Decouverte de soi
Récit érotique écrit par Temp333 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Decouverte de soi
J’ai 25 ans, j’ai commencé une aventure avec une femme de 23 ans mon ainé, il y a 5ans maintenant, et nous vivons une histoire particulière.
J’ai rencontré Madame Colonel S, lorsque j’étais à l’Université à 1800 Km au Nord de LAGOS, la capitale économique du NIGERIA. La première fois que je l’ai vu, elle m’a saoulé sous prétexte que je l’avais appelé madame plutôt que par son titre de l’époque Commandante. En fait, j’avais ressenti cela comme une humiliation subit devant mes camarades, amis et profs de toute l’université. Je lui en ai donc gardé rancune.
La Seconde fois que je l’ai vu, c’était 3 moisa peu près après notre première rencontre. Je rentrais pour les vacances de fin d’année. J’avais le paludisme. Après deux jours de trajet en voiture, le sort a voulu que notre véhicule tombe en panne à moins de 10 Km de notre lieu de destination devant un camp militaire à Lagos. J’ai été admis aux urgences de l’hôpital militaire et quelques minutes avant de perdre connaissance. Je me réveillais deux jours après pour apprendre que la commandante du camp à pris en charge les frais.
Elle est venu me rendre une visite éclair la veille du jour où les médecins devait me libérer pour me mettre au courant qu’elle avait informer le consulat de mon état et qu’ils étaient d’accord que je reste chez elle pour me rétablir, si je n’y voyais pas d’inconvénient avant de poursuivre le voyage de 600 km restant pour rentrer dans mon pays.
Le lendemain, je découvre sa maison, une villa gigantesque avec piscine et vue sur la mer, entouré de jardin, d’espace vert dans un quartier de milliardaire.
Deux domestiques et un cuisinier sont chargés d’être au petit soin avec moi. Avec eux, nous échangeons toute la journée comme de vieux amis. Mais dès que la patronne arrive le soir, c’est fini les amitiés, ils deviennent tous muets. Je me réfugie donc seul sous la télé, et quand elle vient s’asseoir près de moi, je n’arrive pas à la blairer, donc je monte me coucher tôt.
Plus tard, Lady S vient m’inviter à venir déguster avec elle un dessert qu’elle s’est faite livré. Je décline l’offre prétextant qu’il me faut prendre mes médicaments. A mon grand étonnement, elle me fait monter mes cachets. Elle s’assoit sur le lit et me demande quand je compte repartir. Je ne répond pas. Elle enchaine avec deux ou trois autres questions. Toujours silence. Enfin, elle se lève et va sur la table face au lit pour me servir mes cachets.
De dos, je la regarde mieux et je prends conscience qu’elle essaye uniquement de m’aider. Près de moi, je vois autre chose : une hanche complètement épanouie et large qui supporte des fesses rebondies qui remplissent la culotte fleurie bleue clair totalement moulante qu’elle porte.
Une petite poitrine de jeune fille de 17 ans pour une femme de la quarantaine, deux petits seins ronds café et brillant caché dans un décolleté rouge bordeaux. Son visage rond avec des petits yeux légèrement bridés se pose délicatement sur moi, alors que je contemple ses lèvres pulpeuses. Je note que la lèvre inférieure est naturellement rose et profondément fendillé en son milieu.
A ce moment, je ne vois plus l’officier autoritaire presque arrogante mais la belle femme noire coiffé comme un homme, le teint café au lait, le regard sur et le sourire naturellement rose semblable à une déesse de bronze.
Elle me tend le verre et les cachets. Je prends mes médicaments tout en gardant l’œil sur elle.
- Ca va. Tout va bien. Je ne vais rien te faire.
Je me tais toujours en la regardant fixement
- OK, Comme je ne peux discuter avec personne dans cette maison, je suis dans la chambre en face, si tu as besoin de quelque chose…
Puis elle passe la porte et je la rappelle avec un « please » presqu’inaudible. Elle revient. Je me pousse d’un côté du lit et je tapote la partie libre pour lui faire signe de s’asseoir.
