Défloration du croupion d’une mature - Renaissance 03

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Défloration du croupion  d’une mature - Renaissance 03 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Défloration du croupion d’une mature - Renaissance 03
Défloration du croupion d’une mature - Renaissance 03

Romain, un écrivain, sociologue de trente-quatre ans - homme à femmes - rencontre fortuitement dans un autobus, Victoria, cinquante et quelques.... Une forte femme, bien proportionnée, dotée d’une forte poitrine. Malgré son âge certain, elle a un joli visage, rond, bien fardé, des lèvres pleines et des yeux d'un bleu porcelaine. C'est une femme majestueuse et ses chairs ne sont pas flasques du fait de sa rondeur sans doute. Elle a une belle peau d'un blanc laiteux. Cette femme se laisse séduire par le jeune homme qui la trousse sans vergogne dans son appartement du 6e arrondissement de Paris. Le couple s’adonne à une nuit de réjouissances licencieuses et suggestives.





Romain s'éveille avec une sensation bizarre, il n'est pas dans son lit alors que, dans son dos, il sent un corps nu plaqué tout contre lui. Il se retourne doucement et remarque qu'une lumière filtre légèrement à travers des doubles rideaux. Il reconnaît immédiatement la femme avec qui il vient de passer la nuit et d'un seul coup, ses souvenirs reviennent à la surface.


Quelle journée.... surtout quelle soirée ! Incroyable d'avoir copulé avec autant de désir cette femme, qui a certainement dépassé la cinquantaine, bien que d'après son allure générale on lui en donnerait à peine quarante, si ce n’est sa corpulence. Car pour ce qui est de la fermeté de sa peau, c'est étonnant, elle n'est absolument pas marquée et n'a subi aucune intervention de chirurgie esthétique ; tous ses membres sont fermes et bien proportionnés pour son gabarit. Elle a des seins qui sont lourds et imposant certes, mais ils sont très agréables à malaxer ; pour ses fesses c'est la même chose, elles sont dures et il a pu profiter de son excitation pour la fesser avec vigueur, quel pied !


Sa bouche est très agréable à embrasser et, bien que ce soit par « accident », elle a avalé tout son foutre après l'avoir pompé avec inexpérience certes, mais ce n'en a été que plus jouissif. Elle a des jambes et des cuisses superbes, fermes et douces à la fois, quant au sexe, il est presque juvénile tellement il est petit et étroit, Romain songe que sa verge a été à son affaire, plongée dans l'intérieur de cette chatte bien chaude et huilée par sa mouille abondante. Il n'y a que son cul qu'il n'a pas essayé, il est vrai que devant les inhibitions incroyables de cette femme qu'il vient à peine de découvrir, ce dernier doit certainement être vierge. Romain savoure déjà la façon dont il va le « dépuceler » et introduire son phallus, dans un anus certainement aussi étroit sinon plus, que la mignonne petite vulve d'adolescente qu'il a déjà envahi.


Tout en songeant aux ébats qui les ont réunis, il admire sans restriction ce corps qu'il sent contre lui. Elle dort toujours comme une bienheureuse. Lorsque, dans son sommeil, elle se retourne en lui présentant ses fesses en « chien de fusil », sa verge, durcit immédiatement aux souvenirs qui lui taraudent l'esprit ; il flatte la croupe qui est devant lui, laissant ses mains vagabonder entre les cuisses qui s'entrouvrent naturellement à ses attouchements. Il sent le vagin suinter déjà d'une mouille abondante. Ne perdant pas de temps, il présente sa queue devenue rigide au pertuis qui se dilate aussitôt, s'enfonçant d'un seul coup le plus loin possible, presque jusqu'à l’utérus, en la prenant en levrette, une des positions qu'il adore.


Victoria ne s'est pas encore réveillée, mais son corps ondule, sous les coups de boutoir que lui imprime l'homme qui la défonce. Celui-ci, agrippant ses seins, plaque ses mains sur les mamelons tout en pinçant les pointes entre ses doigts, puis il serre fortement les bouts durcis. Victoria qui a repris maintenant conscience, rugit de douleur car ses seins sont triturés atrocement, mais elle geint également du plaisir qu'elle ressent par la verge de son amant qu'elle sent jusqu'au plus profond de son vagin. La chevauchée est intense, les deux corps, intimement soudés l'un à l'autre, vibrent dans une véritable symbiose charnelle. La croupe de la quinquagénaire se projette au-devant des coups de verge qui la pilonnent sans cesse, jusqu'à ce que Romain explose en elle tout en lui mordant cruellement la nuque, comme le font les étalons avec les juments.


