Défi de Caline

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Défi de Caline Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Défi de Caline
Bonjour,
Une petite précision à faire... J’ai toujours gardé pour moi, mes expériences que nous avons vécu, ma femme et moi, tout au fond de ma bulle (mon carnet intime), ou du moins je ne les ai pas exposé au grand jour, mais avec les années qui passent et surtout avec ou grâce à l’autorisation de la principale actrice de nos jeux, qui n'est autre que ma femme, je mets noir sur blanc quelques unes de nos histoires de sexe.

Au début je voulais vous exposer nos aventures par ordre chronologique, car ou parce que j'avais déjà noté nos aventures sur mon/mes journal(aux) intime et avec cette envie de vous exposer mes-nos aventures vécues, j'ai commencé à les romancer. J'en commence à rédiger une de nos histoires vécues et avant de finir je commence à romancer une autre histoire, que je redécouvre en feuilletant négligement mes carnets, et qui me paraît alors interessante à vous faire lire mais qui a eu lieu plus tard dans le temps. Une fois que je fini d'écrire pour une raison ou une autre que je ne publie pas, voulant respecter la chronologie des aventures, et donc je perds les pédales et l'histoire que j'avais commencé à écrire je n'arrive plus à la finir ou bien je la bâcle... Et je tarde alors à publier!
Bref,
Jusqu'à maintenant j'ai respecter la chronologie de nos histoires vécues et là, j'ai résolu que je vais à partir d'ici ne plus trop suivre la chronologie de mes aventures mais qu'à partir du 01.01.2025 je vais écrire mon journal intime (coquin) sur ce site... Vous serez alors aux premières loges, si je puis dire !
Voilà une première précision !
La deuxième toute aussi importante est :

Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
Protégez vous car c'est trop stupide de courir un risque rien que pour satisfaire un plaisir !


Maintenant voici l'histoire :




Défi de Caline à Bruxelles.


Ceci est une histoire vraie, tous les intervenants dans cette aventure ont vraiment existé et se sont comportés comme je le narre, seulement quelques détails ont été légèrement romancés.

En franchissant la porte de la maison après son séjour à Bruxelles, sans un mot, Caline me remet une enveloppe avant de poursuivre son chemin direction la chambre à coucher.
En ouvrant la lettre je lis :

Je suis à Bruxelles pour affaires, j'ai pris une chambre à l'hôtel "Marie....".
Vers 21h, tu me téléphone pour prendre de mes nouvelles. Nous conversons un moment, en nous racontant nos petites histoires de la journée et patati et patata.
Au moment de raccrocher tu me demande :

- Bon chérie... J'te lance un défi ?
- Un défi ? Bon j't'écoutes !
- Je voudrai que tu m'achétes un Rosebud et des menottes pour nos jeux coquins !
- Mais il me faut... Trouver un Sex-Shop... Et perso, je ne connais pas la ville ! Dis-je avant de rajouter, j'irai me renseigner à la réception, ils doivent bien savoir ça !

Tu me dis alors :

- Quand tu auras trouvé le sex-shop, habilles toi de manière très sexy, sans sous vêtement bien entendu et tu te mets ton rosebud, que je sais qu'il est avec toi...
- Un accesoire qui quitte rarement mes fesses ces derniers jours, j'avoues !
- T'y vas, en taxi, à pied, en métro, j'm'enfouts... Une fois sur place, tu joues la salope de chez salope, comme tu sais si bien le faire... Et... Surtout tu acceptes tous ceux qui se présentent à toi et tu te dois de réaliser tous leurs vœux, tu ne refuseras aucune proposition aussi libidineuse soit elle. Et tu me raconteras tout en détail à ton retour à Paris !

