DÉFONCE D'UN KEUF HÉTÉRO
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Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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DÉFONCE D'UN KEUF HÉTÉRO
DÉFONCE D'UN KEUF HÉTÉRO.
Hello, moi c'est Djibril, un renoi de Marseille, cité Nord. Je rentre au bercail après une bonne journée à zoner sur la plage du Prado.
J'attends le tram de vingt heures. Sur le quai, je matte un max tous ces minets en manque de queues et ces bons pères de famille qui louchent sur ma bosse bien dure dans mon jog. Ouais, je bande non stop, surtout quand je croise tous ces céfrans que je laisse pas indifférents. Normal, je suis un black de vingt-deux ans, un vrai lascar des cités, 190cm, 95kg de muscles, bien gaulé avec une teub de 22cm par 6. Elle vient de grimper d'un level à la vue d'un p'tit lascar viril qui la reluque depuis mon arrivée. Je sens direct qu'il kiffe la bite de négro. Je m'approche de lui et profite d'un mouvement de foule pour la lui coller contre son boule. Il ondule du cul pour bien se la carrer entre la couture du pantalon. En même temps, je lui palpe la queue qu'il a bien dure. Il me faut que quelques minutes pour le faire gicler dans son jeans. Il a pas pu résister, le puceau.
Je le laisse dans son jus et monte dans la rame pleine à craquer. Je vais pas avoir de mal à trouver une nouvelle lopsa. J'en repère une au fond du couloir. Un mec baraqué, assis sur un strapontin. J'arrive tant bien que mal à sa hauteur, non sans avoir frotté au passage quelques culs prometteurs.
C'est un beau mec de quarante ans. Un céfran grand et fort, sûr de lui. Pile le père que j'aurais aimé avoir si ce con ne s'était pas barré à ma naissance. Je suis en face de musclor. Ce daron m'a pas encore capté. Il est sur son tel en train de mater une vidéo. Il est plutôt canon, deux mètres de haut, des épaules de déménageur et des bras énormes tendus par la gonflette. Côté gueule, c'est le blanco par excellence. Blond, coupe militaire, mâchoire carrée et barbe de trois jours.
Il doit sentir que je l'observe car il finit par pointer son regard vers moi. Ses yeux marron-vert me fixent d'un air mauvais. Mais je baisse pas la tête pour autant.
Soudain, j'ai un doute. Ce keum, je le connais. C'est pas le type de mec qu'on fait tourner dans les cités. Non, c'est plutôt le macho qui se la joue style hétéro.
Soudain, c'est la révélation. Je le revois il y a trois jours. C'est le blaireau qui m'a serré à la Castellane. Il m'a choppé avec dix grammes d'herbe et m'a embarqué au poste.
Putain, je l'avais pas reconnu en civil. Pourtant avec son regard de tueur ça aurait dû faire tilt du premier coup. Ce connard de flic m'a cuisiné toute la matinée dans les locaux de la Nationale. Il me gueulait dessus, m'obligeant à rester debout, les mains derrière le dos.
Je me souviens qu'il était furax. Impossible de me faire enlever les menottes. La procédure, qu'il disait. Il me criait dessus, assis derrière son bureau. Tout en me questionnant, je le voyait de temps à autre zieuter ma bosse qui pointait dans mon froc. Inutile de dire qu'elle a finit par dilater la toile du jeans. Elle adore se faire mater par des flics en tenue. C'est bizarre, elle finit toujours par avoir un effet apaisant sur eux. Le mec a changé de ton. Il s'est plus intéressé par ce qu'il voyait que par le procès-verbal. Je me suis avancé d'un pas et j'ai appuyé mes cuisses contre le rebord du bureau. Ce salaud louchait littéralement sur ma tige, à quelques centimètres de sa bouche. Il a dû se rendre compte que la situation lui échappait car il a appelé un collègue pour qu'il finisse l'interrogatoire.
En se levant de son siège, j'ai bien vu qu'il bandait dur.
Et bien, voilà!!! On se retrouve. Lui, c'est sûr, il m'a pas calculé. Il vient de baisser les yeux et admire mon sboub qui menace de sortir de l'élastique du Lacoste. Ben oui, 22cm dressés à mort, ça laisse pas indifférent. Je plonge une main dans ma poche et commence à pouponner l'ensemble, en partant des couilles avant de remonter jusqu'au gland.
