Découvertes (épisode N°05) L'anus défloré
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Découvertes (épisode N°05) L'anus défloré
DÉCOUVERTES (épisode N°05)
Paul, un intellectuel de cinquante-deux ans et Marie-Ange son épouse va bientôt avoir quarante-huit ans. Après avoir persuadé son épouse de se faire baiser par un inconnu alors qu’elle sera attachée et aveuglée, elle se révèle une belle salope lorsqu’elle est prise par son mari et l’inconnu dans sa chatte et son cul simultanément. A partir de ce moment c’est l’escalade exhibitionniste et dans la baise avec des inconnus. Pourtant ils viennent de contacter un autre couple et font l’amour à quatre.
V
L'ANUS DEFLORE
Mais pendant ce temps que fait donc en effet l’autre couple ?
Florent, décontracté, est au volant de la voiture puissante qui roule rapidement sur une nationale du Valois, alors que Marie-Ange, installée dans le siège en cuir rouge de la Mercedes, dévoile tous ses charmes au conducteur qui a le regard quelque peu baladeur. En effet, elle s'est habillée d'un chemisier coq de roche et d'une jupe ample mi-longue, de teinte vert foncé décorée de feuilles d'automne. Sa jupe est relevée haut sur ses cuisses et l’on aperçoit le haut de ses bas fumés et au-dessus un peu de sa peau blanche. Cela ne peut pas laisser Florent indifférent, mais lorsqu’il s’adresse à sa compagne, il ne fait pas allusion aux appas dénudés de sa passagère.
- Vous savez Marie-Ange, nous avons reçu en bientôt trois ans un peu moins de dix couples, neuf exactement sans vous compter. Aucun n'a passé le dimanche avec nous. Certains s’en sont allés dans le courant de la nuit et d'autres le matin avant le déjeuner. Il est vrai, que nous nous sommes seulement regardés nous masturber mutuellement, et même si chaque couple a bien voulu faire l'amour devant l'autre, nous n'avons jamais fait d'échange. Aucun attouchement mutuel n'a jamais été envisagé, vous êtes les seuls avec qui nous nous sommes sentis en confiance et j'avoue que cette nuit nous avons été agréablement surpris de la tournure des relations sexuelles que nous avons pu avoir.
Marie-Ange qui a écouté avec attention la longue diatribe de son compagnon a un petit sourire en coin et demande :
- Où allons-nous mon cher ?
- Nous allons faire quelques courses à Senlis, nous y serons dans quelques minutes.
Marie-Ange montre son étonnement.
- Je croyais que nous devions aller à Meaux, c'est ce que vous avez laissé entendre à Claire en partant.
Florent légèrement embarrassé.
- Oui, il est vrai que Meaux est une plus grande ville, mais le marché du dimanche à Senlis est très sympathique, et puis je dois vous l'avouer, j'ai envie de vous garder un peu avec moi, d’ailleurs au retour, j’ai l’intention de vous faire visiter un endroit particulier, si cela vous conviens, bien entendu.
Marie-Ange, d’un air mutin agite son index.
- Vous êtes un petit gredin Florent, mais je vous aime bien et j'attends avec une grande curiosité votre surprise.
Une fois dans Senlis, la ville des premiers rois de France, le couple, bras dessus bras dessous fait ses emplettes dans les vieilles rues pavées de la ville royale. Ils rapportent deux paniers pleins de victuailles qu'ils disposent dans le coffre de la Mercedes, puis ils reprennent la route du retour. Alors que Florent conduit rapidement et nerveusement, il s'engage dans une route forestière à la sortie de Senlis arrêtant son véhicule devant un portail en fer après avoir roulé près d’un kilomètre dans la forêt senlisienne. Descendant de voiture, il ouvre la serrure et rabat les deux portes, puis il fait entrer l'automobile, referme les battants du portail et donne un tour de clé. Il se dirige ensuite par une allée qui s'enfonce dans le bois vers une clairière où se trouve un très joli relais de chasse. Sitôt descendu il s'adresse alors à sa compagne.
- Voici ce que je voulais vous faire visiter ma chère. Et puis, je ne vous cache pas que j'avais envie d'être seul avec vous pour vous faire un brin de cour.
Marie-Ange amusée se laisse prendre au jeu et s'appuie lourdement sur le bras de son compagnon pendant qu’ils se dirigent vers la bâtisse. En entrant dans le pavillon, Marie-Ange découvre une grande salle où sont disposés de nombreux fauteuils profonds et confortables, des canapés, des tables de différentes tailles et des nombreuses chaises, cette salle servant apparemment pour des réunions et des repas de chasse. Dans un angle, une grande cheminée campagnarde, des bûches, du petit-bois ; des vieux journaux sont disposés prêts à être allumé près de la cheminée. Florent gratte une allumette et la flambée ne tarde pas à prendre. Prenant Marie-Ange par la taille, il l'entraîne vers un canapé la faisant asseoir à ses côtés. Marie-Ange, pour dissiper toute gêne qui pourrait intervenir entre eux lui tend ses lèvres en se blottissant contre lui.
Les deux partenaires échangent un baiser passionné, alors que les mains baladeuses de l'homme ne tardent pas à explorer le corps plantureux de la femme qui s'offre à lui, dégrafant le corsage et caressant aussitôt les seins libres de soutien-gorge. L'opulente poitrine de Marie-Ange réagit à ces attouchements audacieux et ses pointes se dressent orgueilleusement sous les doigts qui pincent les bouts érigés. Florent glisse sa main sous la jupe ample et remonte le long de la jambe gainée de soie, ses doigts poursuivant le long de la cuisse et atteignant la lisière du bas, caressant maintenant la peau nue qui frissonne ; puis il accède ainsi à l'aine et au ventre de la femme, surprenant de ne pas découvrir de culotte lorsque sa main se porte sur le renflement du mont de vénus en l'enveloppant. Marie-Ange a senti l'hésitation de cette main qui s'attendait à rencontrer du tissu, aussi elle souffle dans l'oreille de son galant.
- Paul ne veut plus que je porte de culotte pour que je sois toujours disponible et puis cela l'excite de me savoir nue même sous une jupe courte. Des passants peuvent éventuellement voir mes fesses si je me penche dans la rue. À la terrasse des cafés Paul adore me voir entrouvrir les jambes pour exciter les voyeurs. De toute façon je n'aime pas trop porter de sous-vêtements, je me sens plus libre. Pour hier au soir c'était différent, je venais pour vous charmer et il était indispensable que je puisse être déshabillée.
Pendant que Marie-Ange s'expliquait, Florent n'avait pas perdu son temps, sa main ayant décapuchonné le clitoris, il le fait aussitôt rouler entre ses doigts. Marie-Ange gémit lorsqu’un doigt s'infiltrant dans son vagin rencontre l'humidité moite qui suinte, alors que les doigts de Florent s'activent de plus en plus augmentant ainsi l’excitation de Marie-Ange qui éprouve plusieurs spasmes successifs, s'ouvrant toute et offrant son ventre, prête à recevoir le mâle. Florent en un tour de main se déshabille, venant rapidement glisser son pénis dans cette chatte qu’il convoite ardemment. Les deux corps se soudent étroitement, alors que leurs langues s'activent dans leurs bouches entrouvertes. Les mains de Florent malaxent les seins et les fesses charnues de sa compagne, sa verge s'enfonçant en cadence au plus profond de la muqueuse vaginale. Il retient le plus longtemps possible sa semence qui depuis ses bourses jusqu'au conduit de sa verge fait son chemin inexorablement dans le conduit de l’urètre, jusqu’à l’éjection de sa liqueur séminale si longuement contenu. À ce moment, le ventre de Marie-Ange se projette en avant et se colle au pubis de son amant, alors qu’un orgasme puissant la saisit brutalement et qu’une une houle voluptueuse l'envahit. Les deux amants s'étreignant furieusement jouissent violemment à l'unisson.
Maintenant désunis, ils s'embrassent encore car leurs lèvres n'ont pu se détacher et leurs langues s'activent au fond de leur bouche. Enfin ils reprennent leur souffle et recommencent leurs confidences. Florent demande à Marie-Ange si elle a eu du mal à accepter la pénétration anale. Celle-ci lui explique que Paul l'a préparée longuement avec ses doigts et qu’enfin, il a fait pénétrer dans son anus des godemichés de plus en plus gros avant qu'elle puisse accepter un sexe dans son rectum. Maintenant elle y prend beaucoup de plaisir et s'il veut la prendre maintenant par cet endroit, elle est entièrement consentante. Florent ne se fait pas prier, aussi, plongeant son mandrin qui a repris de la vigueur dans la croupe si gentiment offerte, il se glisse bien au fond du rectum et se rend compte en effet que Marie-Ange y prend un grand plaisir. C'est certainement différent pour elle que d'être prise dans le vagin mais il voit bien qu'elle en tire une intense volupté. Sortant sa langue et se léchant ses lèvres, elle se masturbe le clitoris en utilisant sa main glissée sous elle, partant beaucoup plus vite que lorsqu'elle est prise dans le conduit vaginal. Pour lui cette sodomisation est vraiment extraordinaire, il coulisse comme dans un étui bien serré autour de sa verge appréciant que les parois ne soient pas sèches, mais il ne baigne pas non plus dans un environnement de mouille trop abondante comme cela arrive dans les vagins des femmes qui lubrifient énormément. Il sodomise longuement et avec joie sa partenaire alors que celle-ci ne peut s'empêcher de crier son exaltation.
