Découvertes (épisode N°07) Partouze au club partie 2
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2013 dans la catégorie Plus on est
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Découvertes (épisode N°07) Partouze au club partie 2
DÉCOUVERTES (épisode N°07)
Paul, un intellectuel de cinquante-deux ans et Marie-Ange son épouse va bientôt avoir quarante-huit ans. Après avoir persuadé son épouse de se faire baiser par un inconnu alors qu’elle sera attachée et aveuglée, elle se révèle une belle salope lorsqu’elle est prise par son mari et l’inconnu dans sa chatte et son cul simultanément. À partir de cet instant c’est l’escalade dans les exhibitions, les masturbations multiples devant des partenaires féminins et masculins et les mélanges hétéroclites les plus invraisemblables avec de nombreux partenaires.
VII
PARTOUZE AU CLUB PARTIE 2
Alexandra a relevé la djellaba de Paul, puis, écartant le devant de son pantalon bouffant elle s’empale sur le sexe devenu dur de l'impuissant. Elle le chevauche comme une cavale et se fait jouir à son rythme, elle n'a plus d'âge, c'est une femme qui prend impétueusement son plaisir et qui est belle de toute sa sensualité.
Henri lui s'occupe de son épouse, il a rabattu le pan arrière de sa toge et a glissé son sexe trapu entre ses fesses la prenant en levrette. Les seins considérables d'Hélène ballottent au-dessus de Paul qui ne peut s’empêcher d’en attraper un au passage en se mettant immédiatement à le sucer. Hélène qui jusqu'ici se laissait faire par son mari sans aucune réaction, se met tout à coup à gémir, elle est certainement excitée par le spectacle qui se déroule sous ses yeux ébahis, alors qu’apparemment c'est la première fois que ses seins sont sollicités de la sorte, surtout que Paul ayant les mains libres les malaxent avec vigueur tout en les suçant alternativement. Elle se met à gémir en murmurant à Paul de continuer, son cul s'agite en cadence alors que le sexe de son mari profondément assujetti dans son vagin lui fait même pour la première fois un effet surprenant.
Trois-quarts d’heure plus tard, les trois couples complètement épuisés s'écroulent presque en même temps sous les applaudissements des autres convives qui avaient commencé à se déshabiller et à se masturber devant ce spectacle impressionnant. Heureusement le patron de l’établissement devant ce début de débauche avait fermé la porte d’entrée, empêchant des non-initiés de découvrir un spectacle aussi pornographique.
Petit à petit nos trois couples reprennent conscience. La première à refaire surface est Marie-Ange, elle se voit, troussée jusqu'au nombril, les jambes et les cuisses encore complètement disjointes, sa poitrine entièrement délogée du caftan, sa robe entortillée autour de sa taille. Pour être plus indécente cela paraît difficile. Son regard va vers Paul, qui allongé sur le dos, supporte le corps d'Alexandra emboîté dans le sien, un sein d'Hélène effleurant son visage. Un pincement de jalousie lui vient aussitôt, et puis, elle se met à rire en elle même doucement. Elle qui vient de jouir comme une bacchante en criant à pleins poumons son allégresse et qui se trouve avec le sexe d'un homme, qu'elle ne connaissait pas il y a seulement quelques heures, enfoncé au plus profond de son intimité, elle se trouve ridicule d'avoir ce genre de pensée.
Les autres se réveillent aussi. Éric et Alexandra tranquillement. Henri avec une feinte indifférence examine avec envie les corps de Marie-Ange et d'Alexandra. Hélène éprouve beaucoup de honte, elle, la frigide qui a crié sa jouissance, elle regarde son mari avec un air interrogatif et les autres avec gêne alors que tout à coup des larmes jaillissent et elle éclate en sanglots. Marie-Ange fait preuve aussitôt de compréhension. Enlaçant Hélène, elle lui dit que pour elle aussi c'est la première fois qu'elle participe à ce genre de réunion et que c'est aussi la première fois qu'elle se fait prendre par un autre homme que son mari. Elle ment bien sûr, sauf pour avoir fait l'amour en public car c'est vraiment pour elle une première initiation de se donner en spectacle de cette façon.
