Découvertes (épisode N°02)
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2013 dans la catégorie Plus on est
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Découvertes (épisode N°02)
DÉCOUVERTES (épisode N°02)
Paul, un intellectuel de cinquante-deux ans a sa libido au plus bas, des problèmes de prostate dû à son âge et à son embonpoint l’empêchent de remplir ses devoirs conjugaux. En un mot il ne bande plus. Marie-Ange son épouse va bientôt avoir quarante-huit ans. Paul devine que sa sensualité réclame des preuves physiques et concrètes. Elle assure bien son mari de son amour indéfectible, mais il pressent qu'elle voudra un jour prendre un amant. Ses masturbations solitaires qu'il peut observer lorsqu'elle croit qu'il est endormi ne lui suffiront bientôt plus. Sur le principe, il ne serait pas contre, mais s'il y a adultère, il préférerait y participer, même et surtout comme voyeur.
Il persuade son épouse de se faire baiser par un inconnu alors qu’elle sera attachée et aveuglée afin de donner le change à son amant d’occasion. Elle accepte avec réticence, mais se révèle une belle salope lorsqu’elle est prise par son mari et l’inconnu dans sa chatte et son cul simultanément.
À partir de cet instant c’est l’escalade dans les exhibitions, les masturbations multiples devant des partenaires féminins et masculins et les mélanges hétéroclites les plus invraisemblables avec de nombreux partenaires.
II
EXHIBITION DANS LE METRO
Depuis que Marie-Ange a accepté de coucher avec un autre homme, acceptant même sa participation en réalisant son fantasme d'amour à trois, Paul, rêve que sa femme puisse s'exhiber devant d'autres inconnus en sa présence. Il envisage aussi qu'elle se fasse prendre de nouveau par un ou plusieurs hommes, avec son concours personnel évidemment. Pour cela il faut qu’elle se dévergonde et il échafaude un plan astucieux. Il persuade Marie-Ange de sortir avec des jupes courtes, exigeant de surcroît qu'elle ne mette pas de culotte. Son épouse en porte d'ailleurs rarement, jamais sous ses jeans ou ses pantalons serrés, ni sous ses robes ou ses jupes longues. Elle préfère depuis une dizaine d'années ne plus être entravée. Mais elle n'a jamais osé le faire sous des jupes assez courtes comme elle en porte quelquefois afin de mettre en valeur ses jambes admirables.
Paul lui expose ses souhaits, lui demandant qu’elle s'expose en public sur des bancs de square ou sur des sièges d'autobus par exemple, lieux où des voyeurs pourraient surprendre ses fesses nues, ou bien, qu'elle laisse voir subrepticement sa chatte épilée. Marie-Ange proteste d'abord résolument vis-à-vis des exigences inconvenantes de son époux, mais, il déploie des arguments habiles, laissant entendre que sa libido pourrait renaître par ce moyen pervers. Malgré ses hésitations et ses objections, elle se laisse malgré tout convaincre par son polisson de mari. Aussi ils décident d’un commun accord, de faire un essai préalable dans le métro. Donc, un après-midi vers quinze heures trente, ils se rendent sur la ligne Pont de Sèvres - Nation où il y a très peu de monde à cette heure de la journée, afin de tester leurs premiers égarements en public.
Entrant à la station Trocadéro, dans une rame qui est presque vide, Paul et Marie-Ange s'installent sur une banquette du fond. En face d'eux se trouvent deux jeunes garçons de dix-sept ou dix-huit ans bien comme il faut, ils portent même une cravate sur un blazer bleu marine. Marie-Ange, qui a revêtu un chemisier en dentelles transparent n'a bien sûr pas mis de soutien-gorge et l'on discerne presque intégralement les seins à travers la dentelle ajourée, un bourgeon s'est même faufilé entre deux mailles. Les deux jeunes détaillent avec envie le corps de la femme qui se trouve en face d'eux. Ils ont repéré la poitrine nue sous le corsage et ils louchent de plus en plus pour en apercevoir le plus possible. Marie-Ange a passé en outre une jupe droite fendue sur les deux côtés, lui arrivant juste au-dessus du genou. Manœuvrant avec beaucoup de duplicité, bien que paraissant absorbée dans la lecture d'un magazine féminin qu'elle a posé sur ses cuisses, elle écarte ses jambes insensiblement, tendant progressivement sa jupe bien droite pour servir de support à son journal.
Ce faisant, sa position face au garçons leur permet d'avoir une vue plongeante sur ses jambes gainées de soie noire, ils ne peuvent bientôt ignorer l'amorce du porte-jarretelles, noir lui aussi, mais ils peuvent surtout distinguer la peau blanche des cuisses et la vulve imberbe qui s'étale et s'entrouvre à leur regard ébahi. Les deux jeunes deviennent rouge écarlate, ne pouvant détacher leurs yeux du spectacle que cette femme apparemment respectable leur offre, sans bien sûr qu’elle en ait conscience pensent-ils ingénument.
Marie-Ange, leur jette des petits coups d'œil en coin par-dessus son journal, apercevant parfaitement la bosse qui gonfle le devant de leur pantalon. Sur sa banquette, elle s’est assise un peu en biais, adossé à la fenêtre. Ayant refermé sa revue, elle fait semblant de s'assoupir légèrement en se laissant glisser insensiblement sur le siège en moleskine. Sa jupe s'est retroussée jusqu'à mi-cuisses, permettant aux regards des deux garçons d'accéder à sa chatte intégralement épilée.
Après un regard sur Paul qui est installé sur la même banquette que sa femme et qui leur paraît apparemment plongé dans un livre qu'il tient à hauteur de ses yeux, les deux jeunes gens déboutonnent leur braguette, sortent leur verge congestionnée et se branlent en bavant sur ce con qu'ils n'osent pas approcher. Après quelques va-et-vient forcenés, ils éjaculent presque ensemble et s'essuient avec leur mouchoir. Le métro arrive à ce moment au terminus du Pont de Sèvres; par conséquent, les deux jeunes lycéens s'empressent de se lever et descendent rapidement en arrivant à la station.
Paul et Marie-Ange, ravis et excités de leur bon coup restent dans la rame qui va repartir en sens inverse dans quelques minutes. Il y a vraiment très peu de monde sur cette ligne l'après-midi. Seul, un homme d'une quarantaine d'années en costume trois pièces, tenant un attaché-case à la main se présente au départ de leur rame. Il n'y a pas un chat dans le wagon, et pourtant, il vient s'installer en face du couple. Il est à remarquer que les gens en général ont horreur d’être seul, et qu'ils vont là où se trouve déjà du monde. Marie-Ange a repris une position un peu plus digne, gardant dans un premier temps ses jambes serrées. Son vis-à-vis, lorgne son corps avec attention, jetant des petits coups d'œil sur ce qu'il peut deviner sous son corsage coquin. Elle fait de nouveau semblant de s'assoupir, puis, se laissant balancer par les mouvements du wagon, elle écarte et referme ses cuisses d'une façon spasmodique. La vision pour l'homme en face d'elle est bien éphémère puisque les mouvements oscillants du métro lui font seulement entrevoir d'une façon fugitive l'intimité de cette bourgeoise si désirable.