Tu entends dans ma voix, que l'idée de joindre l'utile à l'agréable, à savoir, me faire baiser tout en faisant du shopping, ou plutôt faire du shopping et me faire baiser, m'excitais assez.
Sans plus attendre, je me prépare comme tu me l'as demandé, et pour satisfaire ton côté "candauliste", je t'envoie, des photos de ma tenue pour voir ce que tu rate... Mais surtout car cela augmente encore plus mon excitation.
Tout en sachant que ta demande ne sera "profitable" (si je puis dire), qu'à moi, ta femme (physiquement, sexuellement), car je vais me faire prendre par des dizaines de bites (au moins... Ou du moins je le souhaîte) lorsque je suis dans un Sex-Shop Bruxellois, ne fait que centupler mon excitation.
À peine avait-on raccroché, je me presse de demander cette information par télèphone au service de la récéption qui me dit :

- Oh madame il n'y a pas de plus simple à faire. En sortant de l'hôtel, vous prenez à gauche et c'est au numéro 5 de la rue des Grands Carmes, la deuxième rue sur votre gauche. Il s'appelle "Lady Pan..."
- Merci jeune homme, mais ne dites rien à mon mari s'il m'appelle cette nuit ! Dis-je en riant.

Il m'était clair, que la nuit, dans un Sex-Shop, j'allais avoir à faire à des hommes très vicieux, et sûrement en manque de sexe !
Je jubile rien qu'en y pensant. Avant de partir, j'envoie des photos montrant mes gros seins nus sous mon chemisier transparent largement ouvert, ma mini-jupe fendue et que mon joli cul joufflu portait son bijou intime dans la rosette.
Voici le récit que tu m'as demandé décrire et de te le donner à mon retour au bercail.
Alors commençons :

« Il est 23 heures j'arrive au sex-shop. Un sein hors du chemisier et ma mini jupe laissant voir mes cuisses jusqu'à ma fourche glabre.
Je fais une entrée, remarquable, et assez remarquée dans la boutique. Je salue le gérant avec un joli sourire. Je jette un coup d’œil circulaire dans le magasin et remarque quelques clients, avec un physique peu repoussant, qui choisissent des vidéos. Ces hommes m'ont déjà repérée vu ma tenue...
Je fais un premier tour dans le magasin en leur lançant quelques œillades et des regards aguichants. Je remarque plusieurs chambres de projection, d’où proviennent des soupires et des cris venant des vidéos. Le gérant vient me voir et me demande si j'ai besoin d'aide. Je réponds assez fort :

- Bien volontiers je cherche de nouveaux rosebuds pour moi et mon mari et quelques accessoires pour une soirée échangiste.

Il m'accompagne jusqu'à la vitrine dédiée aux bijoux intimes sous le regard excité de tous les hommes lorgnant mes charmes exhibés. Je sollicite ses conseils tout en lui précisant que je porte un plug en ce moment même. Ébahit il me regarde avec envie.
Mes yeux fixent alors la bosse qui se forme à l'avant de son futal.

- Je cherche un plug anal de bonne taille celui que je porte me semble trop petit !

La bosse dans son pantalon grandit de plus en plus. Les autres hommes se sont rapprochés le regard de plus en plus insistants sur mes seins et mes fesses. Le gérant prend plusieurs modèles et me tire à l'écart des regards. Je me laisse faire.

- Venez chère madame, montons à l'étage vous serez moins dérangée si l'envie vous dit d'essayer l'un de ces joujous ! Me dit-il en me montrant les escaliers que je n'avais pas vu.
- Vous êtes un ange cher monsieur ! Ai-je répondu avec le ton le plus coquin que j'ai en stock.

Je me presse de le précéder pour qu'il puisse mieux mater mon cul que j'exhibe avec plaisir. Il me fait entrer dans une pièce assez spacieuse, le mur du fond est occupé par une large banquette en skaï avec au-dessus des glory holes munis de poignées de chaque côté.

"Il n'a pas choisi l'endroit au hasard !" Pense ai-je naïvement.

Je sens, je suis même à 2.000% certaine, qu'il a une idée en tête, cela se voit à sa bosse qui a encore gonflé.
La porte est restée entrouverte sur le couloir, ça me convient pour ce que j'envisage. Je ne perds pas de temps, car déjà très excitée par le lieu et la situation, je retire ma mini-jupe, je suis en bas et porte-jarretelles.
En me penchant en avant, mes gros seins pendent hors de mon chemisier ouvert et je lui exhibe mon popotin dodu. Il caresse mes fesses, flatte ma croupe offerte et veut voir mon rosebud pour se faire une idée de la taille. Je me plie en deux et dis :

- Je vous propose de me le retirer vous même pour que vous ayez une idée du calibre qu'il me faut acheter !

