Délicieuse Libertine - 2
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Délicieuse Libertine - 2
Quand Robert s'est présenté à l’agence lundi après-midi, j'ai ressenti l’habituelle chaleur au creux de mes reins. Celle que je ressentais en sachant que j’allais me faire baiser par un inconnu. C'est une émotion sensuelle et étrange. Ça commence par un bruissement de papillons dans mon ventre, ça se prolonge par une douce chaleur au creux de mes reins. Mon trouble est perceptible, et j’envoie malgré moi des signaux explicites au mâle qui veut me conquérir.
Mais la sensation la plus exaltante que je puisse ressentir, c’est quand une nouvelle bite se glisse entre mes lèvres et me pénètre. J’adore la nouveauté, malgré mon expérience, c’est chaque fois un peu comme un dépucelage.
Robert a reprit la conversation là où il l'avait laissée la dernière fois, par des propositions pleines de sous-entendus.Il était direct, insolent, bel homme et il le savait. Il était très tentant de succomber, même pour quelqu'un de moins facile à séduire que moi.
Là où je l’ai scotché, c’est lorsque je lui proposé de passer prendre l’apéritif le soir-même, chez moi. Le visage de Robert s'éclaira. Il n’avait pas imaginé que je serai aussi libertine. Il devinait facilement ce que je voulais faire de ma soirée. J’ai jeté un coup d’œil machinal à la bosse qui déformait son pantalon. Son émotion était visible.
Dès que Robert a quitté les lieux, j’ai immédiatement essayé d'appeler Doc au bureau pour lui annoncer la bonne nouvelle, mais sa secrétaire m’a dit qu'il était absent. J'ai laissé un message sur son portable. "Chéri, j’ai invité un copain à venir prendre l’apéritif à la maison vers dix-huit heures environ. Je pense qu’il ne va pas se contenter d’un verre, et qu’il me prendra toute. Laisse-moi deux heures. Je t’aime"
Je ne voulais pas prendre le risque de rencontrer Doc à la maison, car je ne connaissais pas la réaction de Robert. J'ai passé le reste de la journée à rêvasser, incapable de me concentrer. Je n’avais pas l’habitude de cette attente. En principe, lorsque je faisais une rencontre, j’agissais sur un coup de tête, et je cédais immédiatement au désir de mon partenaire. J’avais des papillons dans le ventre, la chatte humide, les reins en feu, mon impatience m’a conduite aux toilettes où j’ai essayé d’éteindre l’incendie en me masturbant. Peine perdue.
J'imaginais sa bite, à quoi elle ressemblerait, quel goût elle aurait, comment elle me pénétrerait. Il avait de grandes mains, un nez fort, la bosse de son pantalon était conséquente, bien sûr que ça ne veut rien dire, mais j’espérais qu’il serait bien monté. La taille n’est pas importante, ce qui compte c’est la manière de s’en servir, mais quand même !
J’allais quitter l’agence lorsque Doc m’a appelée. Il voulait juste que je sache qu'il avait compris mon message et qu'il allait passer sa soirée au club de remise en forme, près de la maison.
"Appelle-moi quand la voie sera libre, j’arriverai illico-presto. Attends-moi dans le lit. Amuse-toi bien, ma chérie" a-t-il conclu.
Je me suis surprise moi-même en réalisant que cet arrangement me paraissait naturel. Je pouvais sentir ma chatte frémissante d’impatience en pensant à Doc rentrant à la maison pour me trouver alanguie, bien baisée, et avec ma chatte pleine du sperme de Robert.
Robert m'attendait dans sa voiture garée devant la maison. Son visage s'est illuminé d’un sourire carnassier de "grand méchant loup qui va croquer la petite poulette" quand il m'a vue débarquer.
"Salut ma belle" attaqua-t-il. "Je suis content que tu ne te sois pas dégonflée."
Robert m’a suivie à l’intérieur. Je savais qu’il regardait mes fesses, alors j’ai exagéré le balancement de mes hanches. Nous avons pris un verre au salon, et il s’est montré tout de suite très entreprenant. Il m’embrassait en poussant sa langue dans ma bouche, me caressait en se frottant contre moi. Pour ne pas être en reste, je l'ai massé de haut en bas à travers son pantalon. Il était très bien pendu. Cela allait être une soirée amusante.
