Découvertes (épisode N°08) expérience ultime

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Récit libertin : Découvertes (épisode N°08) expérience ultime Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2013 dans la catégorie Plus on est
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Découvertes (épisode N°08) expérience ultime
DÉCOUVERTES (épisode N°08)

Paul, un intellectuel de cinquante-deux ans et Marie-Ange son épouse va bientôt avoir quarante-huit ans. Depuis que Paul, adepte du candaulisme a partagé sa femme avec un autre homme, pour le couple c’est l’escalade dans les exhibitions, les masturbations multiples devant des partenaires féminins et masculins et les mélanges hétéroclites les plus invraisemblables avec de nombreux partenaires.


VIII

L'EXPERIENCE ULTIME

Plusieurs semaines après leur expérience du bois de Vincennes, Paul et Marie-Ange ont repris une vie amoureuse normale faisant l'amour presque chaque jour. La luxure dans laquelle ils se sont lancés depuis quelques mois leur a permis d'avoir de nouveau des envies furieuses de fornication et surtout de multiplier leurs expériences. Pourtant ils n'ont pas reparlé de cette soirée à six et de la jouissance radieuse qu'ils ont découverte l'un et l'autre. D'un commun accord, ils n'ont pas recherché à revoir leurs partenaires d'un soir, ou plutôt d'une nuit car cela a duré jusqu'à l'aube, les couples se mélangeant intimement jusqu'à l'épuisement total de leurs forces.

Mais chacun de leur côté, ils songent, sans oser se l'avouer, qu'ils recommenceraient bien ce genre d'expérience. Le hasard faisant bien les choses, ils découvrent dans leur courrier une brochure vantant des soirées très spéciales comportant de nombreux thèmes libertins. Comme cela doit se dérouler dans un château du XIIIe siècle et que les explications leur paraissent alléchantes, ils décident de se renseigner sur les dates et les modalités de ces séjours. Lorsque peu après ils reçoivent des précisions, ils décident d'aller y passer un week-end prolongé. Seul inconvénient de ce séjour libertin, il est spécifié que les participants seront séparés dès leur arrivée, les femmes entre elles et les hommes de leur côté, alors que des vêtements et des masques leur seront fournis à leur arrivée. Paul et Marie-Ange imaginent qu’il sera amusant de se chercher dans la foule des masques incognito, aussi ils partent très émoustillés vers la campagne Solognote.

Après plusieurs heures passées sur des routes de campagne, ils arrivent devant une double porte en fer forgé qui s'entrouvre sur un parc entouré de hauts murs. À l’entrée, un garde en uniforme avec sa casquette à la main leur demande leur invitation. Ensuite, il leur indique l'allée qu’ils doivent suivre leur signalant qu'il y a plus de trois kilomètres pour arriver au château. En arrivant sur une vaste esplanade, ils découvrent une bonne vingtaine de puissantes limousines qui sont déjà garées. Un autre garde posté près des voitures contrôle leur invitation et les dirige vers une porte basse à la droite de l'entrée principale. Là, ils sont accueillis par une jeune soubrette portant sur le visage un loup noir. La jeune femme qui leur dit s’appeler Martine est vêtue d'une courte jupe noire, très serrée et s’arrêtant au ras des fesses, alors que le voile de son chemisier laisse transparaître des seins épanouis qui débordent de son corsage.

Martine les dirige dans un couloir voûté habillé de pierre brute qui descend en pente douce. Puis elle s'arrête devant une porte faisant signe à Marie-Ange d'entrer, ensuite elle entraîne Paul dans un autre couloir, où, devant une autre porte identique à la première, elle le fait entrer, le suivant à l'intérieur. C'est une chambre sans fenêtre où les murs sont en pierres nues comme les couloirs qu’ils viennent de parcourir ; de lourdes tentures violettes sont disposées sur les murs et le vaste lit est recouvert du même tissu alors qu’une épaisse moquette jaune bouton d'or recouvre le sol. Martine signifie à Paul qu'il doit aller se préparer dans la salle de bains contiguë ; elle lui remet une grande robe en lin blanc et un masque représentant la tête d'un loup, tout en lui indiquant qu’il doit recouvrir sa tête et son nez, seule la bouche et le menton devant apparaître. Ensuite elle lui dit qu'elle reviendra le chercher dans une demi-heure.

