Défilé lingerie, masturbation et Gages...

- Par l'auteur HDS Smilee -
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Récit libertin : Défilé lingerie, masturbation et Gages... Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Défilé lingerie, masturbation et Gages...
Nous vivons des moments compliqués avec Nina que ce soit dans notre vie de famille, de couple ou intime. Beaucoup de prises de tête majoritairement pour des détails. Malgré cela nous essayons de surmonter ces épreuves. Nous vivons quand même de très bons moments qui aident et motivent à tout faire pour passer cet écueil. Aujourd’hui par exemple est une très bonne journée. Nous avons profité de cette belle journée d’été pour aller nous promener avec le petit de bon matin à la fraîche. Ensuite un moment de jeu et de détente à la maison et après manger une baignade à la piscine. Nous nous éclatons dans l’eau avec les jouets et bouées gonflables. Le petit est aux anges… et les parents aussi. Comme à notre habitude nous nous baignons nus ce qui me permet de contempler le corps sublime de Nina. Autant sexuellement la période est compliquée avec pas mal d’accrocs et de baisse de libido, autant mon attirance physique pour elle n’a jamais faibli voire n’a jamais été aussi forte.

Nina est allongée sur le ventre sur un matelas gonflable. Ses fesses prennent leur encombrement maximal et j’adore ça. Je plonge sous le matelas et remonte au niveau de sa tête. Nous nous embrassons sensuellement. Quel moment exquis. Malgré mon érection naissante je repars m’occuper d’Alexandre. Puis vient l’heure de sortir. En effet j’aimerais après la douche faire faire une sieste à Alexandre avant la soirée de ce soir. Comme toutes les veilles de fermeture estivale ma société organise une soirée avec un repas puis un groupe de musique joue pour nous faire danser jusqu’au bout de la nuit.
Je laisse donc Nina profiter encore de la piscine et je rentre prendre ma douche avec Alexandre. Puis je le couche pour la sieste. Il a beaucoup de mal à s’endormir mais je finis par y arriver. Je sors de sa chambre et entends l’eau couler dans la salle de bain. J’entre alors que Nina prend sa douche. J’aime voir l’eau ruisseler sur son corps. J’admire ce corps qui alimente mes rêves et mes fantasmes depuis plus de vingt ans. Elle me sourit et je pars dans notre chambre. Je m’allonge dans notre lit pour profiter du contact délicat de nos draps.

Nina entre dans la chambre avec sa serviette nouée au-dessus de la poitrine. Je la regarde en souriant. Elle tombe la serviette pour offrir à mes yeux ce chef d’œuvre. Rien que par ce contact visuel mon caleçon commence à être étiré. Nina s’allonge à côté de moi et nous collons nos corps. Elle râle de la présence de mon caleçon donc j’obéis et l’enlève. Nous voici nus l’un contre l’autre. Je glisse ma cuisse entre les siennes pour augmenter les zones de contact corporel. Mes mains se posent inlassablement sur ses fesses et nous nous embrassons. Mon sexe durci frotte contre sa cuisse. À ce moment-là j’ai envie de lui faire l’amour de façon tendre et sensuelle. Alors que je l’embrasse et commence à glisser ma main en direction de son vagin Nina se recule et me dit :
- Il faut se préparer si nous ne voulons pas arriver en retard.
- Nous avons le temps
- Tu te plains toujours que je suis en retard donc là je m’y prends à l’avance surtout que je ne sais pas comment m’habiller
- Dessus ou… dessous lui dis-je dans un sourire taquin
- Les deux me répond-elle avec un sourire coquin
- Tu peux me faire un défilé si tu veux et je te dirai ce que j’en pense
- Profiteur. D’accord mais à une condition
- Laquelle ?
- Que nous fassions un jeu
- Ça me plait. Quel jeu ?
- Tu restes nu sur le lit. Si ce que tu vois te plaît tu te touches en me regardant. Mais interdiction de jouir sans mon accord. Sinon tu auras un gage.
- OK défi accepté

