Découverte du saphisme de mon épouse 09 - MÉTAMORPHOSE
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2017 dans la catégorie Plus on est
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Découverte du saphisme de mon épouse 09 - MÉTAMORPHOSE
Découverte du saphisme de mon épouse 09 - MÉTAMORPHOSE
Le couple après un réveil tardif, se fait des confidences sur leur sexualité et leurs fantasmes. Puis, Angel invite son amie Katte à dîner.
Angel est rouge de honte, mais elle s'est résignée à ce que cette soirée, soit la suite annoncée de l'aventure perverse dans laquelle elle s’est laissée entraîner. Cette fois, il faut bien le dire, c’est avec une certaine bonne volonté de sa part.
Fermant les yeux, elle se lève à demi et retrousse sa robe jusqu'en haut des cuisses, puis, se rasseyant elle disjoint ses jambes, entrouvrant le compas de ses cuisses pour me laisser admirer sa vulve presque imberbe que j'ai rasé ce matin même, lui laissant seulement une touffe de poils noirs sur le haut du pubis. J’ai dégagé aussi le tour de l’orifice anal, mais en laissant les poils de la raie culière, sans écouter ses protestations embarrassées à l’idée que je puisse ainsi fouiller du regard ses « parties honteuses ». À présent sa vulve palpite d'excitation et je suis bien certain que nous allons encore passer des moments inoubliables.
Katte a remonté sa jupe pour m'en montrer le plus possible. Je sens le sexe raidir dans mon pantalon mais je veux surtout assister sans débander à tout ce que cette rouée de Katte a bien pu préméditer. C'est alors qu'enfouissant ses deux mains dans son entrejambe, elle lance à sa condisciple.
• Ma chérie. - Fais comme moi. - Fais voir à ton mari que nous n'avons pas toujours besoin des hommes et que nous savons très bien nous faire plaisir toutes seules. - Tu m'as avoué que tu te masturbais très souvent alors que ton époux ne se donnait pas la peine de te caresser. - Allons du courage ! - Vois comme je m'astique bien mon petit minou !
Tout en parlant, la plantureuse Katte ne s'embarrasse pas de faux-semblants. Elle a posé ses pieds sur le canapé, s'accroupissant en position de crapaud, elle révèle ainsi la nudité de son bas-ventre à mes yeux écarquillés. Elle se caresse d'abord lentement puis de plus en vite, s'agitant sous la jouissance qu'elle ne tarde pas à se procurer.
Mon épouse n'a pu rester insensible aux propos et aux gestes obscènes de son amie. Aussi, fermant les yeux, elle se caresse aussi, avec plus de délicatesse néanmoins, mais les spasmes qui ébranlent ses cuisses et son pubis ne peuvent laisser ignorer qu'elle prend également autant de plaisir à sa masturbation délicate. Les deux acolytes ressentent leur premier orgasme pour ainsi dire simultanément. Je reste coi, attendant la suite du spectacle que ne vont pas manquer de me donner les deux nouvelles adeptes de Lesbos.
Katte est la première à revenir sur terre. Elle me jette un coup d'œil complice, puis se penchant sur Angel, elle l'attire à elle de son bras passé derrière ses épaules et l'embrasse dans le cou, juste derrière l'oreille. Enfin ne lui laissant pas le temps de se reprendre, elle insinue sa main dans l'entrecuisse grande ouverte de sa compagne, se faufilant immédiatement vers la vulve entrebâillée, ce qui déclenche chez mon épouse une timide protestation.
• Tu... Tu... Oh ! Non ! Ah ! Ah ! Je t'en supplie. Arrête ! Oh ! Non ! Pas devant Franck ! Ah ! Ah ! Oui ! Mon Dieu continue. Oui ! Encore ! Encore ma chérie ! Oui ! Oui ! Oui !
Angel s'est entièrement dépliée sous la pression des doigts de son amie, projetant son ventre à la recherche de la main qui la fouille. Elle aussi, elle se décide à masturber la délicieuse Katte qui se remue avec fureur sous les doigts inquisiteurs de son acolyte qui n'a plus aucune retenue. J'assiste béatement à leur masturbation réciproque, sors la verge de mon pantalon et je m’astique tranquillement en appréciant cette représentation de loin, beaucoup plus pornographique qu'un Peep-Show de la rue Saint-Denis.
