Découverte fortuite

- Par l'auteur HDS Ginger -
Récit érotique écrit par Ginger [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Découverte fortuite Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2011 dans la catégorie Plus on est
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Découverte fortuite
- Sois bien sage mon trésor, ne fais pas trop enrager ta grande soeur. Et n'oublie pas que papa a besoin de se reposer, ce sont des vacances aussi pour lui.
- Pourquoi tu ne peux pas venir avec nous, maman chérie ?
- Je vous l'ai expliqué, tu as 5 ans maintenant, tu es capable de comprendre, tu es un grand garçon : j'ai un rendez-vous important dans quelques jours et je ne peux pas le reporter. Tu sais bien que j'aurais préféré vous accompagner, ta maman t'aime tellement qu'elle ferait tout pour ne jamais se séparer de toi. Profite bien de ton séjour au bord de la mer. Je penserai à toi tout le temps et vous appellerai tous les 2 jours en fin d'après-midi : après-demain, deux jours plus tard, et ainsi de suite, tu t'en souviendras ?
- Oui, maman, répond Nicolas en l'embrassant chaudement sur les deux joues.
Nadine essuie les larmes qui coulent le long des joues de son bambin, l'embrasse tendrement, lui fait faire demi-tour et l'envoie en direction de Daniel, son mari.
- A ton tour maintenant, ma grande. Tu veilleras bien sur ton petit frère. Pas de disputes. Ce serait dommage de gâcher des vacances par des cris et des pleurs, tu ne crois pas ?
Charlotte éclate en sanglots.
- Tu ne vas pas commencer à pleurer, ma chérie.
- Je veux que tu viennes.
- Tu sais bien que ce n'est pas possible.
- Non, je ne sais pas, tu m'as dit que tu ne peux pas venir, mais moi je crois que si tu nous aimais tu viendrais avec avec nous.
Nadine prend Charlotte dans ses bras, la serre très fort.
- Oh mon bébé, bien sûr que je vous aime tous les trois !
- Alors viens avec nous.
- Nous en avons déjà discuté, que puis-je te dire de plus ? Et moi qui comptais sur toi pour veiller sur ton petit frère.
Nadine a un regard désespéré en direction de Daniel ; celui-ci laisse Nicolas dans la voiture et vient chercher Charlotte.
- Fais un gros bisous à maman, Charlotte, je ne peux pas laisser Nicolas seul trop longtemps et nous ne devons pas risquer de rater l'avion.
- Je m'en moque, je ne veux pas partir. Je veux qu'on soit tous les quatre ensemble.
- Maman viendra avec nous la prochaine fois. Et quand nous serons arrivés là-bas, tu verras comme c'est beau, comme l'eau est chaude ; tu souriras en pensant que tu as failli refuser de nous accompagner.

Finalement Charlotte se laisse convaincre et Daniel réussit à emmener ses deux enfants avec lui dans la voiture, après un dernier baiser à sa femme.
Il avait voulu qu'elle les conduise à l'aéroport, mais elle avait prétexté que la séparation serait suffisamment difficile comme ça ; l'associer aux formalités de police aurait pu être mal vécu par les enfants. Après la scène qu'ils venaient de vivre, Daniel se disait qu'elle avait certainement eu raison. cela l'obligerait à demander à un ami de venir la conduire à l'aéroport pour y chercher la voiture, mais c'était plus sage. Pour le retour, c'était plus simple : les enfants seraient heureux de la voir les accueillir.

La séparation avait eu lieu, c'était maintenant l'excitation du voyage et de l'inconnu qui occupaient l'esprit des deux enfants. A l'aéroport, Daniel cherche le parking le plus éloigné, comme convenu avec son épouse. A ce sujet encore il avait eu une discussion avec elle : pour le confort des enfants, il avait pensé qu'un parking plus proche aurait été plus pratique, de toutes façons la voiture n'y resterait pas longtemps. Mais Nadine avait rétorqué qu'elle n'était pas certaine du moment de disponibilité de la personne qui pourrait la conduire à l'aéroport pour y reprendre la voiture, elle voulait donc éviter de risquer des frais trop importants. Son argument choc était que dans tous les parkings il y avait une navette et que cela ne changerait rien pour les enfants. Il s'était rangé à ses arguments.