Le quadragénaire est lui aussi devenu écarlate. Malgré la rapidité du mouvement des jambes de Marie-Ange il a bien constaté le manque de sous-vêtement sous la jupe où il peut entrevoir l’entrecuisse complètement dénudée jusqu’à la vulve lisse et renflée. Ses yeux sont irrémédiablement fixés sur ce qu'il peut deviner de l’intimité à peine voilée de cette femme. Son sexe lui fait mal tellement il est contracté sous le tissu de son pantalon et il espère que les boutons de sa braguette vont tenir. Il a une envie furieuse de sauter sur cette proie qui s'offre ainsi à ses sens exacerbés.
Marie-Ange, à travers ses cils baissés, ne peut que constater l'effet qu'elle lui fait. Émoustillée par ce qu'elle offre d'impudique au regard de l'homme qui la mate, elle profite de son faux assoupissement pour se laisser encore une fois glisser sur son siège. Cela lui permet de laisser remonter sa jupe en écartant ses cuisses le plus largement possible. Son sexe est cette fois visible dans sa totalité, les grandes lèvres se sont même entrebâillées car la vulve s'est dilatée sous l'emprise de l'excitation qui l'a saisie.
L'homme n'en peut plus. Il jette un coup d'œil sur le mari qui doit toujours être plongé dans son bouquin et il a le choc de sa vie. Celui-ci le regarde en souriant. Il veut se lever pour s'éloigner, quand Paul lui fait signe de rester. Sortant sa langue de sa bouche, il fait signe d'un doigt à l'homme pour lui faire comprendre qu'il devrait se pencher sur la femme endormie et offerte. Tout cela en silence. Seul le bruit du métro et les trépidations sur les rails génèrent un bruit d'enfer. Paul doit répéter plusieurs fois ses gestes de la langue et du doigt pour que l'homme comprenne.
Enfin, celui-ci de plus en plus cramoisi s'agenouille face à la polissonne bourgeoise, puis il avance sa tête entre les cuisses ouvertes où sa langue vient laper la vulve si aimablement offerte. Marie-Ange faisant toujours semblant de dormir n'a rien perdu de la scène. Sa position en coin lui a même permis de voir son mari l'offrir à la langue du voyeur. L'homme, s'enhardissant, la fouille maintenant de sa langue dardée au fond de son intimité. Elle mouille abondamment, offrant son ventre à la bouche qui déguste sa moule. Il a dû se rendre compte de la disponibilité de la femme qui s’offre dans une semi-inconscience, car il la lèche partout où il le peut, entrant et sortant sa langue de son vagin, glissant le long de la raie culière et titillant la rosace de son cul. Remontant sa bouche, il décapuchonne avec ses lèvres son clitoris et il l'aspire entre ses lèvres serrées. Le ventre de Marie-Ange se tend dans un brusque soubresaut, alors qu'elle ne peut retenir un gémissement de plaisir. L'homme caresse maintenant ses cuisses avec ses mains, il introduit un doigt dans sa vulve et un autre, force sa rosace humide. Elle ne peut plus feindre l'endormissement. Elle noue ses jambes autour du cou de l'homme et elle lui crie sa jouissance.
- Oui ! Encore, faites-moi jouir Oh ! Oui j'aime ça, continuez ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Malheureusement, le métro vient d'arriver à la station Trocadéro. Des nuées de touristes Japonais se précipitent aux portes avant l’arrêt complet de la rame. L'homme n'a que le temps de se redresser, puis, attrapant son attaché-case, il prend la fuite en bousculant les Japonais qui cherchent à entrer tous ensemble, tandis que Marie-Ange a remis hâtivement de l'ordre dans sa toilette. Heureusement, car les touristes qui ont envahi le wagon occupent toutes les banquettes. Quatre asiatiques se sont assis en face d'elle, alors que deux autres ont pris place à côté de Paul qui s'est rapproché et qui l'enlace.
Celui-ci l'embrasse profondément sans tenir compte de ses voisins. Sa main vient se poser sur son genou gauche et se glisse sous sa jupe, remontant le plus haut possible, c'est-à-dire jusqu'à ce que ses doigts atteignent la chatte bien juteuse de son épouse. Celle-ci tente bien de se soustraire aux attouchements précis de son mari, présumant que tous ces jaunes doivent se rincer l'œil. Mais, elle est trop excitée par l'exhibition qu'elle a donnée aux deux jeunes, et surtout par le délicieux cunnilingus du quadragénaire qui ne l'a pas complètement assouvie. Aussi elle se mord les lèvres pour ne pas crier son plaisir car Paul lui ramone furieusement sa chatte avec ses doigts. Malgré cela, oubliant qu'elle est dans une rame de métro entourée d'une si nombreuse compagnie, elle se laisse aller, son corps ondulant et ses jambes s'agitant abondamment tant sa jouissance est forte. Sa jupe s'est retroussé complètement découvrant son ventre et son entrecuisse, tandis qu’elle halète du plaisir merveilleux qui l'envahit et qu'elle peut à peine contenir. Les japonais ahuris n'en perdent pas une miette.
Aussi, lorsque qu'elle part dans un long râle voluptueux ils applaudissent tous en chœur. Ils sont maintenant plus de trente qui regardent avec concupiscence ce spectacle non prévu par le voyagiste qui couvre leur circuit parisien. Le métro sort à ce moment du tunnel pour entrer en gare de Franklin-Roosevelt alors que les quais sont noirs de monde. Lorsque Paul et Marie-Ange émergent enfin de la rame pour accéder aux quais, les doigts des touristes jaunes se font inquisiteurs à leur passage, effleurant et pénétrants sous la jupe de Marie-Ange et lui procurant mille frissons.
Après cet après-midi dans le métro, Paul et Marie-Ange s'offrent un dîner à La Rhumerie, boulevard Saint-Germain. Pendant le repas, Marie-Ange s'est arrangé pour que, depuis les tables situées en face d'elle, il soit possible aux yeux curieux d'apercevoir son intimité sous sa jupe remontée jusqu'à mi-cuisses. Ce sont d'abord les serveurs qui se régalent des appas si généreusement offerts. Quelques femmes de l'assistance qui se sont aperçues de son manège la regardent avec une fureur à peine contenue, surtout, lorsqu'elles aperçoivent les regards concupiscents de leur mari se fixer vers l'entrecuisse de cette femme effrontée.