Nous n’avons pas pris le temps de finir nos verres. Je l’ai entraîné jusqu’à ma chambre. Dès la porte franchie, il a commencé à me déshabiller. Il s’est extasié sur le luxe des lieux.
"C'est la maison de mon chéri" avouais-je.
"Ton chéri ?" demanda Robert, le regard perplexe. "Il ne va pas rentrer trop tôt, j’espère !"
"Oh, non. Il est pris pour la soirée. Il devrait rentrer vers neuf heures. Cela devrait nous laisser un peu de temps."
"Tu es une femme audacieuse. J'espère que le gars n'est pas violent ou jaloux."
"Non, il ne le saura pas" répondis-je.
J'ai abrégé la conversation en m'agenouillant pour prendre la bite dressée de Robert dans ma bouche. J'étais suffisamment humide pour le faire rentrer en moi, mais je voulais jouer un peu avec. Robert a commencé à gémir pendant que je léchais et suçais sa bite. J’ai cru entendre un grincement venant de la penderie, mais je n’y ai pas prêté attention. J'étais beaucoup trop occupée.
Pendant les deux heures et demie qui ont suivi, Robert m’a fait subir un véritable bombardement. C’était le macho que j’avais imaginé. Dominateur, exigeant et magistral. Il savait merveilleusement bien utiliser son outil phénoménal. Il savait aussi utiliser sa langue et ses doigts. Il m’a fait tourner et retourner dans tous les sens en me baladant aux quatre coins du lit. Il m’a achevée en finissant dans ma bouche.
Il avait programmé son téléphone qui a sonné à huit heures et demie. Robert redoutait de rencontrer mon chéri et préférait quitter les lieux un peu avant neuf heures. Il m’annonça qu'il devait rentrer chez lui. Il m’a semblé qu’il prenait conscience de sa femme, et qu’elle l’attendait. Je l'ai aidé à rassembler ses vêtements, et je l'ai raccompagné à la porte. Puis je suis remontée dans la chambre pour attendre Doc. J’ai eu un choc en découvrant Doc assis sur le lit.
"D'où sors-tu ?"
"Je suis là depuis le début" m’a-t-il répondu en me désignant la penderie.
"Enfoiré !" m'exclamais-je. "Sale tricheur !"
"Eh bien, tu ne peux pas prétendre que j'ai gâché ton plaisir. Tu as passé un bon moment avec Robert. Dommage qu’il ait dû partir si tôt !"
"Je suppose que tu t’es rincé l’œil. Tu n’en as pas perdu une miette, mon cochon !"
"Bien sûr ! Je t'ai dit plusieurs fois que j'adorais te voir dans les bras d’un autre. Et cette fois, tu as pris cher !"
"C'était encore mieux que ce que j'avais imaginé. C'était tellement fort que j'ai failli me pâmer. Quand il m’a pénétrée la première fois, j'ai failli m'évanouir, tellement j'étais excitée. Je suis contente que tu te sois amusé, mais tu m'as vraiment fait peur. Ne fais plus jamais ça sans me prévenir, s'il te plaît."
"Je suis désolé, ma chérie," s'excusa Doc. "Je ne voulais pas rater ça, et j'espère que ça ne gâchera pas ta soirée."
Bon, je me suis calmée assez rapidement, lorsque Doc s’est installé entre mes jambes pour me bouffer la chatte. Il me savait incapable de me rebeller lorsqu’il s’occupait de moi ainsi. Bientôt, ses caresses expertes m'ont fait crier de plaisir. Ensuite, il m’a baisée en levrette. Longtemps. Puis, on s’est installés tête-bêche. Assise sur son visage, il a mangé son propre sperme, avant de me baiser une autre fois.
"Incroyable !" s'exclama Doc. "Jamais une femme ne m’avait excité autant que toi ! Pas même plusieurs femmes lors d'une de nos orgies. Jeanne, tu es fantastique. Veux-tu m'épouser ?"
En entendant Doc formuler cette demande saugrenue, j'ai éclaté de rire. Même en supposant que cette déclaration soit sérieuse, les circonstances loufoques et son lyrisme ont déclenché mon fou-rire.