Pas besoin d'en dire plus il approche son visage de mon cul. Pour l'exciter davantage, à deux mains j'écarte mes fesses rondes exhibant mon anus paré de son bijoux. Il le retire délicatement, un petit gémissement sort de ma bouche. Il me pose alors la question

- Qu'est-ce que tu cherches vraiment ?
- Pour être sincére... Une bonne queue à sucer avant qu'elle me remplisse le cul !

Le gérant ne se fait pas prier il baise son jean, sort son énorme queue bien raide et dit :

- Et bien tâchons de ne pas décevoir cette belle dame, pourvu que ma queue saura combler cette moule toute baveuse ! Et si la chatte de cette ptit dame n'est pas rassasiée, il y a de quoi la satisfaire au magasin !

Il s'installe sur la banquette et m'invite à le sucer. Je m'agenouille devant lui et saisie sa belle queue bien dure. Je commence à la lécher doucement, je me régale avec cette grosse bite et c'est que voulais mon mari en m'envoyant ici et heureusement que j'ai accepté.
Je m'applique à l'avaler entièrement pour la faire grossir encore plus et pour qu'elle puisse bien finir dans mon joli cul de salope et bien me régaler.
Il saisie mes tétons et les pince durement comme j'aime !
Je le pompe avec délice pour que sa pine soit bien raide pour me perforer le trou de secours.
Pendant que je le suce je sens deux mains remonter entre mes cuisses ouvertes. Je sais que ce ne sont pas celles du gérant car elles sont en train de me pétrir les seins. Peu importe à qui elles sont, je me dois de "m'offrir" à l'envie des hommes présents, donc je continue ma sucette. Les mains deviennent de plus en plus entreprenantes, elles caressent ma chatte dégoulinante, ses doigts écartent mes lèvres s'enfoncent et fouillent mon puits humides. D'abord un doigt puis deux. Un délicieux va et vient me doigte le vagin pendant plusieurs minutes faisant monter la tension dans ma minouche et mouiller comme une fontaine.
Soudain mon branleur abandonne ma moule en fusion, la queue dressée hors de son pantalon ouvert, il vient s'asseoir à côté de nous. Il me la présente à sucer, elle est vraiment belle, elle aussi. Je n’hésite pas, ma bouche change de bite, l'avale et la pompe avec plaisir.
Le gérant bande comme un fou. Il n'a sûrement plus qu'une idée en tête, me prendre par le cul. Il se lève se place derrière moi me demande de continuer de piper son client pendant qu'il s'occupe de mon trou du cul.
J'obéis, je garde la queue de l’inconnu entre mes lèvres la faisant aller et venir dans ma bouche avec gourmandise. Elle est un peu moins grosse que la première, mais bien plus longue et force ma gorge par moment.
Ma chatte est trempée, je mouille abondamment. Le gérant passe sa belle trique tout au long de mes grandes lèvres ruisselante de cyprine et plonge dans ma moule pour l'enduire de mes jus... Hummm c'est bon elle est grosse...
Il fait un ou deux allers et retours et puis il s'immobilise. Il prend un tube de lubrifiant et me graisse le troufignon pour le préparer. Ses doigts tournent sur ma corolle, l'enduisent et la pénètrent. L'effet est radical mon anneau distendue par le plug palpite et s'ouvre. J'ai hâte de sentir sa grosse pine me défoncer l'oignon. Il écarte largement mes fesses, ajuste son gland sur ma rondelle entrouverte et bien grasse, ses mains saisissent mes hanches.
Il demande :

- Tu es prête ?... Maintenant je vais te la mettre dans le cul !
- Vas y je n'attends que ça... Enfonces-la bien dans mon trou... Encules-moi !