Pour rentrer chez eux, ils reprennent le métro, qui à cette heure du soir est bondé. Ils sont debout et serrés les uns contre les autres. Paul est en face de son épouse, séparé d'elle par deux jeunes filles. Marie-Ange, est agrippée à la barre centrale, alors qu’elle est pressée de toutes parts par ses voisins. Soudain, une main lui flatte la croupe. Dans sa position, elle ne peut rien faire, elle ne peut même pas se retourner pour voir qui la touche. Elle laisse faire pour mesurer jusqu'où ira ce coquin. La main est descendue et retrousse sa jupe, caressant le bas de soie derrière ses cuisses et remontant jusqu'à sa peau nue. Elle frissonne d'un plaisir trouble, surtout que la main palpant doucement sa peau tendre englobe une fesse et la pince légèrement. L'homme a du être surpris de ne pas trouver de culotte. Mais il a vite compris car sa main tournant autour de la hanche, vient se glisser sur le ventre bombée de la femme qui le laisse faire. Descendant vers l'entrecuisse, elle atteint bientôt le mont de vénus. Soudainement, les doigts inquisiteurs viennent racler la chatte et le clitoris, qui tressautent aux attouchements précis du coquin. Fouillée violemment dans son intimité, Marie-Ange se laisse aller à jouir en silence, sentant sa liqueur dégouliner entre ses cuisses. Malgré les stations multiples sur cette ligne, la pression de la foule ne s'est pas relâchée. Il y a toujours autant de monde dans cette rame bondée, aussi, lorsque le métro après quinze stations s’immobilise à celle correspondant au domicile de Paul et de Marie-Ange, celle-ci a déjà éprouvé six ou sept orgasmes. Elle descend flageolante de la rame et s'agrippe à Paul. Pas une seule fois, elle n'a pu repérer son voisin trousseur. Elle se sent vidée, mais complètement assouvie.
En chemin, elle raconte à Paul ce qui vient de lui arriver. Celui-ci lui dit qu'il va la finir en arrivant, car pas une seule fois de la journée il n'a pu trouver un endroit pour la baiser. Ils arrivent enfin devant leur immeuble tendrement enlacé. Paul pianote le code, ils entrent sous le porche et il appelle l'ascenseur. Dans celui-ci, il trousse Marie-Ange, remontant sa jupe jusqu'à la taille, puis, dégrafant son pantalon, il l'enfile brusquement. Pour être tranquille, il bloque l'ascenseur entre le quatrième et le cinquième étage. Marie-Ange est adossé debout contre la cloison. Retirant ses chaussures, elle projette ses jambes autour de la taille de son mari. Celui-ci la soutient avec ses mains sous ses fesses et il la bourre profondément avec sa verge qui n'en peut plus de bander depuis des heures. Après s'être contenu depuis si longtemps, ils partent tous les deux, presque en même temps dans une explosion de jouissance stupéfiante. En sortant de l'ascenseur, ils ne rencontrent heureusement personne. Par bonheur à cette heure, les voisins sont couchés. Ils constatent que leurs vêtements sont dans un état pitoyable. Marie-Ange est complètement dépoitraillée, sa jupe toute froissée est encore remontée à mi-cuisses, le foutre et la mouille dégoulinant sur ses bas. Paul a sa braguette déboutonnée, sa chemise avec ses boutons arrachés est complètement ouverte. Quel spectacle ! Ils rentrent chez eux rompus et repus. Contents quoi !
Cette tentative dans le métro a beaucoup amusé Paul et, bien qu'elle s'en défende mollement, Marie-Ange a infiniment apprécié d'avoir eut le courage de s'exhiber de la sorte. Surtout elle retire de cette expérience une satisfaction bien féminine, celle d'avoir pu être aussi fortement désirée. À son âge, l'hommage masturbatoire des deux jeunes, et la fougue du quadragénaire qui lui a littéralement mangé sa chatte sont des preuves flagrantes de sa séduction. D'un commun accord, ils décident de poursuivre leurs recherches de ces plaisirs que l'on appelle pervers. Leur sexualité retrouvée s'en portant de mieux en mieux ils n'ont plus d'état d'âme, Marie-Ange est prête maintenant à suivre son mari jusqu'au bout de ses fantasmes.
Aussi, par un beau dimanche après-midi, ils décident d’un commun accord de voler vers de nouvelles aventures. Marie-Ange a revêtu son buste d’un débardeur très léger à petites bretelles fines. Le décolleté profond laisse découvrir la paire de seins que nous connaissons, un peu lourde mais ferme. Elle porte également une jupe en cuir de couleur noire, de forme trapézoïdale, la longueur est très courte car ses bas lui arrivent en haut des cuisses, "à raz la motte" selon l'expression convenue. Des chaussures à talons de sept centimètres complètent sa tenue.
Le couple se rend à la station de taxi située à quelques centaines de mètres de leur domicile. Lorsqu'ils prennent place dans le véhicule, le chauffeur ne se gêne pas pour reluquer les jolies gambettes de sa cliente. Marie-Ange qui a remarqué les yeux fureteurs du chauffeur, se sens émoustillée des expériences où Paul l'entraîne depuis quelque temps, aussi, pour se rendre compte de l'effet que cela peut produire en voiture elle écarte lentement ses jambes, tendant par ce fait sa jupe courte et offrant l'intégralité de son intimité au rétroviseur situé en face d'elle. Le chauffeur, l'œil rivé justement à son rétroviseur apercevant la chatte dénudée et fendue de sa cliente fait une brusque embardée manquant heurter un autobus. Marie-Ange prudente, rabat vivement ses cuisses. Il n'y a qu'à la descente de sa passagère, lorsqu'elle se glisse sur le siège que le chauffeur peut entrevoir encore le minet rasé et la vulve entrouverte de cette belle bourgeoise, qui lui paraît bien dévergondée.
Paul et Marie-Ange, tout en marchant vers Saint-Germain-des-Prés, se montrent enchantés de la réaction du chauffeur. Décontractés, ils s'attablent à la terrasse du célèbre café Le Flore. Il fait un beau soleil et tous deux portent des lunettes de soleil aux verres très foncés. De cette façon, personne ne peut voir où leurs regards se dirigent, cela va leur être très pratique pour ce qui va suivre. Marie-Ange s'installe sur la chaise en relevant l'arrière de sa jupe, ses fesses nues posées sur le siège en moleskine. Lorsqu'elle écarte les jambes et les cuisses en tendant sa jupe, les passants peuvent voir au plus profond de son intimité. Le soleil est en plus de la partie, car à cette heure de la journée il commence à descendre, sa lumière rasante venant éclairer de ses rayons le dessous de la jupe de la femme qui prend ainsi plaisir à s'exhiber.
Le premier à en profiter est bien sûr le serveur qui vient prendre la commande, il repasse souvent devant les jambes offertes, qu'il reluque savoureusement. Un certain nombre de badauds de tous âges déambulent aussi devant la table de nos amis et stationnent même un certain temps. Pour éviter un attroupement Marie-Ange ne garde pas toujours la même position. Elle tient ses jambes fermées de longs moments pour faire tirer la langue à ses admirateurs. La situation l'amusant de plus en plus, elle se trémousse sur sa chaise et regarde en coin à travers ses lunettes noires les yeux des voyeurs rivés sur sa chatte. Une chaleur sourde l'envahit, elle prend conscience que sa mouille coule le long de ses cuisses et, d'un seul coup, elle a une envie pressante de faire pipi.