"Qu'est ce qu'il y a de si drôle ?" Demanda Doc. "Ce n’est pas une blague. En fait, je pensais à ça depuis quelques temps. Je voulais juste m’assurer que tu étais capable de te donner à d’autres hommes avec ou sans mon accord. Tu seras l’épouse parfaite pour le candauliste que je suis. Tu as réussi toutes les épreuves, haut la main ! Je te veux pour femme. Jeanne, je t’en supplie, épouse-moi !"
"Désolé, mon cœur. Je ne me moque ni de toi, ni de ta demande. Mais la situation … Je sors des bras d’un autre, tu suces ma chatte dégoulinante de son sperme, je n’ai pas l’habitude. C’est tellement nouveau pour moi !"
"Compris," s’exclama Doc en se levant entièrement nu. Il a juste pris le temps de remettre sa cravate et, sans aucun autre vêtement, a posé un genou au sol pour demander : "Jeanne, ma chérie, veux-tu m'épouser ? "
"Mais oui, mon cœur, je t’aime et je veux t’épouser !" acceptais-je avec un petit rire. Il m’a prise dans ses bras pour me câliner pendant que, moi aussi, je prononçais mes vœux : "Doc, je te jure de t’être infidèle, et de baiser tous les hommes que tu me désigneras, pour notre plus grand bonheur commun !"
Doc était enchanté d’avoir trouvé la compagne idéale, et commença immédiatement à imaginer les réjouissances, où, avec qui, comment … Bientôt, il appelait tous ses amis, d’abord ceux de son club privé où nous avions fait connaissance. Il a décidé d'agir rapidement, et nous avons fixé la date, deux mois plus tard. Cela nous laissait juste assez de temps pour planifier la cérémonie, la lune de miel, et envoyer les invitations.
Les amis du club échangiste ont proposé d’organiser l’enterrement de la vie de garçon de Doc. J’ai trouvé cela insolite, enterrer la vie de garçon d’un gars qui se marie pour mieux se dévergonder, mais j'ai accepté en pensant que ce serait amusant pour Doc. Je croyais qu'ils allaient faire venir des filles. Mais j’ai eu une surprise.
Ils ont décidé que Laura, la femme rousse qui venait parfois aux soirées du club, me donnerait la réplique. Nous serions le divertissement. Ils voulaient que nous montions un show, à base de strip-tease, et de jeux lesbiens. Nous devions être masquées, équipées de perruques, pour être méconnaissables. La liste des invités s'établit à vingt hommes. Deux ont décliné l’invitation.
Je n’étais pas convaincue, mais Doc m’a poussée à le faire. J’ai pensé que tous les participants allaient me baiser, et que cela lui plairait. Alors, j’ai accepté, et j’ai appelé Laura pour planifier le show. Plus la date approchait, plus j’étais excitée.
Avec toute l’agitation qui a précédé le mariage, je n'ai même pas pensé à faire de nouvelles rencontres. Juste un après-midi avec un livreur, mais c'est tout. Doc s’est inquiété en me demandant si mon changement d’état matrimonial n'avait pas freiné mon appétit. Je l’ai rassuré en lui disant qu’un peu d'abstinence me rendrait encore plus chienne pendant le spectacle. Lorsque la soirée est arrivée, j’étais avide de sexe.
La réception se déroulait dans une suite d'un grand hôtel du centre-ville. Laura et moi devions rejoindre les participants une heure après. Elle passait me prendre pour régler les derniers détails et pour être sûres d'arriver ensemble.
Laura était pile à l'heure. Elle était sublime dans un fourreau argenté qui moulait ses formes parfaites. Fendu sur le côté au-dessus de la hanche, je voyais bien qu’elle n’avait rien d’autre que son fourreau et ses talons.
"Tu vas les rendre fous, Laura," dis-je avec envie. "On le dirait cousu sur toi."
"Merci ma chérie," répondit-elle. "Tu es très sexy aussi. J’ai hâte de commencer le show, pour que tu sois toute à moi."
J'ai songé que j'allais bientôt réaliser un numéro saphique avec cette beauté, dans une pièce pleine d'hommes, et ma chatte en bavait d’impatience. Moi, j’étais déguisée en écolière, chemisier blanc, jupe plissée, des mi-bas blancs qui s’arrêtaient juste au-dessus du genou. J’ai soulevé ma jupette pour lui montrer mes sous-vêtements transparents.