Pour Marie-Ange c'est à peu près le même scénario mais cette fois c'est un jeune éphèbe blond qui la reçoit vêtu d'un kimono en soie noire. La chambre est tendue de velours bleu turquoise alors qu’un brûle parfum dégage une odeur douceâtre. Le jeune homme se présente et dit se nommer Marc tout en lui présentant les vêtements qu’elle doit revêtir : une longue robe rouge ainsi qu’un masque représentant une tête de panthère ; il lui indique également comment en recouvrir sa tête et son nez. Ensuite il lui demande de passer dans la salle de bains. Là, il la déshabille entièrement et lui demande de descendre dans la petite piscine formant baignoire. Dans celle-ci, des sels et des bains moussants ont été répandus alors que l’eau est d’une la température moyenne.

Marie-Ange s'allonge dans la vasque alors que Marc enlève son kimono entrant à sa suite dans l'eau aussi nu qu'elle. Marie-Ange se sent un peu seule regrettant la présence de son mari. Le jeune homme est très beau, mais elle a peur d'être forcée à froid. En fait, muni d’une grosse éponge, il la savonne lentement avec le bain moussant. Il commence par son cou derrière ses épaules puis il descend doucement sur les reins, passe l'éponge sur les fesses, les cuisses, les jambes et enfin il lui lave attentivement les pieds faisant frissonner Marie-Ange de plaisir. Marc remonte son éponge par-devant vers les cuisses et les hanches, évitant le pubis et remontant jusqu'aux épaules, ensuite il lave chaque sein en spirale longuement faisant pousser à Marie-Ange des soupirs langoureux. Marc descend ensuite l'éponge très doucement vers le ventre bombé de Marie-Ange, venant effleurer le sexe qui s'entrouvre. Il prend maintenant une éponge plus petite, lavant le pourtour des lèvres de la vulve à présent grande ouverte, excitant le clitoris par de petits à coups, puis il essuie l'intérieur du vagin qui dégouline de mouille alors que Marie-Ange ne peut s'empêcher de geindre de plaisir tout en jouissant délicieusement dans cette eau chaude parfumée et veloutée.

Marc l'essuie doucement lorsqu'elle sort du bain et l'aide à s'habiller et à passer son masque. Marie-Ange se dit qu’elle aurait bien apprécié que Marc aille un peu plus loin. La verge du jeune homme blond est très attirante, mais elle n'a pas osé la prendre et la goûter avec ses lèvres. Fermant les yeux, elle s'imagine qu'il entre hardiment son sexe dans sa vulve et elle serre ses cuisses vivement l'une contre l'autre tellement l'envie devient impérative. Au demeurant c'est trop tard car il lui signifie qu'elle doit aller rejoindre son compagnon pour se faire masser.

Paul a dû se débrouiller seul en suivant les conseils de Martine, s’habillant et mettant son masque de loup sur sa tête. Puis il attend depuis environ dix minutes lorsque sans frapper Martine se glisse dans la chambre lui faisant signe de la suivre. Ils reprennent le couloir et tournent dans une autre direction. Après une vingtaine de mètres, elle l'introduit dans une petite pièce ronde, la base d'une tour certainement et le laisse seul. Des banquettes sont disposées autour des murs entre les quatre portes cloutées qui sont fermées. Peu après la porte par laquelle Paul est entré s'ouvre et Marie-Ange entre seule. Malgré les masques qu’ils portent, ils se reconnaissent immédiatement et ils échangent leurs impressions à mi-voix. Après le récit de Marie-Ange, Paul se sent frustré de ne pas avoir été lavé par Martine qui le tentait bien et il le dit en riant à son épouse.