Nina va dans le dressing. J’attends avec impatience la première tenue. Elle arrive vêtue d’un shorty violet et d’un soutien-gorge assorti. Je pose ma main sur mon sexe et le caresse doucement. Nina est tout simplement belle sans fioritures. Elle tourne sur elle puis repart dans le dressing. Elle revient avec un string bleu nuit et sans haut. J’accélère mon mouvement de masturbation devant cette beauté. Elle sourit et retourne se changer. Elle revient avec une culotte et un soutien-gorge en dentelle. Je ralenti car c’est moins excitant. La prochaine tenue est un ensemble rouge avec un tanga épousant parfaitement ses formes. Je me branle avec vigueur. Nina se baisse pour comprimer le tanga sur son fessier. La vision est féerique. Elle reste longtemps comme ça et je ne peux m’arrêter de me toucher. Depuis le temps que nous n’avons rien fait je suis déjà au bord de l’explosion. Nina repart et revient avec une gaine et une brassière. J’explose de rire et arrête tout contact. Cette pause va me faire du bien. Nina joue le mannequin dans sa tenue de grand-mère. J’adore.

Elle enchaîne quelques tenues plutôt plaisantes de différentes couleurs et formes. J’essaie de maîtriser mon excitation mais ce n’est pas facile. Alors que je me demande comment tenir Nina débarque avec un string ficelle minimaliste. Ouf je peux souffler car je n’aime pas du tout ce type de sous vêtement. Mais je reste inquiet car je sais que Nina n’a pas encore mis les lingeries que je préfère dans ce défilé.

Elle reprend avec son ensemble bleu turquoise et je suis obligé de reprendre mes caresses. Mais je n’ai plus beaucoup d’espoir de gagner le jeu. Surtout quand elle débarque avec un nouveau corset qui soutien magnifiquement le dessous de ses seins tout en les laissant à l’air libre. Le corset est blanc avec des fleurs roses et rouges. Et bien sûr un tanga assorti juste somptueux. Je sens que je vais craquer alors je ralentis énormément. Nina grimpe sur le lit marche à quatre pattes vers moi et me dit avec une moue déçue :
- Mon nouvel ensemble ne te plaît pas ?
- Oh que si. Tu es magnifique
- Ah bon car tu ne te touches pas beaucoup. Ou alors c’est que tu triches pour ne pas perdre me place t’elle en approchant son visage de mon pénis. Ah oui je pense que c’est ça vu comment il est gonflé... Hummm j’aime quand il est comme ça. J’ai qu’une envie c’est de glisser ma langue dessus pour sentir ton désir pour moi. Tiens, il réagit. Il me reconnait je crois. Allez caresse toi laisse toi aller me dit-elle en se penchant pour que j’ai une vue plongeante sur son fessier

Du fait de ses paroles et sa proximité je sens que j’ai passé le point de non-retour. Je me branle alors énergiquement pour finir le mieux possible. La libération ne tarde pas. Le premier jet finit sur mon ventre, le deuxième et le troisième passent au-dessus de mon épaule. Encore heureux que je n’étais pas tout droit sinon ils auraient fini sur mon visage. Les derniers jets finissent de recouvrir mon ventre. Depuis le temps que nous n’avons pas fait l’amour j’étais chargé à bloc et cette éjaculation était intense. Nina me regarde avec un air de fierté triomphante et réfléchit :
- Alors quel gage je vais bien pouvoir te donner ?