"Oh ! Comme c’est gentil !" s’exclama Laura. "J'ai hâte de lécher ta petite chatte si appétissante."
"Moi aussi" soupirais-je en remettant ma jupette en place. J’ai pris conscience du camion arrêté au feu rouge, à côté de notre voiture, lorsque le routier a baissé sa vitre pour m’apostropher. Il me proposait de visiter sa couchette qu’il prétendait très confortable.
"Ce type a des yeux de cochon, je suis toute mouillée" dis-je à Laura.
"Remonte ta jupe." M’ordonna Laura. "Laisse le gars te mater. Peut-être pourrions-nous prendre un apéritif."
J’ai remonté ma jupette jusqu'à la taille. J'ai écarté mes cuisses autant que possible, et j’ai ouvert ma fenêtre :
"Garez-vous un peu plus loin, si vous voulez nous faire visiter votre couchette."
Nous sommes arrivées à l'hôtel un peu plus tard que prévu. Le routier avait un trop-plein d’affection, et l’apéritif s’est prolongé. Le voiturier a ouvert ma porte avant que je me rende compte que nous étions arrêtées. Il a eu le panorama sur ma culotte trempée et mes cuisses nues. Je l'ai dévisagé en souriant. Il était vraiment mignon. J'espérais qu'il accepterait cela comme un pourboire. Je n'avais pas d'argent sur moi.
Alors que nous approchions de la salle, j'ai ressenti une soudaine ruée d’hormones. Cette merveilleuse sensation qui m’envahit chaque fois que je vais faire la connaissance de nouvelles bites. Seulement ce soir, ce sera un assortiment de bites. Ce sera sûrement une soirée marquante, autant de bites pour ma petite chatte. Nous avons enfilé nos masques et nos perruques avant d’entrer dans l’arène.
"Prête, Laura ? ai-je demandé en ajustant mon masque.
"Prête et bien disposée" répondit-elle avec un sourire féroce. "En avant !"
La fête avait déjà bien commencé quand Jacques nous ouvrit la porte. La pièce est soudain devenue très calme. On pouvait entendre une mouche voler. Les hommes nous observaient. Bouche ouverte, regard fixe, je pouvais deviner leurs pensées.
Jacques a demandé aux gars de ranger les chaises en demi-cercle autour du lit. Doc s'est vu attribuer la chaise d'honneur, au premier rang, au centre. Quand tout le monde fut installé, Jacques prit la parole :
"Mes amis, nous avons le plaisir d’accueillir ce soir deux jeunes femmes très talentueuses. Voici Pussy et Chatte !" C'étaient les noms de scène que nous avions choisis.
Nous avions convenu de nous déshabiller mutuellement, mais Laura portait très peu de vêtements. Alors, pendant qu’elle me déshabillait, je faisais durer le spectacle en la rhabillant. Je dénudais ses seins, puis je les recouvraient. Je remontais le fourreau jusqu’à sa taille, puis je le laissais redescendre le long de ses jambes. À chaque fois, les hommes criaient leur dépit.
Une fois en sous-vêtement, je me suis assise sur le bord du lit, face à Doc, jambes écartées. Laura s’est penchée, elle a écarté ma culotte pour glisser ses doigts dans ma fente ruisselante.
"Oh, ça fait du bien ! Approche, coquine !" murmurais-je.
Je me suis allongée sur le lit et Laura s'est installée au-dessus de moi, tête-bêche. Du coin de l’œil, j’ai pu voir les gars se tortiller sur leurs chaises, visiblement à l’étroit dans leurs pantalons.
"T’as vu leurs nichons ! J'aimerais bien y goûter !" s’est exclamé un des gars.
Un autre à répondu : "Elles ont leurs chattes pleines de sperme ! Elles se sont fait baiser en venant !"
Pendant quelques minutes, nous avons oublié l’assistance pour nous consacrer à notre partenaire. Il n'a pas fallu longtemps à Laura pour me faire jouir, et les hommes ont manifesté leur approbation en entendant mes gémissements. Nous avons échangé nos positions et je lui ai rendu la pareille. J’ai plongé avec délice dans sa fente odorante. Laura a joui rapidement, elle aussi. De nouveau, les hommes manifestèrent leur approbation.
