DÉFONCE D'UN KEUF HÉTÉRO (FIN)

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : DÉFONCE D'UN KEUF HÉTÉRO (FIN) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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DÉFONCE D'UN KEUF HÉTÉRO (FIN)
DÉFONCE D'UN KEUF HÉTÉRO (FIN)

Je m'appelle Tom, trente-quatre ans, marié, deux enfants et lieutenant de police à Toulouse.

Physiquement, je suis pas mal. Bel homme, diront certains. Grand, brun style méditerranéen, petite barbe de trois jours que j'entretiens régulièrement et cheveux courts, un peu décoiffés. Je suis du genre ténébreux et mon regard sombre en impressionne plus d'un. À commencer par les hommes que j'ai sous mon commandement.

Aujourd'hui, nous sommes en mission à la sortie-nord du métro Nord. On nous a signalé toute une série de vols à la tire. Je suis en civil, polo beige et jeans clair, usé à l'entrejambe avec une paire de baskets aux pieds. J'ai positionné mes hommes un peu partout dans le secteur et j'attends près de mon véhicule banalisé, quand je vois soudain débarquer un black impressionnant. Il remonte par les escalators et me fixe direct de son regard pervers. Il semble tellement sûr de lui qu'il me force à baisser les yeux et là, je tombe sur la bosse énorme que forme sa queue dans son jogging Lacoste. Putain, l'engin!!!... et elle est au repos! Je suis pas homo (bon, un peu, même si ça reste de l'ordre du fantasme) mais je bloque sur ce barreau de chaise qui tressaute à mesure qu'il avance vers moi.

Arrivé à ma hauteur, le géant noir me gratifie d'un franc sourire et me demande la direction de la gare. Bordel, Matabiau est à l'autre bout de la ville. Il semble dépité et se lamente sur son infortune. Je ne sais ce qui me passe alors par la tête mais j'avise un des mes gars en lui disant que je m'absente pour quelques heures. Je propose d'amener mon beau renoi à son lieu de rendez-vous et l'invite à monter dans ma voiture de fonction. Il s'installe côté passager et nous voilà partis pour un périple à travers la ville. Tout en conduisant, je mate discrètement son renflement impressionnant et ses cuisses musclées qui frôlent le levier de vitesse. À un moment, mes doigts entrent malencontreusement en contact avec son genou. Je m'excuse mais lui, pour toute réponse, écarte encore plus les jambes et commence à se palper le paquet tout en regardant par la vitre, comme si de rien n'était. Je rougis pareil à un collégien et tente de me concentrer sur ma conduite.

Il sort son portable et appelle un copain. Je les entends converser dans une langue inconnue de moi. Il raccroche puis me demande si ça ne me gêne pas de passer par le lac de Sesquières afin de récupérer un ami. Je reste sans voix. Le mec ne manque pas d'air, il me prend pour un chauffeur de taxi, ou quoi?!
En même temps, je me sens comme un petit garçon en sa présence. Il me domine d'une tête mais en plus, il dégage un truc qui me rend tout chose. C'est con à dire, mais j'ai envie de lui obéir, qu'il me domine de toute sa stature. Pourtant, je ne suis pas du genre à m'en laisser compter et les hommes que je dirige en bavent avec moi.

Nous quittons l'agglomération et prenons l'autoroute A620. Je ne dis rien mais tout se bouscule dans ma tête. Je suis en train de réaliser que je trimballe un inconnu, peut-être inscrit au fichier des services de police, dans un véhicule de fonction, pendant mes heures de service, alors que mon équipe attend mes ordres à l'autre bout de la ville. Putain, le merdier dans lequel me met ce beau négro!