Elle soupire bruyamment puis s’y couche.
- Je sais que la première fois où on s’est vu je ne t’ai pas fait bonne impression.
Alors qu’elle continue à bavarder, je m’endors… Un peu plus tard, j’ouvre les yeux et je ne la vois pas mais je l’entends au loin comme sous la douche.
Vers 3 Heures du matin, je me réveille. J’ai une folle envie de sexe. Je me retourne et la voilà à ma gauche qui dort. Elle s’est recouverte d’un léger pagne. Je ferme à nouveau les yeux et je détourne mon visage. Mais au bout de quelques minutes, je me rends compte que mon envie ne fait qu’augmenter. J’y réfléchis une dizaine de minutes qui s’écoule comme une heure. Et merde, ce n’est pas la peine de me leurrer, j’ai envie de sexe. D’ailleurs ‘’ Quand faut y aller, Faut y aller’’.
Je pose à nouveau les yeux sur sa croupe. J’y passe ma main et elle glisse sur le pagne. Je sais que j vais faire quelque chose de défendu, alors je l’enjambe et je descends éteindre la lumière puis j’allume la veilleuse.
Je me recouche puis doucement et lentement je palpe le derrière, j’introduis après ma main sous le pagne. Il y rencontre un slip de soie bien doux. Je masse les fesses avec précaution et tendresse. Je les caresse en décrivant des cercles puis de deux doigts je déplace les bords du slip vers la raie des fesses. Ce joli slip en soie se transforme en string et mes doigts peuvent effleurer maintenant la peau brulante. Lorsque je lui touche la peau des fesses, elle bouge un peu. Je m’arrête alors que mon pénis s’est désormais tellement endurci qu’il me fait presque mal.
J’introduis mon index dans ma bouche pour bien le mouiller puis je le fais descendre dans la raie des fesses en commençant par le haut. Mon index atteint d’abord son petit trou et tout en le resalivant après chaque caresse, je masse légèrement les petites stries. Puis descends mon doigt pour rencontrer son trou. Je tire ce qui reste du slip vers l coté pour dégager tout l’accès à la chatte. Et pendant que doucement j’introduis un puis deux doigts dans la chatte qui mouille instant après instant, je caresse de l’autre main, ses cuisses en les effleurant pour y laisser une sensation de chair de poule.
Enfin, elle relève son pied droit en déplaçant son genou de sorte que le bouton rose est devenu bien accessible. Alors, j’ouvre ma fermeture éclair, mon braquemart avait tellement dégouliné de liquide spermatique que je n’attendis plus. Je l’introduis dans la fente mouillée prête à être défoncée.
Mon cœur palpite, ma respiration s’emballe au fur et à mesure des va-et-vient, et un plaisir de plus en plus fort se réveille dans mes couilles. Mais plus j’avance plus je sens que ma position actuelle ne me suffit plus. Je me relève puis je monte sur elle….
Mais elle fait brusquement un mouvement imprévisible et ouvre les yeux. Elle se retourne et me regarde presque couché sur elle, la verge bien au chaud dans sa chatte. Avant que je ne puisse réaliser, elle me serre le cou d’une main…
- C’est toi ? Mais c’est….. C’est….. Oooooh
Je suis à moitié affalé sur elle, les yeux dans ses yeux. Calmement, elle lève une main et me caresse la tête et les cheveux et de l’autre main une fesse. Puis elle arbore un sourire doux qui me redonne des forces. Je retombe derrière elle. Elle se retourne face à moi et s’avance pour me faire face. Elle m’embrasse sur les lèvres d’abord et plus profondément ensuite en introduisant de façon experte un bout de sa langue. Rien d’envahissant, juste une partie de la langue que j’accueille et caresse à mon tour avec ma langue.
Puis elle caresse le dard légèrement puis avec un peu plus d’insistance en va-et –vient régulier pendant quelques secondes. Lorsque je sens le foutre monté, il s’arrête net et s’attaque à mes boules, les massant doucement en suçant mes têtons, enfin mon corps sent qu’une femme vient de le comprendre.
