Délice du temps des sucres

- Par l'auteur HDS Clopin -
Récit érotique écrit par Clopin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Délice du temps des sucres Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Délice du temps des sucres
Cette délicieuse histoire a eu lieu par un bel après-midi de printemps à la cabane à sucre de mon oncle. Celui-ci avait invité toute la famille à venir l’aider à récolter l’eau d’érable. J’étais là avec ma famille, mon père, ma mère, mes frères, cousins, cousines, ainsi que ma fiancée. (Car oui, j’ai fait la grande demande l’été passé). Après avoir fait les salutations à toute la famille, mon oncle nous a tous offert un verre de Whisky mélangé à du sirop d’érable, un vrai petit délice. Une fois le petit remontant pris, nous sommes tous partis pour faire la récolte. Moi et ma blonde marchions devant suivit par le reste de la troupe. La journée était belle, le soleil éclairait tout le bois et on pouvait voir scintiller les dizaines de chaudières fixées sur les troncs. Malgré la neige le temps était doux, ma compagne avait même troqué son manteau pour une simple veste à capuchon qui m’était en évidence tous ses charmes. Sa belle taille fine, sa poitrine bien généreuse et sans oublier le divin charme de ses jolies fesses. Je zyeutais ma propre blonde avec les yeux d’un amant tellement j’étais sensible à ses charmes. Elle avait bien remarqué mon regard qui parcourait sa silhouette, car bientôt elle me fit un divin sourire en passant une main sur ses hanches et délicatement sur sa fesse, ce qui me fit chaviré d’envie pour elle. Nos petits gestes de charme devaient rester discret, car ma famille n’était pas bien loin derrière. C’est ainsi que ma fiancée se mit à me taquiner et à me narguer. Dès que personne ne la regardait, je pouvais la voir du coin de l’œil qui se mordait les lèvres, caressait sa poitrine ou suçait l’un de ses doigts. Elle prenait un terrible plaisir à m’asticoté, alors que je devais faire comme si rien n’était pour ne pas que ma famille ne remarque. Plus je rougissais, plus elle en ajoutait, si bien que je me suis rapproché d’elle pour lui murmurer à l’oreille.

-Mon amour, tu dois arrêter, svp.
-Pourquoi ? Je m’amuse bien, pas toi ?
-Oui, mais fait attention, je suis au bord de l’érection.
-Mmmm, intéressant mon chéri, moi ma culotte est déjà bien mouillée.

Un clin d’œil coquin et elle me fausse compagnie comme ça. Je la vois qui rigole et qui s’éloigne dans le sentier. Sourire aux lèvres, je sens que je ne mon excitation vient de monter d’un cran. Je ne peux toujours pas croire que cette jolie rousse, aussi séduisant que malicieuse va se marier avec moi. Je suis rêveur et mes pensées sont toutes pour elle. Son visage clair parsemé de tache de rousseur, ses yeux brillants noisette et ce délicieux sourire qu’elle m’offre à tout instant. J’étais encore dans mes fantasmes quand une main me prit par l’épaule. C’était mon oncle qui riait de me voir ainsi «parti sur la lune».

-Ouin, réveille-toi. Y’a encore beaucoup d’ouvrage, allez grouille toi. Tu ne vas pas laisser ta blonde Marianne récolter toute l’eau d’érable toute seule ?

-Non, non, j’étais juste parti dans mes pensées.

-Voyons, tu pensais à quoi ?

-Haaa, Pas l’ouvrage en tous cas !

Je souriais comme un gamin devant mon oncle qui ne comprenait rien. Puis je me suis empressé de rejoindre Marianne qui m’attendait loin devant. À mon arrivée, elle s’enfonça dans les bois et alla se cacher derrière un immense tronc d’arbre. Son regard était coquin et elle avait le sourire d’une diablesse. Sans hésitation je l’ai suivi en espérant les plus grands fantasmes permis.

Elle était là, adossée au tronc. Ses longs cheveux frisés ondulaient sur sa poitrine. L’une de ses mains était glissée sous son pantalon. Ses yeux étaient légèrement fermés et je pouvais lire le plaisir sur ses lèvres. Je me suis approché tous près d’elle et je l’ai embrassé comme un amant qui courtise pour la première foi. Sa langue dansait doucement avec la mienne. Mes lèvres glissèrent doucement vers son cou. Je pouvais entendre le doux son de sa respiration à mon oreille. J’embrassais sa peau avec envie, prenant soin de souffler sur sa nuque et de remonter à ses lèvres. Mes mains courtisaient ses hanches avec envie. Elle stoppa délicatement ses caresses intimes pour venir m’embrasser dans le cou et puis elle remonta à mon oreille.

-Alors mon amour ? Es-tu excité ?
-Ho, oui. J’ai envie de toi.
-Mmmm, moi aussi j’aimerais que tu me prennes.
-Ho, oui mon amour.
-Mais… on n’est pas tout seul !