Après quelques instants de récupération, Victoria se dégage de la tige qui se retire lentement de sa chatte enflammée, se retourne amoureusement vers Romain, puis se frottant contre son torse, elle ne peut s'empêcher de lui faire quelques reproches.


- Pourquoi ne pas m'avoir réveillée, vous m'avez fait très mal Romain, mais je ne comprends pas très bien ce qui m'arrive, car en même temps, j'ai joui divinement. Hier vous m'avez fustigé les fesses, vous me faisiez souffrir et dans le même moment j'avais du plaisir par votre sexe qui s'agitait en moi. Ce matin mes seins et ma nuque sont douloureux, car vous m'avez torturé cruellement, mais aussi quel bonheur de vous sentir en moi. Oh ! Qu'allez vous faire de moi mon chéri ! Vous êtes brutal et si aimant. Jamais, on ne m'avait traitée de la sorte, je vais devenir votre esclave. C'est ce que vous voulez n'est ce pas ? Cela m'est égal, battez-moi si vous le voulez, mais aimez-moi aussi, je vous en supplie !


- Victoria, la douleur et le plaisir c'est presque la même chose. Je ne veux pas que vous acceptiez cette souffrance que je vous inflige si vous n'en retirez pas du bonheur également. Je vais vous faire encore souffrir si je reste avec vous, aussi il vaut peut-être mieux que nous n'allions pas plus loin.


Victoria est affolée, elle ne veut pas que l'amant qui vient de la révéler la quitte. Elle vient de découvrir une jouissance physique qu'elle n'a jamais connue durant toute sa vie maritale, bien pauvre, sexuellement parlant. Oh ! Bien sûr, elle vient de subir des douleurs atroces alors que son amant lui promet de lui faire encore du mal, mais, dans son subconscient, elle soupçonne qu'elle en éprouve un besoin aussi méprisable qu'inavouable. Curieuse, et tout de même inquiète, elle voudrait pourtant bien savoir ce que Romain veut encore lui faire subir.


- J'accepterai Romain tout ce que vous voudrez, dites moi seulement ce que vous voulez me faire maintenant et je serai d'accord, je vous le promets.


Romain enlace la femme mûre et tout en la caressant il glisse une main entre ses fesses tout en lui susurrant.


- Je veux vous enculer ma belle, vous savez ce que cela veut dire n'est ce pas ? Je veux entrer mon pénis dans votre anus, le petit trou de votre cul est vierge, je suppose. Personne ne vous a jamais sodomisée n'est ce pas ?


- Oh ! Non, mon mari a essayé une seule fois et c'était horrible, après cela je n'ai plus jamais voulu qu'il essaie de me pénétrer dans mon petit endroit, car je suis certaine que cela doit faire horriblement mal. Mais vous pouvez mon chéri, si vous le voulez. Je veux bien sacrifier mon derrière à vos envies car je suis à vous mon amour. Oh ! Oh ! Non ! Non ! Ohhhhhh........


Pendant que Victoria se rendait aux raisons de son jeune amant, celui-ci, caressait doucement le tour de l’œillet encore vierge du cul de la matrone. Puis, au moment des « Oh ! » prononcés par la femme, il présente son majeur au bord de l'anus, qu'il a pris la précaution d'enduire de la mouille prise dans le vagin détrempé, tout en s'activant à écarter les chairs serrées pour pouvoir passer les anneaux étroits du sphincter. Victoria, malgré sa bonne volonté à offrir sa croupe aux agissements dégradants de son amant est tout de même très tendue, elle pleure en silence en se gardant bien d'émettre une plainte. Romain lui conseille gentiment de pousser comme pour aller à la selle, afin de faciliter l'introduction du doigt. D'un seul coup, celui-ci passe la frontière et se retrouve dans le conduit rectal de l’imposante femme. Romain pour la décontracter, introduit ses autres doigts dans son vagin, tout en massant délicatement le point G, imprimant à ses doigts un mouvement circulaire en frottant subtilement le fourreau rectal.