Vu nos divergences actuelles je m’attends au pire. Elle réfléchit ou plutôt fait semblant de réfléchir car je vois bien qu’elle sait exactement ce qu’elle veut. Elle finit par partir dans le dressing et revient avec une grosse boîte. Qu’y a-t-il dedans ? Elle l’ouvre et sort un gode relié à une espèce de coffret. Je reste sceptique devant cet objet. Elle déplie le mécanisme et je comprends que c’est une sorte de fucking machine. Elle me jette un regard malicieux et me dit :
- Vu que tu n’as pas été capable d’attendre la fin de mon essayage, même que de la lingerie, tu vas te baiser avec cet objet le temps que je finisse.
- Depuis quand tu as ce jouet
- Ce n’est pas le sujet du jour. Acceptes-tu ton gage ?
- Je crois que je n’ai pas trop le choix
- En revanche le jeu est toujours en cours. Interdiction de jouir… encore…

De ce côté-là je me dis que ça devrait aller vu que je viens juste de finir. Il suffit juste que je ne me stimule pas de trop. Nina installe des coussins pour que je repose mon ventre dessus plus confortablement. Puis elle prépare la machine et enfin vient lécher mon anus. Elle me pénètre d’un doigt pour faciliter l’insertion du gode. Puis elle lubrifie le sexe de taille moyenne et le positionne devant mon trou. Elle met du lubrifiant aussi sur moi et commencer à insérer l’objet en moi. Elle le fait coulisser doucement de façon à le faire entrer petit à petit. Puis une fois au fond elle le ressort, remet du lubrifiant et l’entre de nouveau. Elle enclenche alors la machine. Le premier coup est surprenant mais le rythme est tranquille. Nina repart se changer alors que je reste en levrette à me faire pénétrer. Mais vu que ça fait partie de mes jeux préférés je trouve mon gage plutôt sympa. Nina me montre ses derniers sous-vêtements et nous sélectionnons chacun deux choix. Pour moi ce sont deux ensembles tanga soutien-gorge, un rouge et un beige. Pour Nina son ensemble corset sans seins tanga ou un shorty soutien-gorge en dentelle blanche. J’élimine le corset car trop sexy pour un repas de boulot. Nina rouspète. Vexée et voyant que je supporte bien mon traitement, elle augmente la vitesse de la machine. Je suis pris de façon plus vigoureuse et ai plus de mal à me concentrer. Nina élimine l’ensemble beige. Nous en gardons deux et nous verrons selon la tenue choisie.

Nina met l’ensemble rouge pour la suite des essayages. Moi je me sens bien avec cette machine qui travaille à mon plaisir. Heureusement que j’ai déjà joui et que mon pénis est au repos. Nina essaye d’abord un pantalon et une chemise bleue marine. Jolie mais cela fait plus professionnel que soirée. Ensuite c’est une robe longue noire fendue au milieu sur le devant que Nina teste. Splendide. Très classe. J’adore. Mais Nina voudrait quelque chose de plus sexy. Ensuite son choix se porte sur une robe ultra moulante et courte avec des motifs rouge et noire. Mon sexe réagit à cette vision enchanteresse. D’ailleurs je sens en mon for intérieur que le plaisir monte en moi. Je demande à Nina de se tourner et de se pencher en avant. Sa robe remonte au milieu de ses fesses. Je lui demande d’ouvrir un peu les jambes et je vois clairement son string rouge. La robe est donc malheureusement éliminée. Moi je me sens un peu fatigué de me faire prendre depuis de longues minutes. Mais Nina estimant sans doute que ce n'est pas assez vient à côté de moi, remet du lubrifiant et met la vitesse maximale. Je me fais maintenant défoncer alors qu’elle retourne dans le dressing. Après plusieurs essayages moyens Nina revient avec une robe rouge avec des transparences sur les épaules et entre les seins. Elle est merveilleuse. La robe s’arrête au genou et est donc assez longue sans l’être trop. La marque de son string est présente mais discrète. Bref elle est parfaite. Nina voit que je suis subjugué et me dit :
- Vu tes yeux je crois que j’ai trouvé ma tenue
- Tu es splendide dis-je le souffle un court
- Toi aussi tu es beau… surtout quand tu es dans cette position
- Coquine ! j’arrive à lâcher sans trop gémir. Je ne veux pas lui montrer trop de signes de plaisir.
- Oh oui je suis ta coquine. Ce soir tu penseras à moi et ma tenue. Tu imagineras que je passe sous la table. J’ouvre ta braguette et sors ta belle queue. Je la lèche et l’engouffre goulument. Puis je te pompe jusqu’à ce que tu exploses dans ma bouche. Ou sinon je te traîne dans un coin. Je remonte ma robe comme en ce moment. Écarte mon string et t’offre mes trous. Tu peux choisir. Un vagin humide à souhait. Regarde j’y rentre trois doigts d’un coup. Ou un trou plus étroit mais tout aussi accueillant me dit-elle en ajoutant un doigt dans son anus.