Il avait aussi cédé au sujet des échanges téléphoniques pendant leur séparation. Puisqu'elle était prise par un travail qui la bloquait au domicile, il avait pensé que le mieux était que les enfants appellent quand ils en auraient envie. Nadine avaient répliqué qu'elle voulait pouvoir se concentrer sans être dérangée par la sonnerie du téléphone, et ajouté qu'il était préférable qu'ils ne prennent pas trop l'habitude de l'appeler à tout bout de champ. Elle avait conclu que le meilleur moment pour les enfants était certainement lorsqu'ils reviendraient de la mer, en fin d'après-midi ... un jour sur deux.

Daniel dépose la voiture le plus près possible de l'arrêt de la navette, décharge les bagages. Charlotte voudrait bien l'aider, mais il limite les risques, ne voulant pas se retrouver avec une enfant de 7 ans affublée d'une douleur du dos. Ils attendent la navette, heureusement le temps n'est pas aussi froid qu'il pourrait l'être en ce mois de février. Ce n'est pas l'été indien, mais le thermomètre avoisine les 10°C. La navette se présente, ils y montent, elle est déjà pleine de monde. Elle parcourt un long trajet avant d'atteindre l'aérogare où ils peuvent enfin descendre. A l'intérieur, ils y trouvent un chariot.

Il reste à trouver le comptoir du voyagiste. Cette fois-ci c'est Daniel qui a eu gain de cause. Nadine aurait voulu qu'ils prennent le vol du début de journée, ce qui les aurait obligés à se présenter à 4 h du matin. Daniel a fait valoir que s'ils avaient voyagé à 4, elle aurait pu avoir son mot à dire, mais qu'il ne se voyait pas seul avec deux enfants endormis à porter en plus des bagages. Comme il avait trouvé un vol plus tardif, il l'avait choisi, bien que cela ait porté le prix global du forfait, séjour compris, à une somme de 20% supérieure.

La queue à faire derrière ce comptoir est considérable. Daniel demande à Charlotte de rester sagement à sa place en s'assurant que son frère ne s'en aille pas, le temps qu'il se procure un second chariot pour les y mettre. Il court dans les couloirs, en trouve un, revient. Ouf ! Les enfants sont toujours sagement en train de faire la queue, ils ont compris pourquoi il les a laissés quelques minutes. Il les installe aussi confortablement qu'il peut dans le second chariot et pousse petit à petit ses deux chariots pendant une heure.

C'est leur tour, il doit présenter passeports et convocation ; en échange on lui donne 3 sacs de voyage en plastique à la marque du voyagiste et 3 billets d'avion à présenter au comptoir de la compagnie aérienne, où il doit se rendre. La demoiselle de l'accueil lui annonce avant de le laisser - et avec un regard entendu vers les enfants - qu'il doit s'attendre à du retard.

Ils se dirigent vers le comptoir d'enregistrement de la compagnie, font une nouvelle fois la queue avant de pouvoir y enregistrer leurs bagages. L'hôtesse leur confirme qu'un retard est à prévoir, quoique non affiché. Elle ne peut pas l'estimer. Elle les invite cependant à attendre dans la salle d'embarquement où des annonces seront faites.

Au bout d'une heure, leur vol disparaît du tableau. Aussitôt un mouvement de foule se dessine et avant de se trouver débordée, une hôtesse annonce dans la salle que les passagers du vol en question n'ont pas à s'inquiéter : le vol n'est pas supprimé ; un incident technique le retarde.

Daniel ne veut pas inquiéter son épouse et décide de ne pas lui téléphoner. D'ailleurs qu'est-ce que cela changerait ? Il prend conscience qu'elle ne lui a pas demandé de lui annoncer leur arrivée ; sûrement un oubli dans le contexte mouvementé du départ !