Lorsque le garçon de café repasse pour la énième fois en scrutant ses jambes écartées, elle lui demande où sont les toilettes ? Celui-ci galant se propose de la conduire, car dit-il c'est assez compliqué. Elle le suit donc dans le café où, le serveur dédaignant un grand escalier montant à l'étage avec la pancarte indiquant "TOILETTE H & D", guide Marie-Ange près du bar vers une porte qui s'ouvre vers un escalier qui descend au sous-sol. Il donne une clé à sa cliente en lui expliquant que ce sont les toilettes du personnel, et qu'elles sont beaucoup plus propres que celles de la clientèle. Marie-Ange entre donc sans méfiance, dans ce qui est en fait une véritable salle de bains, puis, après avoir uriné et s'être nettoyé sa vulve engorgée par sa liqueur, elle se refait une beauté devant la glace. À ce moment, une clé tourne dans la serrure et le serveur apparaît. C’est un colosse rougeaud et furieux qui se précipite sur Marie-Ange, et la trousse avec ses mains en lui soufflant hargneux.
- Salope ! Tu excites tout le monde depuis une heure, je n'en peux plus, je vais te baiser garce !
Celle-ci se débat le mieux qu'elle le peut, mais, devant la force herculéenne du serveur, elle se trouve bientôt pliée en deux, pendant que l'homme qui a trouvé le chemin de son vagin la pénètre violemment en levrette. Marie-Ange, malgré son dégoût et sa frayeur, déjà excitée par le spectacle qu'elle offrait sur la terrasse se laisse aller à répondre en un instant aux coups de verge de son violeur. Les coups de boutoirs de la brute ne durent pas très longtemps car il se répand furieusement dans sa matrice malmenée. Malgré cette brutalité ou peut-être à cause d'elle, elle en tire une enivrante et troublante jouissance. Après le départ furtif du serveur, elle remet de l'ordre dans sa toilette, essuie la mouille et le foutre qui maculent ses fesses et ses cuisses, puis, elle remonte à la surface un peu défaite et toute tremblante.
Entre-temps, son mari avait heureusement réglé les consommations. Le couple se lève et, tout en se tenant enlacé, déambule dans l'avenue Saint-Germain. Marie-Ange, raconte sa mésaventure à son époux qui lui demande si elle en a ressenti de la jouissance. Elle avoue timidement et un peu embarrassée y avoir pris un plaisir trouble tout en se mortifiant d’avoir si peu défendu sa vertu et son état de femme mariée. Paul la rassure, lui confiant qu’il est très heureux qu’elle se dévergonde ainsi et ils en rient ensemble. Il enlace sa compagne, et tout en marchant il passe sa main sous sa jupe, pour constater par lui-même lui dit-il. Elle est très gênée car elle imagine que tous les passants doivent apercevoir les agissements libidineux de son mari, mais elle n'ose retirer les doigts qui explorent son intimité. Paul les retirent, suintant de mouille et il lui passe sous le nez en lui disant.
- Sens ta mouille ! En effet, ma chérie, tu t’es bien régalée, tu es un peu salope tu sais !
Marie-Ange frissonne, ne sachant plus très bien où elle en est, anxieuse de se laisser entraîner dans des situations aussi scabreuses. Tout en marchant, Paul a remarqué qu'ils étaient suivis par deux jeunes gens d'environ vingt à vingt-cinq ans, ceux-ci ayant lorgné les jambes de Marie-Ange une bonne partie de l'après-midi, passant et repassant de nombreuses fois devant la terrasse du café. Sans révéler l’idée qui vient de germer dans son esprit, il décide son épouse à entrer dans un cinéma. Après avoir pris deux billets, ils se dirigent vers le dernier rang tout en haut des rangées de fauteuils. Aucun spectateur n'est à moins de sept ou huit travées plus bas et ils se sentent bien tranquilles.
Une fois installé avec son épouse, Paul remarque avec satisfaction que les deux jeunes gens sont entrés à leur suite et qu'ils se sont placés sur des sièges dans le même rang qu'eux, mais à une dizaine de places. Comme il fait très sombre, on les devine seulement. Il n'en dit rien à Marie-Ange qui ne s'est aperçu de rien, surtout pour ne pas l'affoler, mais il en tient compte pour la suite des événements qu'il pressent. Le film qu'ils viennent voir se trouve être "Basic-Instinct", où justement l'actrice Sharon Stone dévoile ses charmes à Michaël Douglas. On en vient à la scène ou elle écarte ses cuisses, le public pouvant contempler brièvement son sexe ainsi que le léger duvet qui le recouvre. Paul en profite pour glisser sa main dans l'entrejambe de sa femme et commence à la caresser. Celle-ci pour se faire pardonner son attitude avec le serveur qui l'a baisé dans les toilettes du café, sort la verge de son mari de son pantalon et commence à la sucer.
Paul fait un signe aux garçons de s'approcher sans que Marie-Ange puisse s'en rendre compte puisqu’elle est penchée sur le pénis de son mari, le dégustant avec beaucoup d’application. Pour mieux s'occuper du sexe de Paul, elle s'est mise à genoux dans la travée, aussi, sa position penchée ainsi que sa jupe complètement retroussée, laisse voir aux garçons qui approchent en silence les fesses rebondies de la femme qu'ils convoitent ardemment, étant donné qu'elle les a aguichés pendant plus d'une heure à la terrasse du café. Sentant qu'il a l'approbation du mari, le premier jeune homme sort sa queue bien raide, puis il se présente devant le postérieur haut levé. Sans coup férir il écarte brutalement les deux globes charnus, puis il s'engouffre dans le vagin de Marie-Ange tout en la tenant fermement par la taille. Celle-ci a un sursaut violent et veut se retourner. Paul la tient vigoureusement par les épaules et lui souffle.
- Laisse-toi faire. Je veux te voir être prise en levrette, continue à me pomper.
Ne perdant pas de temps, le jeune garçon s'active dans le con qui bave de mouille. Après l'avoir ébranlé vigoureusement, il projette sa semence d'un seul coup au fond de cette cavité si complaisante, laissant alors sa place à son compagnon impatient. Marie-Ange est toute surprise de sentir une seconde queue la pénétrer, mais, divinement rudoyée par ces deux hommes imprévus, elle est ravie et étonnée de cette satisfaction très masochiste, alors que, forcée pour la troisième fois de la journée, elle se laisse faire avec un voluptueux plaisir. La verge qui la pénètre à présent, comble sa chatte dans cette position en levrette qui lui convient admirablement. Elle a l'impression d’être violée par la brutalité dont fait preuve l’homme qui la force alors qu'elle est tout de même quelque peu consentante. D'ailleurs, elle éprouve bientôt un orgasme fulgurant au moment où Paul lui décharge sa semence dans sa bouche. Bien qu’ayant au premier jet qui gicle au fond de sa gorge un haut-le-cœur de dégoût, excitée comme elle l'est et tout de même un peu honteuse, elle avale le foutre de son époux alors qu'habituellement elle se retire rapidement pour ne pas en ingurgiter. Elle aspire même le jus et lèche le gland et la tige baveuse, heureuse de faire plaisir à l’homme qui sait si bien lui faire connaître des sensations aussi voluptueuses.
Les deux jeunes hommes se sont retirés. Paul et Marie-Ange n'attendent pas la fin du film pour sortir du cinéma et ils hèlent un taxi pour rentrer rapidement vers leur appartement. Paul a une envie folle d'enculer sa femme, et c'est ce qu'il se promet de faire dans son for intérieur en rentrant chez eux.