Je le vois rougir. Un grand gaillard comme lui pris en flag, c'est un pur délice. Il met ses grosses pognes sur sa braguette pour cacher un début d'érection mais c'est peine perdue. T'es grillé, mon gars!
Certains mecs dans la rame ont bien remarqué mon manège et tentent de se rapprocher pour participer à la fête mais je les envoie balader. Un autre jour peut-être, mais là, j'ai affaire à du lourd.
Je me rapproche un peu plus de mon poulet et écarte les jambes à quelques centimètres de sa bouche de suceuse, comme il y a trois jours, au commissariat. Les secousses font que j'arrive même à frôler ses lèvres entrouvertes. Il a cessé de lutter et triture nerveusement sa grosse alliance à sa main gauche. Ouais, c'est la dernière chose qui te rattache encore au monde hétéro, mais t'inquiète, tu vas vite passer du côté des tapettes. Parole de Djibril.
À un moment, il se lève pour laisser sa place à une petite vieille. On se retrouve face-à-face. Je lui mets la main au paquet, je sens qu'il mouille déjà.
« T'es cramé, mec. » Je lui souffle à l'oreille. Il baisse les yeux et ne dit rien. Putain, ils sont facile à dominer les keufs de Marseille. Je sens que je vais bien m'éclater.
« Prochaine station, tu sors et direction le chantier de la Joliette. » Ouais, je connais Marseille comme ma poche. C'est le hangar du J1 destiné à devenir un grand pôle de loisir. L'endroit est fermé au public mais moi j'y ai déjà cassé plusieurs culs dont celui du contre-maître.
Il descend de la rame, se retourne pour voir si je le suis et se dirige vers la sortie. Il fait nuit noire mais le temps est doux. Il marche d'un pas assuré. Le con, s'il savait ce qui l'attend, il serait pas pressé d'arriver.
Il tourne la tête à plusieurs reprises dans ma direction et à chaque fois, je palpe mon paquet à travers le survêt pour bien lui signifier pourquoi il est là.
Il longe la palissade de tôles où se déroulent les travaux de l'autre côté puis finit par trouver une mince ouverture. C'est un endroit de baise, le soir venu et en tant que flic, il doit connaître le lieu. Ce serait bonard si ses collègues décidaient d'une descente improvisée, ils pourraient voir leur chef à l'œuvre. Cette perspective me fait gonfler le sboub.
Je le rejoins dans un coin sombre, près d'une bétonnière.
« J'ai pas beaucoup de temps... » Il est pas rassuré, le gonze.
« Ta gueule, c'est moi qui décide. » Et là, je me la joue en mode scred.
Je lui chope la nuque, le force à baisser les yeux puis l'incline sur mon paquet. Il commence à gémir. Il devient toutou docile et se met direct à genoux dans la poussière. J'ose à peine imaginer l'état de son froc quand il rentrera retrouver bobonne. Il me sniffe la teub à travers mon Lacoste.
« Pas les dents, bâtard, il est neuf. »
Il s'active sur le gland qui est presque sorti de l'élastique. Ce con en veut. Je descends le froc et lui présente la bête. Il en salive de désir. Il se jette sur mon dard qu'il suçote avec entrain. Il me pipe comme si sa vie en dépendait. Il sait où est sa place, ce connard de poulet: aux pieds des racailles de la cité. Je sens ma queue qui durcit et mon soumis qui se chauffe à chaque coup de langue.
Il commence à gémir de plus en plus fort. Je ressors mon zgeg et lui biffe les joues. Un filet de bave laisse des traces sur sa barbe de trois jours.
Mes 22cm sont bien durs. L'ex macho gobe mon gros gland circoncis et commence à me biberonner. Je suis impressionné par ses talents. Bonne Mère,... les condés sont des putains de pompeurs. Faut croire qu'on leur enseigne ça à l'école de police.
Avec mes mains, je lui force la tête et l'oblige à tout gober. Il avale sans moufter mais finit par s'étouffer. Je continue à lui caler ma bite bien au chaud dans sa gorge. Elle tape au fond de son gosier. Ouais, c'est le moment de montrer que t'es une grande gueule capable de t'enfiler des kilomètres de queues.