Enfin, elle me dit :
- Viens, monte.
Je ne me fais pas prier, je monte sur elle, pour une bonne levrette. Elle écarte les jambes. Je veux descendre à son pubis pour lui montrer toute ma reconnaissance, mais elle me retient par la taille et dit :
- Pénètre-moi, je t’en prie
Comme je m’attarde un peu, elle se fait suppliante
- S’il te plait viens m’aimer
Alors, je m’introduis en elle. Je descends la hanche pour labourer le bas de son vagin d’abord mais elle me remonte en me griffant doucement le dos.
- Ca me fait mal là-bas. Viens plutôt ici.
Elle introduit mon sexe dans la chatte à nouveau puis me m’incite à remonter de sorte que j’ai sa tête à hauteur de mon cou.
- Doucement. Respire
Je respire
- Respire profondément. Vas-y. met tout ton long pénis. Maintenant ressort-le en totalité. Enfonce-le à nouveau ; ressort moi ce gros bâton et remet –le en touchant les bords. Je veux qu’il me caresse les lèvres en descendant.
Je suis à la lettre toutes ses consignes et je les exécute. Puis je me mets à cogner la paroi vaginale en entrant, et à chaque fois, elle pousse un petit crie. Donc, je pousse de plus belle, je cogne de plus en plus durement. Je vois son magnifique ventre d’athlète trembler une fois, puis une deuxième fois et une troisième parcouru par des spasmes. Enfin ses spasmes se transforme en contraction et elle lève son buste dans un élan sexuel indescriptible, inspirant fortement dans un râle profond puis retombe comme descendant du ciel. Je suis ébahie mais je n’ai pas encore eu ma part.
Je continue à la labourer, me sentant venir. Elle me repousse de côté puis à son tour monte. Elle m’écarte les jambes puis se couche la hanche entre mes cuisses. Elle introduit mon pénis dans son vagin puis resserre fermement ses jambes. Ensuite, elle me met un de se seins sous la main. Je lis dans ses yeux, qu’elle espère me voir les presser.
Mais non, je les caresse doucement, pendant qu’elle monte et descend son bassin, bouge à gauche puis à droite, défit ma verge depuis sa fondation. Et à chaque fois que je me sens venir, elle me dit « Respire, respire «, et je respire. Puis je pince ses têtons entre mes doigts, l’une après l’autre puis simultanément après. Elle adore ce jeu, je peux le lire sur son visage. Elle rayonne. A son tour, elle alterne les mouvements de va-et-vient. Tantôt elle va lentement plus vite, tout en me caressant les cheveux le nez et la barbe. Je sens à nouveau cet envie irrésistible de déverser tout mon foutre en elle me remonter dans le couille puis dans mon ventre en un millier de picotement agréablement intense et je ferme les yeux.
Alors, elle me pince un têton et répète
- Petit voyou, je veux que tu m’attendes. Ne viens pas encore. On va s’envoler ensemble.
Je lui passe l main dans les cheveux et l’attire vers moi, lui introduit la langue dans l’oreille et lui lèche tous le globe. Elle retire la tête et me sourit.
- Tu es trop belle. Tu me rends fou lui dis-je sincèrement.
Alors, elle m’embrasse avec fougue. Tout en agitant à mon tour ma hanche, descend une main le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la raie des fesses et à son anus que je titille en décrivant de petit cercle. Elle s’arcboute et se dresse sur moi, m’enfoncent les ongles sous la peau en me serrant et râle comme une furie.
Je sens mon entrejambe se mouiller d’éjaculat alors qu’elle tremble de tout ses os. Je la laisse se poser doucement puis, la retourne ventre contre le lit et la pénètre par derrière. J’ai envie de rester dans cette position pour le reste de mes jours tant le plaisir me monte de partout. Malgré la petite quantité de liquide éjaculé, il dégouline sur ses fesses pendant que je les martèle de tout mon poids. Ses fesses deviennent glissantes et sa chatte mouille bien. Je suis aux anges : le plaisir monte comme dans fourmillements dans mon ventre qui le draine dans tous mon abdomen. Puis mon cœur se remplit à son tour de ce plaisir indescriptible et ça monte et ça monte encore et encore, pendant que je la baise de plus en plus violemment et qu’elle crie de plus en plus fort.