Paul, un intellectuel de cinquante-deux ans a sa libido au plus bas, des problèmes de prostate dû à son âge et à son embonpoint l’empêchent de remplir ses devoirs conjugaux. En un mot il ne bande plus. Marie-Ange son épouse va bientôt avoir quarante-huit ans. Paul devine que sa sensualité réclame des preuves physiques et concrètes. Elle assure bien son mari de son amour indéfectible, mais il pressent qu'elle voudra un jour prendre un amant. Ses masturbations solitaires qu'il peut observer lorsqu'elle croit qu'il est endormi ne lui suffiront bientôt plus. Sur le principe, il ne serait pas contre, mais s'il y a adultère, il préférerait y participer, même et surtout comme voyeur.
Il persuade son épouse de se faire baiser par un inconnu alors qu’elle sera attachée et aveuglée afin de donner le change à son amant d’occasion. Elle accepte avec réticence, mais se révèle une belle salope lorsqu’elle est prise par son mari et l’inconnu dans sa chatte et son cul simultanément.
À partir de cet instant c’est l’escalade dans les exhibitions, les masturbations multiples devant des partenaires féminins et masculins et les mélanges hétéroclites les plus invraisemblables avec de nombreux partenaires.
II
EXHIBITION DANS LE METRO
Depuis que Marie-Ange a accepté de coucher avec un autre homme, acceptant même sa participation en réalisant son fantasme d'amour à trois, Paul, rêve que sa femme puisse s'exhiber devant d'autres inconnus en sa présence. Il envisage aussi qu'elle se fasse prendre de nouveau par un ou plusieurs hommes, avec son concours personnel évidemment. Pour cela il faut qu’elle se dévergonde et il échafaude un plan astucieux. Il persuade Marie-Ange de sortir avec des jupes courtes, exigeant de surcroît qu'elle ne mette pas de culotte. Son épouse en porte d'ailleurs rarement, jamais sous ses jeans ou ses pantalons serrés, ni sous ses robes ou ses jupes longues. Elle préfère depuis une dizaine d'années ne plus être entravée. Mais elle n'a jamais osé le faire sous des jupes assez courtes comme elle en porte quelquefois afin de mettre en valeur ses jambes admirables.
Paul lui expose ses souhaits, lui demandant qu’elle s'expose en public sur des bancs de square ou sur des sièges d'autobus par exemple, lieux où des voyeurs pourraient surprendre ses fesses nues, ou bien, qu'elle laisse voir subrepticement sa chatte épilée. Marie-Ange proteste d'abord résolument vis-à-vis des exigences inconvenantes de son époux, mais, il déploie des arguments habiles, laissant entendre que sa libido pourrait renaître par ce moyen pervers. Malgré ses hésitations et ses objections, elle se laisse malgré tout convaincre par son polisson de mari. Aussi ils décident d’un commun accord, de faire un essai préalable dans le métro. Donc, un après-midi vers quinze heures trente, ils se rendent sur la ligne Pont de Sèvres - Nation où il y a très peu de monde à cette heure de la journée, afin de tester leurs premiers égarements en public.
Entrant à la station Trocadéro, dans une rame qui est presque vide, Paul et Marie-Ange s'installent sur une banquette du fond. En face d'eux se trouvent deux jeunes garçons de dix-sept ou dix-huit ans bien comme il faut, ils portent même une cravate sur un blazer bleu marine. Marie-Ange, qui a revêtu un chemisier en dentelles transparent n'a bien sûr pas mis de soutien-gorge et l'on discerne presque intégralement les seins à travers la dentelle ajourée, un bourgeon s'est même faufilé entre deux mailles. Les deux jeunes détaillent avec envie le corps de la femme qui se trouve en face d'eux. Ils ont repéré la poitrine nue sous le corsage et ils louchent de plus en plus pour en apercevoir le plus possible. Marie-Ange a passé en outre une jupe droite fendue sur les deux côtés, lui arrivant juste au-dessus du genou. Manœuvrant avec beaucoup de duplicité, bien que paraissant absorbée dans la lecture d'un magazine féminin qu'elle a posé sur ses cuisses, elle écarte ses jambes insensiblement, tendant progressivement sa jupe bien droite pour servir de support à son journal.
Ce faisant, sa position face au garçons leur permet d'avoir une vue plongeante sur ses jambes gainées de soie noire, ils ne peuvent bientôt ignorer l'amorce du porte-jarretelles, noir lui aussi, mais ils peuvent surtout distinguer la peau blanche des cuisses et la vulve imberbe qui s'étale et s'entrouvre à leur regard ébahi. Les deux jeunes deviennent rouge écarlate, ne pouvant détacher leurs yeux du spectacle que cette femme apparemment respectable leur offre, sans bien sûr qu’elle en ait conscience pensent-ils ingénument.
Marie-Ange, leur jette des petits coups d'œil en coin par-dessus son journal, apercevant parfaitement la bosse qui gonfle le devant de leur pantalon. Sur sa banquette, elle s’est assise un peu en biais, adossé à la fenêtre. Ayant refermé sa revue, elle fait semblant de s'assoupir légèrement en se laissant glisser insensiblement sur le siège en moleskine. Sa jupe s'est retroussée jusqu'à mi-cuisses, permettant aux regards des deux garçons d'accéder à sa chatte intégralement épilée.
Après un regard sur Paul qui est installé sur la même banquette que sa femme et qui leur paraît apparemment plongé dans un livre qu'il tient à hauteur de ses yeux, les deux jeunes gens déboutonnent leur braguette, sortent leur verge congestionnée et se branlent en bavant sur ce con qu'ils n'osent pas approcher. Après quelques va-et-vient forcenés, ils éjaculent presque ensemble et s'essuient avec leur mouchoir. Le métro arrive à ce moment au terminus du Pont de Sèvres; par conséquent, les deux jeunes lycéens s'empressent de se lever et descendent rapidement en arrivant à la station.
Paul et Marie-Ange, ravis et excités de leur bon coup restent dans la rame qui va repartir en sens inverse dans quelques minutes. Il y a vraiment très peu de monde sur cette ligne l'après-midi. Seul, un homme d'une quarantaine d'années en costume trois pièces, tenant un attaché-case à la main se présente au départ de leur rame. Il n'y a pas un chat dans le wagon, et pourtant, il vient s'installer en face du couple. Il est à remarquer que les gens en général ont horreur d’être seul, et qu'ils vont là où se trouve déjà du monde. Marie-Ange a repris une position un peu plus digne, gardant dans un premier temps ses jambes serrées. Son vis-à-vis, lorgne son corps avec attention, jetant des petits coups d'œil sur ce qu'il peut deviner sous son corsage coquin. Elle fait de nouveau semblant de s'assoupir, puis, se laissant balancer par les mouvements du wagon, elle écarte et referme ses cuisses d'une façon spasmodique. La vision pour l'homme en face d'elle est bien éphémère puisque les mouvements oscillants du métro lui font seulement entrevoir d'une façon fugitive l'intimité de cette bourgeoise si désirable.