Je la ressors et commence à lui pisser dessus. Il a un temps d'arrêt et se recule mais comprend qu'il faut la reprendre en bouche s'il ne veut pas rentrer chez lui trempé et puant l'urine. J'en profite pour sortir mon tel et le filme en train de se gaver de mon liquide.
Bordel, les flics ne reculent devant aucun sacrifice pour faire honneur à la profession.
Une fois qu'il s'est bien désaltéré, je lui ordonne de bouffer mes grosses couilles. Il hésite un peu puis se lance. Ce quadra macho se lâche complètement. S'il savait qu'il m'a arrêté il y trois jours et que maintenant je prends ma revanche!
Je lui enfourne à nouveau mon barreau. Il couine, tente de se débattre. Il bave comme jamais et me regarde d'un air suppliant. Il voit bien que je le filme et qu'il a eu sa dose mais ici, c'est moi qui décide.
« S'il vous plaît, laissez-moi partir... »
« Ta gueule. Une salope ça obéit, ça parle pas. »
Je le remets au taf. Il ne dit plus rien mais je vois dans la pénombre qu'il a ouvert sa braguette et qu'il s'astique le jonc. Je l'encourage en guise de récompense.
« C'est bien, tu suces pas mal pour une première. Enfin, si c'est une première. »
Mais très vite, mon côté domi reprend le dessus.
« Ouais, c'est ça. T'arrête pas... Regarde ma teub qui déforme ta gorge tellement elle est grosse. T'aimes ça le zan, hein?! » Il fait oui de la tête. J'en rajoute une couche.
« Avale-la bien jusqu'au fond. Honore la race supérieure, celle des Afros. » Il redouble d'efforts pour me montrer à quel point il est d'accord.
Je le force à me regarder et lui ordonne de tirer la langue. J'y pose mon gland dessus.
« Maintenant, tu vas me traire les couilles, histoire d'apprendre quel est ton rôle. Et t'as intérêt à bien tout avaler. Ensuite tu me montreras ton cul, le temps que je le prépare pour la suite. »
Il me pipe avec amour. Sa langue est exquise, elle s'enroule autour de mon manche et ses lèvres se creusent pour aspirer le jus qui bouillonne dans mes boules. Un tel traitement à raison de ma résistance. Je le sens frisonner lorsque ma bite se contracte et une énorme quantité de foutre vient inonder ses amygdales. Je jute tellement fort qu'il finit par s'étouffer. Ouais, je sperme plus que la moyenne et certainement plus que ce blanc-bec hétéro. S'il me prêtait sa meuf, elle verrait vite la différence.
Je le force à avaler mon jus. Je me retire seulement lorsque je suis sûr qu'il a tout bu. Avec ma pisse, je l'ai bien dosé, le bâtard. Pas sûr qu'il mange d'un grand appétit, ce soir.
Sans dire un mot, il se redresse et se positionne de dos, les mains en appui sur la bétonnière. Je contemple son beau cul blanc sous les rayons de lune. C'est toujours un régal de dompter des céfrans hétéros en moins d'une heure. Surtout quand ils appartiennent aux forces de l'ordre.
Je lui relève un peu la croupe pour être à la bonne hauteur et pointe mon dard à l'entrée de son œillet encore vierge. Je le sens un peu crispé lorsque ma teub lui gifle ses belles fesses musclées. Humm, un vrai boule de mec comme je kiffe.
« Tu vas prendre cher, toi. Je vais te faire pleurer ta mère. »
Pas sûr qu'il comprenne ce que je dis, sauf quand ma matraque force son petit trou poilu. Il gueule comme un veau qu'on mène à l'abattoir. Je lui saisis la nuque et la plonge dans la bétonnière, histoire d'étouffer ses cris. Sa chatte s'ouvre d'un coup. Un seul passage a suffit. Rien à redire, ils sont doués à la Nationale. M'étonnerait pas que ce soit leur premier critère de sélection.
Sa voix grave résonne dans la bétonnière. Ses hurlements se sont transformés en plaintes. Il ronronne comme un chaton sous mes coups de boutoir. Je l'entends même m'encourager. Le salaud, il cachait bien son jeu. Je reprends mon portable et filme cette scène mémorable. Il est en kif total.