Après plusieurs heures d'attente, les passagers sont enfin invités à monter dans l'avion. La première partie du trajet se déroule correctement. L'avion doit faire escale aux Canaries pour repartir en direction de la Martinique. Un peu avant l'atterrissage le commandant de bord annonce que l'avion n'est pas en mesure de reprendre son vol. Il demande donc à tous les passagers de descendre.

- On est arrivé, demande Charlotte ?
- Non, ma chérie, répond Daniel. L'avion devait repartir pour la Martinique, mais une difficulté technique nous en empêche.
- On ne va pas en Martinique alors, demande Nicolas ?
- Si, mon lapin, ne t'en fais pas. Mais ça va prendre un peu plus de temps que prévu. On ne peut rien y faire, sinon patienter.

Ils sortent de l'appareil, se dirigent vers la salle de transit et attendent. Nicolas et Charlotte sommeillent. Soudain Daniel croit voir apparaître Nadine longeant un couloir, entourée de deux hommes l'un la tenant par la taille, l'autre par le cou. Ce n'est pas possible, il rêve, pourtant il la connaît suffisamment, et il est très physionomiste. Il ne peut pas se tromper ... Heureusement que les enfants ne l'ont pas vue !!!
Si c'est vrai, cela expliquerait bien des choses : sa détermination à ne pas les accompagner, ses imprécisions quant aux raisons invoquées, sa tentative pour qu'ils partent plus tôt, son insistance pour qu'il choisisse le parking longue durée, son refus lorsqu'il avait proposé de lui téléphoner de temps en temps et son idée que les appels soient émis par elle à dates et heures déterminées à l'avance par elle.
Il ne sert à rien de ressasser cette pensée, Nadine a disparu et eux restent à attendre.

Après plusieurs heures d'incertitude, une hôtesse informe les voyageurs en transit pour la Martinique qu'ils vont devoir passer la nuit dans un hôtel et ne repartiront que le lendemain. Les passeports des ressortissants français les autorisent à circuler librement sur l'île. Les personnes accompagnées d'enfants étant prioritaires pour les attributions de places dans les hôtels, Daniel obtient ses tickets relativement rapidement pour un hôtel en bordure de mer. Il récupère ses bagages. Une navette les conduit à leur hôtel.

Dans leur chambre, ils se changent et décident d'aller à la plage. Ils doivent marcher sur des galets car la plage n'est pas très belle. Les vagues sont impressionnantes.
- Je crois que je vais devoir vous porter à tour de rôle pour aller dans l'eau. Charlotte et Nicolas ont un peu peur, même dans les bras de leur papa, qui ne s'aventure pourtant pas très loin, ne serait-ce que pour ne pas laisser trop longtemps seul celui ou celle de ses deux enfants resté à les regarder.

Deux couples qui se trouvaient dans l'avion arrivent, accompagnés de jeunes enfants eux aussi. Ils sont hébergés dans le même hôtel qu'eux. Charlotte et Nicolas font rapidement connaissance. L'un des hommes propose à Daniel d'aller nager un peu, Daniel hésite.
- Ne vous en faites pas, les femmes veilleront sur eux.
Il finit par accepter après que ses enfants lui aient promis d'être bien obéissants.

Ils s'éloignent un peu, nagent, gravissent des rochers, s'éloignent de plus en plus. A un moment donné ils entendent les cris d'une femme. Le compagnon de Daniel lui propose d'aller voir. Daniel hésite, il a un pressentiment, mais l'autre insiste. A leur approche, la voix se fait distincte :- Oui, Encule-moi, c'est bon ! Comme j'aime ta grosse bite ! Encore !
Ils se regardent, surpris. Daniel n'a plus aucun doute, il a reconnu la voix de Nadine.
- Il ne faut pas qu'ils nous voient, dit-il à son compagnon.
Ils s'avancent à pas feutrés, se cachent derrière les rochers. Ils découvrent une femme entièrement nue, couchée sur le côté, en train de se tortiller de plaisir, pendant qu'un homme la pénètre par devant et un autre par derrière, nus eux aussi. Elle ne se se prive pas pour exprimer son plaisir. Elle est tournée vers eux et Daniel cherche encore à s'assurer qu'il s'agit bien du visage de sa femme. Maintenant il en est absolument certain, il la voit distinctement, bien qu'elle semble défigurée par la jouissance. Les deux hommes la tripotent de toutes parts.
Une chose intrigue Daniel : l'un des hommes n'est pas celui qu'il a vus enlacer sa femme à l'aéroport ...