Bien que dans un état de prostration consternée, Victoria est bouleversée par ce qu'elle vient d'accepter, car elle sait qu'elle ne va tarder à souffrir atrocement. Pour le moment c'est seulement un doigt qui s'est infiltré dans son petit trou, mais tout à l'heure elle se doute que ce sera au tour de l'énorme verge de Romain de la transpercer. Comment pourra-t-elle s'introduire dans son derrière ? Elle est folle d'accepter cette épreuve douloureuse, bien que singulièrement, elle souhaite au fond d'elle même subir cette initiation, cela fait trop longtemps qu'elle en entend parler dans les revues, à la radio et à la télévision. Elle a aussi des amies, qui lui en ont parlé et qui tout en trouvant cela très différent du coït vaginal, ont, au bout d'un certain temps, pris du plaisir à se faire sodomiser ; d'ailleurs maintenant, elles réclament même cette pratique à leur mari ou à leurs amants.


Les mains de Romain font comme toujours leur effet diabolique, alors que les doigts dans son vagin et dans son anus lui procurent un violent orgasme qui la laisse toute pantelante. Romain s'arrache alors de ses bras et file hors de la chambre. Victoria en savourant le plaisir qui a encore envahi son corps s'en rend à peine compte. Il revient rapidement avec une crème à bronzer à base d'amande douce, c'est tout ce qu'il a trouvé pour enduire le cul de la femme et rendre sa première introduction moins pénible. Il sait qu'il va lui faire très mal la première fois, mais c'est la seule façon de commencer, après elle s'habituera et y prendra goût.


Il la fait mettre à genoux sur le lit et lui demande d'écarter ses cuisses et ses fesses en les tenant avec ses mains. Victoria, toute frémissante mais résignée, se plie aux ordres de son amant, exposant donc son derrière à la vue de celui-ci qui constate que la rosace se montre par trop contractée. Aussi, prenant abondamment de la crème dans ses doigts, il en étale tout autour de l'œillet serré, faisant entrer la pommade aux bords de l'anus, puis avec le doigt qu'il introduit de nouveau à l'intérieur, plus facilement cette fois, il pousse la pommade à travers le sphincter jusque dans le conduit anal. Patiemment il recommence l'opération plusieurs fois, jusqu'à ce que l'anneau se soit légèrement assoupli, s'habituant petit à petit à chaque passage du doigt, puis il masse et enduit convenablement l'intérieur du rectum.


Victoria va mieux, la douceur des doigts de Romain fait son effet et la douleur dans son anus s'estompe. Elle trouve même que le doigt de Romain glissant dans son rectum n'est pas désagréable, il lui procure même une certaine excitation. C'est le moment que choisit Romain, ayant enduit sa verge de la crème restante, pour se disposer devant l'anus légèrement dilaté. Il sait qu'il lui faut s'introduire d'un seul coup, car s'il le fait trop lentement, le sphincter se contractera encore plus qu'avant. Profitant que Victoria ne se rend compte de rien, car son doigt lui badigeonne toujours le rectum, Romain se présente devant l'anus. Tout en retirant rapidement son doigt, il presse d'un seul coup sa verge contre la rosace entrouverte, traversant le sphincter, qui s'écartèle difficilement devant la grosseur du pénis qui cherche à s'introduire, cédant enfin péniblement. C'est alors qu'il s'enfonce d'un trait jusqu'au fond du rectum. Cela fait un « flop » retentissant, lorsque la verge, repoussant la pommade dans la gaine étroite, s'engouffre en force en chassant l'air qui s'y était emprisonné.


Victoria, repoussée brutalement en avant pousse un hurlement inhumain, puis elle éclate en sanglots, car l'engin qui a pénétré violemment l’anus vierge, la brûle atrocement. Romain l'ayant bien enfilé reste immobile. Il faut attendre que la femme et surtout que le conduit rectal s'habitue à ce corps étranger. En attendant, il caresse doucement d'une main le vagin et de l'autre un sein, tout en embrassant la nuque de Victoria qui se décontracte petit à petit.


