Dégradation d'une bourgeoise 3
Récit érotique écrit par Cynthia127 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Dégradation d'une bourgeoise 3
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -- ------------------------
Un soir mon téléphone sonna : « Je passe te prendre demain matin pour le week-end ; tenue et lingerie sexy ; je serai là vers 9h » et il coupa sans attendre ma réponse.
A l’heure dite, il était là, assez jovial.
- Tu vas passer un week-end de rêve ; je t’envie ; dommage que je ne puis pas être là pour te voir ».
- Vous ne m’accompagnez pas Maître, dis-je d’une voix un peu paniquée.
- Non, je t’offre pour le week-end, dit-il en ricanant.
Je reconnus l’endroit ; c’était le magasin « Tout pour le cheval ». Je compris à ce moment-là que j’allais être livrée à la femme du magasin.
- Ah voilà l’esclave, dit-elle en m’enrobant d’un regard vicieux.
Elle m’embarqua dans sa voiture et nous roulâmes durant près d’une heure en silence, rejoignant un village de campagne. La propriété où nous étions jouxtait une grande prairie où plusieurs chevaux s’ébattaient.
Un corps de logis, une grange, l’écurie et un petit bâtiment constituaient l’ensemble.
Une fois dans la maison, elle m’ordonna : « A poil et en vitesse ».
J’étais nue dans cette maison que je ne connaissais pas et avec cette femme au regard cruel qui m’avait si durement fouettée. Elle me fixa un collier au cou et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Puis elle m’attacha une laisse et collier et me fit sortir nue de la maison pour me mener dans le petit bâtiment séparé de la maison. La pièce était assez sombre et je mis le temps à découvrir l’intérieur. Des chaînes pendaient au plafond ; des crochets étaient fixés un peu partout et une croix de St André tapissait le fonds de la pièce.
- Tu vas vivre un super week-end ; j’ai deux amies qui amèneront leurs esclaves ; on va se régaler.
Elle fixa mes poignets aux crochets du mur et les ferma avec un cadenas. Puis elle me pinça fortement les tétons provoquant une onde de choc. Mes gémissements semblaient l’exciter et elle tordit mes seins jusqu’à ce que les larmes me viennent aux yeux.
- Arrêtez, je vous en supplie, c’est insupportable.
- Ta gueule putain, je t’ai payée pour le week-end et je ferai de toi ce que je veux. Ton Maître est bien trop bon avec toi. Ici tu vas connaître la véritable vie de l’esclave.
En disant cela, sa main s’était portée sur mon entrejambe et deux doigts pénétrèrent brutalement mon intimité.
- Tu mouilles salope, tu aimes ça.
Effectivement, malgré la douleur, je sentais en moi une excitation qui montait. Elle continua son va-et-vient dans ma chatte et brutalement j’explosai…la jouissance était venue d’un coup ; je poussai un rugissement.
- Dis donc tu pars vite toi ; il faudra que je t’interdise de jouir ; une esclave n’a pas le droit au plaisir.
Elle quitta la pièce, en fermant la porte à clé. Le temps passé fixée à ce mur me parut une éternité. J’entendis une voiture, des rires, puis des cris et la porte s’ouvrit. Une fille jeune, très jeune, à peine 20 ans, entra nue, à quatre pattes, poursuivie par une femme de mon âge qui la fouettait à l’aide d’une cravache.
Voilà ces salopes presque au complet. On va les attacher puis aller prendre le thé pendant qu’elles méditent sur leur sort. On va les bâillonner car je n’ai pas envie qu’elles échangent leurs impressions. Sachez que cette pièce contient micro et caméra. Si l’une d’entre vous parle, elle subira un châtiment dont elle n’a pas idée.
Le silence se fit. Je n’osais faire le moindre mouvement de peur que cela soit mal interprété et forcée de subir une punition.
Après un temps qui me parut interminable, des voix et des rires se firent entendre. La porte s’ouvrit avec fracas et un homme nu fut projeté dans la pièce poursuivi par une très belle femme qui le cravachait sans pitié.