Passé Ginestou, nous bifurquons sur la gauche et filons vers Wan Park, une aire de loisir où les activités nautiques ne manquent pas. Moi-même et ma famille y passons d'agréables moments, certains week-end. Il me fait contourner l'endroit et me demande de nous enfoncer sur un chemin rocailleux très accidenté. Manifestement, mon passager connaît très bien l'endroit, car au bout d'un kilomètre, il me fait signe de couper le contact. Nous voilà tous les deux, perdus en pleine cambrousse. Il ne dit plus rien mais je sais ce qu'il attend. Son rencard est bidon et l'appel à son pote n'était qu'un prétexte pour se retrouver seul avec moi.

Je balise un peu, même si les techniques de combat que l'on m'a enseigné pourraient me servir en cas de besoin. Mais lui, loin d'être agressif, se tourne vers moi avec son regard rieur. Il s'approche de mon oreille et me susurre:

- Je savais que ça finirait comme ça. Je ne bouge pas, comme tétanisé par l'enjeu. Lui, poursuit sans se préoccuper de mes états d'âme. Vous êtes beau (il me tâte le paquet à travers le jeans) et surtout, bien monté.

J'essaie de repousser cette main inquisitrice, mais trop mollement à son goût car il saisit l'une des miennes et vient la plaquer entre ses jambes.

- … Mais elle est pas aussi grosse que la mienne.

Effectivement, son gros boudin palpite sous mes doigts. Il étire la toile du jogging à en faire éclater la couture. Pour la première fois, j'ose caresser un sexe d'homme. Je ferme les yeux et laisse libre cours à mes fantasmes les plus secrets, ceux que j'ai trop longtemps refoulés, même aux yeux de ma femme.

- Humm, c'est bon.

Il est le seul à parler. Je suis ailleurs, perdu dans mes pensées, des frissons plein le corps et ma queue douloureuse, soudain trop à l'étroit dans mon jeans. Il presse sur ma nuque, doucement, sans excès. Je comprends ce qu'il attend de moi mais je résiste. C'est trop rapide, mes réflexes d'hétéro prennent le dessus. Il faut toute sa persévérance pour que je m'incline enfin vers son mât dressé fièrement. Je le lèche à travers l'étoffe, l'humecte de salive sur toute sa longueur, titille le bout qui ne tarde pas suinter d'un liquide salé.

Lui, pendant ce temps, part à l'assaut de mon cul. Ses doigts agrippent mes fesses musclées par la pratique du sport, caressent ma raie tout juste protégée par la toile du pantalon. Je la sens mouiller d'excitation, elle palpite, coule comme une chatte et c'est sans me rendre compte que je lui demande de sortir du véhicule pour poursuivre.

Il est aux anges. Sans me forcer, il m'a vaincu. C'est moi qui en veut davantage, qui implore d'aller plus loin. Nous nous retrouvons devant ma voiture, face à face. Il est vraiment intimidant. Une vraie montagne de muscles. Sa peau basanée a des reflets d'ivoire sous le soleil d'été. Il me regarde et me sourit avant de presser sa bouche contre la mienne. Je tourne la tête de côté pour empêcher ce chaste baiser. Il ne se démonte pas et entreprend de me déshabiller. Il m'ôte mon polo, frôlant au passage mes pointes qui durcissent, puis déboucle mon ceinturon avant d'abaisser mon jeans et mon sous-vêtement. Je me sens un peu con, nu comme un vers mais lui me gratifie d'un clin d'œil complice qui me fait fondre.

Par pudeur, je remonte mon boxer jusqu'à la taille. Sa main glisse dans celui-ci et tâte mes fesses qui semblent l'inspirer. Un doigt glisse dans ma raie moite de désir. Il titille mon œillet encore vierge, tourne, vrille, presse, jusqu'à ce qu'il cède et qu'une phalange inaugure son entrée triomphale. Je me crispe, lui mords l'épaule et râle de plaisir. Il vient m'embrasser la joue, mordille mes poils de barbe, me serre encore plus fort de son autre main.