- Oh oui ! Continue ! Encule-moi, bien à fond. Allez ! Défonce-moi ! Oh ! Pardon, je suis grossière, pardon, mais continue, Oh ! C'est trop bon, Oui encule-moi, encore, allez à fond. Oh ! Ouiiiiiiiii ! Oh ! Oui ! Mon chéri ! Pousse, défonce-moi, je te veux dans mon derrière. Oh ! Oui ! Ta verge est tellement grosse. Oh ! Oui continue, arrête... arrête...., non ! Encule-moi, j'aime ça, continue, encore, Ouiiiiiiiiiiiiii ! Continue mon chéri, comme ça ! Oui ! Oh que c'est bon ! C'est bon ! Ouiiiii ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
Marie-Ange a encore une fois eu un orgasme qui la fait se dépasser. Elle est embarrassée et un peu honteuse des paroles qu'elle a proférées dans son délire lubrique. Quant à Florent, il vient de prendre un pied comme jamais il n'en a pris. Il songe qu'il voudrait bien pouvoir sodomiser sa femme comme il vient de le faire avec Marie-Ange. Tout à coup en regardant sa montre il s'aperçoit qu'il est presque treize heures trente. Il y a trois quarts d'heure qu'ils devraient être de retour. Il s'en entretient avec Marie-Ange qui a un sourire.
- Je ne sais pour votre épouse, mais Paul aura bien compris que nous avons fait l'amour, n'oubliez pas c'est une autorité en la matière.
Florent perplexe, tout en rangeant le pavillon de chasse et en se rhabillant.
- Oh ! Pour Claire, je pense qu'il n y aura pas de problèmes, elle voulait demander à Paul comment il vous avait préparée à la sodomie et ce, pour que je puisse l'honorer de cette façon.
Marie-Ange, se sent tout à coup préoccupée.
- Oh ! Je pense qu'il a dû le lui expliquer, il adore jouer les professeurs. Il l'a même si cela se trouve déflorée dans son derrière pendant que vous me sodomisiez si bien mon cher Florent.
Florent est tout de même un peu contrarié.
- Eh ! Bien nous verrons bien, pour nous, nous allons leur dire la vérité tout simplement.
Alors que la grosse Mercedes arrive dans la propriété et se range à côté du perron, Paul et Claire sont appuyés épaule contre épaule sur la balustrade et attendent goguenard les arrivants. Les deux équipiers sortent de la voiture, apparemment décontractés, Marie-Ange lançant à la cantonade.
- Coucou, c'est nous, nous avons fait l'amour, c'est ce qui nous a retardés.
Paul et Claire applaudissent, alors que cette dernière répond aussitôt.
- Nous aussi, et c'était formidable, venez vite nous raconter.
Ils éclatent tous les quatre de rire, mais, avant de se faire leurs confidences ils sortent les provisions de la voiture et les portent à la cuisine. Claire et Paul ont déjà dressé la table, aussi ils déjeunent rapidement en se servant des plats préparés et des fruits rapportés de Senlis. À la fin du repas, les deux couples qui se sont retrouvés et enlacés passent au salon. Ils se racontent leur matinée respective et leurs joutes amoureuses sans rien omettre. Florent remercie Paul de lui avoir gardé en primeur la possibilité de sodomiser son épouse le premier et surtout, de lui avoir fait perdre sa frayeur de l'acte.
Estimant qu'ils se connaissent bien maintenant, Florent propose que l'on continue les jeux érotiques dans leur chambre. Ils découvrent alors une pièce impressionnante. Les murs sont entièrement tapissés de miroirs, le sol est en fourrure blanche et un lit rond de cinq mètres de diamètre trône au milieu. Le plafond étant composé d'une rosace de miroirs, un peu comme la chambre de Paul et Marie-Ange à Paris. Les femmes entrent toutes les deux ensemble dans une salle de bains et les hommes dans une autre. Après un bain chaud et une douche froide, les hommes reviennent dans la chambre, habillés d'un large pantalon de soie noire et d'un boléro du même tissu non fermé. La braguette n'existe pas, seuls deux ourlets la soulignent. Le sexe peut ainsi sortir facilement tout seul sans que l'on ait à déboutonner ou à faire glisser une fermeture.
Les femmes sont un peu plus longues à se préparer. Après le bain qu'elles ont pris ensemble, elles se massent le corps avec des huiles, se parfument et se maquillent. Tout en riant de leur audace, elles effleurent leurs seins et leur chatte sans oser tout de même aller jusqu'à les caresser franchement. Marie-Ange propose à Claire de la raser. Celle-ci accepte avec empressement, car si elle a admiré la vulve imberbe de sa compagne, elle subodore que cela devrait aussi exciter son mari. Durant cette séance de rasage, Claire qui regarde Marie-Ange opérer regarde avec attention sa fourrure argentée qui disparaît progressivement lui occasionnant des orgasmes multiples suite aux attouchements licencieux que Marie-Ange n'a pu s'empêcher de lui procurer. Celle-ci, faisant glisser au bout de ses doigts l’huile réservée à calmer le feu du rasoir jusque dans les replis de la vulve, arrache à la quinquagénaire épanouie des feulements de plaisir contenu.
Enfin, détendues et éperdument désirables les deux femmes arrivent dans la chambre près de trois quarts d’heure après les hommes. Portant toutes les deux des bas noirs fixés par un porte-jarretelles, elles n'ont pas mis de culotte laissant apparaître encore plus leur sexe glabre et lisse entre leurs cuisses blanches soulignées par la dentelle noire du haut des bas. Sur leurs épaules, elles portent une chemise en soie transparente noire négligemment nouée sur leur ventre. Les seins sont encore plus indécents que s'ils étaient nus, en fait toute leur tenue est une invitation au viol immédiat car effectivement les deux complices ont bien du mal à se défendre de l'ardeur pressante de leurs mâles. Mais elles leur disent qu’elles ne veulent pas être prise dans l'instant. Pour cela les deux femmes s'étendent sur le vaste lit, chacune dans un sens tout en disposant des coussins sous leurs reins et ouvrant largement leurs jambes et leurs cuisses. Claire appelle Paul et lui demande de venir la lécher alors que Marie-Ange en fait autant pour Florent. Les deux femmes leur recommandent de s'arrêter lorsqu'elles auront leur premier orgasme souhaitant que la soirée dure le plus longtemps possible car il est juste seize heures et il faut que chacun s'économise.
Les deux hommes entreprennent de manger dans leur totalité, les sexes déployés sous leurs yeux concupiscents. En fait leurs langues s'affairent du vagin au rectum, léchant la raie culière entre les deux et provoquant des soubresauts aux deux bassins sollicités. Les langues essaient d'aller le plus loin possible à l'intérieur du vagin puis, elles appliquent de la salive sur la rosace de l'anus poussant leur pointe en avant pour s'introduire entre les parois du rectum. Les femmes adorent cela, Claire et Marie-Ange tortillent leurs jolis fessiers lorsque les hommes exécutent cette magnifique feuille de rose. Bientôt les clitoris sont aussi sollicités et toutes les deux, presque en même temps, partent pour une jouissance interminable. Les deux hommes très disciplinés s'arrêtent, attendant que les deux femmes se relèvent. Alors, sortant facilement du pantalon le sexe rigide de leur cavalier, elles le masturbent légèrement en le couvrant de petits baisers.
Ensuite, nos deux bacchantes changent de partenaire, cette fois ce sont leurs maris qui viennent les brouter. C’est à ce moment que Forent découvre sous ses lèvres le sexe imberbe de son épouse, profitant ainsi pleinement de la vulve lisse et dénudée comme celle d’une adolescente. Après un nouvel orgasme des deux femelles, les deux couples se détendent sur le lit tout en devisant. Après un bon temps de repos, les femmes demandent à leur mari de venir les prendre dans leur sexe et de s’arrêter, lorsqu'elles auront joui. À eux de ne pas décharger imprudemment car ils auraient un gage. Les deux hommes s'engouffrent donc dans la fente de leur femme et s'appliquent à bien les fouiller de leur dard. Tout cela est le fait d'une grande harmonie, car Marie-Ange et Claire respirent la joie d'être parfaitement conduites par des mâles attentionnés à la jouissance délicate de leur libido. Les deux femmes, à quelques minutes d'intervalle, poussent des soupirs de satisfaction et se détendent complètement repues.