Il n'a pas le temps de réfléchir plus longtemps à cette question. Nadine invective deux autres hommes :- Alors vous arrivez, vous deux !
Ils arrivent en effet, nus comme les autres. L'un des deux est celui qui l'enlaçait par la taille. A peine arrivé, elle lui attrape le sexe et se le fourre dans la bouche, puis elle attrape celui du quatrième et le masturbe.

Daniel et son compagnon sont fascinés par le spectacle. Ils ne voient pas le temps passer. L'homme éjacule dans la bouche de la femme ; aussitôt elle engloutit le penis de celui qu'elle masturbait, qui ne tarde pas non plus à éjaculer dans sa bouche. Des filets de sperme mélangés s'échappent de ses lèvres, Nadine les récupère du revers de sa main, qu'elle lèche avec déléctation.
Daniel comprend alors qu'aucun des hommes n'a utilisé de préservatif ! L'homme à l'intérieur du sexe de sa femme jouit à son tour et attend d'être redevenu totalement flasque pour ressortir. Le plus résistant semble être celui qui s'occupe de son anus. C'est visiblement un jouisseur. Son corps épouse parfaitement Nadine et ses mains entourent ses seins pendant qu'il couvre son cou de baisers ; s'apercevant que la place est devenue libre, il quitte sa position et vient se placer de façon à bénéficier lui aussi d'une fellation. Daniel se dit que Nadine doit aimer les mélanges de goûts. Lorsqu'il éjacule à son tour dans sa bouche, Nadine l'embrasse tendrement, puis propose à la compagnie une petite baignade.

Daniel et son compagnon s'éclipsent aussi rapidement qu'ils le peuvent. Sur le trajet, le compagnon de Daniel regrette de ne pas avoir eu son téléphone avec lui pour prendre une vidéo. Daniel se dit avec fatalisme qu'au cours de cette semaine ou de ces 10 jours (il ne le sait pas au juste), d'autres s'en chargeront sûrement. De retour auprès des enfants et - pour son compagnon - de son épouse, ils prétextent une petite promenade sans faire allusion au spectacle dont ils ont bénéficié.

Ce que Daniel a découvert le bouleverse profondément bien qu'il tente de faire bonne figure et de ne pas gâcher les vacances de ses enfants. Le repas du soir pris en compagnie des deux autres couples - entrecoupé de clins d'oeil malicieux de son compagnon de baignade - le met mal à l'aise, mais il fait l'impossible pour le cacher. Ce n'est pas uniquement le fait que sa femme le trompe, même s'il croyait leur amour intact et avait toute confiance en elle ; c'est aussi qu'elle ait pu échafauder un tel plan pour se débarrasser de lui et de ses propres enfants, malgré leur pleurs ; c'est encore ce qu'elle a fait avec ces hommes, elle qui n'avait jamais accepté autre chose qu'un coït classique avec lui alors que celui qui l'a prise par derrière sous ses propres yeux était bien mieux doté que lui, elle qui se retenait de faire le moindre bruit même lorsque les enfants étaient chez leurs grands parents ou à l'école et qui lui fermait la bouche de ses mains, elle qui s'était toujours refusée à faire l'amour avec lui dehors ou dans une voiture, même partiellement déshabillée ; c'est encore plus qu'il lui ait fallu quatre hommes pour elle toute seule alors qu'elle a toujours prétendu à qui voulait l'entendre que la sexualité ça se vit à deux ; c'est enfin qu'elle n'ait pris aucune précaution pour se prémunir de contamination. Depuis quand dure son manège ? Etant donnée la couleur franchement blanche de la peau des quatre hommes et sans bronzage apparent, ce que Daniel a pu constater au niveau de la "marque du maillot de bain", ils n'étaient pas seulement deux à avoir fait le voyage en sa compagnie ...
Malgré sa fatigue, Daniel a ien du mal à dormir !