- Vous n’allez pas le croire, mais c’est mon mari ou plutôt celui qui croit l’être. Lorsque nous nous sommes mariés, il y a trois mois, cet imbécile a préféré boire avec ses amis plutôt que de s’occuper de moi. Il était trop bourré pour me faire l’amour. Le lendemain quand il a voulu me toucher, je l’ai giflé et fouetté avec une ceinture. Ce connard semblait aimer cela. Depuis j’en ai fait mon esclave. J’ai mis sa queue en cage et une fois par semaine je l’autorise à se masturber en me contemplant. Qu’est-ce qu’on dit connard ?
- Merci Maîtresse- Vous les putes, vous allez l’exciter. Sa queue emprisonnée va lui faire un mal de chien quand il va bander.
On nous détacha. Mes poignets me faisaient mal.
- Alors salope, branlez-vous devant lui ; il aime ça.
Plusieurs coups de cravache s’abattirent sur le postérieur du pauvre homme dont les fesses étaient déjà en sang.
- Tiens, prends celle-là et encore celle-là…Les coups étaient de plus en plus fort.
- Pitié Maîtresse…arrêtez, cela fait trop mal.
- Tu n’as pas de pitié à attendre de moi. Ton seul salut c’est de divorcer et de me laisser tout ce que tu as.
- Je vous aime trop Maîtresse.
- Alors tu fermes ta gueule.
Nos maîtresses nous forçaient en riant à exciter l’esclave. Tout-à-coup, il se mit à gémir et de sa cage de fer sortit du sperme par saccades.
- Elles te plaisent hein ces putes. Tu sais que tu seras puni pour ça.
On nous mit dans une autre pièce et le temps passa.
L’heure du dîner arriva et on nous fit sortir toujours nues.
Les Maîtresses étaient à table, servies par une esclave que nous n’avions pas encore vue. C’était une petite eurasienne superbe, de 20 ans maximum. Son dos, ses fesses et ses cuisses étaient striés de rouge. Elle devait avoir subi une intense séance de fouet.
- Vous aurez à manger dans vos cellules. Vous passerez notre dîner sous la table à nous lécher et tachez de nous faire jouir.
Nous nous sommes appliquées mais je ne suis pas arrivée à provoquer l’orgasme de ma Maîtresse.
- Tu n’as pas l’air douée avec les femmes. Je vais te punir pour t’apprendre.
Elle échangea quelques mots avec la Maîtresse de l’homme qui partit d’un grand éclat de rire.
- Mets-toi à quatre pattes et toi gros cochon, tu vas la baiser avec ta cage…mais gare à toi si tu jouis. Je te promets que tu auras affaire à moi.
Je sentis le sexe en métal qui me pénétrait ; cela faisait très mal, car la cage était formée d’anneaux qui blessaient les lèvres de mon sexe. Je n’osais pas bouger, de peur d’exciter le pauvre homme. La cage entra entièrement dans mon vagin. L’homme restait immobile de peur d’éjaculer. C’est alors que sa démoniaque maîtresse se mit à le fouetter durement. Je sentis qu’il se vidait en moi en poussant des petits cris. Sa Maîtresse lui donna un coup de pied qui le fit sortir brutalement de mon sexe. C’était très douloureux et humiliant car sa semence sortait et se répandait sur mes cuisses.
La maîtresse gifla violemment son esclave.
- Salaud ; dès que tu vois un trou, il faut que tu le remplisses…et tu voudrais me baiser moi ; ce ne sera pas pour demain. En attendant, attends-toi à une semaine d’enfer. Tu ne pourras pas t’asseoir durant un mois.
En disant cela, les deux Maîtresses saisirent un fouet et se mirent en cadence à punir le pauvre esclave.
- A ton tour salope, c’est toi qui l’a excité.
On m’attacha les poignets à une poutre et la Maîtresse se mit à me fouetter les seins. D’abord doucement puis de plus en plus fort. Des lignes rouges et même bleues décoraient ma poitrine.
Ravie du spectacle, ma Maîtresse m’ordonna de me rhabiller.
Elle me ramena chez moi.
Je me couchai en pleurant ; j’avais à peine fermé les yeux que le téléphone sonna.
- Alors la pute, contente de ton week-end. C’est bien ça m’a rapporté de quoi entretenir ta salope de fille.