Après avoir soufflé et s'être rafraîchi, Marie-Ange attire Florent en elle alors que Claire demande à Paul de la pénétrer. La chevauchée reprend, cette fois, elles demandent à leur cavalier d'aller jusqu'au bout et d'éjaculer en elle. Florent s'étant mis à genoux, il prend Marie-Ange sous ses fesses avec ses deux mains, arquant son corps en arrière tout en lui reposant sa tête sur le lit, attirant son bassin et l’encastrant étroitement dans son bas-ventre tout en suspendant ses jambes autour de son cou. Il la laboure furieusement d'un va-et-vient régulier puis très vite la cadence s'accélère. Marie-Ange est secouée brutalement le pénis de son partenaire la percutant violemment jusqu'au fond de sa matrice la faisant brailler de joie et de douleur. Florent décharge son foutre tout en bramant lui aussi comme un cerf aux périodes des amours.
Paul de son côté est plus calme, il lime lentement Claire tout en l'embrassant profondément. Celle-ci, bien étendue sur le dos a noué ses jambes dans le dos de Paul, appuyant fortement avec celles-ci à chaque pénétration. Une houle de plaisir l’agite en cadence lui faisant pousser de petits cris brefs à chaque intromission dans sa matrice, puis l'orgasme les prend tous les deux au même moment, les laissant soudés l'un à l'autre, immobiles, statufiés dans leur béate jouissance. Florent qui s'est remis à bander rapidement annonce que maintenant les deux femmes doivent êtres sodomisés. Pour Marie-Ange ce n'est même plus une épreuve, elle y a pris goût et en redemande. Claire, elle, a pâli, ce qu'elle redoute le plus au monde va lui arriver dans quelques instants, aussi elle se demande si elle sera à la hauteur et s'il ne lui faudra pas refuser cette intromission qui lui fait très peur.
C'est bien sûr Paul et Marie-Ange qui commencent. Marie-Ange se place à genoux sur le lit, la tête posée dans ses bras croisés, elle lève haut son postérieur, tout en écartant ses fesses avec ses doigts le plus possible. Sa rosace plissée est brun violacé presque noire. Paul introduit son majeur dans l'anus tout en glissant son pouce dans le vagin. Il enfonce régulièrement ses doigts, élargissant la cavité étroite de l'anus, puis il introduit de la salive pour aider à la lubrification. Marie-Ange, émoustillée remue ses fesses de gauche à droite. Paul met un genou sur le lit et laissant son autre jambe sur le sol, il présente sa verge devant le goulet maintenant élargit du rectum marital, enfin, il l'introduit lentement dans la gaine étroite, la rosace s'étant déplissée et enserrant le pénis étroitement. Sa position et celle de Marie-Ange permettent à Claire et à Florent de voir toute l'opération dans ses moindres détails. Ils n'en perdent bien sûr pas une miette. L’anus de la femme forme un bourrelet de chair qui roule et se déplie sous les va-et-vient de la queue de Paul qui s'enfonce régulièrement dans le cul de son épouse alors que celle-ci lui demande d'accélérer.
- Pousse à fond ! Oui comme ça ! Oh Oui ! Continue ! Plus vite ! Plus vite ! Oh ! Mon chéri encule-moi encore. Bien à fond ! Ce que j'aime ça ! Oui ! Encore ! Oh Ouiiiiiiiii !
Paul a accéléré sa cadence, et il ne peut retenir la sève longtemps qui a monté inexorablement par les canaux de son sexe. Aussi, il se vide par saccades, secouant encore violemment le postérieur de son épouse, crispant ses doigts sur les fesses qui en deviennent rouge sang. Marie-Ange s'écroule à plat ventre sur le lit, épuisée par cet enculage qu'elle a voulu elle-même si violent. C’est alors que Claire résignée se prépare à son tour, elle prend la même position qu'elle a vu prendre à Marie-Ange. Celle-ci, qui s'est retournée sur le lit, lui conseille de se mettre au contraire, à plat sur le dos et de lever les jambes.
- Ma chérie, les premières fois, il vaut mieux te faire prendre dans cette position. C'est beaucoup moins douloureux car la verge ne peut aller jusqu'au fond. Dans la position que je viens de prendre c'est comme la levrette, la verge te pénètre profondément et il faut que ton conduit anal, soit devenu bien réceptif et souple pour que tu ne ressentes pas de douleur trop violente.
Puis, se tournant vers Florent elle lui dit.
- Florent, si vous le voulez bien laissez Paul la préparer avec ses doigts diaboliques et son gel émollient. Vous rendrez un grand service à votre épouse en ne lui rendant pas trop pénible et pour la première fois, la pénétration de votre sexe dans son anus.
Celui-ci acquiesce avec empressement à cette proposition raisonnable. Claire paraît un peu soulagée, aussi elle sourit à Marie-Ange, et se met sur le dos comme son amie le lui a suggéré. Paul s'agenouille sur le tapis devant les jambes de Claire. Sa position lui permet d'être exactement à la hauteur de son derrière. Il lui relève les jambes et il force un peu de sa salive dans la rosace encore bien serrée. Marie-Ange s'est étendu près de Claire tout en lui chuchotant des paroles apaisantes, elle la picore de baisers dans le cou. Sa main titille le clitoris de Claire et, entre même quelques doigts dans son vagin.
Cela détend Claire qui tremble de tous ses membres. Paul en profite pour entrer doucement son index enduit de la crème dilatatrice dans l'étroit anneau qui se resserre sur son doigt. Il l'actionne lentement tout en badigeonnant les parois, essayant par des circonvolutions rapides d'écarter ce cul bien trop serré tout en forçant l'anneau contracté du sphincter. Petit à petit Claire se détend, son anus s'ouvrant légèrement aux actions du doigt de Paul. Celui-ci, ajoute son majeur à l’index déjà introduit. Claire pousse un petit cri mais obéissant aux injonctions de Paul elle pousse comme si elle voulait aller à la selle, alors les deux doigts pénètrent d'un seul coup dans son conduit anal. Paul, écarte au maximum l'anneau rebelle du sphincter, enfin il présente son médium qu'il glisse entre les deux autres doigts.
Claire halète et transpire de frousse et de douleur, mais elle pousse comme le lui dit Paul, alors que les trois doigts ont du mal à se frayer un passage. Il le faut cependant, car réunis, ils font presque la grosseur de la verge de Florent qui va devoir s'introduire dans le même passage. D'un seul coup, les trois doigts se retrouvent complètement à l'intérieur. Claire grommelle des mots sans suite et grimace de douleur. Heureusement Marie-Ange masturbe toujours son bouton d'amour car la souffrance se mélange au plaisir. Paul fait un signe à Florent pour qu'il se prépare. Il a commencé à faire un va-et-vient avec ses doigts, les entrant et les ressortant lentement, tout en écartant l'anus à chaque fois. Un orifice caverneux et très foncé se révèle car l'anneau du sphincter s'est maintenant détendu.
Retirant ses doigts habilement, Paul introduit lui-même subtilement la verge de Florent dans le postérieur maintenant entrebâillé de son épouse. Celui-ci pousse, mais sans aller au fond alors que Claire ne s'est pas encore rendu compte de l'échange. Mais bientôt, Florent pendant que Paul se retire applique son ventre sur les fesses de sa femme. Celle-ci perçoit immédiatement qu'il y a un changement et qu'elle est pénétrée par un vrai membre et non plus par les doigts de Paul. La grosseur de la verge qui s’enfonce lentement dans son conduit rectal lui donne l’impression qu’elle va être ouverte en deux. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier tellement la douleur lui paraît intolérable. Pourtant inexorablement son mari lui pilonne le fondement et bientôt ses chairs meurtries s’habituent à l’engin qui s’engouffre et ravage ses muqueuses. Courageuse, elle projette son ventre et ses fesses au-devant de la queue qui la laboure, commençant à éprouver une volupté masochiste à se faire sodomiser pour la première fois.
Florent se penche sur sa femme qui sanglote de douleur et de joie mélangées. Marie-Ange s'écarte et rejoint son mari, contemplant tous les deux cette femme mûre et admirable qui vient de se faire dépuceler l'anus par son mari alors qu'elle vient d'avoir cinquante-huit ans. Florent a les jambes de Claire autour du cou comme tout à l'heure quand il la prenait dans le vagin, mais cette fois c'est au plus profond de sa croupe qu'il s'est introduit, et il entre et il sort sa verge de plus en plus vite. Claire halète, elle se sent remplie par cette chose qui s'agite dans sa croupe. Elle n'a plus vraiment mal, aussi en conséquence elle suit la cadence que lui imprime son mari qui met un bon quart d'heure avant d'éjaculer. Claire est heureuse, heureuse de s’être montrée à la hauteur, aussi lorsque Florent se retire, elle appelle Paul aussitôt.