Je ressors en entier et replonge jusqu'à la garde. Mes couilles tapent contre son boule. À un moment, on entend des sirènes de police qui se rapprochent. Il se crispe. Je dis rien, mais je sais pourquoi. Il voudrait pas que ses collègues le trouvent dans cette position. Mais t'inquiète, j'ai tout filmé et je sais pas trop si je balancerai pas tes exploits sur le web.
Le bruit des sirènes se perd dans la nuit. Dommage, j'aurais bien aimé voir la tronche de ses hommes. Lui, par contre, se détend et s'ouvre de plus belle. Il remue son cul et je sens sa chatte qui se dilate. Son œillet épouse bien mon gland. Il fait office de ventouse. C'est même lui qui vient s'empaler dessus. Bordel, elle en veut cette chienne.
« C'est ça que tu recherches quand vous faites vos rondes de nuit? Un gros barreau qui te soumette et te fasse couiner comme une gonzesse? »
Il grogne en signe de protestation.
« En tout cas, rien à dire, t'es doué. »
Il ne dit plus rien et se contente d'encaisser fièrement. Mon zboub le fait grimper au septième ciel. Il comprend enfin pourquoi sa femme beugle comme une truie qu'on égorge à chaque fois qu'il l'encule à sec. Il devient femelle à son tour et tente de se souvenir de chaque coup de queue reçue pour reproduire à l'identique la même chose afin que sa pétasse puisse hurler encore plus fort la prochaine fois.
En attendant, c'est lui qui gueule à la mort. Sa tête enfoncée dans la bétonnière, il en redemande, se cambre sur la pointe des pieds et tend son cul le plus loin possible. Ma teub lui déchire sa bonne chatte de soumis. Mes couilles pleines de jus claquent sur sa croupe de lopsa. En plus de mes coups de reins puissants, je le fesse à mort. Et à chaque fois, il se raidit en poussant un cri aigu.
Je le tire en arrière par les cheveux et lui sors la tête de la bétonnière.
« T'aimes te faire machiner, hein??? » Il gémit encore et encore en me suppliant de continuer. Il se met à me lécher la main quand je la passe sur ses lèvres. Ce mec de quatre-vingt-dix kilos est très résistant, même si je devine des signes de fatigue. Normal, faut vraiment être une grosse pute pour encaisser ma teub de 22cm sans moufter. Mais je sais qu'avec un peu d'entraînement, il y arrivera. Faudra juste que je retourne au commissariat pour parfaire son éducation de vide-couilles.
Soudain, je sens mon jus monter et c'est à mon tour de pousser des râles puissants. Des vrais cris de mâle en rut. Je suis en nage, ça fait une heure que je le défonce comme une bête. Un dernier coup de reins et je féconde ce cul en feu. Il doit sentir mes sept jets puissants car il accélère sa branlette et arrose les roues de la bétonnière d'une épaisse sauce blanche.
Je le retourne et lui fait sucer une dernière fois ma queue pour bien la nettoyer. Il est à bout de force. Je l'aide à se relever et lui assène le coup fatal.
« Toi, tu vas faire le bonheur de bon nombre de mes potes. » Je lui montre alors la vidéo mais il est encore dans son trip, le regard rempli d'étoiles et la tête pleine de ce qui a été visiblement sa meilleure baise.
Je le laisse en pan et m'éloigne du chantier. Une fois dans la rue, je croise deux jeunes rebeus qui me matent grave tout en s'astiquant le manche à travers la poche de leur froc. Deux grosses teubs bien juteuses qui pulsent sous le survêt. Certainement deux caïds des cités Nord à la recherche d'un bon passif pour se vider les couilles. En me retournant, je les vois glisser entre les barricades et s'introduire dans le chantier interdit au public. Je repense à ma lopsa qui s'y trouve encore et ne peux m'empêcher de sourire malgré moi.
Vu leur gros besoin de baise, pas sûr que mon flic hétéro ait fini sa soirée.
FIN
Hello, moi c'est Djibril, un renoi de Marseille, cité Nord. Je rentre au bercail après une bonne journée à zoner sur la plage du Prado.