Une autre porte s'ouvre, alors qu’une voix sortant d’un haut-parleur invisible les invite à entrer. Ils pénètrent dans un local plus grand toujours construit avec des murs de pierre nue. Cette fois il y a deux lits de massages au centre de la pièce. Un Noir athlétique très musclé, la peau brillante, comme huilée et portant un slip en panthère est debout près d'un lit. À côté de l'autre couche, une métisse magnifique est vêtue d'un court pagne en peau de loup qui ceint ses reins alors que ses seins en forme de poire sont nus. Les bouts sont très gros et peints en bleu métallique avec des anneaux enfilés dans la pointe des tétons, sa chevelure est noire de jais et très longue descendant presque jusqu'à ses cuisses.

Nos héros ont compris en comparant les vêtements de leurs masseurs et leurs masques que chacun allait être massé par la personne opposée à leur sexe. Ils retirent donc leurs longues robes et s'allongent chacun sur une des tables de massage, se disposant sur le ventre. Le massage est vigoureux et leur fait beaucoup de bien, car après la fatigue de la route, le bain les a détendus, mais ils se sentent un peu mous. Les mains sont agiles et Paul sent son sexe durcir sous lui alors que l'odeur de la femme penchée sur lui est envahissante. Marie-Ange mouille déjà sous les mains énormes de l’étalon qui la malaxe.

Après un bon quart d'heure de massage, ils sont retournés en même temps sur le dos. Paul ne peut cacher son sexe en érection alors que Marie-Ange sourit malicieusement. Ne serait-elle plus jalouse ? Pense Paul amusé. Le massage reprend cette fois de face, les seins de Marie-Ange sont malaxés, ainsi que son ventre et l'intérieur de ses cuisses. Elle ressent que son corps est en feu. Paul a une envie folle que la femme lui touche le sexe, au moins qu'elle le branle, mais elle passe ses mains partout et comme Marie-Ange le point crucial n'est jamais touché. Après un bon quart d'heure d’activité, les masseurs les essuient avec des serviettes très douces.

Ensuite ils prennent chacun un flacon d'huile parfumée et ils en enduisent les corps de Paul et de Marie-Ange. Cette fois les doigts se font plus audacieux, la jolie métisse après avoir enduit le corps de Paul a entouré ses testicules de ses doigts huilés et sa bouche et sa langue s'activent sur le sexe tendu. Marie-Ange, est complètement recouverte d'huile, sauf son vagin alors qu’elle sent soudain la langue du Noir la pénétrer au plus profond d'elle-même puis titiller son clitoris. Éperdue par la volupté qui l’envahit, elle se laisse aller tout en regardant Paul se faire pomper par la belle jeune Métisse. Elle voit soudain la semence blanchâtre s'écouler des lèvres brunes et couler entre les seins mordorés lorsque Paul éjacule, alors qu’elle-même expulse sa liqueur vaginale dans la bouche du colosse. Ils se laissent aller tous les deux vers une voluptueuse jouissance, sombrant dans une vague somnolence durant de longues minutes.

Reposés, le corps encore plein de bonheur sensuel, ils se rhabillent car ils se retrouvent de nouveau seuls. Une voix venant d'un haut-parleur leur indique une porte peinte en rouge qu'ils doivent emprunter, longeant un couloir interminable. Après une centaine de mètres, ils pénètrent alors dans une très grande pièce où une quarantaine de personnes se tiennent rassemblées, s’apercevant qu’ils sont tous habillés à l’identique. Quelques-uns dansent, d'autres sont assis sur des divans avec un verre à la main. Une femme un peu grasse s'approche et les invite à se joindre aux couples qui se trémoussent sur la piste. Marie-Ange et Paul s'enlacent aussitôt, se laissant aller à un slow langoureux. Au bout de la seconde danse une voix de femme intime aux danseurs de changer de cavalières.

Paul se retrouve avec la femme qui les a reçus et très vite il ne voit plus Marie-Ange qui disparaît dans la foule. Il songe qu'il ne pourra la reconnaître et que lui-même pourra difficilement être identifié car ils portent tous le même costume. Un deuxième et puis un troisième changement de cavaliers intervenant à la suite rend tout le monde anonyme.

