Découverte du candaulisme
Récit érotique écrit par Passions_secrètes [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Découverte du candaulisme
Je m’appelle Nicolas, j’ai 45 ans, et depuis quelque temps, un désir brûlant me consume. Ma relation avec Isabelle, ma femme depuis vingt ans, est solide, mais la routine s’est installée. Les écrits captivants d’une auteure que je lis en secret ont éveillé en moi des fantasmes inexplorés. Je ressens le besoin de partager ces envies avec Isabelle, même si l’appréhension me retient.
Un soir, après un dîner aux chandelles, je décide de me confier. Le cœur battant, je m’assieds près d’elle sur le canapé.
— Isabelle, j’aimerais te parler de quelque chose d’important, dis-je en prenant sa main.
Elle me regarde avec douceur, une lueur d’inquiétude dans les yeux.
— Qu’est-ce qu’il y a, Nicolas ?
Je prends une profonde inspiration.
— J’ai des désirs, des fantasmes que je n’ai jamais osé partager avec toi. J’aimerais que nous explorions de nouvelles expériences pour raviver la flamme entre nous.
Elle reste silencieuse un instant, surprise par ma confession.
— Tu sais que tu peux tout me dire. Qu’as-tu en tête ?
— Et si nous invitions un autre homme à partager un moment intime avec nous ?
Ses yeux s’écarquillent légèrement. Je perçois un mélange de surprise et de curiosité.
— Tu voudrais que je sois avec un autre homme… devant toi ?
— Oui. C’est un fantasme qui m’excite depuis un moment. Je pense que cela pourrait apporter une nouvelle dimension à notre relation.
Isabelle détourne le regard, pensive. Un silence s’installe.
— C’est une proposition audacieuse, admet-elle finalement. Je ne sais pas quoi en penser.
— Je comprends que cela puisse te surprendre. Je ne veux rien te forcer. Prends le temps d’y réfléchir.
Les jours suivants sont teintés d’une légère tension. Nous continuons nos routines, mais je sens qu’elle y pense. Un soir, alors que nous regardons un film, elle met en pause l’écran et se tourne vers moi.
— J’ai réfléchi à ce que tu m’as dit, commence-t-elle. L’idée m’intrigue, même si elle me fait un peu peur.
Mon cœur s’accélère.
— Vraiment ? Tu serais prête à envisager cette expérience ?
— Peut-être. Mais il faut que nous en parlions sérieusement. Quels seraient les termes ? Comment cela se passerait-il ?
Nous passons la soirée à discuter, établissant des limites, exprimant nos peurs et nos attentes. Isabelle est hésitante, mais je perçois une curiosité grandissante.
— J’ai besoin de temps pour m’y préparer, dit-elle. Et je veux que nous fassions cela ensemble, en respectant nos sentiments.
— Bien sûr, je suis là avec toi. Nous ne ferons rien que tu ne souhaites pas.
Après plusieurs jours de réflexion, elle me donne son accord.
— D’accord, essayons. Mais soyons prudents.
Nous commençons à chercher le partenaire idéal. Parcourant des sites spécialisés, nous échangeons sur les profils qui pourraient correspondre. C’est une étape délicate, teintée de gêne. Certains messages sont trop explicites, d’autres manquent de respect.
Finalement, nous tombons sur le profil de Thomas, un homme de 18 ans, charmant et respectueux. Après quelques échanges cordiaux, nous convenons de le rencontrer dans un café discret.
Le jour du rendez-vous, la nervosité est à son comble. Isabelle passe du temps devant le miroir, choisissant sa tenue avec soin.
— Comment me trouves-tu ? demande-t-elle, vêtue d’une robe élégante qui met en valeur sa silhouette.
— Tu es magnifique, comme toujours.
Nous arrivons au café. Thomas est déjà là, assis à une table au fond. Il se lève à notre approche, souriant.
— Nicolas ? Isabelle ? Enchanté de vous rencontrer.
— De même, répondons-nous en chœur.
L’ambiance est d’abord un peu tendue. Les premiers échanges sont polis, presque formels. Puis, peu à peu, la conversation se détend. Thomas est charmant, il sait mettre à l’aise.