- Venez Paul, venez dans moi, Florent m'a défloré, mais c'est grâce à vous que cela a pu se faire. Venez, je vous en supplie, j'ai envie de vous sentir à votre tour me pénétrer mon derrière.
Paul est embarrassé et regarde Florent. Mais celui-ci lui fait signe qu'il est d'accord, il s'approche doucement, prenant la place laissée vacante dans la cavité devenue béante de l'enculée. Le conduit anal de Claire est à présent convenablement huilé par le sperme de Florent, chaud et confortable il s'emboîte parfaitement sur la verge plus modeste de Paul. Celui-ci agit comme pour Marie-Ange, il va et vient lentement sortant sa verge complètement, pour qu’à chaque fois l'orifice s'élargisse encore plus dévoilant toute la profondeur du cratère culier de la belle Claire. Marie-Ange et Florent apprécient le spectacle qui se déroule devant leurs yeux, regardant l'organe viril de Paul qui brille du sperme que Florent a laissé dans le rectum de son épouse. Bien lubrifié, il glisse dans le fourreau étroit qui se contracte et se décontracte à chaque pénétration profonde. Claire souffle tout bas dans l'oreille de Paul.
- Oh ! Mon chéri, comme je suis heureuse. Tu m'as fait découvrir une jouissance extraordinaire, je t'aime, je t'aime. Merci de ce que tu as fait pour Florent et pour moi. Cela change ma vie, continue, que je te sente longtemps dans mon derrière, comme c'est bon mon chéri. Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
Paul accélère et donne de violents coups de boutoirs, dévastant et défonçant maintenant le fondement si fraîchement dépucelé. À chaque poussée, Claire projette son cul vers la verge, poussant des petits cris de plus en plus rapprochés jusqu'à l'orgasme final.
- Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ooooh ! Aaaaahh !....! Aaaaaaaaaaahhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Elle râle longuement son plaisir, pendant que Paul éjacule son foutre par saccades au plus profond de son rectum, et qu'un orgasme comme elle n'en a jamais connu l'anéantisse. Les deux corps restent soudés, alors que Paul et Claire continuent à s'embrasser tendrement et que les deux autres, un peu jaloux, viennent les rejoindre en mélangeant bientôt leurs baisers aux leurs.
Alors que les deux couples épuisés se sont endormis durant plus d’une heure, les corps sont un peu enchevêtrés, bras, jambes et cuisses mélangés. Florent se réveille, et contemple les seins et les croupes des deux femmes, une main de Paul est négligemment posée sur le mont de vénus de Marie-Ange, et l'autre enveloppe un sein de Claire. Cela fait rebander notre sexagénaire et une idée lui vient en tête. Il réveille doucement Paul, tout en lui suggérant d'attirer Claire sur lui et d'essayer de la pénétrer dans son vagin. Lui pendant ce temps va caresser son anus, et il va tenter de la prendre en sandwich. Les deux hommes bousculent un peu le corps de la femme qui gémit dans son sommeil profond. Paul s'étant glissé sous Claire, il a un peu de mal à soulever le corps alourdi par la fatigue et à introduire sa verge dans le vagin encore bien ouvert de la femme comblée. Elle se réveille à moitié, mais elle est encore dans un état second et sans s'en rendre compte elle l'embrasse à pleine bouche et commence à onduler du bassin.
Florent lui en profite pour caresser la croupe de sa femme, tout en introduisant deux doigts dans le canal anal encore bien lubrifié par son sperme et par celui de Paul. Sa femme ondule de plus en plus, prenant du plaisir dans son demi-sommeil à cette caresse supplémentaire. Florent présente alors son pénis devant la rosace qui s'entrouvre, et, sans coup férir, il s'engouffre d'un élan dans le cul convoité. Cela réveille Claire d'un seul coup, lui faisant pousser un cri rauque de surprise et de douleur. En se retournant à demi, elle comprend immédiatement que c'est son mari qui la possède ainsi dans son rectum. Elle suffoque tellement l'intromission incroyable des deux verges s'approprie entièrement les deux conduits si proches de son vagin et de son anus, réalisant difficilement ce qui lui arrive.
Alors que ces deux monstres s’engouffrent en elle, elle n'a qu'une seule matrice croît-elle. L'émotion fantastique des deux sexes qui se meuvent ensemble dans son corps la transporte dans un autre monde et elle délire, oscillant entre le désespoir et l'euphorie, entre le cauchemar et la joie. Et puis les organes des mâles commencent à se mouvoir dans ses gaines anale et vaginale. Elle est submergée par une jouissance extraordinaire. Jamais elle n'aurait pu imaginer ce qui lui arrive. Elle n'a pas vraiment mal malgré les deux verges qui labourent ses entrailles. À sa grande surprise, elle apprécie de se sentir aussi profondément remplie. Ce mouvement alterné d'une verge qui entre et d'une autre qui ressort en cadence lui procure une incroyable jubilation sensuelle. Elle ne peut s'empêcher de laisser éclater sa joie.
- Oh ! Oh ! Oui, oui, oui, encore, encore mes Chéris ! Oh vous allez me faire mourir, vous me transpercez, arrêtez, arrêtez, non continuez. Ah ! Ahrrrrrrrr, oui, oui, oui, encore, encore, continuez c'est bon Oh ! Mon Dieu que m'arrive-t-il ? Oui ! Encore, ne vous arrêtez pas. Ah ! Ah ! Ah ! Ahhhhrrrrrrrrrrr... Oh ! Oui, baisez-moi, enculez-moi, je vous aime tous. Oh ! Que c'est bon, encore, encore, n'arrêtez jamais, jamais. Ah !. Ah !.. Ah !... Ah !..... Aaarrrrrrrr... Ahrrrrrrrr.... Oh ! Mon Dieu je jouis, continuez, je vous en prie n'arrêtez pas, Oh mh, mhhh, mhhh, oui, encore entrez tous les deux dans moi, fort, encore. Oh ! C'est tellement bon, oui, oui, oui, encore, encore, encore, je n'en peux plus, je vais mourir, Ah ! Aaaaahh ! Ah ! Ah ! Ah ! Ahhhhrrrrrrrrrrr..............
Marie-Ange qui s’est réveillée entre temps se sent frustrée ; Eh elle alors ! Se levant, elle vient s'installer à califourchon sur le torse de son époux, face à Claire. Puis elle fait signe à celle-ci de se pencher tout en écartant avec ses deux mains les grandes lèvres de son vagin. Claire comprend ce que sa compagne de débauche désire, alors, avec ses doigts et sa bouche, elle vient contenter le manque de Marie-Ange. Paul qui a le derrière de sa femme à la hauteur de son visage, écarte avec ses mains le cul offert, lui faisant une magnifique feuille de rose, puis il entre ses doigts l'un après l'autre jusqu'à ce que quatre doigts labourent le cul largement offert à ses pratiques.
Alors que les deux femmes et les deux hommes sont maintenant complètement imbriqués l'un dans l'autre, Claire se fait baiser et enculer en même temps pour la première fois de sa vie tout en songeant qu'elle voudrait encore plus de mâles pour pouvoir s'occuper d'elle, rêvant à des situations fantastiques, surprenantes et voluptueuses. Elle constate qu’elle n'a jamais connu une pareille joie de sa vie, la dépravation qu'elle vient de connaître en ayant d'abord été dépucelé dans son anus puis cette double pénétration atteint cette fois un sommet. Alors que ses fesses et ses seins tressautent sous les assauts de ses partenaires, à ce moment un nouvel orgasme la secoue fabuleusement, la faisant crier aussi sa joie et son amour. Les deux hommes qui n’attendaient que cette explosion de la femme baisée et enculée, en même temps, éjectent leur sperme dans son fondement et dans sa vulve. Mais Claire ne veut pas qu'ils s'en aillent. Aussi, à présent complètement désinhibée, elle leur crie.
- Oh ! Mon Dieu c'est trop bon. Oh je jouis, continuez, je vous en prie n'arrêtez pas, Oh ! mh, mhhh, mhhh, oui, encore entrez tous les deux dans moi, fort, encore. Oh ! C'est tellement bon, oui, oui, oui, encore, encore, encore, je n'en peux plus, je vais mourir, Ah ! Aaaaahh ! Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaarrrrrrrrrr...
Durant les quatre jours et les quatre nuits qui suivirent, sans presque se restaurer ni se reposer, les deux couples font l'amour dans toutes les positions en se mélangeant de toutes les façons. Ils n'arrivent plus à s'arrêter. Heureusement Paul a rendez-vous avec un éditeur, rendez-vous qu'il ne peut reporter, alors Claire et Florent laissent partir Marie-Ange et Paul avec beaucoup de regrets en espérant qu'ils les reverront.