Le lendemain, ils peuvent enfin repartir pour la Martinique. En fin d'après-midi, après une courte baignade dans une mer beaucoup plus calme, ils reçoivent l'appel téléphonique prévu. Les enfants racontent à leur mère le contretemps qu'ils ont subi, laquelle tente d'en savoir plus, notamment auprès de Daniel, surtout lorsqu'ils racontent qu'ils sont allés se baigner sur une plage où il y avait des galets. Mais il reste évasif, comme s'il ne se souvenait pas très bien du nom de la plage.


Comment pourrait-il avoir encore une quelconque relation avec cette femme ? Il avait cru la connaître alors que ce n'était qu'une étrangère.
Un doute le prend au cours de la nuit. Et si c'était un sosie ? Cela arrive. Le bon sens le rappelle à l'ordre : un sosie de visage et aussi de voix ? Capable de tromper un mari qui observe attentivement ? Non, ce n'est pas possible ! Et puis il y avait toutes ces manigances qui ont précedé son départ. Cela faisait beaucoup de coïncidences. Il passe une très mauvaise seconde nuit.
- Il y a un moyen de vérifier, se dit-il, c'est d'appeler chez moi. Mais elle le saura en regardant la liste des appels. Et il faudra trouver une bonne raison. C'est quand même fort ! C'est elle qui me trompe, et c'est à moi de trouver des excuses !
Il réfléchit, encore et encore. Une idée surgit. Demander à une copine ou un copain en qui il a toute confiance de l'appeler. Elle ou il fera ensuite semblant d'avoir oublié à quelle date il devait partir ; mais il va falloir lui expliquer pourquoi. Il vaut mieux une copine ... pas trop copine avec elle ; un homme risquerait de profiter de l'aubaine. Encore qu'avec ce qu'il vient de découvrir, il ne sait plus à qui se fier.

Sylvie ! Elle ne connaît pas Nadine, du moins autant qu'il le sache, et elle lui raconte parfois ses petits malheurs de coeur, il ne sait pas pourquoi ; ils suivent des cours de dessin ensemble et le dessin n'intéresse pas Nadine. Saurait-elle rester discrète vis-à-vis des autres élèves du cours de dessin ? C'est possible. De toutes façons, il ne voit personne d'autre.

- Allo, Sylvie ?
- Oui ?
- C'est Daniel, tu vas bien ?
- Bonjour Daniel, oui, je vais bien, tu n'es pas en Martinique ?
- Si. J'ai un service à te demander. Je ne te l'ai pas dit parce que je n'ai pas voulu t'embêter avec mes soucis ...
- Je t'embête bien avec les miens.
- Je suis parti sans mon épouse, juste avec les enfants. Elle a prétendu avoir du travail, mais je suis sûr que c'est faux.
- Cela ne va pas fort entre vous deux ?
- Je ne sais pas, je voudrais vérifier certaines choses. Pourrais-tu appeler à mon domicile ce soir vers 18 h, comme si tu cherchais à me joindre ? Si tu tombes sur elle, tu dis que tu suis le même cours de dessin que moi et tu demandes à me parler à ce sujet. Si personne ne répond, peux-tu réessayer demain matin de bonne heure par exemple, puis vers 14 h ? Comme ça je saurai si elle est vraiment restée pour travailler ou pas.
- Pas de problème, tu peux compter sur moi.
- Tu restes discrète vis-à-vis des autres ...
- Tu me connais- C'est pour cela que je t'ai appelée, excuse-moi. Je te remercie.
- Bisous- Je t'embrasseIl raccroche.

- Bon, voilà une chose de faite.

Le lendemain soir, il a confirmation que personne ne se trouve à son domicile. Il lui reste maintenant à savoir quoi faire. Il a un avantage sur Nadine : il est au courant et elle ne le sait pas. Mais cet avantage est de courte durée car lorsqu'elle voudra faire l'amour, il ne pourra pas accepter ... du moins sans préservatif. Pour le reste, ce sera à lui de savoir rester suffisamment ferme ... et d'avoir trouvé un argument pour cela.