Marie-Ange a perdu également Paul de vue, les costumes identiques respectant l'anonymat des danseurs. Elle apprécie aussitôt son dernier cavalier qui danse très bien, elle qui adore ça. Après une rumba et un tango auxquels Marie-Ange a pris un grand plaisir, c'est un slow qui leur succède. À ce moment, son nouveau danseur se rapproche et se colle contre elle. Elle qui est nue sous sa robe en voile rouge constate que le sexe dur de son danseur se glisse insidieusement entre ses cuisses. Troublée, elle sent l'excitation la gagner et elle danse sur place pour ne pas perdre le contact avec ce sexe qui l'électrise. Elle le serre avec ravissement entre les jambes du mâle, sentant déjà sa mouille couler de son vagin qui s'entrouvre. Son danseur caresse son dos et sa main descendant jusqu'à ses fesses, elle se colle tout contre lui, puis, songeant que son masque lui garantit la confidentialité, elle ose relever le voile de sa robe et celle de son cavalier.

Prenant à pleines mains le sexe rigide et tendu à l’horizontal, elle découvre que le mandrin qu'elle tient dans ses mains est énorme. Mais, dans son état, elle ne veut pas réfléchir, ayant trop envie que l’énorme sexe plonge dans sa vulve. Aussi elle se hausse sur la pointe de ses chaussures et écartant ses grandes lèvres d'une main elle se l'enfile de l'autre main au plus profond de son intimité. Elle manque défaillir devant l'engin qu'elle vient de s'enfoncer dans sa matrice et qui la laboure impitoyablement. Malgré tout elle n'a plus le choix, continuant à danser sur place tout en copulant avec le mâle anonyme. Heureusement la danse langoureuse facilite l'intromission et les va-et-vient du mandrin trop volumineux de l'homme comblent entièrement la grotte de Marie-Ange. Tout à coup son danseur l'entraîne dans une autre pièce tout en dansant et en faisant aller et venir sa verge dans la vulve si aimablement offerte. Arrivé près d'un gigantesque lit qui couvre les trois quarts d'une surface de dix mètres carrés, il fléchit les genoux et se laisse aller en arrière tout en maintenant Marie-Ange encastrée sur son vit.

Sur ce vaste lupanar des couples nus et demi-nus copulent à deux mais le plus souvent à trois ou à quatre entremêlés. Marie-Ange se demande si son mari est dans cette pièce, mais comment le reconnaître ? Ne voulant pas trop penser à ce qui va se passer elle se débarrasse de sa robe qui la gêne et s'étend de nouveau sur son partenaire tout en s'introduisant le sexe turgescent dégoulinant de sa mouille dans sa cavité vaginale. Il n'a pas encore éjaculé et pourtant il y a bien vingt minutes qu'il la besogne prouvant ainsi sa résistance à copuler.

À ce moment, elle sent des mains qui s'emparent de ses fesses ; ce ne peuvent être celles de son cavalier puisque au même instant il caresse à pleines mains ses seins volumineux. Ce second partenaire qu'elle ne voit pas lui écarte ses globes charnus lui pratiquant une magnifique feuille de rose, puis sondant son anus avec sa langue, il lui enduit son conduit avec sa salive. Marie-Ange a compris qu'elle va être également sodomisée. Bien que ravie de cette pratique qui lui procure à présent une extraordinaire satisfaction, elle a toujours peur d'être déchirée par un sexe trop important. Malgré tout elle y trouve depuis un bon moment beaucoup de délectation et une grande volupté, surtout qu’elle a même déjà été prise en sandwich plusieurs fois et à chaque fois ce furent des expériences tout à fait concluantes.