Heureusement que j’ai joui juste avant et que je ne me stimule pas car sinon j’aurais déjà explosé. Toutefois toutes ses paroles ne me laissent pas de marbre. Nina doit le sentir et part chercher ses jouets. Elle s’enfonce le gros pénis dans le vagin et un plus petit dans son anus. Elle se met à moins d’un mètre de moi. Je sens ses effluves de cyprine. Elle se donne du plaisir librement alors que je continue à me faire baiser. J’aimerais qu’elle finisse vite car je sens que le plaisir m’envahit et qu’il suffirait de me toucher pour que je durcisse instantanément et éjacule. Nina jouit rapidement et satisfaite me dit qu’elle va me libérer. Ouf. Elle pose ses godes devant moi sur le lit. Elle passe à côté de moi en posant sa main sur mes épaules, glisse sur mon dos et caresse mes fesses. Sans signe annonciateur cette tendre caresse me fait jouir alors que je ne bande même pas. Mon sexe décharge sa semence sur le lit. Nina profite du spectacle et arrête la machine. Elle enlève l’objet laissant mon trou béant et alors que je m’effondre sur le lit elle me dit :
- C’était moins une tu as failli réussir ton défi. J’aime quand tu ne te maîtrises pas
- Tu m’as eu je lui lâche dans un soupir
- Alors qu’est-ce que je vais bien pouvoir te demander maintenant ?

J’attends patiemment son châtiment en reprenant mes esprits. Cette fois je vois qu’elle réfléchit réellement. Je me demande bien ce qu’elle va pouvoir trouver. Elle finit par me dire :
- Je te laisse deux choix. Soit ce soir tu portes ton pantalon beige fin avec ton string noir dessous.
- No way c’est un repas de boulot
- Soit, reprend-elle, tu portes une tenue normale mais avec le gode télécommandé
- Je te rappelle que c’est une soirée de boulot et que j’ai un rôle important dans la boîte
- C’est pour ça que je te laisse le choix. Car ma volonté première c’était le cumul des deux.

Le choix est difficile. Mettre une tenue où tout le monde voit que j’ai un string. Ou avoir un jouet en moi qui peut provoquer une érection voire un orgasme inattendu. Je choisis quand même la deuxième solution car c’est celle où j’ai encore l’illusion d’avoir un peu de contrôle. Nina enlève sa robe et part se maquiller. Je finis de m’habiller puis la rejoint dans la salle de bain. Je reste scotché devant la splendeur de sa lingerie alors qu’elle est légèrement penchée sur le lavabo. Je m’apprête à lui écarter son string pour la prendre sauvagement debout quand j’entends Alexandre qui se réveille de la sieste. Partie remise à ce soir.

Je pars dans la chambre récupérer Alexandre et le préparer. Vu qu’il y a un service de garderie pour la soirée il peut rester avec nous. Une fois prêts je descends un peu avec lui le temps que Nina finisse sa préparation. Elle nous rejoint dans sa belle robe et son maquillage comme toujours discret et classe. Elle a vraiment un don pour ça. Je lui dis qu’elle est magnifique et Alexandre renchérit en lui disant qu’elle est belle dans sa robe. C’est toujours bon pour l’estime de soi. Avant de partir j’insère l’objet du défi en moi.