J'attends le tram de vingt heures. Sur le quai, je matte un max tous ces minets en manque de queues et ces bons pères de famille qui louchent sur ma bosse bien dure dans mon jog. Ouais, je bande non stop, surtout quand je croise tous ces céfrans que je laisse pas indifférents. Normal, je suis un black de vingt-deux ans, un vrai lascar des cités, 190cm, 95kg de muscles, bien gaulé avec une teub de 22cm par 6. Elle vient de grimper d'un level à la vue d'un p'tit lascar viril qui la reluque depuis mon arrivée. Je sens direct qu'il kiffe la bite de négro. Je m'approche de lui et profite d'un mouvement de foule pour la lui coller contre son boule. Il ondule du cul pour bien se la carrer entre la couture du pantalon. En même temps, je lui palpe la queue qu'il a bien dure. Il me faut que quelques minutes pour le faire gicler dans son jeans. Il a pas pu résister, le puceau.
Je le laisse dans son jus et monte dans la rame pleine à craquer. Je vais pas avoir de mal à trouver une nouvelle lopsa. J'en repère une au fond du couloir. Un mec baraqué, assis sur un strapontin. J'arrive tant bien que mal à sa hauteur, non sans avoir frotté au passage quelques culs prometteurs.
C'est un beau mec de quarante ans. Un céfran grand et fort, sûr de lui. Pile le père que j'aurais aimé avoir si ce con ne s'était pas barré à ma naissance. Je suis en face de musclor. Ce daron m'a pas encore capté. Il est sur son tel en train de mater une vidéo. Il est plutôt canon, deux mètres de haut, des épaules de déménageur et des bras énormes tendus par la gonflette. Côté gueule, c'est le blanco par excellence. Blond, coupe militaire, mâchoire carrée et barbe de trois jours.
Il doit sentir que je l'observe car il finit par pointer son regard vers moi. Ses yeux marron-vert me fixent d'un air mauvais. Mais je baisse pas la tête pour autant.
Soudain, j'ai un doute. Ce keum, je le connais. C'est pas le type de mec qu'on fait tourner dans les cités. Non, c'est plutôt le macho qui se la joue style hétéro.
Soudain, c'est la révélation. Je le revois il y a trois jours. C'est le blaireau qui m'a serré à la Castellane. Il m'a choppé avec dix grammes d'herbe et m'a embarqué au poste.
Putain, je l'avais pas reconnu en civil. Pourtant avec son regard de tueur ça aurait dû faire tilt du premier coup. Ce connard de flic m'a cuisiné toute la matinée dans les locaux de la Nationale. Il me gueulait dessus, m'obligeant à rester debout, les mains derrière le dos.
Je me souviens qu'il était furax. Impossible de me faire enlever les menottes. La procédure, qu'il disait. Il me criait dessus, assis derrière son bureau. Tout en me questionnant, je le voyait de temps à autre zieuter ma bosse qui pointait dans mon froc. Inutile de dire qu'elle a finit par dilater la toile du jeans. Elle adore se faire mater par des flics en tenue. C'est bizarre, elle finit toujours par avoir un effet apaisant sur eux. Le mec a changé de ton. Il s'est plus intéressé par ce qu'il voyait que par le procès-verbal. Je me suis avancé d'un pas et j'ai appuyé mes cuisses contre le rebord du bureau. Ce salaud louchait littéralement sur ma tige, à quelques centimètres de sa bouche. Il a dû se rendre compte que la situation lui échappait car il a appelé un collègue pour qu'il finisse l'interrogatoire.
En se levant de son siège, j'ai bien vu qu'il bandait dur.
Et bien, voilà!!! On se retrouve. Lui, c'est sûr, il m'a pas calculé. Il vient de baisser les yeux et admire mon sboub qui menace de sortir de l'élastique du Lacoste. Ben oui, 22cm dressés à mort, ça laisse pas indifférent. Je plonge une main dans ma poche et commence à pouponner l'ensemble, en partant des couilles avant de remonter jusqu'au gland.
Je le vois rougir. Un grand gaillard comme lui pris en flag, c'est un pur délice. Il met ses grosses pognes sur sa braguette pour cacher un début d'érection mais c'est peine perdue. T'es grillé, mon gars!