Angel m'a complètement oublié, elle se soumet avec délices aux doigts farfouillant dans sa fente dilatée qui laisse s'écouler une mouille abondante. Elle n'en oublie pas moins sa camarade, car elle aussi, elle plonge sa main dans l'orifice vaginal de Katte, qui transpirant sous les assauts répétés se déshabille en un clin d'œil et aide Angel à retirer sa robe pour qu'elles puissent enfin s'étreindre dans le plus simple appareil. Après tout il leur reste tout de même leurs bas et leurs chaussures. Ce n'en est que plus érotique.
Pourtant les deux femelles ne sont pas encore au bout de leurs bacchanales, Katte allonge Angel sur le canapé et, se disposant sur elle en tête-bêche, elle présente sa vulve à lui sucer, tout en léchant elle-même l'entrecuisse de mon épouse. Je ne peux rester plus longtemps seulement spectateur de cette orgie, aussi j'ôte tranquillement mes vêtements, puis je viens caresser les fesses rebondies de Katte sous les yeux hagards de ma femme qui savoure les attouchements linguaux de sa plantureuse complice. Je glisse mes mains sur les corps qui frémissent sous mes caresses, je prends délicatement le bout des seins des deux femmes en les malaxant souvent avec délicatesse, mais aussi en les triturant de temps en temps avec malignité, leur arrachant de petits cris de douleur. Je jubile de pouvoir caresser les deux corps sans aucune distinction, aventurant bientôt mes doigts dans la raie culière de Katte, agaçant l'œillet plissé de son anus qui se rétracte sous la poussée de mon index.
Je n'ai aucun mal à glisser ce doigt dans le fond de son rectum, l'accompagnant bientôt du majeur et de l'annulaire, trouant et perforant ce cul qui connaît incontestablement la queue du mâle depuis belle lurette. Katte se trémousse sous mes doigts inquisiteurs alors que la langue de ma femme la gougnote avec ardeur. Alors je me redresse et me présentant au-dessus des fesses de la rondelette quadragénaire, je pousse mon vit dans sa moule entrouverte et me loge bien au fond de sa matrice.
Mon épouse regarde avec stupéfaction ma queue qui entre et sort du ventre de son amie, n'en revenant pas de me voir agir ainsi sans vergogne. Pourtant elle accompagne ma pénétration en suçant le clitoris qui est à sa portée, alors que sa compagne se tortille dans tous les sens, excitée par nos actions voluptueuses. Après l'avoir pilonnée ainsi un bon moment, je me retire et, présentant mon gland devant l’œillet, je m'enfonce d'un seul jet dans le croupion que j'avais préparé avec mes doigts. Katte ne peut s'empêcher de pousser un feulement de surprise.
• Salaud ! - Tu m'encules devant ta femme. Oh ! C'est bon ! Continue mon chéri ! Allez ! Bourre-moi le cul ! Angel entre tes doigts dans ma chatte et sens le vit de ton mari qui m'encule. Oh ! Oui ! Comme ça! Ah ! Ah ! Que c'est bon ! Oui ! Continuez tous les deux ! Ah ! Ah ! Ah ! Aaarrrrrrrr !... Ah ! Aaaaahh !.... Aaaaahh! ....Encoorrrr !.... Oh !... Ah ! Ah ! Aaaaaaaaaaahhhh !.........
Je fouille avec volupté le conduit rectal qui enserre étroitement mon membre, me retirant parfois pour que ma femme puisse contempler le cratère insondable qui s'est ouvert dans la croupe de son amie. En effet, suite à mes va-et-vient, l'orifice s'est dilaté, preuve d'une longue pratique de la sodomie chez la belle enculée. Je vois le regard effaré et déconcerté d'Angel qui découvre cet exercice qu'elle a jusqu'ici récusé, et qu'elle souhaite de toute évidence, puisqu'elle m'a avoué tout récemment que le coït anal faisait partie de ses fantasmes.
Mais je ne peux me retenir très longtemps, aussi, je gicle au plus profond de la gaine anale de Katte, m'abattant sur ce cul que je viens de sodomiser avec une joie sauvage, alors que les deux femelles se gouinent encore, apparemment non encore repues de l'orgie à laquelle nous venons de nous livrer tous les trois…
A suivre
Le couple après un réveil tardif, se fait des confidences sur leur sexualité et leurs fantasmes. Puis, Angel invite son amie Katte à dîner.