Hélène paraît un peu rassurée, elle se blottit dans les bras de Marie-Ange qui se surprend à l'embrasser et à sécher ses larmes tout en lui léchant les yeux, les joues et même la bouche. Le souvenir des lèvres et de la langue d'Alexandra lui revient en mémoire, elle songe qu’elle n'a pas trouvé cela désagréable, aussi elle glisse elle-même sa langue dans la bouche d'Hélène se trouvant surprise d'y trouver une autre langue qui s'enroule autour de la sienne. Leurs mains se mettent à parcourir chacune le corps de l'autre, leurs seins sont malaxés et leurs sexes pénétrés par ces doigts féminins qui connaissent si bien leurs zones les plus érogènes. Les deux cavales ont complètement oublié où elles se trouvent et qui les entourent. Sans être lesbiennes jusqu’ici elles viennent de découvrir une satisfaction et une passion qu'elles ne se connaissaient pas. Marie-Ange glisse ses doigts au plus profond du vagin de la blonde qui s’ouvre complaisamment sous la ferme palpation féminine.
Henri qui en meure d'envie depuis le début se place derrière Marie-Ange mais n'ose pas l'enculer. Alexandra complice, applique sa tête à la hauteur du séant de Marie-Ange et sortant une langue pointue de sa jolie bouche, se met à lécher la rosace en faisant pénétrer sa salive tout en forçant les plis du conduit anal, elle y ajoute de sa mouille qu'elle recueille avec ses doigts dans son propre vagin enfonçant deux doigts dans le goulet rectal qui s'ouvre de plus en plus. Lorsque le conduit est bien imprégné, elle fait un signe à Henri qui ravit présente son vit devant l'orifice entrebâillé et si généreusement lubrifié. Remerciant d'un sourire Alexandra il s'enfourne d'un seul coup et jusqu'à la garde dans la cavité qui le faisait baver d'envie. Marie-Ange bien qu'attendant et souhaitant cette intromission qui lui procure à chaque fois une si grande délectation pousse un cri bref à cette pénétration brutale, mais ses gémissements et l'ondulation de son bassin font comprendre à ses partenaires qu'en fait, elle ressent surtout un fabuleux plaisir.
Éric, s’est saisi d’une crème hydratante et quelque peu excitante qu’il entreprend d'étaler sur les fesses d'Hélène, ses caresses faisant des évolutions autour de la rosace de ce postérieur si tentant. Hélène tout à ses ébats avec Marie-Ange ne se rend pas compte des agissements d'Éric. Elle ne peut d'ailleurs rien supposer car elle a toujours refusé à son mari l'idée même d'être sodomisée. Pourtant elle possède une croupe à damner un Saint. Éric, le plus doucement possible, malaxe avec un doigt le tour de l’œillet plissé et contracté faisant pénétrer très doucement l’onguent. Celui-ci est un peu gras, mais il a aussi la propriété de chauffer et de picoter les parois vaginales ou anales. Hélène se rend enfin compte que l'on se fraye un passage dans son conduit inviolé mais la douce chaleur qui accompagne le doigt d'Éric et la main de Marie-Ange presque entièrement infiltrée dans son vagin lui fait perdre la notion de ses organes intimes et elle gémit de plus belle. Éric l'ayant convenablement humecté présente son sexe long et fin devant l'orifice vierge qu'il a si bien lubrifié tout en écartant les fesses avec ses deux mains, et, pour ne pas avoir de refus ou de tentative de rétraction de l'anus, il force l'entrée et pousse d'un seul élan aussi loin qu'il le peut.