— Je comprends que ce soit une première pour vous, dit-il avec tact. Je veux que vous sachiez que je respecterai toujours vos limites.
Isabelle semble rassurée.
— Merci, c’est important pour nous.
Après cette rencontre, nous discutons longuement.
— Qu’en penses-tu ? demandé-je.
— Il me plaît bien. Il est respectueux, et je me sens à l’aise avec lui. Mais je suis toujours un peu nerveuse.
— C’est normal. Nous pouvons prendre notre temps.
Nous décidons de fixer une date pour passer à l’acte. Les jours qui précèdent sont remplis d’excitation et d’appréhension. Isabelle exprime ses doutes.
— Et si je n’y arrivais pas ? Si je me sentais mal à l’aise au dernier moment ?
— Nous pouvons arrêter à tout moment. L’important est que tu te sentes bien.
Le soir venu, nous nous retrouvons dans une suite d’hôtel élégante. L’atmosphère est feutrée, les lumières tamisées créent une ambiance intime. Isabelle porte une robe en satin rouge qui souligne ses courbes, sa peau délicatement parfumée. Je sens mon cœur battre plus fort en la regardant.
Thomas arrive peu après. Il est souriant, détendu, ce qui contraste avec notre tension palpable.
— Bonsoir, dit-il en entrant. Vous allez bien ?
— Un peu nerveux, avoué-je avec un sourire.
— C’est tout à fait normal.
Nous partageons un verre de vin pour détendre l’atmosphère. Les conversations sont légères, mais la tension est palpable. Je pose ma main sur celle d’Isabelle pour la rassurer.
— Prête ? murmuré-je.
Elle hoche la tête, prenant une profonde inspiration.
Thomas s’approche d’elle avec douceur.
— Puis-je ? demande-t-il en effleurant sa main.
— Oui, répond-elle dans un souffle.
Ils commencent à danser lentement au milieu de la pièce, la musique douce en fond. Je les observe, mon cœur battant à tout rompre. Leurs regards se croisent, intenses. Thomas se penche et dépose un baiser léger sur ses lèvres. Isabelle ferme les yeux, se laissant porter par le moment.
Je m’approche d’eux, posant une main sur l’épaule de ma femme.
— Tout va bien ? demandé-je.
— Oui, chuchote-t-elle, ses yeux brillants.
Thomas reprend ses baisers, plus profonds cette fois. Ses mains glissent le long du dos d’Isabelle, trouvant la fermeture de sa robe qu’il défait lentement. Le vêtement glisse sur ses épaules, révélant une lingerie fine en dentelle.
L’odeur subtile de son parfum se mêle à celle, plus musquée, du désir naissant. Isabelle tourne la tête vers moi, cherchant mon approbation. Je lui souris, caressant sa joue.
— Tu es magnifique, dis-je sincèrement.
Elle sourit, rassurée. Thomas continue ses caresses, ses mains explorant son corps avec une attention soutenue. Il dégrafe son soutien-gorge, libérant sa poitrine que j’admire avec fascination.
Je m’assieds sur le lit, les observant. Isabelle déboutonne la chemise de Thomas, dévoilant un torse athlétique. Elle semble plus détendue, s’abandonnant aux sensations qui l’envahissent.
Ils s’allongent sur le lit, leurs corps s’entremêlant. Je me rapproche, posant ma main sur la cuisse d’Isabelle. Sa peau est chaude, douce au toucher. Elle me regarde, une lueur de désir dans les yeux.
Thomas descend lentement le long de son corps, déposant des baisers sur sa peau frémissante. Lorsqu’il atteint son intimité, il la caresse avec une délicatesse qui arrache des gémissements à Isabelle. Sa langue pénètre son sexe, il renifle cette chatte luisante, aspire le clitoris, rendant folle Isabelle. Elle gémit elle se tord de plaisir, plus qu’avec moi pensé-je. Elle agrippe sa tête, plaquant sa bouche sur sa chatte en me regardant droit dans les yeux.