Cette fois pourtant le sexe que lui présente l'homme qui la prend par-derrière a un peu de mal à se frayer un passage. Il appuie par petits coups essayant d’élargir l’œillet trop étroit, mais son sexe ne rentre pas. Soudain son partenaire de face lui prend les cuisses sous ses bras et il lui écarte les fesses au maximum la mettant presque cul par-dessus tête. Son partenaire de derrière lui enduit le canal fessier d'un lubrifiant très gras et presque chaud. Soudain l'énorme vit de ce second acolyte force l'entrée de son anus, repoussant presque avec sa queue celle qui occupe son vagin. Elle pressent que son conduit rectal doit être complètement dilaté mais bizarrement elle n'a pas vraiment mal, ressentant seulement un certain encombrement des deux membres qui obstruent ses orifices naturels. Elle est complètement immobilisée alors que son danseur tenant toujours ses cuisses bien écartées permet à l'homme qui l'encule de peser de tout son poids sur son dos, son sexe forçant profondément sa cavité anale qui s’ouvre sur un véritable cratère.

Les deux hommes se mettent à pousser en cadence l'un se retirant pendant que l'autre entre à fond. Marie-Ange commence à râler de plaisir alors qu’une jouissance tourbillonnante s'empare de ses sens exacerbés se demandant si elle va pouvoir supporter cette bacchanale. Ses presque cinquante années de sagesse sexuelle ne l’ayant pas préparée à ces débordements lubriques. À ce moment, un autre homme vient vers elle lui agrippant fermement la tête par ses cheveux et lui enfournant une bite bien dure dans la bouche. Oubliant toute décence, elle se met à le pomper furieusement provocant rapidement une l’expulsion du foutre qui coule dans sa gorge, absorbant la sève et l’avalant sans rechigner.

Peu après, un autre s'approche et il lui force la bouche avec une queue énorme. Elle manque vomir tellement cette verge exhale une odeur d'urine et le foutre mélangés. Mais bourrée par son baiseur et son enculeur, encore excitée par celui qu'elle vient de pomper, elle recommence et nettoie avec sa langue les moindres recoins de la peau plissée de la verge de son violeur de bouche. Elle le mordille un peu pour voir et puis elle serre les dents plus fort et accentue sa pression presque à le mordre. D'un seul coup, elle reçoit un jet puissant au fond de sa gorge, la liqueur s’écoulant abondamment mélangée à de l'urine, manquant s'étouffer. Puis sans réfléchir à son avilissement, elle avale le tout, le jus coule de sa bouche tellement il se déverse à flots et dégouline sur son cou, sur ses seins, partout. À ce moment, les deux autres hommes éjaculent en même temps dans son vagin et dans son cul. Elle a affreusement mal partout et elle s'écroule complètement épuisée, mais heureuse et comblée comme jamais elle ne l'a été, bien qu’inquiète de son comportement, de plus en plus obscène et pervers, et du plaisir qu’elle en éprouve.

Marie-Ange épuisée par les dépravations auxquelles elle vient de se livrer s’est endormie, sa fatigue ayant pris le dessus. Elle rêve que des hommes de noir vêtus l'emportent dans une pièce toute rouge et qu'elle est attachée à des anneaux, un feu est allumé et un bourreau tenant à la main une tige de fer rougie s’apprête à la torturer. Elle se réveille en sursaut et à l'impression de poursuivre son rêve…
………………………………….

Mais comment Paul a t’il poursuivi la soirée lorsqu’il s’est séparé de son épouse ? Après avoir changé de partenaires plusieurs fois en dansant, il s’est retrouvé à tenir dans ses bras une jeune femme brune de vingt-quatre à vingt-six ans possédant des yeux bleus très vifs. Très bronzée, il remarque aussi que cette jolie brunette possède une peau chaude et douce ; ses seins en forme de poires sont très bien faits, et les pointes remontent à travers le tissu très fin de sa robe. Ses jambes et ses cuisses sont nerveuses, un vrai canon quoi ! Elle se colle à Paul, sa poitrine frottant contre son torse, ses cuisses s'ouvrant pour laisser passer un genou de l'homme contre son ventre qui se frotte contre le sexe qui a durci. Sa bouche vient se poser sur les lèvres de Paul et sa langue se faufile pour s'entortiller autour de la sienne. Paul a très chaud, pensant que cette fille est cinglée, que vient-elle faire avec un homme de son âge ? Elle lui demande tout en dansant comment il se prénomme, puis elle dit s'appeler Céline, être étudiante en psy et avoir vingt-six ans.