Cela, en même temps qu'Henri s'ouvre un passage dans le cul de Marie-Ange. Les cris des deux femmes se mélangeant en un seul. Hélène enculée par Éric au plus profond d'elle même et la main de Marie-Ange maintenant complètement enfournée dans son vagin lui déclenche soudain un orgasme explosif pour la première fois de sa vie. Elle hoquette d'un plaisir espéré en cachette et qu'elle n'a pas su provoquer jusqu'ici. Éric infatigable lui transperce furieusement son troufignon. De plus elle est barattée dans sa matrice par la main de Marie-Ange qui elle-même reçoit les coups de boutoirs d'Henri dans son postérieur. Hélène perdant tout repère, glisse aussi sa main potelée dans le vagin de Marie-Ange, elle se fraye difficilement un chemin entre les lèvres distendues, mais inexorablement elle pénètre dans le conduit vaginal et à travers la mince membrane, elle se rend compte qu’elle touche le sexe de son mari qui entre et sort du cul de sa partenaire.
Le spectacle est dantesque, les deux femmes sont exténuées, mais elles veulent encore jouir et faire jouir l'autre, elles se déchaînent, s'embrassant et se mordant les seins. Le combat arrive pourtant à sa fin. Il s'arrête lorsque les deux hommes déchargent dans un feulement de fauves en rut dans les culs des deux furies. Et aussi, lorsque les deux femelles devenues subitement lubriques, bacchantes comblées et rassasiées se retrouvent sur le dos, écartelées et souillées, leur sexe bavant de foutre et de mouille mélangés, anéanties par l'extraordinaire jouissance qu'elles viennent de se donner.
Paul et Alexandra pendant ce temps se masturbent mutuellement contemplant ce spectacle ahurissant. Ils sont enlacés et ne peuvent détacher leurs yeux de leur femme et de leur mari qui se donnent ensemble un plaisir aussi torrentiel, que jamais ils n'auraient osé imaginer. La jouissance des quatre corps enchevêtrés est si savoureuse et si lubrique, qu'Alexandra se tournant alors vers Paul, lui susurre.
- Fais-moi l'amour mon chéri, mais comme je l'entends, tu vas être surpris, mais il me faut de la douleur pour jouir, et tu dois me faire mal, très mal !
Paul est un peu ébahi par cette femme qui a beaucoup de chic et qui malgré une soixantaine bien avancée, possède un joli corps à peine flétri, des petits seins encore bien durs, une chatte rasée et huilée tendre comme celui d'une adolescente et qui lui demande de la maltraiter ? La douairière se lève et s'approche d'un divan surélevé très étroit, à peine quarante centimètres de large. Complètement nue elle s'étend sur le ventre et laisse pendre ses cuisses et ses jambes de chaque côté. Son fessier petit et bien rond est largement ouvert, la rosace de son anus très rétractée est à peine visible et pourtant elle appelle Paul.
- Viens Paul, sodomise-moi à sec, n'aie pas peur de mes propos, je vais peut-être t'injurier, mais force-moi et va bien au fond dans mon anus !
Paul hésite quelque peu devant ce corps si mince qu’il va abîmer sans nul doute. Elle n'est plus très jeune, mais elle est là à l'attendre, sa position étant plus qu'une invite. Lui qui ne bandait plus beaucoup, cette situation l'excite et l'a mis en forme, il sent une trique très dure entre ses jambes, son visage devient chaud, aussi il a une envie folle de profaner cette femme. Il s'approche et présente son pénis contre ce cul si aimablement offert, il hésite car il n'a jamais pénétré de force un anus à sec, il a trop le respect du corps de la femme pour se laisser aller à ce genre de pratique, mais Alexandra l'encourage.
- Viens, déchire-moi, je veux que tu me fasses très mal, je t'en supplie, n'hésite pas !
Paul se décide enfin, et il essaie de pointer son pieu dans la rosace si bien serrée, il entre d'à peine un centimètre car le cul d'Alexandra est trop étroit, aussi il n'ose le forcer. Alors Alexandra l'injurie.
- Tu n'est pas un homme ! Un peu de courage, défonce-moi !