Excitée, n en pouvant plus, elle lui retourne le plaisir en embrassant cette queue énorme, qu elle découvre les yeux écarquillés. Elle soupèse les couilles et reniflant ce gland devenu rouge vif d’excitation. Il sent le mâle, elle adore ça. Elle lèche ce membre dressé du gland à l’anus. Ma petite femme adore lécher les culs. Elle pousse le vice et lui insère un doigt tout en avalant profondément cette queue. Je ne reconnais plus ma femme. Elle le pénètre vigoureusement, il gémi tout en repoussant la tête de ma femme pour ne pas jouir trop vite.
Je bande ! Je caresse les cheveux de ma femme, l’encourageant à profiter pleinement.
— Tu es si belle.
Thomas remonte vers elle, et après un regard complice, il se positionne. Avant de la pénétrer, il demande :
— Es-tu prête ?
— Oui, répond-elle, la voix tremblante d’excitation.
Il entre en elle avec une lenteur maîtrisée. Isabelle ferme les yeux, un soupir profond s’échappant de ses lèvres. Je m’approche davantage, fasciné par la vision du sexe de ma femme comblé par un autre.
Je pose ma main sur le bas-ventre d’Isabelle, ressentant les mouvements de Thomas en elle. L’odeur enivrante du désir emplit la pièce. Mon propre désir atteint son paroxysme.
Je caresse le clitoris sensible d’Isabelle du bout des doigts, synchronisant mes gestes avec les va-et-vient de Thomas. Ses gémissements s’intensifient, son corps se tend.
— Oh, Nicolas… murmure-t-elle.
Je lui souris, l’encourageant.
— Laisse-toi aller, profite.
Thomas accélère le rythme, ses respirations se faisant plus courtes. Je sens la chaleur de leur étreinte. Je ne peux résister à l’envie de toucher le sexe de Thomas qui s’unit à Isabelle. Le contact est brûlant, humide. Cette queue est ferme, luisante de la mouille de ma femme.
Isabelle est sur le point d’atteindre l’orgasme. Ses mains agrippent les draps, son dos se cambre.
— Je… je vais… halète-t-elle.
Elle est submergée par une vague de plaisir intense, son corps secoué de spasmes laissant échapper un jet de cyprine. Thomas continue ses mouvements, puis, dans un dernier élan, atteint lui aussi l’apogée, contrairement aux consignes, il se vide entièrement dans ma femme. Il se retire doucement, laissant échapper un soupir de satisfaction et un long filet de sperme.
Le foutre de Thomas s’écoule légèrement d’Isabelle. L’odeur mêlée de leurs désirs m’enivre. Je suis submergé par une vague de désir.
Thomas se lève et commence à se rhabiller.
— Merci pour ce moment, dit-il avec un sourire sincère. C’était une expérience incroyable.
— Merci à toi, répond Isabelle, encore sous le coup des émotions les cuisses encore écartées et du foutre dégoulinant.
Je le raccompagne à la porte.
— Prends soin de vous, nous dit-il avant de partir.
Une fois seuls, je retourne vers Isabelle. Elle me regarde avec une intensité nouvelle.
— Viens, me dit-elle en tendant la main.
Je m’allonge à ses côtés, caressant son visage.
— Comment te sens-tu ?
— C’était… incroyable. Mais j’ai envie de toi maintenant.
Je souris.
— Moi aussi.
Je descends lentement le long de son corps, déposant des baisers sur sa peau encore chaude. Lorsque j’atteins son intimité, je sens l’odeur du sperme et de la chatte de ma femme. Le mélange crée une saveur unique. Sans hésiter, je la couvre de caresses, prolongeant son extase. N’y tenant plus je descend versa sa chatte et nettoie de ma langue tout ce sperme. Une première pour moi. J’ai failli jouir en la léchant.
Elle gémit, ses mains dans mes cheveux.
— Nicolas…
Je remonte vers elle, nos regards se croisent. Sans attendre, je la pénètre, tellement excité que je n’ai pu me retenir longtemps, en me vidant en allé, j’embrasse ma femme, sa bouche à le goût de la bite et du cul de son amant.