La tête de sa queue force légèrement, mon œillet s'ouvre avec envie à l'envahisseur. Il pousse encore et m'enfonce doucement son braquemart dans le fion.
C'est un peu douloureux elle est très grosse cette bite, mais l'excitation me fait vite oublier cette petite douleur. Le plus dur est fait, mon sphincter anal vient de céder le passage au gland turgescent qui s'embourbe un peu plus dans ma gaine rectale frémissante.

Mes premiers gémissements se font entendre et s'accentuent à chaque centimètre gagné par cette queue qui progresse lentement dans mon anneau culier. Il s'enlise jusqu'au fond, ses couilles viennent se coller à mon clito devenu très sensible.
Je suis aux anges !
J'ai ce que je voulais !
Une bonne bite dans l'anus pour soulager mon excitation sexuelle.
Le gérant commence alors une longue série de va-et-vient rapide dans mon troufignon s’enlisant jusqu'au fond de ma grotte.
L'homme que je suce ne me lâche pas non plus. Il me tient par les cheveux et enfonce sa longue bite dans ma bouche, loin dans la gorge.
Mes gémissements, non pas de douleurs, mais plus de plaisirs, sont de plus en plus longs mais étouffés.
Je me fais littéralement démonter par les deux bouts, et... J'aime ça !
Ma chatte dégouline de plaisir et mon trou du cul palpite sur le membre bienfaiteur. Après de très longues minutes d'une merveilleuse sodomie, le plaisir monte, ma corolle se resserre sur le braquemart...
J'explose, une immense jouissance me secoue, je crie, je pisse, je gicle comme véritable FF (Femme Fontaine). J'en mets partout. Le gérant se retire rapidement de mon sphincter contracté et vide ses couilles sur mon cul en criant :

- Ooohhh putain... Qu'elle est bonne cette salope... Elle a un cul d'enfer... Grave de chez grave... Elle est arrivée à me pomper la bite son cul comme si elle le fait avec sa bouche !

Bon, c'est un peu exagéré, mais c'est vachement flateur. Il se rhabille me remercie en me mettant des claques sur ma croupe couverte de sperme et il retourne à sa boutique en me laissant avec son client. Je regarde le bonhomme et lui demande :

- Toi aussi tu veux goûter à mon cul ?
- Après ce que je viens d'entendre, je ne peux que dire oui... Un cul comme le tien ça ne se refuse pas... Ou alors on se fait prêtre !

Je m'allonge sur le dos sur la banquette, il se redresse et soulève mes jambes très haut. A deux mains j'écarte largement mes fesses je lui offre ma rondelle encore ouverte après les coups de queue du 1er enculeur.
Le mec était pressé, car sans ménagement et d'un seul grand coup de rein il m'enfonces sa longue bite jusqu'aux burnes.
D'une seule poussée, en force, ces couilles viennent taper mes fesses et sa tige s'engage dans mon conduit rectale.
J'encaisse assez bien car j'en ai vu d'autres et j'adore ça.
Le plaisir ne se fait pas attendre, il est là, présent à chaque fois qu'on m'encule sans ménagement.
Je suis encore toute excitée par la précédente jouissance, je me caresse le clito d'une main et de l'autre je me malaxe les seins. Mes tétons durcissent à vu d’œil, je tire dessus et les pince fortement... Je jouis de nouveau du cul, du clito et des seins.
Endurant qu'il est le mec bien qu'il soit au max de son excitation, le bonhomme continue à me baiser l'anus. D'un coup il se retire pour jouir sur ma chatte et mon ventre, me graissant de son foutre visqueux.
Je suis bien ..
Je suis heureuse...
Je me suis faite enculée...
Et je suis bien enduite de foutre...

Mais c'est pas encore fini... À mon grand bonheur !
Je m'assois et là... Je vois à la porte d'entrée de la cabine deux autres mecs, la queue à la main attendant leur tour en se branlant. J'avais compris que le gérant avait fait passer le mot, car ils me révelent qu'il leurs avait dit :

- Héé les mecs... Il y a en haut, une salope qui est venue pour se faire défoncer le cul... Il faut en profiter et lui donner ce qu'elle réclame !