Paul charge vigoureusement la rosace qui résiste, il a même mal à son gland quand il sent bien qu'il s'ouvre un passage inexorablement, Alexandra halète et gémit de douleur, il pousse encore, il force l'entrée et transperce enfin l'anneau étroit du sphincter, ressentant comme une déchirure, Alexandra pleure et crie de douleur. Cela excite Paul qui s'enfonce à présent avec rage dans le cul de cette femme si belle et si fragile. Elle lui hurle d'arrêter mais ensuite de continuer. Il a compris que c'est cette jouissance-là qu'elle veut, il enfonce ses mains dans ses fesses triturant la chair de ses doigts crispés et enfonçant ses ongles dans la croupe. Il creuse au plus profond dans ce goulet qui a tant de mal à s'ouvrir, et, tout à coup, il fait irruption au fond du rectum. Alors, tout en s'acharnant sur ses fesses qu'il écorche avec ses ongles, il la bourre brutalement dans un va-et-vient infernal, puis il retire sa verge pour contempler le cratère du trou du cul qui vient de s’ouvrir devant ses yeux et il s'y renfonce à nouveau avec délectation.
Elle crie sa joie et sa douleur mélangées, répondant maintenant avec frénésie à ses coups de boutoir et il se répand en elle en éjaculant toute sa semence abondante. Elle divague et crie hystériquement sa folle et ahurissante jouissance. Exténués, leurs membres rompus, ils s'écroulent enchevêtrés et s'immobilisent, brisés par leur chevauchée infernale. Les quatre autres qui ont repris leurs esprits les regardent depuis un moment déjà. Marie-Ange se sent un peu jalouse, son Paul qui ne pouvait plus bander, il y a encore quelques mois vient de faire une démonstration de sa vigueur. Encore avec une autre femme qu'elle, c'est la seconde après Claire. Mais après ce qu'elle vient de faire et de permettre elle ne peut tout de même pas lui faire de reproches. Elle s'approche du couple enlacé qui s'embrasse, mélangeant sa langue à la leur, et enfouissant ses mains dans les deux corps pour s’amalgamer à leurs caresses. Étendus sur la banquette, ils se masturbent et s'embrassent, mais la fatigue les gagne et ils s'endorment tendrement emmêlés.
Paul, un intellectuel de cinquante-deux ans et Marie-Ange son épouse va bientôt avoir quarante-huit ans. Après avoir persuadé son épouse de se faire baiser par un inconnu alors qu’elle sera attachée et aveuglée, elle se révèle une belle salope lorsqu’elle est prise par son mari et l’inconnu dans sa chatte et son cul simultanément. À partir de cet instant c’est l’escalade dans les exhibitions, les masturbations multiples devant des partenaires féminins et masculins et les mélanges hétéroclites les plus invraisemblables avec de nombreux partenaires.
VII
PARTOUZE AU CLUB PARTIE 2
Alexandra a relevé la djellaba de Paul, puis, écartant le devant de son pantalon bouffant elle s’empale sur le sexe devenu dur de l'impuissant. Elle le chevauche comme une cavale et se fait jouir à son rythme, elle n'a plus d'âge, c'est une femme qui prend impétueusement son plaisir et qui est belle de toute sa sensualité.
Henri lui s'occupe de son épouse, il a rabattu le pan arrière de sa toge et a glissé son sexe trapu entre ses fesses la prenant en levrette. Les seins considérables d'Hélène ballottent au-dessus de Paul qui ne peut s’empêcher d’en attraper un au passage en se mettant immédiatement à le sucer. Hélène qui jusqu'ici se laissait faire par son mari sans aucune réaction, se met tout à coup à gémir, elle est certainement excitée par le spectacle qui se déroule sous ses yeux ébahis, alors qu’apparemment c'est la première fois que ses seins sont sollicités de la sorte, surtout que Paul ayant les mains libres les malaxent avec vigueur tout en les suçant alternativement. Elle se met à gémir en murmurant à Paul de continuer, son cul s'agite en cadence alors que le sexe de son mari profondément assujetti dans son vagin lui fait même pour la première fois un effet surprenant.