L’odeur persistante du désir flotte dans l’air, ajoutant une dimension sensuelle à notre étreinte.
Nous restons enlacés, reprenant notre souffle. Isabelle pose sa tête sur mon torse.
— Je ne pensais pas que cela serait aussi intense, confie-t-elle.
— Moi non plus. C’était au-delà de mes espérances.
Nous passons le reste de la nuit à discuter, à partager nos ressentis. Cette expérience a renforcé notre complicité.
Le lendemain, alors qu’Isabelle dort encore, je ressens le besoin de partager ce que j’ai vécu avec l’auteure dont les écrits m’ont tant inspiré. Je lui écris un long message, exprimant mes émotions, en entrant dans les détails intimes.
Elle me répond rapidement.
« **Cher Nicolas,
Je suis heureuse que mes écrits aient pu t’inspirer à vivre pleinement tes désirs. Ton récit est émouvant. Je te souhaite de continuer à explorer ces nouvelles dimensions avec ta femme.
Affectueusement,
O. ** »
Je souris en lisant sa réponse. Je réalise que cette aventure a ouvert de nouvelles perspectives dans notre couple.
— Je suis heureuse que nous ayons partagé cela. Je me sens plus proche de toi.
— Moi aussi. Et si nous continuions à explorer ensemble ?
— Avec plaisir, mais prenons notre temps.
Nous décidons de nous offrir un week-end en amoureux pour nous retrouver. Loin de l’agitation, nous profitons de moments simples, renforçant notre lien.
Un soir, après un dîner aux chandelles, je décide de me confier. Le cœur battant, je m’assieds près d’elle sur le canapé.
— Isabelle, j’aimerais te parler de quelque chose d’important, dis-je en prenant sa main.
Elle me regarde avec douceur, une lueur d’inquiétude dans les yeux.
— Qu’est-ce qu’il y a, Nicolas ?
Je prends une profonde inspiration.
— J’ai des désirs, des fantasmes que je n’ai jamais osé partager avec toi. J’aimerais que nous explorions de nouvelles expériences pour raviver la flamme entre nous.
Elle reste silencieuse un instant, surprise par ma confession.
— Tu sais que tu peux tout me dire. Qu’as-tu en tête ?
— Et si nous invitions un autre homme à partager un moment intime avec nous ?
Ses yeux s’écarquillent légèrement. Je perçois un mélange de surprise et de curiosité.
— Tu voudrais que je sois avec un autre homme… devant toi ?
— Oui. C’est un fantasme qui m’excite depuis un moment. Je pense que cela pourrait apporter une nouvelle dimension à notre relation.
Isabelle détourne le regard, pensive. Un silence s’installe.
— C’est une proposition audacieuse, admet-elle finalement. Je ne sais pas quoi en penser.
— Je comprends que cela puisse te surprendre. Je ne veux rien te forcer. Prends le temps d’y réfléchir.
Les jours suivants sont teintés d’une légère tension. Nous continuons nos routines, mais je sens qu’elle y pense. Un soir, alors que nous regardons un film, elle met en pause l’écran et se tourne vers moi.
— J’ai réfléchi à ce que tu m’as dit, commence-t-elle. L’idée m’intrigue, même si elle me fait un peu peur.
Mon cœur s’accélère.
— Vraiment ? Tu serais prête à envisager cette expérience ?
— Peut-être. Mais il faut que nous en parlions sérieusement. Quels seraient les termes ? Comment cela se passerait-il ?
Nous passons la soirée à discuter, établissant des limites, exprimant nos peurs et nos attentes. Isabelle est hésitante, mais je perçois une curiosité grandissante.
— J’ai besoin de temps pour m’y préparer, dit-elle. Et je veux que nous fassions cela ensemble, en respectant nos sentiments.
— Bien sûr, je suis là avec toi. Nous ne ferons rien que tu ne souhaites pas.
Après plusieurs jours de réflexion, elle me donne son accord.
— D’accord, essayons. Mais soyons prudents.
Nous commençons à chercher le partenaire idéal. Parcourant des sites spécialisés, nous échangeons sur les profils qui pourraient correspondre. C’est une étape délicate, teintée de gêne. Certains messages sont trop explicites, d’autres manquent de respect.