Puis elle me pousse à la renverse. Je tombe direct dans la neige et je renverse nos deux chaudières. Elle rit aux éclats.

-J’espère que tu ne m’en veux pas. Mais faut faire des efforts pour courtiser et coucher avec sa femme. Pense s’y et revient me voir.

Marianne se retourne, se cambre et baisse ses pantalons pour me montrer à l’air ses jolies fesses bien blanche. Aussitôt vue, aussitôt cachée, elle détale en riant, bien fière de son coup. Je me relève péniblement, excité et bien décidé de prendre ma revanche. Je saisis ma chaudière vide et retourne sur le sentier. Mon oncle me voit et remarque vite que ma chaudière est vide et que mes vêtements sont trempés et couverts de neige.

-Voyons ! Dit moi pas que tes tombé, ha haha. Pauvre bougre, tes pas faits pour travailler dans le bois toi ! Ha haha.

- C’est pas drôle, disons que je me suis fait avoir.

-Ta blonde est pas mal plus habile que toi ! Ha haha!

-Ouais, on peut dire ça.

Soudain j’ai une idée. Je dis à mon oncle que la famille peut passer devant et que moi et Marianne on va rester pour terminer la section au fond de la forêt. L’idée ne dérange pas à mon oncle et il accepte que je me rachète en récoltant la partie la plus éloignée dans les bois. Il me fait promettre de ne plus renverser d’eau d’érable par terre et me donne le feu vert pour terminer la section du fond. Aussitôt mon oncle fait signe à mes frères et à mes cousins de rester sur le sentier et de continuer plus loin. Mon plan marche comme sur des roulettes et je souris quand je remarque que Marianne n’a pas entendu les ordres, puisqu’elle est déjà trop loin dans le bois. Ainsi toute la famille s’éloigne me laissant seul derrière avec Marianne qui marche toujours plus loin pour récolter les érables les plus éloignés. Je garde mes distances en suivant la belle du regard qui n’avait toujours pas remarqué que nous étions seuls à présent. Une fois le dernier voyeur hors de vue, je me suis dépêché de rejoindre ma fiancée. Marianne avait dévalé une légère pente et récoltait ses dernières chaudières. C’est avec un sourire triomphant qu’elle me taquina sur la quantité d’eau d’érable que j’avais amassé.

-Je vois mon amour que je suis bien meilleure que toi !

-Si je n’avais pas perdu deux chaudières en tombant, je serais bien en avance sur toi.

-Mmmm, désolé, mais tout est permis. Une femme a bien le droit d’utiliser ses avantages. Et j’ai remarqué qu’on était seul ?

- Oui, personne ne viendra nous déranger.

-Parfait, j’ai vraiment envie de boire directement à la chaudière.

Marianne décrocha une chaudière et posa ses lèvres pour y boire. Elle prit quelque gorgée d’eau bien sucrée et elle fit couler le liquide sur ses joues. Je pouvais voir les gouttes claires couler sur sa peau. Bien vite le rebord de son décolleté fut trempé et s’est avec un regard terriblement mesquin qu’elle s’excusa d’être toute trempée. Elle me proposa de gouter, mais je devinais à son sourire ce qu’elle avait envie que je goutte.

Je me suis collé sur elle et je l’ai embrassé. Ma bouche dévorait sa peau mouillée et sucrée. Mes baisés firent le chemin vers son cou et ma langue se baladait sur sa peau. Rapidement, Marianne retira sa veste et sa camisole. Mes mains caressaient son corps avec envie et les siennes s’étaient accrochées à mon cou. Je couvrais sa poitrine de baisés, ses seins généreux étaient presque totalement offerts à ma vue. Elle retira alors mon chandail et m’embrassa fougueusement. D’une main j’ai dégrafé son soutif, alors que ses lèvres parcouraient mon cou et mes pectoraux. Elle recula légèrement pour laisser tomber son haut et repris les baisers sur mon corps. Je caressais à pleine main ses jolis seins bien ronds. Je pouvais sentir à merveille la douceur de ses auréoles rosées et l’excitation de sa peau sous mes doigts. Peu à peu, ma belle rousse se pencha pour embrasser mes abdos et me saisir les fesses. Son sourire de diablesse me courtisait et c’est sans hésiter que j’ai déboutonné mon jeans. Aussitôt elle baissa mon caleçon. Mon sexe était bien droit d’excitation. Toujours avec ses mains sur mes fesses, Marianne se mit à embrasser ma verge. Puis elle licha mon sexe sur toute sa longueur avant de l’avaler. Quel plaisir de sentir sa langue, ses lèvres son souffle sur mon sexe et toujours se sourire coquin qu’elle m’adressait. Je caressais doucement ses longs cheveux roux qui glissaient entre mes doigts. L’une de ses mains dirigeait mon sexe vers sa bouche alors que de l’autre elle me caressait doucement l’intérieur des mes cuisses, ainsi que mes couilles. Le plaisir était fou et je n’arrivais plus à me contenir. Je sentais mon extase venir, mais je devais me retenir sachant que ma belle n’aime guère avalé. J’ai donc averti ma chérie que j’allais venir si elle continuait. Elle stoppa ses caresses et termina le tout en lichant une dernière fois mon sexe d’un bout à l’autre. Elle remonta alors tranquillement vers moi et me murmura à l’oreille.