Trois-quarts d’heure plus tard, les trois couples complètement épuisés s'écroulent presque en même temps sous les applaudissements des autres convives qui avaient commencé à se déshabiller et à se masturber devant ce spectacle impressionnant. Heureusement le patron de l’établissement devant ce début de débauche avait fermé la porte d’entrée, empêchant des non-initiés de découvrir un spectacle aussi pornographique.
Petit à petit nos trois couples reprennent conscience. La première à refaire surface est Marie-Ange, elle se voit, troussée jusqu'au nombril, les jambes et les cuisses encore complètement disjointes, sa poitrine entièrement délogée du caftan, sa robe entortillée autour de sa taille. Pour être plus indécente cela paraît difficile. Son regard va vers Paul, qui allongé sur le dos, supporte le corps d'Alexandra emboîté dans le sien, un sein d'Hélène effleurant son visage. Un pincement de jalousie lui vient aussitôt, et puis, elle se met à rire en elle même doucement. Elle qui vient de jouir comme une bacchante en criant à pleins poumons son allégresse et qui se trouve avec le sexe d'un homme, qu'elle ne connaissait pas il y a seulement quelques heures, enfoncé au plus profond de son intimité, elle se trouve ridicule d'avoir ce genre de pensée.
Les autres se réveillent aussi. Éric et Alexandra tranquillement. Henri avec une feinte indifférence examine avec envie les corps de Marie-Ange et d'Alexandra. Hélène éprouve beaucoup de honte, elle, la frigide qui a crié sa jouissance, elle regarde son mari avec un air interrogatif et les autres avec gêne alors que tout à coup des larmes jaillissent et elle éclate en sanglots. Marie-Ange fait preuve aussitôt de compréhension. Enlaçant Hélène, elle lui dit que pour elle aussi c'est la première fois qu'elle participe à ce genre de réunion et que c'est aussi la première fois qu'elle se fait prendre par un autre homme que son mari. Elle ment bien sûr, sauf pour avoir fait l'amour en public car c'est vraiment pour elle une première initiation de se donner en spectacle de cette façon.
Hélène paraît un peu rassurée, elle se blottit dans les bras de Marie-Ange qui se surprend à l'embrasser et à sécher ses larmes tout en lui léchant les yeux, les joues et même la bouche. Le souvenir des lèvres et de la langue d'Alexandra lui revient en mémoire, elle songe qu’elle n'a pas trouvé cela désagréable, aussi elle glisse elle-même sa langue dans la bouche d'Hélène se trouvant surprise d'y trouver une autre langue qui s'enroule autour de la sienne. Leurs mains se mettent à parcourir chacune le corps de l'autre, leurs seins sont malaxés et leurs sexes pénétrés par ces doigts féminins qui connaissent si bien leurs zones les plus érogènes. Les deux cavales ont complètement oublié où elles se trouvent et qui les entourent. Sans être lesbiennes jusqu’ici elles viennent de découvrir une satisfaction et une passion qu'elles ne se connaissaient pas. Marie-Ange glisse ses doigts au plus profond du vagin de la blonde qui s’ouvre complaisamment sous la ferme palpation féminine.
Henri qui en meure d'envie depuis le début se place derrière Marie-Ange mais n'ose pas l'enculer. Alexandra complice, applique sa tête à la hauteur du séant de Marie-Ange et sortant une langue pointue de sa jolie bouche, se met à lécher la rosace en faisant pénétrer sa salive tout en forçant les plis du conduit anal, elle y ajoute de sa mouille qu'elle recueille avec ses doigts dans son propre vagin enfonçant deux doigts dans le goulet rectal qui s'ouvre de plus en plus. Lorsque le conduit est bien imprégné, elle fait un signe à Henri qui ravit présente son vit devant l'orifice entrebâillé et si généreusement lubrifié. Remerciant d'un sourire Alexandra il s'enfourne d'un seul coup et jusqu'à la garde dans la cavité qui le faisait baver d'envie. Marie-Ange bien qu'attendant et souhaitant cette intromission qui lui procure à chaque fois une si grande délectation pousse un cri bref à cette pénétration brutale, mais ses gémissements et l'ondulation de son bassin font comprendre à ses partenaires qu'en fait, elle ressent surtout un fabuleux plaisir.