Le quadragénaire est lui aussi devenu écarlate. Malgré la rapidité du mouvement des jambes de Marie-Ange il a bien constaté le manque de sous-vêtement sous la jupe où il peut entrevoir l’entrecuisse complètement dénudée jusqu’à la vulve lisse et renflée. Ses yeux sont irrémédiablement fixés sur ce qu'il peut deviner de l’intimité à peine voilée de cette femme. Son sexe lui fait mal tellement il est contracté sous le tissu de son pantalon et il espère que les boutons de sa braguette vont tenir. Il a une envie furieuse de sauter sur cette proie qui s'offre ainsi à ses sens exacerbés.
Marie-Ange, à travers ses cils baissés, ne peut que constater l'effet qu'elle lui fait. Émoustillée par ce qu'elle offre d'impudique au regard de l'homme qui la mate, elle profite de son faux assoupissement pour se laisser encore une fois glisser sur son siège. Cela lui permet de laisser remonter sa jupe en écartant ses cuisses le plus largement possible. Son sexe est cette fois visible dans sa totalité, les grandes lèvres se sont même entrebâillées car la vulve s'est dilatée sous l'emprise de l'excitation qui l'a saisie.
L'homme n'en peut plus. Il jette un coup d'œil sur le mari qui doit toujours être plongé dans son bouquin et il a le choc de sa vie. Celui-ci le regarde en souriant. Il veut se lever pour s'éloigner, quand Paul lui fait signe de rester. Sortant sa langue de sa bouche, il fait signe d'un doigt à l'homme pour lui faire comprendre qu'il devrait se pencher sur la femme endormie et offerte. Tout cela en silence. Seul le bruit du métro et les trépidations sur les rails génèrent un bruit d'enfer. Paul doit répéter plusieurs fois ses gestes de la langue et du doigt pour que l'homme comprenne.
Enfin, celui-ci de plus en plus cramoisi s'agenouille face à la polissonne bourgeoise, puis il avance sa tête entre les cuisses ouvertes où sa langue vient laper la vulve si aimablement offerte. Marie-Ange faisant toujours semblant de dormir n'a rien perdu de la scène. Sa position en coin lui a même permis de voir son mari l'offrir à la langue du voyeur. L'homme, s'enhardissant, la fouille maintenant de sa langue dardée au fond de son intimité. Elle mouille abondamment, offrant son ventre à la bouche qui déguste sa moule. Il a dû se rendre compte de la disponibilité de la femme qui s’offre dans une semi-inconscience, car il la lèche partout où il le peut, entrant et sortant sa langue de son vagin, glissant le long de la raie culière et titillant la rosace de son cul. Remontant sa bouche, il décapuchonne avec ses lèvres son clitoris et il l'aspire entre ses lèvres serrées. Le ventre de Marie-Ange se tend dans un brusque soubresaut, alors qu'elle ne peut retenir un gémissement de plaisir. L'homme caresse maintenant ses cuisses avec ses mains, il introduit un doigt dans sa vulve et un autre, force sa rosace humide. Elle ne peut plus feindre l'endormissement. Elle noue ses jambes autour du cou de l'homme et elle lui crie sa jouissance.
- Oui ! Encore, faites-moi jouir Oh ! Oui j'aime ça, continuez ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Malheureusement, le métro vient d'arriver à la station Trocadéro. Des nuées de touristes Japonais se précipitent aux portes avant l’arrêt complet de la rame. L'homme n'a que le temps de se redresser, puis, attrapant son attaché-case, il prend la fuite en bousculant les Japonais qui cherchent à entrer tous ensemble, tandis que Marie-Ange a remis hâtivement de l'ordre dans sa toilette. Heureusement, car les touristes qui ont envahi le wagon occupent toutes les banquettes. Quatre asiatiques se sont assis en face d'elle, alors que deux autres ont pris place à côté de Paul qui s'est rapproché et qui l'enlace.
Celui-ci l'embrasse profondément sans tenir compte de ses voisins. Sa main vient se poser sur son genou gauche et se glisse sous sa jupe, remontant le plus haut possible, c'est-à-dire jusqu'à ce que ses doigts atteignent la chatte bien juteuse de son épouse. Celle-ci tente bien de se soustraire aux attouchements précis de son mari, présumant que tous ces jaunes doivent se rincer l'œil. Mais, elle est trop excitée par l'exhibition qu'elle a donnée aux deux jeunes, et surtout par le délicieux cunnilingus du quadragénaire qui ne l'a pas complètement assouvie. Aussi elle se mord les lèvres pour ne pas crier son plaisir car Paul lui ramone furieusement sa chatte avec ses doigts. Malgré cela, oubliant qu'elle est dans une rame de métro entourée d'une si nombreuse compagnie, elle se laisse aller, son corps ondulant et ses jambes s'agitant abondamment tant sa jouissance est forte. Sa jupe s'est retroussé complètement découvrant son ventre et son entrecuisse, tandis qu’elle halète du plaisir merveilleux qui l'envahit et qu'elle peut à peine contenir. Les japonais ahuris n'en perdent pas une miette.
Aussi, lorsque qu'elle part dans un long râle voluptueux ils applaudissent tous en chœur. Ils sont maintenant plus de trente qui regardent avec concupiscence ce spectacle non prévu par le voyagiste qui couvre leur circuit parisien. Le métro sort à ce moment du tunnel pour entrer en gare de Franklin-Roosevelt alors que les quais sont noirs de monde. Lorsque Paul et Marie-Ange émergent enfin de la rame pour accéder aux quais, les doigts des touristes jaunes se font inquisiteurs à leur passage, effleurant et pénétrants sous la jupe de Marie-Ange et lui procurant mille frissons.
Après cet après-midi dans le métro, Paul et Marie-Ange s'offrent un dîner à La Rhumerie, boulevard Saint-Germain. Pendant le repas, Marie-Ange s'est arrangé pour que, depuis les tables situées en face d'elle, il soit possible aux yeux curieux d'apercevoir son intimité sous sa jupe remontée jusqu'à mi-cuisses. Ce sont d'abord les serveurs qui se régalent des appas si généreusement offerts. Quelques femmes de l'assistance qui se sont aperçues de son manège la regardent avec une fureur à peine contenue, surtout, lorsqu'elles aperçoivent les regards concupiscents de leur mari se fixer vers l'entrecuisse de cette femme effrontée.
Pour rentrer chez eux, ils reprennent le métro, qui à cette heure du soir est bondé. Ils sont debout et serrés les uns contre les autres. Paul est en face de son épouse, séparé d'elle par deux jeunes filles. Marie-Ange, est agrippée à la barre centrale, alors qu’elle est pressée de toutes parts par ses voisins. Soudain, une main lui flatte la croupe. Dans sa position, elle ne peut rien faire, elle ne peut même pas se retourner pour voir qui la touche. Elle laisse faire pour mesurer jusqu'où ira ce coquin. La main est descendue et retrousse sa jupe, caressant le bas de soie derrière ses cuisses et remontant jusqu'à sa peau nue. Elle frissonne d'un plaisir trouble, surtout que la main palpant doucement sa peau tendre englobe une fesse et la pince légèrement. L'homme a du être surpris de ne pas trouver de culotte. Mais il a vite compris car sa main tournant autour de la hanche, vient se glisser sur le ventre bombée de la femme qui le laisse faire. Descendant vers l'entrecuisse, elle atteint bientôt le mont de vénus. Soudainement, les doigts inquisiteurs viennent racler la chatte et le clitoris, qui tressautent aux attouchements précis du coquin. Fouillée violemment dans son intimité, Marie-Ange se laisse aller à jouir en silence, sentant sa liqueur dégouliner entre ses cuisses. Malgré les stations multiples sur cette ligne, la pression de la foule ne s'est pas relâchée. Il y a toujours autant de monde dans cette rame bondée, aussi, lorsque le métro après quinze stations s’immobilise à celle correspondant au domicile de Paul et de Marie-Ange, celle-ci a déjà éprouvé six ou sept orgasmes. Elle descend flageolante de la rame et s'agrippe à Paul. Pas une seule fois, elle n'a pu repérer son voisin trousseur. Elle se sent vidée, mais complètement assouvie.