Paul, un intellectuel de cinquante-deux ans et Marie-Ange son épouse va bientôt avoir quarante-huit ans. Après avoir persuadé son épouse de se faire baiser par un inconnu alors qu’elle sera attachée et aveuglée, elle se révèle une belle salope lorsqu’elle est prise par son mari et l’inconnu dans sa chatte et son cul simultanément. A partir de ce moment c’est l’escalade exhibitionniste et dans la baise avec des inconnus. Pourtant ils viennent de contacter un autre couple et font l’amour à quatre.
V
L'ANUS DEFLORE
Mais pendant ce temps que fait donc en effet l’autre couple ?
Florent, décontracté, est au volant de la voiture puissante qui roule rapidement sur une nationale du Valois, alors que Marie-Ange, installée dans le siège en cuir rouge de la Mercedes, dévoile tous ses charmes au conducteur qui a le regard quelque peu baladeur. En effet, elle s'est habillée d'un chemisier coq de roche et d'une jupe ample mi-longue, de teinte vert foncé décorée de feuilles d'automne. Sa jupe est relevée haut sur ses cuisses et l’on aperçoit le haut de ses bas fumés et au-dessus un peu de sa peau blanche. Cela ne peut pas laisser Florent indifférent, mais lorsqu’il s’adresse à sa compagne, il ne fait pas allusion aux appas dénudés de sa passagère.
- Vous savez Marie-Ange, nous avons reçu en bientôt trois ans un peu moins de dix couples, neuf exactement sans vous compter. Aucun n'a passé le dimanche avec nous. Certains s’en sont allés dans le courant de la nuit et d'autres le matin avant le déjeuner. Il est vrai, que nous nous sommes seulement regardés nous masturber mutuellement, et même si chaque couple a bien voulu faire l'amour devant l'autre, nous n'avons jamais fait d'échange. Aucun attouchement mutuel n'a jamais été envisagé, vous êtes les seuls avec qui nous nous sommes sentis en confiance et j'avoue que cette nuit nous avons été agréablement surpris de la tournure des relations sexuelles que nous avons pu avoir.
Marie-Ange qui a écouté avec attention la longue diatribe de son compagnon a un petit sourire en coin et demande :
- Où allons-nous mon cher ?
- Nous allons faire quelques courses à Senlis, nous y serons dans quelques minutes.
Marie-Ange montre son étonnement.
- Je croyais que nous devions aller à Meaux, c'est ce que vous avez laissé entendre à Claire en partant.
Florent légèrement embarrassé.
- Oui, il est vrai que Meaux est une plus grande ville, mais le marché du dimanche à Senlis est très sympathique, et puis je dois vous l'avouer, j'ai envie de vous garder un peu avec moi, d’ailleurs au retour, j’ai l’intention de vous faire visiter un endroit particulier, si cela vous conviens, bien entendu.
Marie-Ange, d’un air mutin agite son index.
- Vous êtes un petit gredin Florent, mais je vous aime bien et j'attends avec une grande curiosité votre surprise.
Une fois dans Senlis, la ville des premiers rois de France, le couple, bras dessus bras dessous fait ses emplettes dans les vieilles rues pavées de la ville royale. Ils rapportent deux paniers pleins de victuailles qu'ils disposent dans le coffre de la Mercedes, puis ils reprennent la route du retour. Alors que Florent conduit rapidement et nerveusement, il s'engage dans une route forestière à la sortie de Senlis arrêtant son véhicule devant un portail en fer après avoir roulé près d’un kilomètre dans la forêt senlisienne. Descendant de voiture, il ouvre la serrure et rabat les deux portes, puis il fait entrer l'automobile, referme les battants du portail et donne un tour de clé. Il se dirige ensuite par une allée qui s'enfonce dans le bois vers une clairière où se trouve un très joli relais de chasse. Sitôt descendu il s'adresse alors à sa compagne.
- Voici ce que je voulais vous faire visiter ma chère. Et puis, je ne vous cache pas que j'avais envie d'être seul avec vous pour vous faire un brin de cour.
Marie-Ange amusée se laisse prendre au jeu et s'appuie lourdement sur le bras de son compagnon pendant qu’ils se dirigent vers la bâtisse. En entrant dans le pavillon, Marie-Ange découvre une grande salle où sont disposés de nombreux fauteuils profonds et confortables, des canapés, des tables de différentes tailles et des nombreuses chaises, cette salle servant apparemment pour des réunions et des repas de chasse. Dans un angle, une grande cheminée campagnarde, des bûches, du petit-bois ; des vieux journaux sont disposés prêts à être allumé près de la cheminée. Florent gratte une allumette et la flambée ne tarde pas à prendre. Prenant Marie-Ange par la taille, il l'entraîne vers un canapé la faisant asseoir à ses côtés. Marie-Ange, pour dissiper toute gêne qui pourrait intervenir entre eux lui tend ses lèvres en se blottissant contre lui.
Les deux partenaires échangent un baiser passionné, alors que les mains baladeuses de l'homme ne tardent pas à explorer le corps plantureux de la femme qui s'offre à lui, dégrafant le corsage et caressant aussitôt les seins libres de soutien-gorge. L'opulente poitrine de Marie-Ange réagit à ces attouchements audacieux et ses pointes se dressent orgueilleusement sous les doigts qui pincent les bouts érigés. Florent glisse sa main sous la jupe ample et remonte le long de la jambe gainée de soie, ses doigts poursuivant le long de la cuisse et atteignant la lisière du bas, caressant maintenant la peau nue qui frissonne ; puis il accède ainsi à l'aine et au ventre de la femme, surprenant de ne pas découvrir de culotte lorsque sa main se porte sur le renflement du mont de vénus en l'enveloppant. Marie-Ange a senti l'hésitation de cette main qui s'attendait à rencontrer du tissu, aussi elle souffle dans l'oreille de son galant.
- Paul ne veut plus que je porte de culotte pour que je sois toujours disponible et puis cela l'excite de me savoir nue même sous une jupe courte. Des passants peuvent éventuellement voir mes fesses si je me penche dans la rue. À la terrasse des cafés Paul adore me voir entrouvrir les jambes pour exciter les voyeurs. De toute façon je n'aime pas trop porter de sous-vêtements, je me sens plus libre. Pour hier au soir c'était différent, je venais pour vous charmer et il était indispensable que je puisse être déshabillée.
Pendant que Marie-Ange s'expliquait, Florent n'avait pas perdu son temps, sa main ayant décapuchonné le clitoris, il le fait aussitôt rouler entre ses doigts. Marie-Ange gémit lorsqu’un doigt s'infiltrant dans son vagin rencontre l'humidité moite qui suinte, alors que les doigts de Florent s'activent de plus en plus augmentant ainsi l’excitation de Marie-Ange qui éprouve plusieurs spasmes successifs, s'ouvrant toute et offrant son ventre, prête à recevoir le mâle. Florent en un tour de main se déshabille, venant rapidement glisser son pénis dans cette chatte qu’il convoite ardemment. Les deux corps se soudent étroitement, alors que leurs langues s'activent dans leurs bouches entrouvertes. Les mains de Florent malaxent les seins et les fesses charnues de sa compagne, sa verge s'enfonçant en cadence au plus profond de la muqueuse vaginale. Il retient le plus longtemps possible sa semence qui depuis ses bourses jusqu'au conduit de sa verge fait son chemin inexorablement dans le conduit de l’urètre, jusqu’à l’éjection de sa liqueur séminale si longuement contenu. À ce moment, le ventre de Marie-Ange se projette en avant et se colle au pubis de son amant, alors qu’un orgasme puissant la saisit brutalement et qu’une une houle voluptueuse l'envahit. Les deux amants s'étreignant furieusement jouissent violemment à l'unisson.
Maintenant désunis, ils s'embrassent encore car leurs lèvres n'ont pu se détacher et leurs langues s'activent au fond de leur bouche. Enfin ils reprennent leur souffle et recommencent leurs confidences. Florent demande à Marie-Ange si elle a eu du mal à accepter la pénétration anale. Celle-ci lui explique que Paul l'a préparée longuement avec ses doigts et qu’enfin, il a fait pénétrer dans son anus des godemichés de plus en plus gros avant qu'elle puisse accepter un sexe dans son rectum. Maintenant elle y prend beaucoup de plaisir et s'il veut la prendre maintenant par cet endroit, elle est entièrement consentante. Florent ne se fait pas prier, aussi, plongeant son mandrin qui a repris de la vigueur dans la croupe si gentiment offerte, il se glisse bien au fond du rectum et se rend compte en effet que Marie-Ange y prend un grand plaisir. C'est certainement différent pour elle que d'être prise dans le vagin mais il voit bien qu'elle en tire une intense volupté. Sortant sa langue et se léchant ses lèvres, elle se masturbe le clitoris en utilisant sa main glissée sous elle, partant beaucoup plus vite que lorsqu'elle est prise dans le conduit vaginal. Pour lui cette sodomisation est vraiment extraordinaire, il coulisse comme dans un étui bien serré autour de sa verge appréciant que les parois ne soient pas sèches, mais il ne baigne pas non plus dans un environnement de mouille trop abondante comme cela arrive dans les vagins des femmes qui lubrifient énormément. Il sodomise longuement et avec joie sa partenaire alors que celle-ci ne peut s'empêcher de crier son exaltation.