Alors que nous faisions une courte pause, j'ai senti quelqu’un derrière moi. Quelque chose qui pourrait être une bite glissait de haut en bas dans ma fente humide. À quatre pattes au-dessus de Laura, les fesses en l'air, orientées vers le public, j’offrais ma chatte à un inconnu. Puis, j'ai ressenti une exaltation merveilleuse lorsque le sexe est entré en moi.
La bite qui me baisait ne m’était pas inconnue. C'était Doc. Il n'est pas resté longtemps en moi. Il s’est retiré pour couvrir Laura. Il a rapidement plongé son poignard dans son antre. Aussitôt, une autre bite à pris sa place. Un gros manchon que je ne connaissais pas. Alors que je cherchais à identifier l’envahisseur, le pied de Laura a accroché mon masque qui est tombé. J'avais perdu mon anonymat.
"Hé, c'est la promise !" a crié quelqu'un.
"Jeanne ?" a crié une autre voix.
J'étais contrariée par cet incident, mais le vigoureux assaut de la bite qui pompait dans mon ventre a soustrait mon attention, et j'ai commencé à me soumettre à la volupté qui embrasait mes reins. Quelques instants encore, et les premiers spasmes me faisaient gémir et me laissaient pantelante, comme la proie offerte à la dague du chasseur. Une myriade de sensations merveilleuses m’ont fait oublier la gêne momentanée.
L’ardeur des hommes était accrue par leur désir de baiser la fiancée. Laura et moi avons dû subir leurs violents assauts pendant plus de deux heures. Prises en double, parfois en triple, ce fut une véritable empoignade. Deux femmes contre une vingtaine de types en chaleur, nous avons terminé cette mêlée épuisées. Laura avait perdu son déguisement depuis longtemps. En fait, elle l’a arraché parce que cela la gênait pour sucer.
Lorsque les hommes ont commencé à rendre les armes, tous les muscles de mon corps étaient douloureux. Ma chatte, mon anus étaient boursouflés et congestionnés. Mes mâchoires semblaient tétanisées. J’étais gluante de foutre de la tête aux pieds. Un ruisseau de sperme suintait de mes orifices. J’ai jeté un coup d'œil à Laura, elle n’avait plus rien à voir avec la femme sexy et pomponnée qui était venue à la soirée avec moi. J'ai vu une traînée. Une salope pas chère.
"Ma pauvre fille, tu ressembles à pas grand-chose !" plaisantais-je.
"Tu peux parler, pétasse !" rigola-t-elle. "Tu étais l'image de l'innocence en venant ici, maintenant, tu as tout d’une morue avariée."
À ce moment-là, nous n'étions plus qu’une poignée dans la pièce. Doc avait hâte d’œuvrer entre mes cuisses dégoulinantes, et commencer mon "nettoyage". Il attendait que nous soyons seuls. Laura était allongée sur le lit, les bras en croix, essayant de reprendre son calme. Un mec traînait sans raison apparente, ce qui me mettait plutôt mal à l'aise.
Je me suis allongée sur le lit à côté de Laura, et j'ai ouvert les cuisses à l’attention de Doc. J'ai fermé les yeux en ressentant la merveilleuse sensation de sa langue dans ma fente. J'étais tellement absorbée que je n'ai pas remarqué que l’autre mec avait écarté les cuisses de Laura pour lui faire la même chose. Mon attention a été attirée par les cris de surprise de Laura.
"Oh non, mec, fais pas ça !" l'a-t-elle réprimandé. "Je suis une vraie poubelle puante. Je veux dire … Oh, putain oui, ta langue, mec, oui, continue, t’arrête pas !"
Après la fête, j’étais brisée, moulue, défoncée. Doc a insisté, après son "nettoyage", pour me fourrer encore une fois. J’ai mis plusieurs jours pour m’en remettre. Le samedi matin, Doc avait planifié la visite d’un décorateur pour des travaux de rénovation. Avec un clin d’œil complice, il m’a dit que ce serait bien si c’était la maîtresse de maison qui le recevait.
Le décorateur est reparti au bout de deux heures, après m’avoir fait jouir plusieurs fois. Doc a suivi le spectacle depuis la penderie de la chambre, puis il a bouffé ma chatte, avant de me baiser à nouveau.