Nous partons à la salle des fêtes où a lieu le repas. En sortant de la voiture je me dis que cette robe rouge pétante est quand même bien voyante. Autant j’aime qu’elle soit désirée par d’autres, autant pour le travail s’est peut-être un peu trop. Tant pis. Nous disons bonjour à mes collègues proches alors qu’Alexandre part jouer avec d’autres enfants. Je pars chercher à boire au bar quand je sens que le sex-toy se met à vibrer. Je l’avais presque oublié. Je récupère les deux verres et reviens difficilement vers Nina. Cela faisait longtemps que je n’avais pas remis ce jouet. Après la préparation dont j’ai eu droit je suis particulièrement sensible. L’apéro continue. Nina joue avec moi mais de façon modérée. L’ambiance est sympa et tout le monde est décontracté. Je discute avec bon nombre de collègues mais je garde toujours un œil sur Nina. Elle n’est pas difficile à repérer avec sa robe voyante et parle de son côté avec des connaissances. Puis la DRH vient me voir. Nous attaquons une conversation sur les voyages et la randonnée nos passions communes. Je suis plongé dans un récit sur le Machu Pichu quand je lâche un cri. Nina a de nouveau enclenché le plug connecté. La DRH me demande si tout va bien. Je réponds difficilement. Nina a dû enclencher le mode Tremblement de terre. J’ai dû mal à tenir debout. En plus cela m’a déclenché une érection du tonnerre. Nina me regarde avec un grand sourire aux lèvres alors que je tente tant bien que mal de continuer mes explications. Je suis sauvé par l’heure du repas.

Nous nous installons à table. Nina pose aussitôt sa main sur ma cuisse et remonte sur la bosse de mon pantalon. Satisfaite nous continuons notre soirée. Le repas se passe super bien. Nina reste à peu près tranquille jusqu’au dessert. Là elle se penche vers mon oreille et me dit de me rappeler ce qu’elle m’a raconté tout à l’heure qu’elle aimerait me faire ici et maintenant. Mon cerveau revoit tout de suite l’image de Nina passant sous la table et forcément cela me fait bander. Elle en profite pour réenclencher l’objet et me voici de nouveau sous tension. J’ai du mal à tenir la conversation et la fin du dessert.

Dès la fin du repas la musique se lance. Immédiatement Nina souhaite que nous allions danser. Ouf cela devrait m’aider. La plus grosse difficulté est d’arriver à se lever. Nous allons sur la piste de danse mais Nina n’a pas déconnecté l’appareil. Il réagit donc aux rythmes et change les vibrations en conséquence. Nous dansons sur des rythmes calientes. La proximité du majestueux corps de Nina ne me permet pas de faire retomber la pression. Après quelques titres je prétexte une grosse soif pour souffler un peu. Je pars au bar et tombe sur le Directeur de l’entreprise. Nous discutons un peu et il me demande si mon épouse est ici. Je lui réponds que oui et alors que je souhaite lui montrer je vois Nina danser avec un collègue. Les mains du collègue sont très bas en dessous de la taille de Nina. Il doit sentir sous ses doigts les contours de son string. Et cela ne semble pas gêner Nina. Je fulmine et finalement change de conversation. Puis j’arrive au bar et commande nos verres. Je retourne vers la piste et vois Nina collée à un autre collègue mais dans les mêmes conditions. Je suis très en colère et pars directement dans les toilettes enlever l’objet. Pour moi cette soirée est gâchée et il n’y a plus de raisons de jouer. Je pars ensuite le ranger à la voiture et en revenant tombe sur des collègues qui fument une clope. Je m’arrête discuter avec eux mais n’arrive pas à me détendre. Après un long moment je finis par rentrer et vois Nina qui me cherche. Elle vient rapidement vers moi et me dit énervée :
- Où étais-tu cela fait un moment que je te cherche ?
- Ah bon ? Tu n’avais pas l’air de t’en préoccuper tout à l’heure
- Pourquoi ?
- J’ai vu des mains se balader sur tes fesses sans beaucoup de résistance
- Oh ce n’est rien c’était dans la danse
- Tu as des drôles de danses alors.
- Tu es jaloux ?
- Oui surtout quand tu te donnes en spectacle avec mes collègues
- Tu es mignon quand tu es jaloux. Allez viens danser
- Non merci je suis fatigué
- Tu veux rentrer ?
- Non je vais me poser un peu. Mais fais attention s’il te plaît cela reste un repas de travail