En chemin, elle raconte à Paul ce qui vient de lui arriver. Celui-ci lui dit qu'il va la finir en arrivant, car pas une seule fois de la journée il n'a pu trouver un endroit pour la baiser. Ils arrivent enfin devant leur immeuble tendrement enlacé. Paul pianote le code, ils entrent sous le porche et il appelle l'ascenseur. Dans celui-ci, il trousse Marie-Ange, remontant sa jupe jusqu'à la taille, puis, dégrafant son pantalon, il l'enfile brusquement. Pour être tranquille, il bloque l'ascenseur entre le quatrième et le cinquième étage. Marie-Ange est adossé debout contre la cloison. Retirant ses chaussures, elle projette ses jambes autour de la taille de son mari. Celui-ci la soutient avec ses mains sous ses fesses et il la bourre profondément avec sa verge qui n'en peut plus de bander depuis des heures. Après s'être contenu depuis si longtemps, ils partent tous les deux, presque en même temps dans une explosion de jouissance stupéfiante. En sortant de l'ascenseur, ils ne rencontrent heureusement personne. Par bonheur à cette heure, les voisins sont couchés. Ils constatent que leurs vêtements sont dans un état pitoyable. Marie-Ange est complètement dépoitraillée, sa jupe toute froissée est encore remontée à mi-cuisses, le foutre et la mouille dégoulinant sur ses bas. Paul a sa braguette déboutonnée, sa chemise avec ses boutons arrachés est complètement ouverte. Quel spectacle ! Ils rentrent chez eux rompus et repus. Contents quoi !
Cette tentative dans le métro a beaucoup amusé Paul et, bien qu'elle s'en défende mollement, Marie-Ange a infiniment apprécié d'avoir eut le courage de s'exhiber de la sorte. Surtout elle retire de cette expérience une satisfaction bien féminine, celle d'avoir pu être aussi fortement désirée. À son âge, l'hommage masturbatoire des deux jeunes, et la fougue du quadragénaire qui lui a littéralement mangé sa chatte sont des preuves flagrantes de sa séduction. D'un commun accord, ils décident de poursuivre leurs recherches de ces plaisirs que l'on appelle pervers. Leur sexualité retrouvée s'en portant de mieux en mieux ils n'ont plus d'état d'âme, Marie-Ange est prête maintenant à suivre son mari jusqu'au bout de ses fantasmes.
Aussi, par un beau dimanche après-midi, ils décident d’un commun accord de voler vers de nouvelles aventures. Marie-Ange a revêtu son buste d’un débardeur très léger à petites bretelles fines. Le décolleté profond laisse découvrir la paire de seins que nous connaissons, un peu lourde mais ferme. Elle porte également une jupe en cuir de couleur noire, de forme trapézoïdale, la longueur est très courte car ses bas lui arrivent en haut des cuisses, "à raz la motte" selon l'expression convenue. Des chaussures à talons de sept centimètres complètent sa tenue.
Le couple se rend à la station de taxi située à quelques centaines de mètres de leur domicile. Lorsqu'ils prennent place dans le véhicule, le chauffeur ne se gêne pas pour reluquer les jolies gambettes de sa cliente. Marie-Ange qui a remarqué les yeux fureteurs du chauffeur, se sens émoustillée des expériences où Paul l'entraîne depuis quelque temps, aussi, pour se rendre compte de l'effet que cela peut produire en voiture elle écarte lentement ses jambes, tendant par ce fait sa jupe courte et offrant l'intégralité de son intimité au rétroviseur situé en face d'elle. Le chauffeur, l'œil rivé justement à son rétroviseur apercevant la chatte dénudée et fendue de sa cliente fait une brusque embardée manquant heurter un autobus. Marie-Ange prudente, rabat vivement ses cuisses. Il n'y a qu'à la descente de sa passagère, lorsqu'elle se glisse sur le siège que le chauffeur peut entrevoir encore le minet rasé et la vulve entrouverte de cette belle bourgeoise, qui lui paraît bien dévergondée.
Paul et Marie-Ange, tout en marchant vers Saint-Germain-des-Prés, se montrent enchantés de la réaction du chauffeur. Décontractés, ils s'attablent à la terrasse du célèbre café Le Flore. Il fait un beau soleil et tous deux portent des lunettes de soleil aux verres très foncés. De cette façon, personne ne peut voir où leurs regards se dirigent, cela va leur être très pratique pour ce qui va suivre. Marie-Ange s'installe sur la chaise en relevant l'arrière de sa jupe, ses fesses nues posées sur le siège en moleskine. Lorsqu'elle écarte les jambes et les cuisses en tendant sa jupe, les passants peuvent voir au plus profond de son intimité. Le soleil est en plus de la partie, car à cette heure de la journée il commence à descendre, sa lumière rasante venant éclairer de ses rayons le dessous de la jupe de la femme qui prend ainsi plaisir à s'exhiber.
Le premier à en profiter est bien sûr le serveur qui vient prendre la commande, il repasse souvent devant les jambes offertes, qu'il reluque savoureusement. Un certain nombre de badauds de tous âges déambulent aussi devant la table de nos amis et stationnent même un certain temps. Pour éviter un attroupement Marie-Ange ne garde pas toujours la même position. Elle tient ses jambes fermées de longs moments pour faire tirer la langue à ses admirateurs. La situation l'amusant de plus en plus, elle se trémousse sur sa chaise et regarde en coin à travers ses lunettes noires les yeux des voyeurs rivés sur sa chatte. Une chaleur sourde l'envahit, elle prend conscience que sa mouille coule le long de ses cuisses et, d'un seul coup, elle a une envie pressante de faire pipi.
Lorsque le garçon de café repasse pour la énième fois en scrutant ses jambes écartées, elle lui demande où sont les toilettes ? Celui-ci galant se propose de la conduire, car dit-il c'est assez compliqué. Elle le suit donc dans le café où, le serveur dédaignant un grand escalier montant à l'étage avec la pancarte indiquant "TOILETTE H & D", guide Marie-Ange près du bar vers une porte qui s'ouvre vers un escalier qui descend au sous-sol. Il donne une clé à sa cliente en lui expliquant que ce sont les toilettes du personnel, et qu'elles sont beaucoup plus propres que celles de la clientèle. Marie-Ange entre donc sans méfiance, dans ce qui est en fait une véritable salle de bains, puis, après avoir uriné et s'être nettoyé sa vulve engorgée par sa liqueur, elle se refait une beauté devant la glace. À ce moment, une clé tourne dans la serrure et le serveur apparaît. C’est un colosse rougeaud et furieux qui se précipite sur Marie-Ange, et la trousse avec ses mains en lui soufflant hargneux.