- Oh oui ! Continue ! Encule-moi, bien à fond. Allez ! Défonce-moi ! Oh ! Pardon, je suis grossière, pardon, mais continue, Oh ! C'est trop bon, Oui encule-moi, encore, allez à fond. Oh ! Ouiiiiiiiii ! Oh ! Oui ! Mon chéri ! Pousse, défonce-moi, je te veux dans mon derrière. Oh ! Oui ! Ta verge est tellement grosse. Oh ! Oui continue, arrête... arrête...., non ! Encule-moi, j'aime ça, continue, encore, Ouiiiiiiiiiiiiii ! Continue mon chéri, comme ça ! Oui ! Oh que c'est bon ! C'est bon ! Ouiiiii ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
Marie-Ange a encore une fois eu un orgasme qui la fait se dépasser. Elle est embarrassée et un peu honteuse des paroles qu'elle a proférées dans son délire lubrique. Quant à Florent, il vient de prendre un pied comme jamais il n'en a pris. Il songe qu'il voudrait bien pouvoir sodomiser sa femme comme il vient de le faire avec Marie-Ange. Tout à coup en regardant sa montre il s'aperçoit qu'il est presque treize heures trente. Il y a trois quarts d'heure qu'ils devraient être de retour. Il s'en entretient avec Marie-Ange qui a un sourire.
- Je ne sais pour votre épouse, mais Paul aura bien compris que nous avons fait l'amour, n'oubliez pas c'est une autorité en la matière.
Florent perplexe, tout en rangeant le pavillon de chasse et en se rhabillant.
- Oh ! Pour Claire, je pense qu'il n y aura pas de problèmes, elle voulait demander à Paul comment il vous avait préparée à la sodomie et ce, pour que je puisse l'honorer de cette façon.
Marie-Ange, se sent tout à coup préoccupée.
- Oh ! Je pense qu'il a dû le lui expliquer, il adore jouer les professeurs. Il l'a même si cela se trouve déflorée dans son derrière pendant que vous me sodomisiez si bien mon cher Florent.
Florent est tout de même un peu contrarié.
- Eh ! Bien nous verrons bien, pour nous, nous allons leur dire la vérité tout simplement.
Alors que la grosse Mercedes arrive dans la propriété et se range à côté du perron, Paul et Claire sont appuyés épaule contre épaule sur la balustrade et attendent goguenard les arrivants. Les deux équipiers sortent de la voiture, apparemment décontractés, Marie-Ange lançant à la cantonade.
- Coucou, c'est nous, nous avons fait l'amour, c'est ce qui nous a retardés.
Paul et Claire applaudissent, alors que cette dernière répond aussitôt.
- Nous aussi, et c'était formidable, venez vite nous raconter.
Ils éclatent tous les quatre de rire, mais, avant de se faire leurs confidences ils sortent les provisions de la voiture et les portent à la cuisine. Claire et Paul ont déjà dressé la table, aussi ils déjeunent rapidement en se servant des plats préparés et des fruits rapportés de Senlis. À la fin du repas, les deux couples qui se sont retrouvés et enlacés passent au salon. Ils se racontent leur matinée respective et leurs joutes amoureuses sans rien omettre. Florent remercie Paul de lui avoir gardé en primeur la possibilité de sodomiser son épouse le premier et surtout, de lui avoir fait perdre sa frayeur de l'acte.
Estimant qu'ils se connaissent bien maintenant, Florent propose que l'on continue les jeux érotiques dans leur chambre. Ils découvrent alors une pièce impressionnante. Les murs sont entièrement tapissés de miroirs, le sol est en fourrure blanche et un lit rond de cinq mètres de diamètre trône au milieu. Le plafond étant composé d'une rosace de miroirs, un peu comme la chambre de Paul et Marie-Ange à Paris. Les femmes entrent toutes les deux ensemble dans une salle de bains et les hommes dans une autre. Après un bain chaud et une douche froide, les hommes reviennent dans la chambre, habillés d'un large pantalon de soie noire et d'un boléro du même tissu non fermé. La braguette n'existe pas, seuls deux ourlets la soulignent. Le sexe peut ainsi sortir facilement tout seul sans que l'on ait à déboutonner ou à faire glisser une fermeture.
Les femmes sont un peu plus longues à se préparer. Après le bain qu'elles ont pris ensemble, elles se massent le corps avec des huiles, se parfument et se maquillent. Tout en riant de leur audace, elles effleurent leurs seins et leur chatte sans oser tout de même aller jusqu'à les caresser franchement. Marie-Ange propose à Claire de la raser. Celle-ci accepte avec empressement, car si elle a admiré la vulve imberbe de sa compagne, elle subodore que cela devrait aussi exciter son mari. Durant cette séance de rasage, Claire qui regarde Marie-Ange opérer regarde avec attention sa fourrure argentée qui disparaît progressivement lui occasionnant des orgasmes multiples suite aux attouchements licencieux que Marie-Ange n'a pu s'empêcher de lui procurer. Celle-ci, faisant glisser au bout de ses doigts l’huile réservée à calmer le feu du rasoir jusque dans les replis de la vulve, arrache à la quinquagénaire épanouie des feulements de plaisir contenu.
Enfin, détendues et éperdument désirables les deux femmes arrivent dans la chambre près de trois quarts d’heure après les hommes. Portant toutes les deux des bas noirs fixés par un porte-jarretelles, elles n'ont pas mis de culotte laissant apparaître encore plus leur sexe glabre et lisse entre leurs cuisses blanches soulignées par la dentelle noire du haut des bas. Sur leurs épaules, elles portent une chemise en soie transparente noire négligemment nouée sur leur ventre. Les seins sont encore plus indécents que s'ils étaient nus, en fait toute leur tenue est une invitation au viol immédiat car effectivement les deux complices ont bien du mal à se défendre de l'ardeur pressante de leurs mâles. Mais elles leur disent qu’elles ne veulent pas être prise dans l'instant. Pour cela les deux femmes s'étendent sur le vaste lit, chacune dans un sens tout en disposant des coussins sous leurs reins et ouvrant largement leurs jambes et leurs cuisses. Claire appelle Paul et lui demande de venir la lécher alors que Marie-Ange en fait autant pour Florent. Les deux femmes leur recommandent de s'arrêter lorsqu'elles auront leur premier orgasme souhaitant que la soirée dure le plus longtemps possible car il est juste seize heures et il faut que chacun s'économise.
Les deux hommes entreprennent de manger dans leur totalité, les sexes déployés sous leurs yeux concupiscents. En fait leurs langues s'affairent du vagin au rectum, léchant la raie culière entre les deux et provoquant des soubresauts aux deux bassins sollicités. Les langues essaient d'aller le plus loin possible à l'intérieur du vagin puis, elles appliquent de la salive sur la rosace de l'anus poussant leur pointe en avant pour s'introduire entre les parois du rectum. Les femmes adorent cela, Claire et Marie-Ange tortillent leurs jolis fessiers lorsque les hommes exécutent cette magnifique feuille de rose. Bientôt les clitoris sont aussi sollicités et toutes les deux, presque en même temps, partent pour une jouissance interminable. Les deux hommes très disciplinés s'arrêtent, attendant que les deux femmes se relèvent. Alors, sortant facilement du pantalon le sexe rigide de leur cavalier, elles le masturbent légèrement en le couvrant de petits baisers.
Ensuite, nos deux bacchantes changent de partenaire, cette fois ce sont leurs maris qui viennent les brouter. C’est à ce moment que Forent découvre sous ses lèvres le sexe imberbe de son épouse, profitant ainsi pleinement de la vulve lisse et dénudée comme celle d’une adolescente. Après un nouvel orgasme des deux femelles, les deux couples se détendent sur le lit tout en devisant. Après un bon temps de repos, les femmes demandent à leur mari de venir les prendre dans leur sexe et de s’arrêter, lorsqu'elles auront joui. À eux de ne pas décharger imprudemment car ils auraient un gage. Les deux hommes s'engouffrent donc dans la fente de leur femme et s'appliquent à bien les fouiller de leur dard. Tout cela est le fait d'une grande harmonie, car Marie-Ange et Claire respirent la joie d'être parfaitement conduites par des mâles attentionnés à la jouissance délicate de leur libido. Les deux femmes, à quelques minutes d'intervalle, poussent des soupirs de satisfaction et se détendent complètement repues.