- Soigne bien tes nichons ; il paraît qu’ils sont dans un triste état.
Je raccrochai en pleurant.
Un soir mon téléphone sonna : « Je passe te prendre demain matin pour le week-end ; tenue et lingerie sexy ; je serai là vers 9h » et il coupa sans attendre ma réponse.
A l’heure dite, il était là, assez jovial.
- Tu vas passer un week-end de rêve ; je t’envie ; dommage que je ne puis pas être là pour te voir ».
- Vous ne m’accompagnez pas Maître, dis-je d’une voix un peu paniquée.
- Non, je t’offre pour le week-end, dit-il en ricanant.
Je reconnus l’endroit ; c’était le magasin « Tout pour le cheval ». Je compris à ce moment-là que j’allais être livrée à la femme du magasin.
- Ah voilà l’esclave, dit-elle en m’enrobant d’un regard vicieux.
Elle m’embarqua dans sa voiture et nous roulâmes durant près d’une heure en silence, rejoignant un village de campagne. La propriété où nous étions jouxtait une grande prairie où plusieurs chevaux s’ébattaient.
Un corps de logis, une grange, l’écurie et un petit bâtiment constituaient l’ensemble.
Une fois dans la maison, elle m’ordonna : « A poil et en vitesse ».
J’étais nue dans cette maison que je ne connaissais pas et avec cette femme au regard cruel qui m’avait si durement fouettée. Elle me fixa un collier au cou et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Puis elle m’attacha une laisse et collier et me fit sortir nue de la maison pour me mener dans le petit bâtiment séparé de la maison. La pièce était assez sombre et je mis le temps à découvrir l’intérieur. Des chaînes pendaient au plafond ; des crochets étaient fixés un peu partout et une croix de St André tapissait le fonds de la pièce.
- Tu vas vivre un super week-end ; j’ai deux amies qui amèneront leurs esclaves ; on va se régaler.
Elle fixa mes poignets aux crochets du mur et les ferma avec un cadenas. Puis elle me pinça fortement les tétons provoquant une onde de choc. Mes gémissements semblaient l’exciter et elle tordit mes seins jusqu’à ce que les larmes me viennent aux yeux.
- Arrêtez, je vous en supplie, c’est insupportable.
- Ta gueule putain, je t’ai payée pour le week-end et je ferai de toi ce que je veux. Ton Maître est bien trop bon avec toi. Ici tu vas connaître la véritable vie de l’esclave.
En disant cela, sa main s’était portée sur mon entrejambe et deux doigts pénétrèrent brutalement mon intimité.
- Tu mouilles salope, tu aimes ça.
Effectivement, malgré la douleur, je sentais en moi une excitation qui montait. Elle continua son va-et-vient dans ma chatte et brutalement j’explosai…la jouissance était venue d’un coup ; je poussai un rugissement.
- Dis donc tu pars vite toi ; il faudra que je t’interdise de jouir ; une esclave n’a pas le droit au plaisir.
Elle quitta la pièce, en fermant la porte à clé. Le temps passé fixée à ce mur me parut une éternité. J’entendis une voiture, des rires, puis des cris et la porte s’ouvrit. Une fille jeune, très jeune, à peine 20 ans, entra nue, à quatre pattes, poursuivie par une femme de mon âge qui la fouettait à l’aide d’une cravache.
Voilà ces salopes presque au complet. On va les attacher puis aller prendre le thé pendant qu’elles méditent sur leur sort. On va les bâillonner car je n’ai pas envie qu’elles échangent leurs impressions. Sachez que cette pièce contient micro et caméra. Si l’une d’entre vous parle, elle subira un châtiment dont elle n’a pas idée.
Le silence se fit. Je n’osais faire le moindre mouvement de peur que cela soit mal interprété et forcée de subir une punition.
Après un temps qui me parut interminable, des voix et des rires se firent entendre. La porte s’ouvrit avec fracas et un homme nu fut projeté dans la pièce poursuivi par une très belle femme qui le cravachait sans pitié.