Je retourne m’asseoir mais je n’arrive pas à m’enlever ces images de la tête. Je vois toutefois qu’elle tient plus ses distances. J’essaie de me changer les idées en bavardant puis Nina vient me chercher pour que je retourne danser. J’y retourne sans grandes convictions et au bout d’un moment je dis à Nina que je suis claqué et que nous n’allons pas tarder à rentrer.

Nous rentrons et l’atmosphère dans la voiture est lourde. En arrivant à la maison je monte me coucher dans la chambre d’ami prétextant que vu ma fatigue je vais ronfler fort. Je me couche. Le simple contact des draps sur mon corps nu fait réagir mon sexe. Vu les stimulations de la soirée il ne m’en faut pas beaucoup pour retrouver une belle érection. Après une journée globalement plaisante c’est dommage de finir comme ça. Je finis par me lever pour rejoindre Nina. Je marche dans le couloir et vois la lumière de la chambre allumée. Tiens Nina ne dort pas encore. En avançant vers la porte j’entends des gémissements.

Je m’approche discrètement et vois Nina allongée sur le dos, nue, les jambes ouvertes et la main sur son vagin. Elle se caresse sensuellement. Inexorablement je pose ma main sur mon membre dressé en contemplant ce merveilleux spectacle. Nina glisse son majeur dans son être. L’autre main attrape un sein. Puis elle écarte ses lèvres et frotte sa main sur son clitoris. Elle gémit et semble prendre beaucoup de plaisir. Je prends quelques photos volées et alors que je m’apprête à rentrer la rejoindre, Nina se redresse et se dirige vers le placard. J’attends pour voir ce qu’elle fait et elle revient avec deux godes, un moyen et le plus gros que nous ayons.

Je suis curieux de la voir se masturber avec ces objets. Nina s’installe de nouveau sur le lit et se caresse de nouveau un peu avec ses mains avant d’introduire le plus petit des deux dans son vagin. Elle le fait pénétrer délicatement avant d’accélérer petit à petit le rythme. Elle attrape ensuite le plus gros qui vient prendre la place du premier. Celui-ci a plus de difficultés à rentrer mais avec douceur et patience il finit par arriver au fond. Nina se baise donc avec ce gros sexe en gémissant fortement. J’hésite à rentrer car si je passe après ce mastodonte je ne suis pas sûr qu’elle ressente grand-chose. En tout cas le spectacle est fantastique. Mais ce n’est rien par rapport à ce qui arrive. Nina se met en levrette tout en continuant sa séance masturbatoire. La vision de ses grosses fesses écartées est toujours un régal. C’est vraiment ma position préférée tant au niveau visuel que sensoriel. Je ne peux m’empêcher de reprendre également mes caresses malgré un sexe plutôt sensible et proche du précipice.

Je m’apprête à repartir dans la chambre quand je vois Nina redresser son buste tout en gardant le sexe en elle, attraper le lubrifiant et enduire le premier gode. Elle le dirige ensuite vers son anus et l’introduit. Elle se masturbe maintenant dans un fantasme de double pénétration comme cet après-midi. C’est beau visuellement. Mais difficile émotionnellement car je présume que dans ses rêves je ne suis dans aucun de ses trous. Elle fait parfaitement coulisser les deux sexes de façon à faire monter son plaisir. Comme j’ai envie d’être un de ces objets en plastique ! Je prends quelques derniers clichés pour ma collection personnelle puis repars seul dans mon lit. Je suis tiraillé entre l’excitation symbolisée par ma grosse érection et le marasme cérébral après une nouvelle soirée ambiguë. Je ne sais pas trop comment nous allons pouvoir nous sortir de cette crise…

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