Angel est rouge de honte, mais elle s'est résignée à ce que cette soirée, soit la suite annoncée de l'aventure perverse dans laquelle elle s’est laissée entraîner. Cette fois, il faut bien le dire, c’est avec une certaine bonne volonté de sa part.
Fermant les yeux, elle se lève à demi et retrousse sa robe jusqu'en haut des cuisses, puis, se rasseyant elle disjoint ses jambes, entrouvrant le compas de ses cuisses pour me laisser admirer sa vulve presque imberbe que j'ai rasé ce matin même, lui laissant seulement une touffe de poils noirs sur le haut du pubis. J’ai dégagé aussi le tour de l’orifice anal, mais en laissant les poils de la raie culière, sans écouter ses protestations embarrassées à l’idée que je puisse ainsi fouiller du regard ses « parties honteuses ». À présent sa vulve palpite d'excitation et je suis bien certain que nous allons encore passer des moments inoubliables.
Katte a remonté sa jupe pour m'en montrer le plus possible. Je sens le sexe raidir dans mon pantalon mais je veux surtout assister sans débander à tout ce que cette rouée de Katte a bien pu préméditer. C'est alors qu'enfouissant ses deux mains dans son entrejambe, elle lance à sa condisciple.
• Ma chérie. - Fais comme moi. - Fais voir à ton mari que nous n'avons pas toujours besoin des hommes et que nous savons très bien nous faire plaisir toutes seules. - Tu m'as avoué que tu te masturbais très souvent alors que ton époux ne se donnait pas la peine de te caresser. - Allons du courage ! - Vois comme je m'astique bien mon petit minou !
Tout en parlant, la plantureuse Katte ne s'embarrasse pas de faux-semblants. Elle a posé ses pieds sur le canapé, s'accroupissant en position de crapaud, elle révèle ainsi la nudité de son bas-ventre à mes yeux écarquillés. Elle se caresse d'abord lentement puis de plus en vite, s'agitant sous la jouissance qu'elle ne tarde pas à se procurer.
Mon épouse n'a pu rester insensible aux propos et aux gestes obscènes de son amie. Aussi, fermant les yeux, elle se caresse aussi, avec plus de délicatesse néanmoins, mais les spasmes qui ébranlent ses cuisses et son pubis ne peuvent laisser ignorer qu'elle prend également autant de plaisir à sa masturbation délicate. Les deux acolytes ressentent leur premier orgasme pour ainsi dire simultanément. Je reste coi, attendant la suite du spectacle que ne vont pas manquer de me donner les deux nouvelles adeptes de Lesbos.
Katte est la première à revenir sur terre. Elle me jette un coup d'œil complice, puis se penchant sur Angel, elle l'attire à elle de son bras passé derrière ses épaules et l'embrasse dans le cou, juste derrière l'oreille. Enfin ne lui laissant pas le temps de se reprendre, elle insinue sa main dans l'entrecuisse grande ouverte de sa compagne, se faufilant immédiatement vers la vulve entrebâillée, ce qui déclenche chez mon épouse une timide protestation.
• Tu... Tu... Oh ! Non ! Ah ! Ah ! Je t'en supplie. Arrête ! Oh ! Non ! Pas devant Franck ! Ah ! Ah ! Oui ! Mon Dieu continue. Oui ! Encore ! Encore ma chérie ! Oui ! Oui ! Oui !
Angel s'est entièrement dépliée sous la pression des doigts de son amie, projetant son ventre à la recherche de la main qui la fouille. Elle aussi, elle se décide à masturber la délicieuse Katte qui se remue avec fureur sous les doigts inquisiteurs de son acolyte qui n'a plus aucune retenue. J'assiste béatement à leur masturbation réciproque, sors la verge de mon pantalon et je m’astique tranquillement en appréciant cette représentation de loin, beaucoup plus pornographique qu'un Peep-Show de la rue Saint-Denis.
Angel m'a complètement oublié, elle se soumet avec délices aux doigts farfouillant dans sa fente dilatée qui laisse s'écouler une mouille abondante. Elle n'en oublie pas moins sa camarade, car elle aussi, elle plonge sa main dans l'orifice vaginal de Katte, qui transpirant sous les assauts répétés se déshabille en un clin d'œil et aide Angel à retirer sa robe pour qu'elles puissent enfin s'étreindre dans le plus simple appareil. Après tout il leur reste tout de même leurs bas et leurs chaussures. Ce n'en est que plus érotique.