Certains mecs dans la rame ont bien remarqué mon manège et tentent de se rapprocher pour participer à la fête mais je les envoie balader. Un autre jour peut-être, mais là, j'ai affaire à du lourd.
Je me rapproche un peu plus de mon poulet et écarte les jambes à quelques centimètres de sa bouche de suceuse, comme il y a trois jours, au commissariat. Les secousses font que j'arrive même à frôler ses lèvres entrouvertes. Il a cessé de lutter et triture nerveusement sa grosse alliance à sa main gauche. Ouais, c'est la dernière chose qui te rattache encore au monde hétéro, mais t'inquiète, tu vas vite passer du côté des tapettes. Parole de Djibril.
À un moment, il se lève pour laisser sa place à une petite vieille. On se retrouve face-à-face. Je lui mets la main au paquet, je sens qu'il mouille déjà.
« T'es cramé, mec. » Je lui souffle à l'oreille. Il baisse les yeux et ne dit rien. Putain, ils sont facile à dominer les keufs de Marseille. Je sens que je vais bien m'éclater.
« Prochaine station, tu sors et direction le chantier de la Joliette. » Ouais, je connais Marseille comme ma poche. C'est le hangar du J1 destiné à devenir un grand pôle de loisir. L'endroit est fermé au public mais moi j'y ai déjà cassé plusieurs culs dont celui du contre-maître.
Il descend de la rame, se retourne pour voir si je le suis et se dirige vers la sortie. Il fait nuit noire mais le temps est doux. Il marche d'un pas assuré. Le con, s'il savait ce qui l'attend, il serait pas pressé d'arriver.
Il tourne la tête à plusieurs reprises dans ma direction et à chaque fois, je palpe mon paquet à travers le survêt pour bien lui signifier pourquoi il est là.
Il longe la palissade de tôles où se déroulent les travaux de l'autre côté puis finit par trouver une mince ouverture. C'est un endroit de baise, le soir venu et en tant que flic, il doit connaître le lieu. Ce serait bonard si ses collègues décidaient d'une descente improvisée, ils pourraient voir leur chef à l'œuvre. Cette perspective me fait gonfler le sboub.
Je le rejoins dans un coin sombre, près d'une bétonnière.
« J'ai pas beaucoup de temps... » Il est pas rassuré, le gonze.
« Ta gueule, c'est moi qui décide. » Et là, je me la joue en mode scred.
Je lui chope la nuque, le force à baisser les yeux puis l'incline sur mon paquet. Il commence à gémir. Il devient toutou docile et se met direct à genoux dans la poussière. J'ose à peine imaginer l'état de son froc quand il rentrera retrouver bobonne. Il me sniffe la teub à travers mon Lacoste.
« Pas les dents, bâtard, il est neuf. »
Il s'active sur le gland qui est presque sorti de l'élastique. Ce con en veut. Je descends le froc et lui présente la bête. Il en salive de désir. Il se jette sur mon dard qu'il suçote avec entrain. Il me pipe comme si sa vie en dépendait. Il sait où est sa place, ce connard de poulet: aux pieds des racailles de la cité. Je sens ma queue qui durcit et mon soumis qui se chauffe à chaque coup de langue.
Il commence à gémir de plus en plus fort. Je ressors mon zgeg et lui biffe les joues. Un filet de bave laisse des traces sur sa barbe de trois jours.
Mes 22cm sont bien durs. L'ex macho gobe mon gros gland circoncis et commence à me biberonner. Je suis impressionné par ses talents. Bonne Mère,... les condés sont des putains de pompeurs. Faut croire qu'on leur enseigne ça à l'école de police.
Avec mes mains, je lui force la tête et l'oblige à tout gober. Il avale sans moufter mais finit par s'étouffer. Je continue à lui caler ma bite bien au chaud dans sa gorge. Elle tape au fond de son gosier. Ouais, c'est le moment de montrer que t'es une grande gueule capable de t'enfiler des kilomètres de queues.
Je la ressors et commence à lui pisser dessus. Il a un temps d'arrêt et se recule mais comprend qu'il faut la reprendre en bouche s'il ne veut pas rentrer chez lui trempé et puant l'urine. J'en profite pour sortir mon tel et le filme en train de se gaver de mon liquide.