Brusquement je ressens comme une vague de plaisir électrique venant de ma nuque qui se propulse dans mon cœur et implose dans mon cœur. Mon souffle est coupé. Mon cœur semble avoir lâché. Je ne suis plus dans ma conscience. Je suis quelque part dans un néant où ma conscience n’écoute plus que le plaisir dans les différentes parties de mon cœur. C’est milles et unes explosion dans tous mon corps, à l’espace entre mes boules et mon anus d’abord, puis entre mes deux yeux, dans mes reins, etc. tantôt de petite explosion, tantôt de grande, tantôt il me semble que c’est un feu d’artifice de plaisir qui parait parfois être une explosion suivit de luisantes pétales pétillantes qui tombe ou d’explosion lourde foudroyante qui paralyse une partie de mon corps. Je viens d’avoir un orgasme fulgurant .Ce plaisir ineffable dure ainsi pendant un temps que j’estime être une belle éternité.
Enfin je reviens à moi et j’ouvre les yeux. Je me rends compte que j’ai une main pressant un sein et qu’elle est raidit et couché sur le côté éjaculant longuement sur le lit et à terre. Elle finit et se couche dans mes bras. Je lui demande :
- C’était comment
- Vilain garçon, tu n’as même pas éjaculé.
Je m’endors en l’espace de quelque seconde. Le lendemain à mon réveil, j’apprends qu’elle est partie très tôt. Elle a déposé 1000 dollars pour moi. Je refuse de prendre l’argent. Malgré que j’ai prévu passé au moins 3 jours là-bas, avant midi je rentre dans mon pays pour mes vacances. En partant, je reste tout de même convaincu qu’entre nous deux c’est le commencement qui n’a pas de fin…
A suivre
J’ai rencontré Madame Colonel S, lorsque j’étais à l’Université à 1800 Km au Nord de LAGOS, la capitale économique du NIGERIA. La première fois que je l’ai vu, elle m’a saoulé sous prétexte que je l’avais appelé madame plutôt que par son titre de l’époque Commandante. En fait, j’avais ressenti cela comme une humiliation subit devant mes camarades, amis et profs de toute l’université. Je lui en ai donc gardé rancune.
La Seconde fois que je l’ai vu, c’était 3 moisa peu près après notre première rencontre. Je rentrais pour les vacances de fin d’année. J’avais le paludisme. Après deux jours de trajet en voiture, le sort a voulu que notre véhicule tombe en panne à moins de 10 Km de notre lieu de destination devant un camp militaire à Lagos. J’ai été admis aux urgences de l’hôpital militaire et quelques minutes avant de perdre connaissance. Je me réveillais deux jours après pour apprendre que la commandante du camp à pris en charge les frais.
Elle est venu me rendre une visite éclair la veille du jour où les médecins devait me libérer pour me mettre au courant qu’elle avait informer le consulat de mon état et qu’ils étaient d’accord que je reste chez elle pour me rétablir, si je n’y voyais pas d’inconvénient avant de poursuivre le voyage de 600 km restant pour rentrer dans mon pays.
Le lendemain, je découvre sa maison, une villa gigantesque avec piscine et vue sur la mer, entouré de jardin, d’espace vert dans un quartier de milliardaire.
Deux domestiques et un cuisinier sont chargés d’être au petit soin avec moi. Avec eux, nous échangeons toute la journée comme de vieux amis. Mais dès que la patronne arrive le soir, c’est fini les amitiés, ils deviennent tous muets. Je me réfugie donc seul sous la télé, et quand elle vient s’asseoir près de moi, je n’arrive pas à la blairer, donc je monte me coucher tôt.