Tout en bavardant Paul n'a pu s'empêcher de passer une main dans sa robe entrouverte tout en lui caressant un sein bien ferme. Mais elle n'est pas en reste car de son côté, elle a laissée tomber une main le long de son corps et l'a glissée entre leurs pubis emboîtés l'un dans l'autre et tout en dansant, elle masturbe la verge qui bande pour elle. Puis, elle dirige Paul vers une alcôve fermée par un rideau en velours grenat, elle l'écarte et ils se retrouvent sur un grand divan accolé à un mur. Sans hésiter elle se laisse aller en arrière et attire Paul sur elle. Ils s'embrassent toujours passionnément et leurs attouchements deviennent de plus en plus précis. Céline se dégage rapidement du corps de Paul, et, s'agenouillant sur le divan, elle passe par-dessus sa tête la robe qui la couvre si peu se retrouvant nue devant lui. Sa plastique est très belle comme l'avait si bien deviné son cavalier.

Paul enlève aussi son vêtement alors que le couple se retrouve de nouveau enlacé. Céline fait preuve d'une initiative osée. À genoux elle enjambe Paul et s'allonge sur lui en continuant à dévorer sa bouche. Tout en se trémoussant, elle s'arrange pour avoir sa verge raidie par le désir, coincée entre ses cuisses. Se soulevant à demi elle écarte légèrement les jambes et tenant d'une main ses lèvres vaginales entrouvertes elle insère la queue turgescente dans sa chatte accueillante. Paul ressent la chaleur et surtout l'étroitesse de cette grotte diabolique. Céline ayant enroulé ses jambes autour des siennes s'enfonce le vit qui a des soubresauts au plus profond d'elle même, puis elle souffle à Paul dans son oreille de ne pas bouger et d'apprécier ce moment si voluptueux.

À ce moment, une rousse aux yeux verts et à la peau tachetée de points de rousseurs s'approche du couple. Elle est nue elle aussi mais un peu plus grande et aussi très bien faite que Céline. Par contre on dirait qu'elle a des seins de petite fille à peine pubère, car sa poitrine est tellement minuscule, alors que ses tétons sont très larges et auréolés de brun avec des bourgeons très gonflés. Cette fille qui doit avoir environ trente ans caresse les cheveux et le dos de Céline, puis elle s'agenouille elle aussi en écartant ses cuisses, offrant son entrejambe au-dessus de la tête de l'homme dont Céline a quitté la bouche. Elle avance doucement sa vulve vers la bouche qui vient de recouvrer sa liberté, s’arrêtant à quelques centimètres des lèvres de Paul.

Celui-ci constate avec surprise qu'elle a deux larges anneaux pris dans ses grandes lèvres, comprenant dans l’instant ce que cette femme attend de lui. Sa langue vient s'infiltrer dans les chairs offertes, humant et léchant le vagin à l’odeur musquée, car c’est une vraie rousse, son odeur ne pouvant le tromper alors que la saveur de sa mouille est marquée elle aussi par une odeur forte et épicée. Il insère sa langue dans le vagin tout en étanchant la liqueur qui s'écoule, puis dégageant le capuchon du clitoris, il lui prodigue de petits coups de langue l’absorbant délicatement entre ses lèvres, tout en mordillant doucement le bouton qui grossit et devient rouge orangé. La rousse soupire de délectation et gonflant son pubis elle asperge la bouche de Paul de sa liqueur savoureuse.