- Salope ! Tu excites tout le monde depuis une heure, je n'en peux plus, je vais te baiser garce !
Celle-ci se débat le mieux qu'elle le peut, mais, devant la force herculéenne du serveur, elle se trouve bientôt pliée en deux, pendant que l'homme qui a trouvé le chemin de son vagin la pénètre violemment en levrette. Marie-Ange, malgré son dégoût et sa frayeur, déjà excitée par le spectacle qu'elle offrait sur la terrasse se laisse aller à répondre en un instant aux coups de verge de son violeur. Les coups de boutoirs de la brute ne durent pas très longtemps car il se répand furieusement dans sa matrice malmenée. Malgré cette brutalité ou peut-être à cause d'elle, elle en tire une enivrante et troublante jouissance. Après le départ furtif du serveur, elle remet de l'ordre dans sa toilette, essuie la mouille et le foutre qui maculent ses fesses et ses cuisses, puis, elle remonte à la surface un peu défaite et toute tremblante.
Entre-temps, son mari avait heureusement réglé les consommations. Le couple se lève et, tout en se tenant enlacé, déambule dans l'avenue Saint-Germain. Marie-Ange, raconte sa mésaventure à son époux qui lui demande si elle en a ressenti de la jouissance. Elle avoue timidement et un peu embarrassée y avoir pris un plaisir trouble tout en se mortifiant d’avoir si peu défendu sa vertu et son état de femme mariée. Paul la rassure, lui confiant qu’il est très heureux qu’elle se dévergonde ainsi et ils en rient ensemble. Il enlace sa compagne, et tout en marchant il passe sa main sous sa jupe, pour constater par lui-même lui dit-il. Elle est très gênée car elle imagine que tous les passants doivent apercevoir les agissements libidineux de son mari, mais elle n'ose retirer les doigts qui explorent son intimité. Paul les retirent, suintant de mouille et il lui passe sous le nez en lui disant.
- Sens ta mouille ! En effet, ma chérie, tu t’es bien régalée, tu es un peu salope tu sais !
Marie-Ange frissonne, ne sachant plus très bien où elle en est, anxieuse de se laisser entraîner dans des situations aussi scabreuses. Tout en marchant, Paul a remarqué qu'ils étaient suivis par deux jeunes gens d'environ vingt à vingt-cinq ans, ceux-ci ayant lorgné les jambes de Marie-Ange une bonne partie de l'après-midi, passant et repassant de nombreuses fois devant la terrasse du café. Sans révéler l’idée qui vient de germer dans son esprit, il décide son épouse à entrer dans un cinéma. Après avoir pris deux billets, ils se dirigent vers le dernier rang tout en haut des rangées de fauteuils. Aucun spectateur n'est à moins de sept ou huit travées plus bas et ils se sentent bien tranquilles.
Une fois installé avec son épouse, Paul remarque avec satisfaction que les deux jeunes gens sont entrés à leur suite et qu'ils se sont placés sur des sièges dans le même rang qu'eux, mais à une dizaine de places. Comme il fait très sombre, on les devine seulement. Il n'en dit rien à Marie-Ange qui ne s'est aperçu de rien, surtout pour ne pas l'affoler, mais il en tient compte pour la suite des événements qu'il pressent. Le film qu'ils viennent voir se trouve être "Basic-Instinct", où justement l'actrice Sharon Stone dévoile ses charmes à Michaël Douglas. On en vient à la scène ou elle écarte ses cuisses, le public pouvant contempler brièvement son sexe ainsi que le léger duvet qui le recouvre. Paul en profite pour glisser sa main dans l'entrejambe de sa femme et commence à la caresser. Celle-ci pour se faire pardonner son attitude avec le serveur qui l'a baisé dans les toilettes du café, sort la verge de son mari de son pantalon et commence à la sucer.
Paul fait un signe aux garçons de s'approcher sans que Marie-Ange puisse s'en rendre compte puisqu’elle est penchée sur le pénis de son mari, le dégustant avec beaucoup d’application. Pour mieux s'occuper du sexe de Paul, elle s'est mise à genoux dans la travée, aussi, sa position penchée ainsi que sa jupe complètement retroussée, laisse voir aux garçons qui approchent en silence les fesses rebondies de la femme qu'ils convoitent ardemment, étant donné qu'elle les a aguichés pendant plus d'une heure à la terrasse du café. Sentant qu'il a l'approbation du mari, le premier jeune homme sort sa queue bien raide, puis il se présente devant le postérieur haut levé. Sans coup férir il écarte brutalement les deux globes charnus, puis il s'engouffre dans le vagin de Marie-Ange tout en la tenant fermement par la taille. Celle-ci a un sursaut violent et veut se retourner. Paul la tient vigoureusement par les épaules et lui souffle.
- Laisse-toi faire. Je veux te voir être prise en levrette, continue à me pomper.
Ne perdant pas de temps, le jeune garçon s'active dans le con qui bave de mouille. Après l'avoir ébranlé vigoureusement, il projette sa semence d'un seul coup au fond de cette cavité si complaisante, laissant alors sa place à son compagnon impatient. Marie-Ange est toute surprise de sentir une seconde queue la pénétrer, mais, divinement rudoyée par ces deux hommes imprévus, elle est ravie et étonnée de cette satisfaction très masochiste, alors que, forcée pour la troisième fois de la journée, elle se laisse faire avec un voluptueux plaisir. La verge qui la pénètre à présent, comble sa chatte dans cette position en levrette qui lui convient admirablement. Elle a l'impression d’être violée par la brutalité dont fait preuve l’homme qui la force alors qu'elle est tout de même quelque peu consentante. D'ailleurs, elle éprouve bientôt un orgasme fulgurant au moment où Paul lui décharge sa semence dans sa bouche. Bien qu’ayant au premier jet qui gicle au fond de sa gorge un haut-le-cœur de dégoût, excitée comme elle l'est et tout de même un peu honteuse, elle avale le foutre de son époux alors qu'habituellement elle se retire rapidement pour ne pas en ingurgiter. Elle aspire même le jus et lèche le gland et la tige baveuse, heureuse de faire plaisir à l’homme qui sait si bien lui faire connaître des sensations aussi voluptueuses.
Les deux jeunes hommes se sont retirés. Paul et Marie-Ange n'attendent pas la fin du film pour sortir du cinéma et ils hèlent un taxi pour rentrer rapidement vers leur appartement. Paul a une envie folle d'enculer sa femme, et c'est ce qu'il se promet de faire dans son for intérieur en rentrant chez eux.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
EXCELLENT !ça c'est un couple libéré, et sa femme sans culotte ! merveilleux !!
Merci continuez !
Merci continuez !
bravo !!! il serait bon de faire profiter de bons vieux papy cochon dans un parc... ils adorent profiter des bons coups...
Je suis à votre dispo car très bien pourvu et très dur...
Je suis à votre dispo car très bien pourvu et très dur...