Finalement, nous tombons sur le profil de Thomas, un homme de 18 ans, charmant et respectueux. Après quelques échanges cordiaux, nous convenons de le rencontrer dans un café discret.
Le jour du rendez-vous, la nervosité est à son comble. Isabelle passe du temps devant le miroir, choisissant sa tenue avec soin.
— Comment me trouves-tu ? demande-t-elle, vêtue d’une robe élégante qui met en valeur sa silhouette.
— Tu es magnifique, comme toujours.
Nous arrivons au café. Thomas est déjà là, assis à une table au fond. Il se lève à notre approche, souriant.
— Nicolas ? Isabelle ? Enchanté de vous rencontrer.
— De même, répondons-nous en chœur.
L’ambiance est d’abord un peu tendue. Les premiers échanges sont polis, presque formels. Puis, peu à peu, la conversation se détend. Thomas est charmant, il sait mettre à l’aise.
— Je comprends que ce soit une première pour vous, dit-il avec tact. Je veux que vous sachiez que je respecterai toujours vos limites.
Isabelle semble rassurée.
— Merci, c’est important pour nous.
Après cette rencontre, nous discutons longuement.
— Qu’en penses-tu ? demandé-je.
— Il me plaît bien. Il est respectueux, et je me sens à l’aise avec lui. Mais je suis toujours un peu nerveuse.
— C’est normal. Nous pouvons prendre notre temps.
Nous décidons de fixer une date pour passer à l’acte. Les jours qui précèdent sont remplis d’excitation et d’appréhension. Isabelle exprime ses doutes.
— Et si je n’y arrivais pas ? Si je me sentais mal à l’aise au dernier moment ?
— Nous pouvons arrêter à tout moment. L’important est que tu te sentes bien.
Le soir venu, nous nous retrouvons dans une suite d’hôtel élégante. L’atmosphère est feutrée, les lumières tamisées créent une ambiance intime. Isabelle porte une robe en satin rouge qui souligne ses courbes, sa peau délicatement parfumée. Je sens mon cœur battre plus fort en la regardant.
Thomas arrive peu après. Il est souriant, détendu, ce qui contraste avec notre tension palpable.
— Bonsoir, dit-il en entrant. Vous allez bien ?
— Un peu nerveux, avoué-je avec un sourire.
— C’est tout à fait normal.
Nous partageons un verre de vin pour détendre l’atmosphère. Les conversations sont légères, mais la tension est palpable. Je pose ma main sur celle d’Isabelle pour la rassurer.
— Prête ? murmuré-je.
Elle hoche la tête, prenant une profonde inspiration.
Thomas s’approche d’elle avec douceur.
— Puis-je ? demande-t-il en effleurant sa main.
— Oui, répond-elle dans un souffle.
Ils commencent à danser lentement au milieu de la pièce, la musique douce en fond. Je les observe, mon cœur battant à tout rompre. Leurs regards se croisent, intenses. Thomas se penche et dépose un baiser léger sur ses lèvres. Isabelle ferme les yeux, se laissant porter par le moment.
Je m’approche d’eux, posant une main sur l’épaule de ma femme.
— Tout va bien ? demandé-je.
— Oui, chuchote-t-elle, ses yeux brillants.
Thomas reprend ses baisers, plus profonds cette fois. Ses mains glissent le long du dos d’Isabelle, trouvant la fermeture de sa robe qu’il défait lentement. Le vêtement glisse sur ses épaules, révélant une lingerie fine en dentelle.
L’odeur subtile de son parfum se mêle à celle, plus musquée, du désir naissant. Isabelle tourne la tête vers moi, cherchant mon approbation. Je lui souris, caressant sa joue.
— Tu es magnifique, dis-je sincèrement.
Elle sourit, rassurée. Thomas continue ses caresses, ses mains explorant son corps avec une attention soutenue. Il dégrafe son soutien-gorge, libérant sa poitrine que j’admire avec fascination.