Pendant ce temps, Céline s'est redressé à califourchon sur Paul, et enlace la rousse et les deux jeunes femmes s'embrassent à langues entremêlées, se caressant leurs seins sans vergogne. Bientôt, comme la cadence s'accélère, Paul pressent qu'il ne pourra plus se retenir très longtemps. La rousse, sa chatte dévorée par la bouche qui enflamme ses organes intimes succombe au plaisir charnel et pousse des gémissements frénétiques, tout en refermant violemment ses cuisses, ne pouvant plus supporter l'ampleur de sa jouissance incroyable. Céline s'acharne à se faire glisser la verge dans son fourreau étroit qui maintenant bave de la mouille qui s'écoule de sa vulve. Elle râle de plaisir en braillant son délire euphorique alors que l'orgasme monte en elle jusqu'au plus haut point de son paroxysme, l’anéantissant brusquement dans sa recherche d'une sensualité démesurée. Lorsque Céline s'écroule sur lui comblée, Paul ne peut plus se retenir, aussi il laisse gicler son sperme par saccades au plus profond de la matrice vaginale qu'il inonde du foutre qui se mélange à l'abondante mouille que la jeune femme laisse couler en un flot torrentiel.

De longues minutes plus tard, l'homme et les deux femmes refont lentement surface, encore étroitement imbriqués les uns dans les autres. Céline en souriant présente sa meilleure amie Viviane, une Irlandaise de souche vivant en France depuis trois ans. Il se trouve qu'elle est médecin gynécologue dans la même clinique où Céline vient faire régulièrement des stages. Elle ne cache pas à Paul que bien qu'aimant faire l'amour avec des hommes, elles entretiennent toutes deux des amours saphiques depuis deux ans. Paul en est-il choqué ? Celui-ci rassure les deux jolies lesbiennes et complimente Viviane sur son français qu'elle parle avec une recherche soulignée par un très joli accent britannique. Ensuite il leur demande franchement pourquoi elles ont fait l'amour avec lui car il y a dans l'assistance beaucoup d'hommes plus jeunes et mieux membrés que lui. Céline sourit avec un coup d'œil complice vers sa partenaire.

- Paul, vous êtes d'abord charmant et vous avez sans aucun doute remarqué que cela fait plus d'une heure que nous avons des rapports agréables tous les trois. Je pense d’ailleurs que Viviane sera d'accord avec moi, nous sommes toutes les deux parvenues à une passionnante volupté dans nos ébats communs. J'ajouterais que nous ne sommes pas tout à fait désintéressées et que nous voudrions connaître votre point de vue d'homme mûr sur des questions que beaucoup de femmes se posent. Paul observe un peu goguenard.

- Merci pour vos compliments ma chère Céline. Si je comprends bien c'est surtout l'homme du passé que vous voulez interroger ?

Viviane prenant la parole à son tour, avec son accent délicieusement charmant.

- Paul je vous remercie encore de ce fabuleux cunnilingus, je connais peu d'hommes qui savent se servir aussi bien de leur langue et de leurs lèvres, à part les femmes bien entendu. Même si vous avez des pannes consécutives à votre âge, il vous restera toujours cette merveilleuse façon d'honorer la gent féminine. Croyez une grande connaisseuse en cette discipline.

Après un silence, elle reprend.

- Nous voulons tout simplement mieux vous connaître et éventuellement vous revoir plus tard. Nous écrivons actuellement Céline et moi un ouvrage sur le désir des hommes et des femmes qui ont passé plus de trente ans ensemble et sur leur avenir sexuel. Nous savons par les fiches que vous avez remplies que vous êtes marié depuis trente et un ans avec la même épouse. Nous vous poserons des questions très indiscrètes sur votre couple si vous le voulez bien. Nous vous demanderons seulement de nous répondre sans réfléchir, les questions pouvant intervenir aussi lorsque nous ferons l'amour, Seriez-vous d'accord ?

Paul amusé acquiesce en contemplant ces deux représentantes de la gent féminine qui ont toutes deux, et chacune avec sa propre personnalité, un corps si différent et particulièrement ravissant. . Alors que la conversation se poursuit durant presque une heure, Viviane se penche vers Paul et prenant délicatement sa verge entre ses doigts, elle tente de la ranimer en la masturbant habilement. Pour l'aider dans cette tâche Céline absorbe entre ses lèvres le sexe qui se gonfle légèrement, l’aspirant et le suçant en serrant très fort la bite entre ses dents. L'érection ne tarde pas et Viviane demande à Paul de venir la prendre. Celui-ci, tout en lui caressant ses petits seins qu'il gobe entre ses lèvres, engage son pénis dans la vulve entourée de poils roux, s'enfonçant lentement dans la cavité qui referme ses chairs sur son membre.