Deux nouvelles queues... Surtout que mon envie est plus vive, plus forte.
Je remarque que l'un d'eux a des couilles énormes j'ai envie de les lui brouter. Je leur fais signe de venir. Les deux inconnus me font allonger pour me lécher la chatte chacun à son tour pendant que je suce l'autre.
Durant de longues minutes ils me dégustent, et me font jouir et j'inonde le visage de celui qui me bouffe la chatte de mon jus, alors que la bite qui est logée dans la bouche bloque mes cris de plaisir.
L'homme aux grosses couilles s'allonge et il me demande de le chevaucher pour que le deuxième puisse me prendre par derrière. Je l'enjambe saisissant sa queue, j'ajuste son gland entre mes grandes lèvres dégoulinantes à l'entrée de ma moule affamée.
Je m'empale dessus, ne se faisant pas prier, ma chatte l'absorbe jusqu'aux couilles. Aussitôt l'autre bite, qui sollicite mon anus, me pénétre facilement, car toujours entrouvert et bien huilé par mes précédentes enculades. Je suis prise en sandwich pour mon plus grand plaisir et le leur à coup sûr. Chacun à son tour, ils s'enfoncent et fouillent mes entrailles. Ils me baisent et m'enculent me faisant crier et cabrer de plaisir.
Dans la cloison, devant mes yeux, par un des glory holes sort une longue et grosse queue noire tendue à l’extrême.
Je ne peux résister elle est trop belle, je me penche, tend la bouche et je la suce avec joie.
Ça y est...
Je suis prise par tous les trous...
Je suis au paradis...
On doit m'entendre gémir jusque dans la rue. L'orgasme me terrasse...
J'ouvre la bouche, abandonnant la pine noire, pour hurler de plaisir.
Je jouis à nouveau comme une folle pendant qu'ils continuent de me limer à fond les deux trous. Les deux hommes ne sont pas loin d'exploser, ils se retirent brusquement et me mettent à genoux devant eux.
Je les suce et les branle tour à tour. Mon enculeur jouit tout de suite giclant sur mes seins, arrosant mon visage puis sort sans attendre. L'homme aux grosses couilles résiste il veut profiter de moi au maximum. Et moi j'en ai encore envie... Mon cul en a envie.
Je me mets en levrette et supplie :

- Viens vite... Encules moi à fond, enfonce la, le plus loin possible dans mon oignon... Mon cul adore ça !

Il s'empresse d'enfouir sa queue jusqu'aux bourses, au fond de mes entrailles. A petits coups rapides il m'emmanche délicatement et profondement dans mon rectum. Ses grosses couilles tapent les fines lèvres de ma chatte trempée, faisant des bruits qu'on n'entend que dans les films X. Il est excité mais il tient, il se retient. Je crois, non, je suis certaine qu'il a rarement eu la chance de baiser une salope comme moi.
Puis, au bout de quelques minutes il crie en se déculant :

- Je vais jouir... Lèves-toi salope... Je veux te souiller de mon jus comme la pouffiasse que tu es... Peindre ta face de mon foutre !

Je me mets face à lui et des deux mains je lui présente mes seins aux pointes turgescentes d'excitation.
À la vue de mes amples mamelles offertes, le fait littéralement jouir et il explose. Il m'envoie d'énormes giclées de sperme, sur les nichons, sur le visage, le ventre, j'avais rarement connu une jouussance masculine comme celle-là... Il n'en finit pas de gicler et il m'en met partout.
Ses grosses couilles étaient vraiment pleines ou plutôt, il avait une mega production de foutre comme j'en ai jamais vu sauf dans les films de cul, que je savais truqués, mais là... Wahhhh !
Après m'avoir bien souiller, il se rhabille préstemment et il sort sans fermer la porte.
Je m’écroule épuisée et repue de jouissance. Cela fait deux heures que je suce des bites, que je me fais défoncer par tous les trous, je suis recouverte de sperme. J'ai eu ce que je cherchais un gros gang bang avec des inconnus qui m'ont fait jouir et inondée de foutre gras.
Je ferme les yeux et me repose un peu

Lorsque j'ouvre les paupières je vois au-dessus de moi par les larges trous de la cloison trois belles queues qui se tendent et s'agitent pour m'inviter.
Allongée sur le dos je les regarde. Elles sont belles, tellement différentes et tentantes.