Au bout d'un bon quart d'heure, il commence à faire aller et venir doucement sa verge dans la croupe, prenant bien garde de ne pas la ressortir pour ne pas avoir à repasser les muscles du sphincter. Victoria, bien que son orifice anal soit horriblement distendu par le membre fiché entre ses fesses, s'habitue peu à peu au va-et-vient de l'engin qui torture ses entrailles. Elle n'en revient pas, à cinquante-deux ans, d'avoir accepté de se faire sodomiser, alors qu'elle n'a jamais voulu en entendre parler durant ses vingt-sept ans de mariage. En outre, c'est elle qui a supplié son jeune amant de lui déflorer son derrière, de peur qu'il ne la quitte. Quelles expériences éprouvantes et sublimes elle vient de vivre, depuis seulement la veille. Pour la première fois, son sexe a été léché de toute part, alors que buvant sa honte d'être exposée aussi impudiquement aux yeux de son jeune amant, elle en a joui intensément. Elle s'est masturbée elle-même et y a pris du plaisir. Elle a été fessée, ses seins ont été torturés, tout cela avec son consentement et maintenant le pire, elle est stupéfaite de se retrouver soumise à l'écartèlement de son fondement qui est épouvantablement élargi par le pieu qui s'est engouffré jusqu’au fond du rectum.


Tout en pensant à tout cela, une douce chaleur l'a envahie. Les caresses que lui procure Romain dans son vagin, sur ses seins et ses baisers dans son cou, lui font oublier qu'elle a un corps étranger planté dans sa croupe. Elle commence à râler sa jouissance lorsque Romain accélère la cadence de sa queue. Malgré la douleur, le plaisir la submerge et elle crie à son amant.


- Oui ! Encore ! Oh ! Tu me fais du bien mon Chéri. Oui ! Défonce-moi ! Oui ! Encore ! Vas-y ! Sodomise-moi, j'en ai tellement envie ! Oh ! Je suis folle de dire ça… Oh ! Ouiiiiiiiii..... Continue... Ouiiiiiiiiiiiiii......


Romain gicle son foutre dans la gaine rectale qui lui enserre si fort la verge, il prend un pied comme il en a rarement pris. Quelle femelle ! Il commence à se rendre compte que c'est vraiment une affaire et qu'il va pouvoir en faire ce qu'il voudra, aussi il songe qu'il a bien l'intention de continuer son initiation dans tous les domaines. En attendant, il reste enfoui au plus profond du croupion qu'il a eu tant de mal à déflorer. Il attend de pouvoir rebander, car il veut pour cette première fois, assouplir le plus longtemps possible le conduit rectal si étroit. Sa verge plantée le plus loin possible dans l'arrière-train de Victoria est resserrée à sa base par les anneaux du sphincter, ce qui permet de la garder dans une semi-érection. La femme s'est écroulée à plat ventre sur le lit, épuisée par l'assaut qu'elle vient de subir, seules ses fesses sont haut levées et disposées de telle sorte, que Romain les écartant avec les mains, possède une vue des plus impudiques sur la base de sa verge entourée du goulet anal boursouflé et violacé qui palpite amplement. Il ne peut détacher ses yeux de ce spectacle obscène qui lui fait un effet incroyable, car il sent bientôt son sexe durcir à nouveau et se gonfler comme une baudruche branchée à une pompe à air.


Il voit l'anneau qui enserre sa verge se dilater progressivement, alors que sa queue lui fait mal tellement elle a grossi dans ce goulet qui l'enserre. Le seul moyen de soulager sa douleur étant d'effectuer un va-et-vient, il commence donc à s'agiter dans l'orifice anal, se retirant presque entièrement du derrière soumis, mais laissant tout de même son gland à l'intérieur de l'anneau rectal, tout en poussant le plus loin possible dans les entrailles de l'enculée.


Celle-ci pousse de petits gémissements entrecoupés de halètements. Romain la pourfend sans répit, la faisant crier non de douleur cette fois mais d'ivresse lubrique. Cette tige brûlante qui entre et sort de son derrière la rend folle, elle se rend compte, que bien que très différente de la perception d'être prise par-devant, la pénétration anale lui procure des sensations étranges et voluptueuses. En un mot, elle prend un pied terrible. Elle se met à accompagner les coups de boutoirs de son amant en avançant et en reculant son derrière en cadence. Romain retient le plus qu'il le peut son éjaculation, car lui aussi délire de se voir entrer et sortir de ce cratère béant juste au-dessous de ses yeux, car maintenant il ressort entièrement sa bite du trou qu'il a foré et qui reste grand ouvert, excitant ses sens exacerbés. Victoria ne crie plus, elle n'en a plus la force, elle râle de jouissance, lorsque Romain, dans un rugissement se répand en elle, son sperme giclant à gros flots dans le gros croupion qu'il vient de défoncer. Tous les deux s'écroulent alors sur le lit étroitement imbriqués l'un dans l'autre et s'endorment profondément sans un sursaut.


À suivre…

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