Plus tard, Lady S vient m’inviter à venir déguster avec elle un dessert qu’elle s’est faite livré. Je décline l’offre prétextant qu’il me faut prendre mes médicaments. A mon grand étonnement, elle me fait monter mes cachets. Elle s’assoit sur le lit et me demande quand je compte repartir. Je ne répond pas. Elle enchaine avec deux ou trois autres questions. Toujours silence. Enfin, elle se lève et va sur la table face au lit pour me servir mes cachets.
De dos, je la regarde mieux et je prends conscience qu’elle essaye uniquement de m’aider. Près de moi, je vois autre chose : une hanche complètement épanouie et large qui supporte des fesses rebondies qui remplissent la culotte fleurie bleue clair totalement moulante qu’elle porte.
Une petite poitrine de jeune fille de 17 ans pour une femme de la quarantaine, deux petits seins ronds café et brillant caché dans un décolleté rouge bordeaux. Son visage rond avec des petits yeux légèrement bridés se pose délicatement sur moi, alors que je contemple ses lèvres pulpeuses. Je note que la lèvre inférieure est naturellement rose et profondément fendillé en son milieu.
A ce moment, je ne vois plus l’officier autoritaire presque arrogante mais la belle femme noire coiffé comme un homme, le teint café au lait, le regard sur et le sourire naturellement rose semblable à une déesse de bronze.
Elle me tend le verre et les cachets. Je prends mes médicaments tout en gardant l’œil sur elle.
- Ca va. Tout va bien. Je ne vais rien te faire.
Je me tais toujours en la regardant fixement
- OK, Comme je ne peux discuter avec personne dans cette maison, je suis dans la chambre en face, si tu as besoin de quelque chose…
Puis elle passe la porte et je la rappelle avec un « please » presqu’inaudible. Elle revient. Je me pousse d’un côté du lit et je tapote la partie libre pour lui faire signe de s’asseoir.
Elle soupire bruyamment puis s’y couche.
- Je sais que la première fois où on s’est vu je ne t’ai pas fait bonne impression.
Alors qu’elle continue à bavarder, je m’endors… Un peu plus tard, j’ouvre les yeux et je ne la vois pas mais je l’entends au loin comme sous la douche.
Vers 3 Heures du matin, je me réveille. J’ai une folle envie de sexe. Je me retourne et la voilà à ma gauche qui dort. Elle s’est recouverte d’un léger pagne. Je ferme à nouveau les yeux et je détourne mon visage. Mais au bout de quelques minutes, je me rends compte que mon envie ne fait qu’augmenter. J’y réfléchis une dizaine de minutes qui s’écoule comme une heure. Et merde, ce n’est pas la peine de me leurrer, j’ai envie de sexe. D’ailleurs ‘’ Quand faut y aller, Faut y aller’’.
Je pose à nouveau les yeux sur sa croupe. J’y passe ma main et elle glisse sur le pagne. Je sais que j vais faire quelque chose de défendu, alors je l’enjambe et je descends éteindre la lumière puis j’allume la veilleuse.
Je me recouche puis doucement et lentement je palpe le derrière, j’introduis après ma main sous le pagne. Il y rencontre un slip de soie bien doux. Je masse les fesses avec précaution et tendresse. Je les caresse en décrivant des cercles puis de deux doigts je déplace les bords du slip vers la raie des fesses. Ce joli slip en soie se transforme en string et mes doigts peuvent effleurer maintenant la peau brulante. Lorsque je lui touche la peau des fesses, elle bouge un peu. Je m’arrête alors que mon pénis s’est désormais tellement endurci qu’il me fait presque mal.
J’introduis mon index dans ma bouche pour bien le mouiller puis je le fais descendre dans la raie des fesses en commençant par le haut. Mon index atteint d’abord son petit trou et tout en le resalivant après chaque caresse, je masse légèrement les petites stries. Puis descends mon doigt pour rencontrer son trou. Je tire ce qui reste du slip vers l coté pour dégager tout l’accès à la chatte. Et pendant que doucement j’introduis un puis deux doigts dans la chatte qui mouille instant après instant, je caresse de l’autre main, ses cuisses en les effleurant pour y laisser une sensation de chair de poule.