L'une est longue et fine, très droite et toute blanche émergeant d'une touffe de poils blond-roux avec un gland pointu violacé bien décalotté.
Une autre noirâtre beaucoup plus grosse, circoncise et courbée vers le haut oscille, une goutte claire coule le long de la hampe
La troisième aussi toute noire et ne semble pas encore bander à fond. Dessous le gros sac de roustons poilus, pend hors du trou.

Encore dans l'euphorie de mes jouissances je ne peux résister à la vue de ces trois bites, elles me font trop envie.

De plus longtemps que je me souvienne, jamais je n'ai pu me refuser à un sexe qui n'attend que mes lévres pour le tendre et détende.

Je me mets à genoux sur la banquette, je prends la plus fine dans ma main droite, la grosse noire dans la gauche et commence à les masturber doucement. Ma bouche s'approche du gland circoncis je tends la langue, lèche la goutte qui suinte le long du manche qui tressaille sous la caresse buccale.
Les trois queues frémissent et s'avancent dans les ouvertures pour mieux s’offrir aux attouchements qui leurs sont prodigués.
Je lâche un instant les pénis tendus, je recueille avec mes mains le sperme qui souille mes seins et mon ventre et reprends ma masturbation sur les deux tiges. Mes doigts se referment autour des bâtons de chaire, mes paumes bien grasses de foutre coulissent en douceur sur les tiges qui gonflent tant de plaisir. Je me penche et gobe à nouveau le gland circoncis, mes lèvres coulissent le long due ce gros tuyau, tout en faisant tourner ma langue autour. Des gémissements se font entendre et des saccades en avant précipitent les verges vers moi pour mieux se prêter aux gâteries. J'accentue les mouvements de poignet sur les pines raides, ma bouche se fait plus profonde pour la queue que je suce.
La pression monte dans les burnes qui pendent hors des glory holes, je les sens prêts à tout lâcher.

Non pas déjà !
Je veux que ça continue.

Je leurs ordonne de changer de place, la longue bite fine au milieu pour la sucer, et la circoncise dans le trou de droite. Je prends les deux grosses queues noires sortant de chaque côté dans mes mains et les branlent avec vigueur. J'enfourne la longue biroute blanche et me l'enfonce au-delà de la glotte, tellement fine qu'elle est.
Je commence une pipe en gorge profonde,... J'adore !
Le nez dans ses poils roux je le pompe avec ardeurs, mes lèvres courent le long du pieux, le gland toujours enfoncé profondément derrière ma luette. Il s'agite, me pistonne le gosier, il me baise la bouche.
Soudain il grogne comme un goret, de grosses giclées inondent mes cordes vocales. Il se retire un peu, les jets de sperme chaud me remplissent la bouche. Je les déguste avec plaisir, j'avale tout.
La queue blanche ramollit sort de mes lèvres déposant des gouttes de foutre sur mon menton et il disparaît.
La jouissance de mon rouquin m'a fait délaisser un peu les deux autres pines que je tiens, retiens, toujours de mes mains.
Tellement excitée que je suis, qu'il me faut plus, j'ai besoin de me sentir pénétrée, remplie, labourée. J'ai besoin de ces grosses pines dans mes trous pour jouir encore.
Je me relève tourne le dos à la cloison me penche en avant et là que vois-je ? Debout, deux voyeurs, le pantalon sur les chevilles et la bite à la main, qu'ils masturbent.

- Attendez... Je suis déjà occupée avec ses deux queues !
- Ok... Mais nous sommes là uniquement pour nous branler en te regardant te faire baiser !

Ouf !!!
J'ai trop envie de la grosse bite noire. Je me positionne cul en l'air, jambes largement écartées et présente mes fesses devant le trou d’où sort la monstrueuse bite black. D'une main en arrière je me cramponne à la poignée juste à côté, de l'autre je saisis le gros manche d’ébène, le tire vers ma chatte trempée.
Je me caresse la moule avec le gland. Mes lèvres vaginales s'ouvrent, ma mouille coule dessus, j’ajuste le bélier de chaire à l'entrée de ma vulve et je donne un grand coup de rein en arrière. Je me prends la moitié de l’énorme pine.
J'en ai le souffle coupé, je me sens écartelée. Je reste immobile le temps que ma gaine intime s'adapte à l'envahisseur.