Le grand jour est arrivé rapidement. Le mariage s'est déroulé très simplement. Nous n’étions que six, les mariés et deux témoins chacun. Tous des hommes … et moi. Doc a insisté pour que je me marie en blanc, dans une grande et belle robe en dentelles.
À seize heures, j'étais dans le bureau de Doc, penchée en avant sur sa table de travail, en train de me faire baiser par les quatre témoins qui prenaient leur tour. Dans ma robe de mariée troussée jusqu’aux reins. Doc nous a amenés ici pour prendre l’apéritif. L’apéritif, c’était moi ! Il m'a juste penchée sur le bureau, a retroussé ma robe sur mon dos, a écarté mon string, et a déclaré :
"Messieurs, ma femme est à votre disposition. Faites-en bon usage."
Puis il s'est assis dans un coin de la pièce pour les regarder me baiser.
Notre lune de miel aux Caraïbes a été paradisiaque. Dix jours de sexe merveilleux. La plupart du temps au lit, je ne sortais que pour trouver un étalon. Il me baisait devant mon mari, ensuite Doc faisait le ménage avant de me donner le coup de grâce.
Mon terrain de chasse préféré se trouvait au sous-sol de l’hôtel. Dans la boîte de nuit, au bar ou sur la piste de danse, je n’avais aucune difficulté à convaincre le gibier que j’abordais de me suivre jusqu’à notre chambre. Je devais au préalable prévenir le gars que nous ne serions pas seuls, mon mari souhaitant assister aux ébats.
Le premier soir, j’avais trouvé un gars qui me plaisait au bar. Un grand black, athlétique et magnifique. Le parfait mâle viril qui allait me donner les frissons désirés. Sans doute prise par l’ivresse du moment, séduite par ses caresses osées, j’avais oublié de le prévenir de la présence de mon mari. Il s’est enfui quand Doc a ouvert la porte de la chambre. Imaginez ma déception et ma frustration. C’était notre première soirée, et elle était ratée.
J’ai eu plusieurs amants noirs pendant notre lune de miel. Doc trouvé qu'il y avait quelque chose de particulièrement érotique dans la vision d’une femme blanche s’offrant au viril assaut d’un mâle noir. Doc m’a proposé de renouveler l’expérience. Je ne pouvais certainement pas m'y opposer. J’avais été subjuguée par mon premier amant noir. Il était si enveloppant, si naturellement décontracté, j’avais été pleinement satisfaite.
Avant la fin de notre lune de miel, j'avais expérimenté d’autres nouvelles bites noires. Certaines étaient particulièrement volumineuses. Ces mecs étaient là pour baiser, rien ne pouvaient les distraire de leur objectif, pas même Doc qui nous tournait autour pour prendre des photos. Nous avons convenu, Doc et moi, qu’une fois rentrés en métropole, nous continuerions ces expériences avec des hommes de toutes origines.
Il y a encore beaucoup de choses que j'aimerais vous raconter. Beaucoup d’histoires rocambolesques. Mais j’ai baisé avec tellement d’hommes, depuis cinq ans que j’ai épousé Doc, que toutes mes aventures se mélangent un peu dans mon souvenir. Maintenant, nous sommes plus sages, moins aventureux. Nous allons chasser dans des clubs privés, pratiquer l’échangisme avec des gens sérieux qui savent pourquoi ils sont là.
Allez, une dernière. Une fois, dans un restaurant, un monsieur me plaisait beaucoup. Il était accompagné d’une dame, peut-être sa femme, mais j’ai tenté ma chance. Quelques œillades osées n’ont pas laissé le monsieur insensible. Doc m’a mis au défi de le séduire. Sans que sa femme se doute de quelque chose.
Je suis allée aux toilettes, retirer ma culotte et, de retour en salle, je me suis arrangée pour qu’il voit ma chatte exposée. Le gars essayait de mater des jetons sans se faire choper par la femme qui l’accompagnait. Je l’ai chauffé tant que je pouvais, en humidifiant mes lèvres avec la pointe de ma langue, en jouant négligemment avec mon décolleté, ou en croisant et décroisant mes jambes.