Profitant de ce moment suspendu, il abaisse une nouvelle fois mon boxer et me fait reculer un peu. Il siffle d'admiration en découvrant mon sexe bandé à mort. Sa main me branle doucement et recueille un peu de mouille qu'il porte à ses lèvres. Durant tout ce temps, son doigt n'a pas quitté mon anus. Je flotte entre deux mondes, des sentiments contradictoires m'envahissent. D'un côté la honte de m'abandonner aux caresses d'un homme, de l'autre, ce doigt qui me procure tant de joie.

- Écarte bien tes jambes, s'il te plaît.

Je le fixe, le regard rouge de honte. Je scanne les alentours pour m'assurer que nous sommes toujours seuls. Aucun bruit, aucun son suspect, seul le trafic autoroutier nous parvient au loin. Je m'exécute et prends appui sur son torse puissant. Son doigt dans mon rectum fait de petits va-et-vient qui maintiennent mon excitation. Je sens ma queue frapper contre mon ventre, dure comme la pierre. Je commence à haleter sans me rendre compte de l'incongruité de la situation. En moins d'une heure, ce beau black m'a complètement retourné et moi qui aime maîtriser les événements, je me retrouve totalement dépassé par la situation présente.

Toujours arrimé à lui, voilà qu'à présent, il se penche et mordille mon téton droit. Sa succion m'envoie une décharge électrique telle, que je me surprends à agripper sa nuque pour l'inciter à poursuivre. Puis, il délaisse mon sein pour s'aventurer plus bas. Il lèche mes abdominaux que je sais bien dessinés suite aux heures passées à la salle de sport, pour enfin poser sa bouche sur mon gland.

Je n'en crois pas mes yeux, ce grand black bâti comme une armoire à glace va me tailler une pipe. Jusqu'à présent, seules ma femme et ma maîtresse (personne n'est parfait!) s'y sont essayées.

Il a ressorti son doigt et, les genoux bien ancrés sur le sol, me tient fermement les hanches. Bordel, il sait y faire le blédard, on voit bien que c'est pas sa première turlutte. Je reprends le contrôle des opérations et lui appuie la tête pour qu'il en prenne plus. Tout en lui imposant mon rythme et ma profondeur, je lui donne des conseils pour bien aspirer sans s'étouffer. Mon côté dominant reprend soudain le dessus. C'est dingue, en quelques secondes, les rôles se sont inversés.

Je ressors mon sexe de sa bouche, un filet de bave relie ses lèvres à mon gland. Puis, je renfourne direct, toujours plus profond. Je commence à accélérer quand, soudain, je donne un coup de rein violent qui propulse ma verge jusqu'au fond de sa gorge. Je sens clairement le gland passer la luette et descendre dans l'œsophage. Mes deux pouffiasses n'aiment pas trop ce type de pratique car c'est douloureux et ça abîme les cordes vocales, mais bon, je demande jamais leur avis. Là, je m'attends à ce que le gars se redresse, furax. Au lieu de quoi, il glousse de plaisir et se pignole le jonc jusqu'à décharger sur mes baskets.

Je me retire à mon tour et entreprends de lui crémer son beau visage de racaille lorsque mon téléphone sonne. Je me précipite dans l'habitacle, le pantalon sur les chevilles et décroche in extremis. C'est mon second qui se demande ce que je fabrique. Ils ont choppé trois mineurs roumains qui rackettaient les poches des voyageurs et me demande si on les embarque. Je donne les consignes d'usage et confirme de coffrer tout ce beau monde.

Je sais que j'ai merdé sur cette mission et que je n'ai pas trop intérêt à traîner. Je vais pour proposer à mon passager de le ramener, lorsque ce dernier pointe un flingue dans ma direction. Ce con m'a dérobé mon arme de service. Il me tient en joue et je constate que, malgré une première éjaculation sa queue est encore au garde-à-vous.

- Allez, le poulet, assez plaisanté. Fous-toi contre le capot de ta bagnole, jambes écartées et ton cul bien exposé. J'en ai pas fini avec toi.

FIN

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