- Wouhaaa !!! Qu'elle est grosse... Hoooo... Ça me bourre bien... C'est trop... Booooooon !

Je passe la main droite entre mes cuisses à la recherche du gourdin et des couilles de mon baiseur. Je caresse la base de la queue que mes doigts n'en font pas le tour et il reste au moins cinq, dix centimètres à faire pénétrer dans ma moule. J'attrape les bourses pleines et les tire vers moi disant à mon baiseur invisible :

- Vas-y pousse, je la veux toute entière... Remplie moi la moule... Défonces-moi bien… Fais moi jouir !

Il ne se fait pas prier et d'une seule charge violente il m'embourbe jusqu'à la racine, ses burnes tapent sur mon clitoris en feu. Si je ne m'étais pas retenu à la banquette qui était devant moi, je me serai étalée.
Je crie à nouveau mais... De bonheur cette fois-ci !
Je suis gavée jusqu'aux entrailles, son gros gland remonte ma matrice très loin dans mon ventre, j'ai presque l’impression de la voir sortir de la bouche. Aussitôt il me lime en puissance déclenchant des myriades d’étincelles de plaisir dans mon vagin, dans ma tête et dans mon corps.
Pour autant, je ne délaisse pas la queue circoncise qui bandé toujours, je la tiens fermement de ma main gauche et je rassure son propriétaire :

- Sois patient mon gros coquin ! J't'offre mon cul que tu prendras et que tu feras jouir !

L’énorme boudin noir me laboure le con en profondeur, me fouille, me défonce la chatière. Mes parois vaginales palpitent de bonheur dessus, le serrent pour le retenir au fond de ma matrice, pour en profiter au maximum, arrachant des grognements sourds à mon fouteur.

- Haaa qu'elle est bonne cette salope ! Sa chatte me bouffe la pine ! Elle me masse jusqu'à la racine ! Oooh putain... C'est un super coup qu'on a là ! Wahhh... Jamais baisée une chatte aussi bonne... Elle me régale bien la queue cette catin haaa... La salope... Salope… Salope... Salooooooope... HHAAAAAAA !!!!

Il se retire brusquement éjacule sur mon cul, de grosses fusées de foutre m'arrose le dos jusque dans les cheveux. La bite à la main il n'en fini pas de m'asperger de jus gluant, il m’inonde les fesses et le trou du cul, du foutre reste accroché à ma corolle, le sperme dégouline sur ma chatte jusque sur mes cuisses.
J'y crois pas...
Je me retrouve avec des super producteurs de sperme...
Je crie ma jouissance en même temps que lui, un orgasme violent me traverse je gicle et inonde la banquette.
Je suis au nirvana !
Étourdi de plaisir je me laisse glisser sur le divan pour savourer les ondes de bonheur qui me parcourent le corps. Je reprends mon souffle. J'ouvre les yeux, surprise : ce n'est plus deux mais trois voyeurs qui sont là les yeux exorbités la langue pendante le gland émergeant du poing serré sur leur manche.

Après quelques minutes de repos je regarde les glory holes, la grosse trique noire a disparu laissant de grandes traînées blanchâtres couler du bord du trou sur la cloison. Je saute comme si ma survie en dépender, pour recupèrer se foutre, en le lèchant, en me délectant de ce jus qui dégouline.