Enfin, elle relève son pied droit en déplaçant son genou de sorte que le bouton rose est devenu bien accessible. Alors, j’ouvre ma fermeture éclair, mon braquemart avait tellement dégouliné de liquide spermatique que je n’attendis plus. Je l’introduis dans la fente mouillée prête à être défoncée.
Mon cœur palpite, ma respiration s’emballe au fur et à mesure des va-et-vient, et un plaisir de plus en plus fort se réveille dans mes couilles. Mais plus j’avance plus je sens que ma position actuelle ne me suffit plus. Je me relève puis je monte sur elle….
Mais elle fait brusquement un mouvement imprévisible et ouvre les yeux. Elle se retourne et me regarde presque couché sur elle, la verge bien au chaud dans sa chatte. Avant que je ne puisse réaliser, elle me serre le cou d’une main…
- C’est toi ? Mais c’est….. C’est….. Oooooh
Je suis à moitié affalé sur elle, les yeux dans ses yeux. Calmement, elle lève une main et me caresse la tête et les cheveux et de l’autre main une fesse. Puis elle arbore un sourire doux qui me redonne des forces. Je retombe derrière elle. Elle se retourne face à moi et s’avance pour me faire face. Elle m’embrasse sur les lèvres d’abord et plus profondément ensuite en introduisant de façon experte un bout de sa langue. Rien d’envahissant, juste une partie de la langue que j’accueille et caresse à mon tour avec ma langue.
Puis elle caresse le dard légèrement puis avec un peu plus d’insistance en va-et –vient régulier pendant quelques secondes. Lorsque je sens le foutre monté, il s’arrête net et s’attaque à mes boules, les massant doucement en suçant mes têtons, enfin mon corps sent qu’une femme vient de le comprendre.
Enfin, elle me dit :
- Viens, monte.
Je ne me fais pas prier, je monte sur elle, pour une bonne levrette. Elle écarte les jambes. Je veux descendre à son pubis pour lui montrer toute ma reconnaissance, mais elle me retient par la taille et dit :
- Pénètre-moi, je t’en prie
Comme je m’attarde un peu, elle se fait suppliante
- S’il te plait viens m’aimer
Alors, je m’introduis en elle. Je descends la hanche pour labourer le bas de son vagin d’abord mais elle me remonte en me griffant doucement le dos.
- Ca me fait mal là-bas. Viens plutôt ici.
Elle introduit mon sexe dans la chatte à nouveau puis me m’incite à remonter de sorte que j’ai sa tête à hauteur de mon cou.
- Doucement. Respire
Je respire
- Respire profondément. Vas-y. met tout ton long pénis. Maintenant ressort-le en totalité. Enfonce-le à nouveau ; ressort moi ce gros bâton et remet –le en touchant les bords. Je veux qu’il me caresse les lèvres en descendant.
Je suis à la lettre toutes ses consignes et je les exécute. Puis je me mets à cogner la paroi vaginale en entrant, et à chaque fois, elle pousse un petit crie. Donc, je pousse de plus belle, je cogne de plus en plus durement. Je vois son magnifique ventre d’athlète trembler une fois, puis une deuxième fois et une troisième parcouru par des spasmes. Enfin ses spasmes se transforme en contraction et elle lève son buste dans un élan sexuel indescriptible, inspirant fortement dans un râle profond puis retombe comme descendant du ciel. Je suis ébahie mais je n’ai pas encore eu ma part.
Je continue à la labourer, me sentant venir. Elle me repousse de côté puis à son tour monte. Elle m’écarte les jambes puis se couche la hanche entre mes cuisses. Elle introduit mon pénis dans son vagin puis resserre fermement ses jambes. Ensuite, elle me met un de se seins sous la main. Je lis dans ses yeux, qu’elle espère me voir les presser.