Céline caresse les fesses de Paul alors que celui-ci un peu surpris sens qu'elle lui fait même une magnifique feuille de rose. C'est la première fois que cela lui arrive et il comprend pourquoi les femmes adorent cette pratique. Mais Céline ne s'en contente pas, elle introduit profondément un doigt dans l'anus de Paul qui se contracte tellement son étonnement est grand, car Céline fouille dans le cul de l'homme et vient caresser sa prostate. Celui-ci sens sa queue se gonfler et se raidir de plus en plus, décuplant son érection, aussi il creuse et laboure le vagin de Viviane avec une passion enivrante. Céline ravage maintenant son cul avec deux, puis trois doigts réunis. Il sent la sève qui monte, sachant qu'il ne pourra plus se retenir très longtemps, surtout que Viviane contracte son vagin autour de sa verge et que Céline l'enculant proprement avec ses doigts le font décharger d'un seul coup, ses couilles se vidant dans un flot effréné de sperme qui s'éjecte de son pénis par saccades. Viviane qui vient d’avoir un orgasme fulgurant l'embrasse amoureusement, alors que Céline se masturbe frénétiquement. Paul est effondré par la tension de l'acte copulatoire qui a été trop forte, aussi il est incapable d’aider Céline dans la recherche de son plaisir. Viviane vient alors au secours de son amie, la broutant activement avec sa bouche et sa langue tout en lui entrant un doigt dans son rectum, faisant partir également son amie vers d’autres planètes voluptueuses.

Après s'être reposé et avoir repris des forces avec les plateaux que Paul, galant, a rapporté du grand salon, le trio reprend sa conversation érotico-psychanalytique. En fait les deux femmes, désirent surtout savoir comment la libido de la femme et de l'homme vieillissant évolue dans un couple qui résiste à la lassitude du quotidien, car les exemples des remariages ou des couples qui recommencement leurs vies n'est pas l'exemple qu'elles recherchent. Paul précise que le désir de l'autre même si cela paraît suranné est toujours là, considérant son épouse comme toujours désirable même après plus de trente ans de vie commune. En fait le seul gros problème vient de l'homme, alors que son désir trotte toujours dans sa tête, cela ne veut pas dire que son sexe puisse avoir une érection et qu'il puisse la conserver si elle lui revient. Il justifie alors la recherche qu'ils ont faite ensemble avec son épouse pour éviter l'infidélité et le divorce. Ils ont choisi le partage avec un ou plusieurs hommes ainsi que leur participation à certaines soirées « mélangistes » à préférer à celles des échangistes. Paul atteste ne jamais revoir les mêmes personnes, cause certaine que leur couple s'est très bien trouvé de ce que certains pourraient appeler des « dépravations » sans grands risques.

D'ailleurs, il pense que s’il a pu honorer ses deux jolies compagnes aujourd'hui, il le doit certainement à leur beauté et à leur habileté mais aussi à ce qu'il baise de nouveau sa femme comme avant…


NOUS RETROUVERONS NOS HÉROS PLUS TARD DANS D’AUTRES AVENTURES DANS LA SÉRIE « ÉLOGES DE LA CANDEUR »

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Je suis toute mouillée je vai en faire profiter mon homme

Histoire Erotique
Bonjour Vieulou,toujours aussi bien écrit même si nous sommes ici dans un rêve...Une remarque cependant que tu ne me reprocheras pas j'espère, un éphèbe étant un très jeune homme, on dirait adolescent de nos jours, un "jeune" éphèbe est au mieux un "jeune" adolescent...j'aurais préféré un jeune apollon...Merci pour ce récit excitant. Didier

Histoire Erotique
Génial, continuez à nous écrire de si bonnes histoires excitantes



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Histoire sexe : Une rose rouge
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