Attendant impatiemment, le pénis circoncis est toujours là, elle a un peu ramollit. Je m'approche, je prends le gland turgescent dans la bouche, mes lèvres font des allée-retours tout le long du beau manche. Ma pipe se fait baveuse pour bien humecter la belle quéquette qui se redresse, fiérement.
Je me relève, me retourne et présente mon cul face à l'ouverture.
D'une main j'écarte mes fesses de l'autre je dirige la queue vers mon anus. Je frotte le gland sur ma corolle gluante de foutre. Je pousse sur mon sphincter, mon œillet fait un "bloup" et s'ouvre, le gland s'engage dans l'ouverture et s'immobilise.
Je saisie les deux poignées dans mon dos et donne un violent coup de rein en arrière, me défonçant le cul sur le gros chibre, qui pénètre entièrement mon anus bouillant.
J'entends cet homme qui m'est invisible gémir, grognant sa satisfaction en me sodomisant avec toute la puissance qu'il peut avoir. Ses coup de rein sont violents il s'enfonce jusqu'à la racine projetant son gros chibre tout au fond de mes boyaux en fusion qui l'aspirent avec délice.
Que c'est bon une grosse bite dans l'oignon, elle me ramone bien la gaine anal et pénètre mon ampoule rectal, ça explise dans ma tête, je jouis à nouveau. Mon œillet et mes sphincters se contractent spasmodiquement sur le pieu, j'agite mon gros cul dans tous les sens pour mieux le sentir, je m'encule sur le manche bienfaiteur j'en veux encore. Mon sodomite n'en peut plus, mon anneau culier le suce à fond. Il va jouir.

- Haaaa ! La petasse… C'est... La meilleure salope… Que... J'ai niqué... Je vais juter sur ton gros cul de pouffiasse... Pu... Taiiin... Elle me vide graaaaave !

Il décule et m'asperge le troufignon de son jus gras... J'en ai plein les fesses... Ça dégouline sur ma chatte et le long de mes cuisses, je suis trempée.
Mais.. À vrai dire... Je n'en peux plus... Mais je suis heureuse, comblée, repue.
Je m'écroule sur le dos épuisée.
A ce moment les trois voyeurs s'approchent sur la banquette les genoux baignant dans ma cyprine et ma pisse, ils s'astiquent comme des fous, ils giclent d'épaisses fusées de foutre sur mon visage mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes pieds puis ils s'essuient la queue sur mes lèvres et sur mes cheveux.
Au final... Je suis recouverte de sperme, du bout de mes cheveux jusqu'au bout de mes pieds.

Ma jupe, mon corsage, mes chaussures et mon petit sac ont disparu je suis nue avec seulement mon porte-jarretelles et mes bas déchirés. Je veux rentrer. Le gérant me couvre d'un tissu un peu sale et trop petit qui dissimule à peine mes fesses, puis me dit :

- C'est pas qu'on a marre de ton joli cul, mais il se fait tard là et on doit closer !
- Et mes fringues ?
- Fringues ? Fringues ? Ah ouais... Mon employé a réussi à les vendre !
- Et comment que je fais moi ? J'ai même plus de godasses !
- Tu créches oû ?
- Au "Marie..."!
- Ouais... C'est à deux pas d'ici ! Si quelqu'un t'accoste, dis lui que tu es la copine de "big-Georges" ! Allez... Oussst !
Dit-il en me poussant dans le dos, direction la porte de sortie.

La peur au ventre, je me suis mise à presser le pas pour rejoindre mon hôtel.
Durant le trajet, je ne pouvais me lécher les babines en repensant à toutes ces queues qui m'avaient fait jouir comme la plus grosses des salopes !
Mais franchement... Je suis épuisée mais heureuse !

Je traverse le hall sous le regard ébahi du portier et du veilleur de nuit. Je monte dans ma chambre, je m'écroule sur le lit et m'endors aussitôt.
En sortant de mes rêves après plus de 12h de sommeil, je suis toujours claquée, anéantie, vannée, la bouche pâteuse, mon corps est couvert de taches grisâtres qui tirent ma peau et j'ai mal au cul, mais je suis pressée de te raconter comment je me suis fait baiser, enculer, comment j'ai jouis et comment je me suis réjouis d'avoir jouer le rôle d'une vraie salope (que je suis ŕéellement et que tu aimes que je le sois).

Ta Caline qui t'aime et qui aimes se faire baise pour toi !

Au plaisir de vous voir à la prochaine histoires...

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Texte coquin : Défi de Caline
Histoire sexe : Une rose rouge
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