Après avoir soufflé et s'être rafraîchi, Marie-Ange attire Florent en elle alors que Claire demande à Paul de la pénétrer. La chevauchée reprend, cette fois, elles demandent à leur cavalier d'aller jusqu'au bout et d'éjaculer en elle. Florent s'étant mis à genoux, il prend Marie-Ange sous ses fesses avec ses deux mains, arquant son corps en arrière tout en lui reposant sa tête sur le lit, attirant son bassin et l’encastrant étroitement dans son bas-ventre tout en suspendant ses jambes autour de son cou. Il la laboure furieusement d'un va-et-vient régulier puis très vite la cadence s'accélère. Marie-Ange est secouée brutalement le pénis de son partenaire la percutant violemment jusqu'au fond de sa matrice la faisant brailler de joie et de douleur. Florent décharge son foutre tout en bramant lui aussi comme un cerf aux périodes des amours.
Paul de son côté est plus calme, il lime lentement Claire tout en l'embrassant profondément. Celle-ci, bien étendue sur le dos a noué ses jambes dans le dos de Paul, appuyant fortement avec celles-ci à chaque pénétration. Une houle de plaisir l’agite en cadence lui faisant pousser de petits cris brefs à chaque intromission dans sa matrice, puis l'orgasme les prend tous les deux au même moment, les laissant soudés l'un à l'autre, immobiles, statufiés dans leur béate jouissance. Florent qui s'est remis à bander rapidement annonce que maintenant les deux femmes doivent êtres sodomisés. Pour Marie-Ange ce n'est même plus une épreuve, elle y a pris goût et en redemande. Claire, elle, a pâli, ce qu'elle redoute le plus au monde va lui arriver dans quelques instants, aussi elle se demande si elle sera à la hauteur et s'il ne lui faudra pas refuser cette intromission qui lui fait très peur.
C'est bien sûr Paul et Marie-Ange qui commencent. Marie-Ange se place à genoux sur le lit, la tête posée dans ses bras croisés, elle lève haut son postérieur, tout en écartant ses fesses avec ses doigts le plus possible. Sa rosace plissée est brun violacé presque noire. Paul introduit son majeur dans l'anus tout en glissant son pouce dans le vagin. Il enfonce régulièrement ses doigts, élargissant la cavité étroite de l'anus, puis il introduit de la salive pour aider à la lubrification. Marie-Ange, émoustillée remue ses fesses de gauche à droite. Paul met un genou sur le lit et laissant son autre jambe sur le sol, il présente sa verge devant le goulet maintenant élargit du rectum marital, enfin, il l'introduit lentement dans la gaine étroite, la rosace s'étant déplissée et enserrant le pénis étroitement. Sa position et celle de Marie-Ange permettent à Claire et à Florent de voir toute l'opération dans ses moindres détails. Ils n'en perdent bien sûr pas une miette. L’anus de la femme forme un bourrelet de chair qui roule et se déplie sous les va-et-vient de la queue de Paul qui s'enfonce régulièrement dans le cul de son épouse alors que celle-ci lui demande d'accélérer.
- Pousse à fond ! Oui comme ça ! Oh Oui ! Continue ! Plus vite ! Plus vite ! Oh ! Mon chéri encule-moi encore. Bien à fond ! Ce que j'aime ça ! Oui ! Encore ! Oh Ouiiiiiiiii !
Paul a accéléré sa cadence, et il ne peut retenir la sève longtemps qui a monté inexorablement par les canaux de son sexe. Aussi, il se vide par saccades, secouant encore violemment le postérieur de son épouse, crispant ses doigts sur les fesses qui en deviennent rouge sang. Marie-Ange s'écroule à plat ventre sur le lit, épuisée par cet enculage qu'elle a voulu elle-même si violent. C’est alors que Claire résignée se prépare à son tour, elle prend la même position qu'elle a vu prendre à Marie-Ange. Celle-ci, qui s'est retournée sur le lit, lui conseille de se mettre au contraire, à plat sur le dos et de lever les jambes.
- Ma chérie, les premières fois, il vaut mieux te faire prendre dans cette position. C'est beaucoup moins douloureux car la verge ne peut aller jusqu'au fond. Dans la position que je viens de prendre c'est comme la levrette, la verge te pénètre profondément et il faut que ton conduit anal, soit devenu bien réceptif et souple pour que tu ne ressentes pas de douleur trop violente.
Puis, se tournant vers Florent elle lui dit.
- Florent, si vous le voulez bien laissez Paul la préparer avec ses doigts diaboliques et son gel émollient. Vous rendrez un grand service à votre épouse en ne lui rendant pas trop pénible et pour la première fois, la pénétration de votre sexe dans son anus.
Celui-ci acquiesce avec empressement à cette proposition raisonnable. Claire paraît un peu soulagée, aussi elle sourit à Marie-Ange, et se met sur le dos comme son amie le lui a suggéré. Paul s'agenouille sur le tapis devant les jambes de Claire. Sa position lui permet d'être exactement à la hauteur de son derrière. Il lui relève les jambes et il force un peu de sa salive dans la rosace encore bien serrée. Marie-Ange s'est étendu près de Claire tout en lui chuchotant des paroles apaisantes, elle la picore de baisers dans le cou. Sa main titille le clitoris de Claire et, entre même quelques doigts dans son vagin.
Cela détend Claire qui tremble de tous ses membres. Paul en profite pour entrer doucement son index enduit de la crème dilatatrice dans l'étroit anneau qui se resserre sur son doigt. Il l'actionne lentement tout en badigeonnant les parois, essayant par des circonvolutions rapides d'écarter ce cul bien trop serré tout en forçant l'anneau contracté du sphincter. Petit à petit Claire se détend, son anus s'ouvrant légèrement aux actions du doigt de Paul. Celui-ci, ajoute son majeur à l’index déjà introduit. Claire pousse un petit cri mais obéissant aux injonctions de Paul elle pousse comme si elle voulait aller à la selle, alors les deux doigts pénètrent d'un seul coup dans son conduit anal. Paul, écarte au maximum l'anneau rebelle du sphincter, enfin il présente son médium qu'il glisse entre les deux autres doigts.
Claire halète et transpire de frousse et de douleur, mais elle pousse comme le lui dit Paul, alors que les trois doigts ont du mal à se frayer un passage. Il le faut cependant, car réunis, ils font presque la grosseur de la verge de Florent qui va devoir s'introduire dans le même passage. D'un seul coup, les trois doigts se retrouvent complètement à l'intérieur. Claire grommelle des mots sans suite et grimace de douleur. Heureusement Marie-Ange masturbe toujours son bouton d'amour car la souffrance se mélange au plaisir. Paul fait un signe à Florent pour qu'il se prépare. Il a commencé à faire un va-et-vient avec ses doigts, les entrant et les ressortant lentement, tout en écartant l'anus à chaque fois. Un orifice caverneux et très foncé se révèle car l'anneau du sphincter s'est maintenant détendu.
Retirant ses doigts habilement, Paul introduit lui-même subtilement la verge de Florent dans le postérieur maintenant entrebâillé de son épouse. Celui-ci pousse, mais sans aller au fond alors que Claire ne s'est pas encore rendu compte de l'échange. Mais bientôt, Florent pendant que Paul se retire applique son ventre sur les fesses de sa femme. Celle-ci perçoit immédiatement qu'il y a un changement et qu'elle est pénétrée par un vrai membre et non plus par les doigts de Paul. La grosseur de la verge qui s’enfonce lentement dans son conduit rectal lui donne l’impression qu’elle va être ouverte en deux. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier tellement la douleur lui paraît intolérable. Pourtant inexorablement son mari lui pilonne le fondement et bientôt ses chairs meurtries s’habituent à l’engin qui s’engouffre et ravage ses muqueuses. Courageuse, elle projette son ventre et ses fesses au-devant de la queue qui la laboure, commençant à éprouver une volupté masochiste à se faire sodomiser pour la première fois.
Florent se penche sur sa femme qui sanglote de douleur et de joie mélangées. Marie-Ange s'écarte et rejoint son mari, contemplant tous les deux cette femme mûre et admirable qui vient de se faire dépuceler l'anus par son mari alors qu'elle vient d'avoir cinquante-huit ans. Florent a les jambes de Claire autour du cou comme tout à l'heure quand il la prenait dans le vagin, mais cette fois c'est au plus profond de sa croupe qu'il s'est introduit, et il entre et il sort sa verge de plus en plus vite. Claire halète, elle se sent remplie par cette chose qui s'agite dans sa croupe. Elle n'a plus vraiment mal, aussi en conséquence elle suit la cadence que lui imprime son mari qui met un bon quart d'heure avant d'éjaculer. Claire est heureuse, heureuse de s’être montrée à la hauteur, aussi lorsque Florent se retire, elle appelle Paul aussitôt.