- Vous n’allez pas le croire, mais c’est mon mari ou plutôt celui qui croit l’être. Lorsque nous nous sommes mariés, il y a trois mois, cet imbécile a préféré boire avec ses amis plutôt que de s’occuper de moi. Il était trop bourré pour me faire l’amour. Le lendemain quand il a voulu me toucher, je l’ai giflé et fouetté avec une ceinture. Ce connard semblait aimer cela. Depuis j’en ai fait mon esclave. J’ai mis sa queue en cage et une fois par semaine je l’autorise à se masturber en me contemplant. Qu’est-ce qu’on dit connard ?
- Merci Maîtresse- Vous les putes, vous allez l’exciter. Sa queue emprisonnée va lui faire un mal de chien quand il va bander.
On nous détacha. Mes poignets me faisaient mal.
- Alors salope, branlez-vous devant lui ; il aime ça.
Plusieurs coups de cravache s’abattirent sur le postérieur du pauvre homme dont les fesses étaient déjà en sang.
- Tiens, prends celle-là et encore celle-là…Les coups étaient de plus en plus fort.
- Pitié Maîtresse…arrêtez, cela fait trop mal.
- Tu n’as pas de pitié à attendre de moi. Ton seul salut c’est de divorcer et de me laisser tout ce que tu as.
- Je vous aime trop Maîtresse.
- Alors tu fermes ta gueule.
Nos maîtresses nous forçaient en riant à exciter l’esclave. Tout-à-coup, il se mit à gémir et de sa cage de fer sortit du sperme par saccades.
- Elles te plaisent hein ces putes. Tu sais que tu seras puni pour ça.
On nous mit dans une autre pièce et le temps passa.
L’heure du dîner arriva et on nous fit sortir toujours nues.
Les Maîtresses étaient à table, servies par une esclave que nous n’avions pas encore vue. C’était une petite eurasienne superbe, de 20 ans maximum. Son dos, ses fesses et ses cuisses étaient striés de rouge. Elle devait avoir subi une intense séance de fouet.
- Vous aurez à manger dans vos cellules. Vous passerez notre dîner sous la table à nous lécher et tachez de nous faire jouir.
Nous nous sommes appliquées mais je ne suis pas arrivée à provoquer l’orgasme de ma Maîtresse.
- Tu n’as pas l’air douée avec les femmes. Je vais te punir pour t’apprendre.
Elle échangea quelques mots avec la Maîtresse de l’homme qui partit d’un grand éclat de rire.
- Mets-toi à quatre pattes et toi gros cochon, tu vas la baiser avec ta cage…mais gare à toi si tu jouis. Je te promets que tu auras affaire à moi.
Je sentis le sexe en métal qui me pénétrait ; cela faisait très mal, car la cage était formée d’anneaux qui blessaient les lèvres de mon sexe. Je n’osais pas bouger, de peur d’exciter le pauvre homme. La cage entra entièrement dans mon vagin. L’homme restait immobile de peur d’éjaculer. C’est alors que sa démoniaque maîtresse se mit à le fouetter durement. Je sentis qu’il se vidait en moi en poussant des petits cris. Sa Maîtresse lui donna un coup de pied qui le fit sortir brutalement de mon sexe. C’était très douloureux et humiliant car sa semence sortait et se répandait sur mes cuisses.
La maîtresse gifla violemment son esclave.
- Salaud ; dès que tu vois un trou, il faut que tu le remplisses…et tu voudrais me baiser moi ; ce ne sera pas pour demain. En attendant, attends-toi à une semaine d’enfer. Tu ne pourras pas t’asseoir durant un mois.
En disant cela, les deux Maîtresses saisirent un fouet et se mirent en cadence à punir le pauvre esclave.
- A ton tour salope, c’est toi qui l’a excité.
On m’attacha les poignets à une poutre et la Maîtresse se mit à me fouetter les seins. D’abord doucement puis de plus en plus fort. Des lignes rouges et même bleues décoraient ma poitrine.
Ravie du spectacle, ma Maîtresse m’ordonna de me rhabiller.
Elle me ramena chez moi.
Je me couchai en pleurant ; j’avais à peine fermé les yeux que le téléphone sonna.
- Alors la pute, contente de ton week-end. C’est bien ça m’a rapporté de quoi entretenir ta salope de fille.
- Soigne bien tes nichons ; il paraît qu’ils sont dans un triste état.
Je raccrochai en pleurant.
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