Éric, s’est saisi d’une crème hydratante et quelque peu excitante qu’il entreprend d'étaler sur les fesses d'Hélène, ses caresses faisant des évolutions autour de la rosace de ce postérieur si tentant. Hélène tout à ses ébats avec Marie-Ange ne se rend pas compte des agissements d'Éric. Elle ne peut d'ailleurs rien supposer car elle a toujours refusé à son mari l'idée même d'être sodomisée. Pourtant elle possède une croupe à damner un Saint. Éric, le plus doucement possible, malaxe avec un doigt le tour de l’œillet plissé et contracté faisant pénétrer très doucement l’onguent. Celui-ci est un peu gras, mais il a aussi la propriété de chauffer et de picoter les parois vaginales ou anales. Hélène se rend enfin compte que l'on se fraye un passage dans son conduit inviolé mais la douce chaleur qui accompagne le doigt d'Éric et la main de Marie-Ange presque entièrement infiltrée dans son vagin lui fait perdre la notion de ses organes intimes et elle gémit de plus belle. Éric l'ayant convenablement humecté présente son sexe long et fin devant l'orifice vierge qu'il a si bien lubrifié tout en écartant les fesses avec ses deux mains, et, pour ne pas avoir de refus ou de tentative de rétraction de l'anus, il force l'entrée et pousse d'un seul élan aussi loin qu'il le peut.
Cela, en même temps qu'Henri s'ouvre un passage dans le cul de Marie-Ange. Les cris des deux femmes se mélangeant en un seul. Hélène enculée par Éric au plus profond d'elle même et la main de Marie-Ange maintenant complètement enfournée dans son vagin lui déclenche soudain un orgasme explosif pour la première fois de sa vie. Elle hoquette d'un plaisir espéré en cachette et qu'elle n'a pas su provoquer jusqu'ici. Éric infatigable lui transperce furieusement son troufignon. De plus elle est barattée dans sa matrice par la main de Marie-Ange qui elle-même reçoit les coups de boutoirs d'Henri dans son postérieur. Hélène perdant tout repère, glisse aussi sa main potelée dans le vagin de Marie-Ange, elle se fraye difficilement un chemin entre les lèvres distendues, mais inexorablement elle pénètre dans le conduit vaginal et à travers la mince membrane, elle se rend compte qu’elle touche le sexe de son mari qui entre et sort du cul de sa partenaire.
Le spectacle est dantesque, les deux femmes sont exténuées, mais elles veulent encore jouir et faire jouir l'autre, elles se déchaînent, s'embrassant et se mordant les seins. Le combat arrive pourtant à sa fin. Il s'arrête lorsque les deux hommes déchargent dans un feulement de fauves en rut dans les culs des deux furies. Et aussi, lorsque les deux femelles devenues subitement lubriques, bacchantes comblées et rassasiées se retrouvent sur le dos, écartelées et souillées, leur sexe bavant de foutre et de mouille mélangés, anéanties par l'extraordinaire jouissance qu'elles viennent de se donner.
Paul et Alexandra pendant ce temps se masturbent mutuellement contemplant ce spectacle ahurissant. Ils sont enlacés et ne peuvent détacher leurs yeux de leur femme et de leur mari qui se donnent ensemble un plaisir aussi torrentiel, que jamais ils n'auraient osé imaginer. La jouissance des quatre corps enchevêtrés est si savoureuse et si lubrique, qu'Alexandra se tournant alors vers Paul, lui susurre.
- Fais-moi l'amour mon chéri, mais comme je l'entends, tu vas être surpris, mais il me faut de la douleur pour jouir, et tu dois me faire mal, très mal !