Mais non, je les caresse doucement, pendant qu’elle monte et descend son bassin, bouge à gauche puis à droite, défit ma verge depuis sa fondation. Et à chaque fois que je me sens venir, elle me dit « Respire, respire «, et je respire. Puis je pince ses têtons entre mes doigts, l’une après l’autre puis simultanément après. Elle adore ce jeu, je peux le lire sur son visage. Elle rayonne. A son tour, elle alterne les mouvements de va-et-vient. Tantôt elle va lentement plus vite, tout en me caressant les cheveux le nez et la barbe. Je sens à nouveau cet envie irrésistible de déverser tout mon foutre en elle me remonter dans le couille puis dans mon ventre en un millier de picotement agréablement intense et je ferme les yeux.
Alors, elle me pince un têton et répète
- Petit voyou, je veux que tu m’attendes. Ne viens pas encore. On va s’envoler ensemble.
Je lui passe l main dans les cheveux et l’attire vers moi, lui introduit la langue dans l’oreille et lui lèche tous le globe. Elle retire la tête et me sourit.
- Tu es trop belle. Tu me rends fou lui dis-je sincèrement.
Alors, elle m’embrasse avec fougue. Tout en agitant à mon tour ma hanche, descend une main le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la raie des fesses et à son anus que je titille en décrivant de petit cercle. Elle s’arcboute et se dresse sur moi, m’enfoncent les ongles sous la peau en me serrant et râle comme une furie.
Je sens mon entrejambe se mouiller d’éjaculat alors qu’elle tremble de tout ses os. Je la laisse se poser doucement puis, la retourne ventre contre le lit et la pénètre par derrière. J’ai envie de rester dans cette position pour le reste de mes jours tant le plaisir me monte de partout. Malgré la petite quantité de liquide éjaculé, il dégouline sur ses fesses pendant que je les martèle de tout mon poids. Ses fesses deviennent glissantes et sa chatte mouille bien. Je suis aux anges : le plaisir monte comme dans fourmillements dans mon ventre qui le draine dans tous mon abdomen. Puis mon cœur se remplit à son tour de ce plaisir indescriptible et ça monte et ça monte encore et encore, pendant que je la baise de plus en plus violemment et qu’elle crie de plus en plus fort.
Brusquement je ressens comme une vague de plaisir électrique venant de ma nuque qui se propulse dans mon cœur et implose dans mon cœur. Mon souffle est coupé. Mon cœur semble avoir lâché. Je ne suis plus dans ma conscience. Je suis quelque part dans un néant où ma conscience n’écoute plus que le plaisir dans les différentes parties de mon cœur. C’est milles et unes explosion dans tous mon corps, à l’espace entre mes boules et mon anus d’abord, puis entre mes deux yeux, dans mes reins, etc. tantôt de petite explosion, tantôt de grande, tantôt il me semble que c’est un feu d’artifice de plaisir qui parait parfois être une explosion suivit de luisantes pétales pétillantes qui tombe ou d’explosion lourde foudroyante qui paralyse une partie de mon corps. Je viens d’avoir un orgasme fulgurant .Ce plaisir ineffable dure ainsi pendant un temps que j’estime être une belle éternité.
Enfin je reviens à moi et j’ouvre les yeux. Je me rends compte que j’ai une main pressant un sein et qu’elle est raidit et couché sur le côté éjaculant longuement sur le lit et à terre. Elle finit et se couche dans mes bras. Je lui demande :
- C’était comment
- Vilain garçon, tu n’as même pas éjaculé.
Je m’endors en l’espace de quelque seconde. Le lendemain à mon réveil, j’apprends qu’elle est partie très tôt. Elle a déposé 1000 dollars pour moi. Je refuse de prendre l’argent. Malgré que j’ai prévu passé au moins 3 jours là-bas, avant midi je rentre dans mon pays pour mes vacances. En partant, je reste tout de même convaincu qu’entre nous deux c’est le commencement qui n’a pas de fin…
A suivre
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau ça me rappelle ma première fois avec une femme dix ans plus âgée !