Bordel, les flics ne reculent devant aucun sacrifice pour faire honneur à la profession.
Une fois qu'il s'est bien désaltéré, je lui ordonne de bouffer mes grosses couilles. Il hésite un peu puis se lance. Ce quadra macho se lâche complètement. S'il savait qu'il m'a arrêté il y trois jours et que maintenant je prends ma revanche!
Je lui enfourne à nouveau mon barreau. Il couine, tente de se débattre. Il bave comme jamais et me regarde d'un air suppliant. Il voit bien que je le filme et qu'il a eu sa dose mais ici, c'est moi qui décide.
« S'il vous plaît, laissez-moi partir... »
« Ta gueule. Une salope ça obéit, ça parle pas. »
Je le remets au taf. Il ne dit plus rien mais je vois dans la pénombre qu'il a ouvert sa braguette et qu'il s'astique le jonc. Je l'encourage en guise de récompense.
« C'est bien, tu suces pas mal pour une première. Enfin, si c'est une première. »
Mais très vite, mon côté domi reprend le dessus.
« Ouais, c'est ça. T'arrête pas... Regarde ma teub qui déforme ta gorge tellement elle est grosse. T'aimes ça le zan, hein?! » Il fait oui de la tête. J'en rajoute une couche.
« Avale-la bien jusqu'au fond. Honore la race supérieure, celle des Afros. » Il redouble d'efforts pour me montrer à quel point il est d'accord.
Je le force à me regarder et lui ordonne de tirer la langue. J'y pose mon gland dessus.
« Maintenant, tu vas me traire les couilles, histoire d'apprendre quel est ton rôle. Et t'as intérêt à bien tout avaler. Ensuite tu me montreras ton cul, le temps que je le prépare pour la suite. »
Il me pipe avec amour. Sa langue est exquise, elle s'enroule autour de mon manche et ses lèvres se creusent pour aspirer le jus qui bouillonne dans mes boules. Un tel traitement à raison de ma résistance. Je le sens frisonner lorsque ma bite se contracte et une énorme quantité de foutre vient inonder ses amygdales. Je jute tellement fort qu'il finit par s'étouffer. Ouais, je sperme plus que la moyenne et certainement plus que ce blanc-bec hétéro. S'il me prêtait sa meuf, elle verrait vite la différence.
Je le force à avaler mon jus. Je me retire seulement lorsque je suis sûr qu'il a tout bu. Avec ma pisse, je l'ai bien dosé, le bâtard. Pas sûr qu'il mange d'un grand appétit, ce soir.
Sans dire un mot, il se redresse et se positionne de dos, les mains en appui sur la bétonnière. Je contemple son beau cul blanc sous les rayons de lune. C'est toujours un régal de dompter des céfrans hétéros en moins d'une heure. Surtout quand ils appartiennent aux forces de l'ordre.
Je lui relève un peu la croupe pour être à la bonne hauteur et pointe mon dard à l'entrée de son œillet encore vierge. Je le sens un peu crispé lorsque ma teub lui gifle ses belles fesses musclées. Humm, un vrai boule de mec comme je kiffe.
« Tu vas prendre cher, toi. Je vais te faire pleurer ta mère. »
Pas sûr qu'il comprenne ce que je dis, sauf quand ma matraque force son petit trou poilu. Il gueule comme un veau qu'on mène à l'abattoir. Je lui saisis la nuque et la plonge dans la bétonnière, histoire d'étouffer ses cris. Sa chatte s'ouvre d'un coup. Un seul passage a suffit. Rien à redire, ils sont doués à la Nationale. M'étonnerait pas que ce soit leur premier critère de sélection.
Sa voix grave résonne dans la bétonnière. Ses hurlements se sont transformés en plaintes. Il ronronne comme un chaton sous mes coups de boutoir. Je l'entends même m'encourager. Le salaud, il cachait bien son jeu. Je reprends mon portable et filme cette scène mémorable. Il est en kif total.
Je ressors en entier et replonge jusqu'à la garde. Mes couilles tapent contre son boule. À un moment, on entend des sirènes de police qui se rapprochent. Il se crispe. Je dis rien, mais je sais pourquoi. Il voudrait pas que ses collègues le trouvent dans cette position. Mais t'inquiète, j'ai tout filmé et je sais pas trop si je balancerai pas tes exploits sur le web.