-Mmm merci de m’avertir, je te promets que tu seras récompensé.

Puis elle m’embrasse à nouveau. Mes mains parcourent son corps de rêve. Mes doigts ne font que caresser ses seins qui pointent d’excitation. Je peux sentir le vent frais caresser ma peau. Le soleil fait briller la douce peau blanche de Marianne qui me caresse avec envie. Je la fais tourner dans mes bras pour l’embrasser sur la nuque et puis doucement je la blottie contre un arbre. Dos à moi, mes lèvres lui dévorent les épaules et je souffle d’excitation à son oreille. Je sens ses fesses qui se frottent et se collent sur ma verge. L’une de mes mains caresse les seins de Marianne, alors que l’autre se dirige vers son pantalon. Elle me murmure de continuer, mes doigts se glissent sous le tissu. Je peux sentir toute la douceur de sa peau bien rasée sous la dentelle de sa culotte. Quel délice de sentir l’humidité sous mes doigts et de parcourir son sexe gorgé de plaisir. Je peux déjà sentir entre ses lèvres mouillées son bouton du plaisir que je caresse délicatement. Aussitôt, gagnée par le plaisir Marianne se mord les lèvres pour ne pas crier. Je continue doucement mes attentions sur son sexe mouillé d’excitation et peu à peu je descends son pantalon qui roule le long de ses cuisses. Mon sexe collé sur ses fesses dénudées ne demande que d’aller en elle. Je retire mes pantalons et me retrouve moi aussi les fesses au vent. Marianne s’appuie contre le tronc de l’arbre et se cambre afin de m’offrir une vue parfaite de son sexe rosé et de ses belles fesses blanches. Je passe une dernière fois une main sur son sexe humide, puis doucement je caresse le dos de ma fiancée. Mon sexe est en feu et mon excitation est totale, doucement j’appuie mon sexe sur le sien. Quel plaisir fou de sentir mon gland frotter sur ses lèvres bien humides et de sentir la chaleur de son sexe qui parcoure ma verge. Je saisis avec plaisir les hanches de ma partenaire qui me sourit et me demande de continuer. Je continue mes mouvements de vas et viens sous les rayons du soleil et le vent qui parcoure ma peau. La vue n’est que magnifique, de longs cheveux roux qui tombent sur la peau claire de ma partenaire. Son dos se termine sur la finesse de sa silhouette et sur le début de ses fesses. Mes mains son plaqué contre ses hanches et mon sexe claque contre le sien à toute vitesse, alors qu’elle me demande toujours de continuer. Après un moment, elle me dit qu’elle va bientôt jouir. Je redouble de vigueur afin de la combler. Je sens peu à peu ses hanches se cambrer et sa respiration s’accélérer. Puis le son divin de ses cris de plaisir me pousse à l’extase moi aussi. Je sens la vibration qui secoue son corps tellement le plaisir est intense. Mon sexe est lui aussi gorgé de plaisir et je jouis en elle. Quel moment incroyable ! Je suis complètement perdu dans mon excitation. Doucement je me retire et je prends ma belle dans mes bras. Elle se retourne pour m’embrasser doucement et me comble de compliment et de passion. Nous nous embrassons un long moment, nue sous le soleil et scintillement de la neige de printemps. Il nous faut de longues minutes avant de pouvoir reprendre nos esprits et nous rhabiller. Je remonte mes pantalons et épiant du coin de l’œil cette merveilleuse femme à qui je viens de faire l’amour. Marianne me rend mes sourires en riant et nous reprenons tranquillement le chemin du sentier. Nous marchons main dans la main jusqu’à la cabane à sucre où là toute la famille nous attend. Mon oncle nous voit arriver et c’est en riant qu’il nous apprend que nous venons de manquer la tire d’érable.

-Pauvres de vous, c’est dommage d’avoir manqué ça !

-Ce n’est pas grave mon oncle…on peut dire qu’on s’est sucré le bec quand même.

Marianne et moi rions en silence, alors que le reste de la famille n’y comprend rien et que mon oncle nous invite à rentrer pour le repas. Bref, faute de tire d’érable j’aurais goutté au plus grand plaisir du temps de sucre. Merci de me laisser un commentaire.

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