières gouttes.
Et c’est à ce moment que tout a basculé. Je sentais en effet le regard de l’homme posé sur mon sexe alors qu’il était toujours à sa place. Il me dit alors :
- « C’est une très belle pièce que je vois là ! En érection elle doit bien faire 17 cm ? »
Cette question m’a quelque peu surpris ce qui a fait tourner mon regard vers lui qui se tenait toujours le sexe. Et là je me suis surpris moi-même de lui répondre :
- « Oui, je crois que c’est à peu près sa taille. »
Pourquoi lui avoir répondu ? Alors que manifestement cet homme était sans doute homo et moi pas du tout…
- « Fais voir un peu, je peux toucher ? » me dit-il en s’approchant et en avançant la main.
Là j’aurai du le repousser, ou bien m’en aller. Mais je n’ai rien fait de telle, cette situation inattendue devenait excitante et attisait ma curiosité. J’ai donc instinctivement accepté sans dire un mot que cette main vienne se poser sur ma queue. Très vite celle-ci s’est mise à gonfler faisant l’admiration de l’inconnu.
- « Ah oui, c’est mieux comme ça. Effectivement, tu as un beau morceau. »
Le tutoiement et cette main qui commençait une caresse m’a alors indiqué que nous devenions plus proche, ce qui m’a aidé à franchir le pas et à aller dans son jeu.
- « Et moi, je peux voir le tien ? »
- « Bien sûr, tu peux me le toucher. »
Et me voilà avec ma main qui caresse pour la première fois le sexe d’un autre homme. Quelle drôle de sensation.
Le sien était plus petit. Je dirai par comparaison 14 cm. Nous étions là à nous caresser mutuellement, en faisant des mouvements de plus en plus large, voire à nous masturber l’un l’autre. Au bout d’une minute ou deux il interrompit le silence tout en me lâchant.
- « Si tu veux on pourrait continuer ailleurs dans un coin plus tranquille. Ici on risque d’être dérangés. »
J’acceptais tout en sentant mon cœur s’emballer sachant que j’allais sans doute vivre ma première expérience homo. A 32 ans, il y a un début à tout.
En sortant des toilettes il m’indique alors les tables de pique-nique un peu plus loin derrière des buissons. Il me dit d’y aller et qu’il va me rejoindre tout de suite car il doit repasser à sa voiture pour y prendre un truc.
Je m’éloigne alors vers cet endroit plus sombre car éloigné de l’éclairage du parking. En l’attendant, je le vois ouvrir son coffre, le refermer et venir vers moi.
Là il a commencé à discuter, me demandant mon prénom, me donnant le sien, me demandant si j’avais déjà eu des relations avec des hommes. En toute honnêteté je lui ai juste confié une vieille histoire de touche zizi avec un copain quand j’étais gamin. Il me demande alors si je veux qu’on reprenne ce qu’on avait commencé dans les toilettes. Nous voilà donc avec la braguette ouverte à nous caresser chacun face à face. Il a voulu m’embrasser mais là je lui ai dit non. Je n’étais pas prêt pour ça. Nos caresses duraient maintenant depuis plusieurs minutes. Il me dit que ça serait plus agréable si je lui caressais les couilles avec mon autre main. Ce que je fis aussitôt, sans doute maladroitement mais curieux de ressentir ses boules dans ma main. Avec le froid qu’il faisait elles étaient d’ailleurs toute recroquevillées. Lui, frustré de ne pouvoir m’embrasser s’est mis à passer sa main sous ma chemise pour me caresser le torse. Il me fit des compliments comme quoi j’étais bien foutu et super viril. Il faut dire que je suis assez poilu.
Il remonte alors ma chemise et se met à me mordiller les tétons. Malgré le froid, sa bouche sur mes seins m’ont fait l’effet d’une décharge électrique.
Il me demande alors s’il pouvait me mettre une capote et me léchouiller juste un peu. J’acceptais en me disant que c’est sans doute ça qu’il était parti prendre dans sa voiture. Heureusement, car ce n’est pas le genre d’outil que j’ai l’habitude d’avoir sur moi…
En fait ses léchouilles se sont vite transformées en une fabuleuse fellation que même certaines de mes plus anciennes copines expertes en la matière ne m’avaient jamais faite. Sur le coup de l’excitation, je n’ai pas pu résister longtemps à sa bouche très douée et j’ai ainsi rempli le préservatif d’un copieux jet de sperme. Lui paraissait très déçu de m’avoir fait jouir aussi rapidement et il s’est aussitôt remis debout pour se masturber et éjaculer sur le sol.
J’aurai bien aimé qu’il me laisse le faire jouir avec mes mains, mais apparemment il était pressé de jouir à son tour.
Une fois nos outils remballés, je lui ai dit que c’était vraiment un truc exceptionnel qu’il venait de me faire vivre et qu’il fallait maintenant que je reprenne la route car j’étais encore loin de ma destination. Tout en disant cela il m’a raccompagné jusqu’à ma voiture tout en essayant de me retenir. Il m’expliquait qu’il connaissait bien les lieux et que si je voulais il y avait un endroit encore plus à l’abri, derrière le grillage, où on pourrait continuer et aller plus loin pour me faire découvrir d’autres plaisirs.
J’ai beaucoup hésité avant de lui donner un refus catégorique. Il a quand même réussi à m’embrasser tout en me caressant la braguette. J’ai été surpris mais ça m’a tout de suite fait de l’effet. C’est donc en érection que j’ai repris le volant pour quitter cette aire de repos avec en tête des tas de nouvelles sensations, de questions aussi… Lui est reparti sur St Etienne et je ne l’ai jamais revu. C’était un bel homme, jeune VRP très doué pour détourner un hétéro du droit chemin.
Depuis je me suis marié. Je n’ai jamais eu d’autre expérience homo mais il m’arrive souvent d’imaginer ce que j’aurai pu découvrir d’autre si j’avais franchi le grillage avec lui. Je m’imagine ainsi avec son sexe en bouche le rendant super excité avant qu’il me demande de me retourner pour embrasser mes fesses, me lécher à cette endroit, d’y enfoncer un doigt pour enfin me faire connaître en douceur la sensation de la pénétration anale.

Vous l’aurez compris, cette histoire m’est vraiment arrivée et je reste depuis sur ma faim.
Si elle vous a plu vous pouvez m’écrire un petit mot. Je suis toujours à Lyon, si quelqu’un d’entre vous voulait m’accompagner pour passer de l’autre côté du grillage, alors peut-être que cette fois j’irais plus loin afin de satisfaire enfin ma curiosité.
A bientôt…