Pourtant les deux femelles ne sont pas encore au bout de leurs bacchanales, Katte allonge Angel sur le canapé et, se disposant sur elle en tête-bêche, elle présente sa vulve à lui sucer, tout en léchant elle-même l'entrecuisse de mon épouse. Je ne peux rester plus longtemps seulement spectateur de cette orgie, aussi j'ôte tranquillement mes vêtements, puis je viens caresser les fesses rebondies de Katte sous les yeux hagards de ma femme qui savoure les attouchements linguaux de sa plantureuse complice. Je glisse mes mains sur les corps qui frémissent sous mes caresses, je prends délicatement le bout des seins des deux femmes en les malaxant souvent avec délicatesse, mais aussi en les triturant de temps en temps avec malignité, leur arrachant de petits cris de douleur. Je jubile de pouvoir caresser les deux corps sans aucune distinction, aventurant bientôt mes doigts dans la raie culière de Katte, agaçant l'œillet plissé de son anus qui se rétracte sous la poussée de mon index.
Je n'ai aucun mal à glisser ce doigt dans le fond de son rectum, l'accompagnant bientôt du majeur et de l'annulaire, trouant et perforant ce cul qui connaît incontestablement la queue du mâle depuis belle lurette. Katte se trémousse sous mes doigts inquisiteurs alors que la langue de ma femme la gougnote avec ardeur. Alors je me redresse et me présentant au-dessus des fesses de la rondelette quadragénaire, je pousse mon vit dans sa moule entrouverte et me loge bien au fond de sa matrice.
Mon épouse regarde avec stupéfaction ma queue qui entre et sort du ventre de son amie, n'en revenant pas de me voir agir ainsi sans vergogne. Pourtant elle accompagne ma pénétration en suçant le clitoris qui est à sa portée, alors que sa compagne se tortille dans tous les sens, excitée par nos actions voluptueuses. Après l'avoir pilonnée ainsi un bon moment, je me retire et, présentant mon gland devant l’œillet, je m'enfonce d'un seul jet dans le croupion que j'avais préparé avec mes doigts. Katte ne peut s'empêcher de pousser un feulement de surprise.
• Salaud ! - Tu m'encules devant ta femme. Oh ! C'est bon ! Continue mon chéri ! Allez ! Bourre-moi le cul ! Angel entre tes doigts dans ma chatte et sens le vit de ton mari qui m'encule. Oh ! Oui ! Comme ça! Ah ! Ah ! Que c'est bon ! Oui ! Continuez tous les deux ! Ah ! Ah ! Ah ! Aaarrrrrrrr !... Ah ! Aaaaahh !.... Aaaaahh! ....Encoorrrr !.... Oh !... Ah ! Ah ! Aaaaaaaaaaahhhh !.........
Je fouille avec volupté le conduit rectal qui enserre étroitement mon membre, me retirant parfois pour que ma femme puisse contempler le cratère insondable qui s'est ouvert dans la croupe de son amie. En effet, suite à mes va-et-vient, l'orifice s'est dilaté, preuve d'une longue pratique de la sodomie chez la belle enculée. Je vois le regard effaré et déconcerté d'Angel qui découvre cet exercice qu'elle a jusqu'ici récusé, et qu'elle souhaite de toute évidence, puisqu'elle m'a avoué tout récemment que le coït anal faisait partie de ses fantasmes.
Mais je ne peux me retenir très longtemps, aussi, je gicle au plus profond de la gaine anale de Katte, m'abattant sur ce cul que je viens de sodomiser avec une joie sauvage, alors que les deux femelles se gouinent encore, apparemment non encore repues de l'orgie à laquelle nous venons de nous livrer tous les trois…
A suivre
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Katte, une bonne amie...
Encore un épisode de bonne qualité, merci Vieulou.
Galona
Encore un épisode de bonne qualité, merci Vieulou.
Galona
Ferrée notre Angel mais pas d'avril l'hameçon de l'ami Vieulou est ....
Je l'imagine sous l'arbre à palabre nous "rédactionner" ces merveilleux épisodes .... égal à vous merci merci
B.
Je l'imagine sous l'arbre à palabre nous "rédactionner" ces merveilleux épisodes .... égal à vous merci merci
B.