Je m’assieds sur le lit, les observant. Isabelle déboutonne la chemise de Thomas, dévoilant un torse athlétique. Elle semble plus détendue, s’abandonnant aux sensations qui l’envahissent.
Ils s’allongent sur le lit, leurs corps s’entremêlant. Je me rapproche, posant ma main sur la cuisse d’Isabelle. Sa peau est chaude, douce au toucher. Elle me regarde, une lueur de désir dans les yeux.
Thomas descend lentement le long de son corps, déposant des baisers sur sa peau frémissante. Lorsqu’il atteint son intimité, il la caresse avec une délicatesse qui arrache des gémissements à Isabelle. Sa langue pénètre son sexe, il renifle cette chatte luisante, aspire le clitoris, rendant folle Isabelle. Elle gémit elle se tord de plaisir, plus qu’avec moi pensé-je. Elle agrippe sa tête, plaquant sa bouche sur sa chatte en me regardant droit dans les yeux.
Excitée, n en pouvant plus, elle lui retourne le plaisir en embrassant cette queue énorme, qu elle découvre les yeux écarquillés. Elle soupèse les couilles et reniflant ce gland devenu rouge vif d’excitation. Il sent le mâle, elle adore ça. Elle lèche ce membre dressé du gland à l’anus. Ma petite femme adore lécher les culs. Elle pousse le vice et lui insère un doigt tout en avalant profondément cette queue. Je ne reconnais plus ma femme. Elle le pénètre vigoureusement, il gémi tout en repoussant la tête de ma femme pour ne pas jouir trop vite.
Je bande ! Je caresse les cheveux de ma femme, l’encourageant à profiter pleinement.
— Tu es si belle.
Thomas remonte vers elle, et après un regard complice, il se positionne. Avant de la pénétrer, il demande :
— Es-tu prête ?
— Oui, répond-elle, la voix tremblante d’excitation.
Il entre en elle avec une lenteur maîtrisée. Isabelle ferme les yeux, un soupir profond s’échappant de ses lèvres. Je m’approche davantage, fasciné par la vision du sexe de ma femme comblé par un autre.
Je pose ma main sur le bas-ventre d’Isabelle, ressentant les mouvements de Thomas en elle. L’odeur enivrante du désir emplit la pièce. Mon propre désir atteint son paroxysme.
Je caresse le clitoris sensible d’Isabelle du bout des doigts, synchronisant mes gestes avec les va-et-vient de Thomas. Ses gémissements s’intensifient, son corps se tend.
— Oh, Nicolas… murmure-t-elle.
Je lui souris, l’encourageant.
— Laisse-toi aller, profite.
Thomas accélère le rythme, ses respirations se faisant plus courtes. Je sens la chaleur de leur étreinte. Je ne peux résister à l’envie de toucher le sexe de Thomas qui s’unit à Isabelle. Le contact est brûlant, humide. Cette queue est ferme, luisante de la mouille de ma femme.
Isabelle est sur le point d’atteindre l’orgasme. Ses mains agrippent les draps, son dos se cambre.
— Je… je vais… halète-t-elle.
Elle est submergée par une vague de plaisir intense, son corps secoué de spasmes laissant échapper un jet de cyprine. Thomas continue ses mouvements, puis, dans un dernier élan, atteint lui aussi l’apogée, contrairement aux consignes, il se vide entièrement dans ma femme. Il se retire doucement, laissant échapper un soupir de satisfaction et un long filet de sperme.
Le foutre de Thomas s’écoule légèrement d’Isabelle. L’odeur mêlée de leurs désirs m’enivre. Je suis submergé par une vague de désir.
Thomas se lève et commence à se rhabiller.
— Merci pour ce moment, dit-il avec un sourire sincère. C’était une expérience incroyable.
— Merci à toi, répond Isabelle, encore sous le coup des émotions les cuisses encore écartées et du foutre dégoulinant.
Je le raccompagne à la porte.
— Prends soin de vous, nous dit-il avant de partir.
Une fois seuls, je retourne vers Isabelle. Elle me regarde avec une intensité nouvelle.
— Viens, me dit-elle en tendant la main.
Je m’allonge à ses côtés, caressant son visage.