Le bruit des sirènes se perd dans la nuit. Dommage, j'aurais bien aimé voir la tronche de ses hommes. Lui, par contre, se détend et s'ouvre de plus belle. Il remue son cul et je sens sa chatte qui se dilate. Son œillet épouse bien mon gland. Il fait office de ventouse. C'est même lui qui vient s'empaler dessus. Bordel, elle en veut cette chienne.
« C'est ça que tu recherches quand vous faites vos rondes de nuit? Un gros barreau qui te soumette et te fasse couiner comme une gonzesse? »
Il grogne en signe de protestation.
« En tout cas, rien à dire, t'es doué. »
Il ne dit plus rien et se contente d'encaisser fièrement. Mon zboub le fait grimper au septième ciel. Il comprend enfin pourquoi sa femme beugle comme une truie qu'on égorge à chaque fois qu'il l'encule à sec. Il devient femelle à son tour et tente de se souvenir de chaque coup de queue reçue pour reproduire à l'identique la même chose afin que sa pétasse puisse hurler encore plus fort la prochaine fois.
En attendant, c'est lui qui gueule à la mort. Sa tête enfoncée dans la bétonnière, il en redemande, se cambre sur la pointe des pieds et tend son cul le plus loin possible. Ma teub lui déchire sa bonne chatte de soumis. Mes couilles pleines de jus claquent sur sa croupe de lopsa. En plus de mes coups de reins puissants, je le fesse à mort. Et à chaque fois, il se raidit en poussant un cri aigu.
Je le tire en arrière par les cheveux et lui sors la tête de la bétonnière.
« T'aimes te faire machiner, hein??? » Il gémit encore et encore en me suppliant de continuer. Il se met à me lécher la main quand je la passe sur ses lèvres. Ce mec de quatre-vingt-dix kilos est très résistant, même si je devine des signes de fatigue. Normal, faut vraiment être une grosse pute pour encaisser ma teub de 22cm sans moufter. Mais je sais qu'avec un peu d'entraînement, il y arrivera. Faudra juste que je retourne au commissariat pour parfaire son éducation de vide-couilles.
Soudain, je sens mon jus monter et c'est à mon tour de pousser des râles puissants. Des vrais cris de mâle en rut. Je suis en nage, ça fait une heure que je le défonce comme une bête. Un dernier coup de reins et je féconde ce cul en feu. Il doit sentir mes sept jets puissants car il accélère sa branlette et arrose les roues de la bétonnière d'une épaisse sauce blanche.
Je le retourne et lui fait sucer une dernière fois ma queue pour bien la nettoyer. Il est à bout de force. Je l'aide à se relever et lui assène le coup fatal.
« Toi, tu vas faire le bonheur de bon nombre de mes potes. » Je lui montre alors la vidéo mais il est encore dans son trip, le regard rempli d'étoiles et la tête pleine de ce qui a été visiblement sa meilleure baise.
Je le laisse en pan et m'éloigne du chantier. Une fois dans la rue, je croise deux jeunes rebeus qui me matent grave tout en s'astiquant le manche à travers la poche de leur froc. Deux grosses teubs bien juteuses qui pulsent sous le survêt. Certainement deux caïds des cités Nord à la recherche d'un bon passif pour se vider les couilles. En me retournant, je les vois glisser entre les barricades et s'introduire dans le chantier interdit au public. Je repense à ma lopsa qui s'y trouve encore et ne peux m'empêcher de sourire malgré moi.
Vu leur gros besoin de baise, pas sûr que mon flic hétéro ait fini sa soirée.
FIN
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super histoire. Super excitante
Pur fantasme. :-)
Sublime Histoire
Je ne suis pas Keuf mais j'aimerai bien le recontré ce beau Black si c'est une histoire Vrai
Je ne suis pas Keuf mais j'aimerai bien le recontré ce beau Black si c'est une histoire Vrai
Sublime histoire. je suis de marseille, pas keuf mais marié et bi.
J'adorerai le rencontrer ce beau black
J'adorerai le rencontrer ce beau black
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