Paul est un peu ébahi par cette femme qui a beaucoup de chic et qui malgré une soixantaine bien avancée, possède un joli corps à peine flétri, des petits seins encore bien durs, une chatte rasée et huilée tendre comme celui d'une adolescente et qui lui demande de la maltraiter ? La douairière se lève et s'approche d'un divan surélevé très étroit, à peine quarante centimètres de large. Complètement nue elle s'étend sur le ventre et laisse pendre ses cuisses et ses jambes de chaque côté. Son fessier petit et bien rond est largement ouvert, la rosace de son anus très rétractée est à peine visible et pourtant elle appelle Paul.
- Viens Paul, sodomise-moi à sec, n'aie pas peur de mes propos, je vais peut-être t'injurier, mais force-moi et va bien au fond dans mon anus !
Paul hésite quelque peu devant ce corps si mince qu’il va abîmer sans nul doute. Elle n'est plus très jeune, mais elle est là à l'attendre, sa position étant plus qu'une invite. Lui qui ne bandait plus beaucoup, cette situation l'excite et l'a mis en forme, il sent une trique très dure entre ses jambes, son visage devient chaud, aussi il a une envie folle de profaner cette femme. Il s'approche et présente son pénis contre ce cul si aimablement offert, il hésite car il n'a jamais pénétré de force un anus à sec, il a trop le respect du corps de la femme pour se laisser aller à ce genre de pratique, mais Alexandra l'encourage.
- Viens, déchire-moi, je veux que tu me fasses très mal, je t'en supplie, n'hésite pas !
Paul se décide enfin, et il essaie de pointer son pieu dans la rosace si bien serrée, il entre d'à peine un centimètre car le cul d'Alexandra est trop étroit, aussi il n'ose le forcer. Alors Alexandra l'injurie.
- Tu n'est pas un homme ! Un peu de courage, défonce-moi !
Paul charge vigoureusement la rosace qui résiste, il a même mal à son gland quand il sent bien qu'il s'ouvre un passage inexorablement, Alexandra halète et gémit de douleur, il pousse encore, il force l'entrée et transperce enfin l'anneau étroit du sphincter, ressentant comme une déchirure, Alexandra pleure et crie de douleur. Cela excite Paul qui s'enfonce à présent avec rage dans le cul de cette femme si belle et si fragile. Elle lui hurle d'arrêter mais ensuite de continuer. Il a compris que c'est cette jouissance-là qu'elle veut, il enfonce ses mains dans ses fesses triturant la chair de ses doigts crispés et enfonçant ses ongles dans la croupe. Il creuse au plus profond dans ce goulet qui a tant de mal à s'ouvrir, et, tout à coup, il fait irruption au fond du rectum. Alors, tout en s'acharnant sur ses fesses qu'il écorche avec ses ongles, il la bourre brutalement dans un va-et-vient infernal, puis il retire sa verge pour contempler le cratère du trou du cul qui vient de s’ouvrir devant ses yeux et il s'y renfonce à nouveau avec délectation.
Elle crie sa joie et sa douleur mélangées, répondant maintenant avec frénésie à ses coups de boutoir et il se répand en elle en éjaculant toute sa semence abondante. Elle divague et crie hystériquement sa folle et ahurissante jouissance. Exténués, leurs membres rompus, ils s'écroulent enchevêtrés et s'immobilisent, brisés par leur chevauchée infernale. Les quatre autres qui ont repris leurs esprits les regardent depuis un moment déjà. Marie-Ange se sent un peu jalouse, son Paul qui ne pouvait plus bander, il y a encore quelques mois vient de faire une démonstration de sa vigueur. Encore avec une autre femme qu'elle, c'est la seconde après Claire. Mais après ce qu'elle vient de faire et de permettre elle ne peut tout de même pas lui faire de reproches. Elle s'approche du couple enlacé qui s'embrasse, mélangeant sa langue à la leur, et enfouissant ses mains dans les deux corps pour s’amalgamer à leurs caresses. Étendus sur la banquette, ils se masturbent et s'embrassent, mais la fatigue les gagne et ils s'endorment tendrement emmêlés.
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