Entre-temps Daniel qui se croyait handicapé question séduction par la présence de ses deux enfants, a pu constater qu'au contraire ils attiraient les femmes, dont certaines en profitaient pour lui faire des avances. En temps normal il se serait bien gardé d'y donner suite, restant indéfectiblement fidèle à son épouse. Là, il n'allait pas se priver pendant la dizaine de jours de vacances qui lui restaient ; au moins cela lui permettrait d'éviter de ressasser en permanence la scène qu'il avait vue, ainsi que des pensées qui ne pouvaient que le détruire et l'empêcher de continuer à assumer son rôle de père. Il ne manquait plus qu'à trouver les occasions pour ne pas être dérangé par les enfants, mais il faisait confiance pour cela à l'imagination des femmes qui lui faisaient du charme.

La première à "attaquer" avait elle-même des enfants de l'âge des siens, et elle avait bien entendu comploté avec deux autres copines elles-mêmes mères pour que ce soient les enfants qui demandent l'autorisation de s'absenter. Daniel, à qui la leçon que lui avait donnée son épouse avait profité, ne se limite pas aux positions traditionnelles ni aux jeux classiques ; après tout, c'est elle qui l'a cherché, pas l'inverse. En revanche, il lui laisse mener le jeu de la séduction et prendre tout le temps nécessaire aux préliminaires ; non seulement il n'est pas pressé, mais cela l'excite tout autant qu'elle. Les frôlement de mains sur les seins, à proximité des parties génitales sans les atteindre, les bisous dans le cou, les massages du même cou et à proximité de la poitrine, des cuisses, des pieds ... il s'en donne à coeur joie. Elle n'en peut plus, d'autant qu'elle prend conscience de l'heure qui tourne ; c'est elle qui le force presque à lui peloter carrément les seins, qui l'embrasse à la française, qui lui met plus tard les mains entre ses cuisses, et qui enfonce son phallus raide en elle. Bien qu'elle soit encore pressée de le sentir s'enfoncer, il prend son temps pour explorer son intérieur tout en continuant à exciter son extérieur. Dès qu'il la sent vibrer et sur le point de hurler son plaisir, il la retourne, lui fait adopter une position accroupie, lui claque les fesses, lui suce l'anus jusqu'à ce qu'il s'ouvre suffisamment pour le recevoir ; tout en s'y enfonçant doucement, il s'appuie sur elle et lui pelote les seins, ce qui la fait crier de plaisir ; il l'embrasse dans le cou tant qu'il peut. Juste avant de jouir lui-même, il sort et sans attendre l'avis de sa partenaire, lui présente son penis devant la bouche qu'elle ouvre ; il se retourne pour se retrouver tête-bêche et lui sucer le sexe pendant qu'elle l'engloutit. Après qu'il se soit déversé dans sa bouche, elle le force à se retourner et à l'embrasser pour partager ce moment de bonheur et ses conséquences. Daniel ne trouve pas le goût particulièrement agréable, mais il accepte de bon coeur de se prêter au jeu ; après tout pourquoi devrait-elle aimer ça, elle, et pas lui ? Après une bonne douche, ils récupèrent leurs enfants qui leur racontent en détail le plaisir qu'il ont eu de leur côté. A certaines autres occasions, il se laisse attacher, ou c'est lui qui l'attache, ils se distribuent gifles et fessées, s'insultent, trouvent de petites perversions humiliantes pour pimenter leurs coquineries.

Les copines qui ont rendu service se sont renseignées, elles veulent le retour du service rendu. A la fin de la première semaine de vacances, elles se sont organisés à 5 pour qu'à la plage, 2 d'entre elles gardent les enfants pendant que les 3 autres accompagnent Daniel pour une partie de plaisir entre adultes, du genre de ce à quoi Daniel a pu assister sur la plage des Canaries, où cette fois-ci ce n'est plus son épouse qui se trouve en compagnie de 4 hommes mais lui avec 3 femmes ... et en plus sophistiqué. Ne cherchant pas à rétablir un équilibre comptable de la situation avec Nadine, il se sent bien.