— Comment te sens-tu ?
— C’était… incroyable. Mais j’ai envie de toi maintenant.
Je souris.
— Moi aussi.
Je descends lentement le long de son corps, déposant des baisers sur sa peau encore chaude. Lorsque j’atteins son intimité, je sens l’odeur du sperme et de la chatte de ma femme. Le mélange crée une saveur unique. Sans hésiter, je la couvre de caresses, prolongeant son extase. N’y tenant plus je descend versa sa chatte et nettoie de ma langue tout ce sperme. Une première pour moi. J’ai failli jouir en la léchant.
Elle gémit, ses mains dans mes cheveux.
— Nicolas…
Je remonte vers elle, nos regards se croisent. Sans attendre, je la pénètre, tellement excité que je n’ai pu me retenir longtemps, en me vidant en allé, j’embrasse ma femme, sa bouche à le goût de la bite et du cul de son amant.
L’odeur persistante du désir flotte dans l’air, ajoutant une dimension sensuelle à notre étreinte.
Nous restons enlacés, reprenant notre souffle. Isabelle pose sa tête sur mon torse.
— Je ne pensais pas que cela serait aussi intense, confie-t-elle.
— Moi non plus. C’était au-delà de mes espérances.
Nous passons le reste de la nuit à discuter, à partager nos ressentis. Cette expérience a renforcé notre complicité.
Le lendemain, alors qu’Isabelle dort encore, je ressens le besoin de partager ce que j’ai vécu avec l’auteure dont les écrits m’ont tant inspiré. Je lui écris un long message, exprimant mes émotions, en entrant dans les détails intimes.
Elle me répond rapidement.
« **Cher Nicolas,
Je suis heureuse que mes écrits aient pu t’inspirer à vivre pleinement tes désirs. Ton récit est émouvant. Je te souhaite de continuer à explorer ces nouvelles dimensions avec ta femme.
Affectueusement,
O. ** »
Je souris en lisant sa réponse. Je réalise que cette aventure a ouvert de nouvelles perspectives dans notre couple.
— Je suis heureuse que nous ayons partagé cela. Je me sens plus proche de toi.
— Moi aussi. Et si nous continuions à explorer ensemble ?
— Avec plaisir, mais prenons notre temps.
Nous décidons de nous offrir un week-end en amoureux pour nous retrouver. Loin de l’agitation, nous profitons de moments simples, renforçant notre lien.
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La suite vite
Bonsoir et merci pour ce très beau récit bien écrit et parfaitement maîtrisé à l'érotisme brûlant qui m'a fortement excité ! Je m'étonne que hds note ce récit comme "cocufiage" et adultère et ce malgré la merveilleuse entente entre le mari et son épouse ! Didier ce récit vaut bien 10/10 pour moi
Pensez à vous proteger autant des MST que d'un risque de grossesse.
La suite arrive les amis
Merci ma Olga t es tjs bienveillante
Merci ma Olga t es tjs bienveillante
Un excellent texte candauliste, qui appelle une suite!
C'est exactement le plaisir ressenti lors de nos rencontres...
Le vrai candaulisme...
Le vrai candaulisme...
Hummm j’ai bandé quelle salope
Très joli récit et très belle expérience.
https://www.histoires-de-sexe.net/fiche.php?auteur=Frenchcokin
https://www.histoires-de-sexe.net/fiche.php?auteur=Frenchcokin
Belle histoire l’âge de l’amant est surprenant par au couple
Salut, récit très excitant. Je me souvient de la première fois ou on a fait ça avec ma femme
Moi aussi j ai adoré lui léché la chatte pleine de sperme et dans l excitation j ai même sucer
le mec et lui aussi m a sucé.
Ma femme lui a demandé si il voulais que je l encule et il a dis oui, pendant ce temps elle me
godait
Moi aussi j ai adoré lui léché la chatte pleine de sperme et dans l excitation j ai même sucer
le mec et lui aussi m a sucé.
Ma femme lui a demandé si il voulais que je l encule et il a dis oui, pendant ce temps elle me
godait
Hummmm excitant vivement la suite