- Venez Paul, venez dans moi, Florent m'a défloré, mais c'est grâce à vous que cela a pu se faire. Venez, je vous en supplie, j'ai envie de vous sentir à votre tour me pénétrer mon derrière.
Paul est embarrassé et regarde Florent. Mais celui-ci lui fait signe qu'il est d'accord, il s'approche doucement, prenant la place laissée vacante dans la cavité devenue béante de l'enculée. Le conduit anal de Claire est à présent convenablement huilé par le sperme de Florent, chaud et confortable il s'emboîte parfaitement sur la verge plus modeste de Paul. Celui-ci agit comme pour Marie-Ange, il va et vient lentement sortant sa verge complètement, pour qu’à chaque fois l'orifice s'élargisse encore plus dévoilant toute la profondeur du cratère culier de la belle Claire. Marie-Ange et Florent apprécient le spectacle qui se déroule devant leurs yeux, regardant l'organe viril de Paul qui brille du sperme que Florent a laissé dans le rectum de son épouse. Bien lubrifié, il glisse dans le fourreau étroit qui se contracte et se décontracte à chaque pénétration profonde. Claire souffle tout bas dans l'oreille de Paul.
- Oh ! Mon chéri, comme je suis heureuse. Tu m'as fait découvrir une jouissance extraordinaire, je t'aime, je t'aime. Merci de ce que tu as fait pour Florent et pour moi. Cela change ma vie, continue, que je te sente longtemps dans mon derrière, comme c'est bon mon chéri. Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
Paul accélère et donne de violents coups de boutoirs, dévastant et défonçant maintenant le fondement si fraîchement dépucelé. À chaque poussée, Claire projette son cul vers la verge, poussant des petits cris de plus en plus rapprochés jusqu'à l'orgasme final.
- Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ooooh ! Aaaaahh !....! Aaaaaaaaaaahhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Elle râle longuement son plaisir, pendant que Paul éjacule son foutre par saccades au plus profond de son rectum, et qu'un orgasme comme elle n'en a jamais connu l'anéantisse. Les deux corps restent soudés, alors que Paul et Claire continuent à s'embrasser tendrement et que les deux autres, un peu jaloux, viennent les rejoindre en mélangeant bientôt leurs baisers aux leurs.
Alors que les deux couples épuisés se sont endormis durant plus d’une heure, les corps sont un peu enchevêtrés, bras, jambes et cuisses mélangés. Florent se réveille, et contemple les seins et les croupes des deux femmes, une main de Paul est négligemment posée sur le mont de vénus de Marie-Ange, et l'autre enveloppe un sein de Claire. Cela fait rebander notre sexagénaire et une idée lui vient en tête. Il réveille doucement Paul, tout en lui suggérant d'attirer Claire sur lui et d'essayer de la pénétrer dans son vagin. Lui pendant ce temps va caresser son anus, et il va tenter de la prendre en sandwich. Les deux hommes bousculent un peu le corps de la femme qui gémit dans son sommeil profond. Paul s'étant glissé sous Claire, il a un peu de mal à soulever le corps alourdi par la fatigue et à introduire sa verge dans le vagin encore bien ouvert de la femme comblée. Elle se réveille à moitié, mais elle est encore dans un état second et sans s'en rendre compte elle l'embrasse à pleine bouche et commence à onduler du bassin.
Florent lui en profite pour caresser la croupe de sa femme, tout en introduisant deux doigts dans le canal anal encore bien lubrifié par son sperme et par celui de Paul. Sa femme ondule de plus en plus, prenant du plaisir dans son demi-sommeil à cette caresse supplémentaire. Florent présente alors son pénis devant la rosace qui s'entrouvre, et, sans coup férir, il s'engouffre d'un élan dans le cul convoité. Cela réveille Claire d'un seul coup, lui faisant pousser un cri rauque de surprise et de douleur. En se retournant à demi, elle comprend immédiatement que c'est son mari qui la possède ainsi dans son rectum. Elle suffoque tellement l'intromission incroyable des deux verges s'approprie entièrement les deux conduits si proches de son vagin et de son anus, réalisant difficilement ce qui lui arrive.
Alors que ces deux monstres s’engouffrent en elle, elle n'a qu'une seule matrice croît-elle. L'émotion fantastique des deux sexes qui se meuvent ensemble dans son corps la transporte dans un autre monde et elle délire, oscillant entre le désespoir et l'euphorie, entre le cauchemar et la joie. Et puis les organes des mâles commencent à se mouvoir dans ses gaines anale et vaginale. Elle est submergée par une jouissance extraordinaire. Jamais elle n'aurait pu imaginer ce qui lui arrive. Elle n'a pas vraiment mal malgré les deux verges qui labourent ses entrailles. À sa grande surprise, elle apprécie de se sentir aussi profondément remplie. Ce mouvement alterné d'une verge qui entre et d'une autre qui ressort en cadence lui procure une incroyable jubilation sensuelle. Elle ne peut s'empêcher de laisser éclater sa joie.
- Oh ! Oh ! Oui, oui, oui, encore, encore mes Chéris ! Oh vous allez me faire mourir, vous me transpercez, arrêtez, arrêtez, non continuez. Ah ! Ahrrrrrrrr, oui, oui, oui, encore, encore, continuez c'est bon Oh ! Mon Dieu que m'arrive-t-il ? Oui ! Encore, ne vous arrêtez pas. Ah ! Ah ! Ah ! Ahhhhrrrrrrrrrrr... Oh ! Oui, baisez-moi, enculez-moi, je vous aime tous. Oh ! Que c'est bon, encore, encore, n'arrêtez jamais, jamais. Ah !. Ah !.. Ah !... Ah !..... Aaarrrrrrrr... Ahrrrrrrrr.... Oh ! Mon Dieu je jouis, continuez, je vous en prie n'arrêtez pas, Oh mh, mhhh, mhhh, oui, encore entrez tous les deux dans moi, fort, encore. Oh ! C'est tellement bon, oui, oui, oui, encore, encore, encore, je n'en peux plus, je vais mourir, Ah ! Aaaaahh ! Ah ! Ah ! Ah ! Ahhhhrrrrrrrrrrr..............
Marie-Ange qui s’est réveillée entre temps se sent frustrée ; Eh elle alors ! Se levant, elle vient s'installer à califourchon sur le torse de son époux, face à Claire. Puis elle fait signe à celle-ci de se pencher tout en écartant avec ses deux mains les grandes lèvres de son vagin. Claire comprend ce que sa compagne de débauche désire, alors, avec ses doigts et sa bouche, elle vient contenter le manque de Marie-Ange. Paul qui a le derrière de sa femme à la hauteur de son visage, écarte avec ses mains le cul offert, lui faisant une magnifique feuille de rose, puis il entre ses doigts l'un après l'autre jusqu'à ce que quatre doigts labourent le cul largement offert à ses pratiques.
Alors que les deux femmes et les deux hommes sont maintenant complètement imbriqués l'un dans l'autre, Claire se fait baiser et enculer en même temps pour la première fois de sa vie tout en songeant qu'elle voudrait encore plus de mâles pour pouvoir s'occuper d'elle, rêvant à des situations fantastiques, surprenantes et voluptueuses. Elle constate qu’elle n'a jamais connu une pareille joie de sa vie, la dépravation qu'elle vient de connaître en ayant d'abord été dépucelé dans son anus puis cette double pénétration atteint cette fois un sommet. Alors que ses fesses et ses seins tressautent sous les assauts de ses partenaires, à ce moment un nouvel orgasme la secoue fabuleusement, la faisant crier aussi sa joie et son amour. Les deux hommes qui n’attendaient que cette explosion de la femme baisée et enculée, en même temps, éjectent leur sperme dans son fondement et dans sa vulve. Mais Claire ne veut pas qu'ils s'en aillent. Aussi, à présent complètement désinhibée, elle leur crie.
- Oh ! Mon Dieu c'est trop bon. Oh je jouis, continuez, je vous en prie n'arrêtez pas, Oh ! mh, mhhh, mhhh, oui, encore entrez tous les deux dans moi, fort, encore. Oh ! C'est tellement bon, oui, oui, oui, encore, encore, encore, je n'en peux plus, je vais mourir, Ah ! Aaaaahh ! Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaarrrrrrrrrr...
Durant les quatre jours et les quatre nuits qui suivirent, sans presque se restaurer ni se reposer, les deux couples font l'amour dans toutes les positions en se mélangeant de toutes les façons. Ils n'arrivent plus à s'arrêter. Heureusement Paul a rendez-vous avec un éditeur, rendez-vous qu'il ne peut reporter, alors Claire et Florent laissent partir Marie-Ange et Paul avec beaucoup de regrets en espérant qu'ils les reverront.
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J'aime beaucoup cette histoire, elle m'excite.