Il va pourtant falloir qu'il assume son retour face à elle. Il lui reste une semaine pour trouver le moyen de le faire.

Il reçoit un appel de Sylvie.
- Comment vas-tu ?
- C'est gentil de t'être inquiétée de moi.
- Tes vacances te font oublier tes soucis ?
- Avec mon épouse, tu veux dire ?
- Entre autre ...
- La fine mouche, se dit Daniel ! Bien sûr que c'est là qu'elle veut en arriver. Il a fait appel à elle, maintenant elle va chercher à se le récupérer. Il ne s'agirait pas d'une purge, elle n'est pas mal du tout, on peut seulement se demander pourquoi elle n'a pas encore trouvé chaussure à son pied. Mais il se dit qu'il est quand même injuste : il a bien été content de la trouver quand il a eu besoin d'elle ...
- Tu ne réponds pas ?
- Excuse-moi, ma puce.
Un petit mot doux ne fait pas de mal, cela ne peut que lui faire plaisir. Et comme il est probable qu'il passera dans son lit à son retour ...
- Je ne savais que répondre. Pour être franc, je fais tout ce que je peux pour ne pas penser à elle.
- Tu as bien raison.
- Tu crois ?
- Eclate-toi mon canard.
Elle lui répond sur le même ton. Il ira se réfugier chez elle. Mais les enfants ?
- Merci, ma puce.
- Tu veux que je vienne vous chercher à l'aéroport ?
- Pas la peine, mon épouse doit venir normalement.
- Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'oublie pas que je suis là.
- Je te remercie. Et toi comment vas-tu ?
- Bien, la routine. Je prépare mes vacances pour dans un mois. Pas si loin et en location, je t'en parlerai à ton retour.
- OK bisous, ma puce.
- Bisous, mon canard.

Avec le coup de la location, il la voit venir gros comme une maison, c'est le cas de la dire. Mais attendons.

Les enfants sont aux anges, ils se sont faits plein de copains et de copines. Ils ont appris à nager, enfin plus ou moins. Le bouche à oreille a fonctionné à merveille, Daniel ne sait plus où donner de la tête. Ce sont huit copines qu'il s'est faites, mais il n'en satisfait pas plus de 5 à la fois, parfois une seule. Jamais il ne se serait attendu à de telles vacances ! Il n'a raconté à personne ce à quoi il a assisté sur la plage des Canaries. De temps en temps, il revoit les deux couples avec lesquels ils ont partagé quelques moments à cette occasion, mais les deux complices restent discrets, chacun pour des raisons différentes.

Des quantités de photos et de vidéos ont été prises. Daniel a protégé les siennes par un mot de passe sur son ordinateur, du moins celles qui sont compromettantes. Mais peut-on conserver bien longtemps un secret que l'on partage avec une dizaine de personnes ? Daniel croit avoir trouvé la solution de son problème avec Nadine : Sylvie. Il ne dira rien de ce qui s'est passé en Martinique, espérant lui donner ainsi mauvaise conscience. Mais peu après son retour, il entreprendra une relation adultère avec Sylvie qui n'attend que ça ... et il l'avouera à Nadine lorsqu'elle s'inquiétera de son manque de désir à son égard. Il verra alors comment elle se comportera.

Peut-être aussi continuera-t-il à voir certaines de ses conquêtes de vacances car ils ont échangé numéros de téléphone, adresses courriel et adresses physiques. Au moins avec elles les choses sont claires, il n'y a pas à tourner autour du pot ; chacune sait qu'il ne s'agit que de prendre du plaisir et elles s'y donnent à fond.

Les avis des lecteurs

Pour information, la suite est déjà publiée, une 3ème partie est en cours d'écriture, de
refontes, de corrections, ... jusqu'à ce qu'elle me plaise suffisamment ; une 4ème
bouillonne dans ma tête.

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