Malgré la discrétion du gars, j’ai bien vu que je l’avais chauffé à blanc. Alors, je suis retournée aux toilettes, en lui faisant un signe discret en passant devant lui. Quelques minutes plus tard, il me rejoignait et nous avons partagé une étreinte passionnée. Nous avons échangé nos numéros de téléphone, et je l’ai mis au défi de me rejoindre le soir même.
Le gars ne m'a pas déçu. Il a raccompagné sa femme, s’est éclipsé sous un fallacieux prétexte, et m’a rejointe chez moi deux heures plus tard. Doc, bien sûr, a assisté aux ébats depuis la penderie.
Mais la sensation la plus exaltante que je puisse ressentir, c’est quand une nouvelle bite se glisse entre mes lèvres et me pénètre. J’adore la nouveauté, malgré mon expérience, c’est chaque fois un peu comme un dépucelage.
Robert a reprit la conversation là où il l'avait laissée la dernière fois, par des propositions pleines de sous-entendus.Il était direct, insolent, bel homme et il le savait. Il était très tentant de succomber, même pour quelqu'un de moins facile à séduire que moi.
Là où je l’ai scotché, c’est lorsque je lui proposé de passer prendre l’apéritif le soir-même, chez moi. Le visage de Robert s'éclaira. Il n’avait pas imaginé que je serai aussi libertine. Il devinait facilement ce que je voulais faire de ma soirée. J’ai jeté un coup d’œil machinal à la bosse qui déformait son pantalon. Son émotion était visible.
Dès que Robert a quitté les lieux, j’ai immédiatement essayé d'appeler Doc au bureau pour lui annoncer la bonne nouvelle, mais sa secrétaire m’a dit qu'il était absent. J'ai laissé un message sur son portable. "Chéri, j’ai invité un copain à venir prendre l’apéritif à la maison vers dix-huit heures environ. Je pense qu’il ne va pas se contenter d’un verre, et qu’il me prendra toute. Laisse-moi deux heures. Je t’aime"
Je ne voulais pas prendre le risque de rencontrer Doc à la maison, car je ne connaissais pas la réaction de Robert. J'ai passé le reste de la journée à rêvasser, incapable de me concentrer. Je n’avais pas l’habitude de cette attente. En principe, lorsque je faisais une rencontre, j’agissais sur un coup de tête, et je cédais immédiatement au désir de mon partenaire. J’avais des papillons dans le ventre, la chatte humide, les reins en feu, mon impatience m’a conduite aux toilettes où j’ai essayé d’éteindre l’incendie en me masturbant. Peine perdue.
J'imaginais sa bite, à quoi elle ressemblerait, quel goût elle aurait, comment elle me pénétrerait. Il avait de grandes mains, un nez fort, la bosse de son pantalon était conséquente, bien sûr que ça ne veut rien dire, mais j’espérais qu’il serait bien monté. La taille n’est pas importante, ce qui compte c’est la manière de s’en servir, mais quand même !
J’allais quitter l’agence lorsque Doc m’a appelée. Il voulait juste que je sache qu'il avait compris mon message et qu'il allait passer sa soirée au club de remise en forme, près de la maison.
"Appelle-moi quand la voie sera libre, j’arriverai illico-presto. Attends-moi dans le lit. Amuse-toi bien, ma chérie" a-t-il conclu.
Je me suis surprise moi-même en réalisant que cet arrangement me paraissait naturel. Je pouvais sentir ma chatte frémissante d’impatience en pensant à Doc rentrant à la maison pour me trouver alanguie, bien baisée, et avec ma chatte pleine du sperme de Robert.
Robert m'attendait dans sa voiture garée devant la maison. Son visage s'est illuminé d’un sourire carnassier de "grand méchant loup qui va croquer la petite poulette" quand il m'a vue débarquer.
"Salut ma belle" attaqua-t-il. "Je suis content que tu ne te sois pas dégonflée."
Robert m’a suivie à l’intérieur. Je savais qu’il regardait mes fesses, alors j’ai exagéré le balancement de mes hanches. Nous avons pris un verre au salon, et il s’est montré tout de suite très entreprenant. Il m’embrassait en poussant sa langue dans ma bouche, me caressait en se frottant contre moi. Pour ne pas être en reste, je l'ai massé de haut en bas à travers son pantalon. Il était très bien pendu. Cela allait être une soirée amusante.
Nous n’avons pas pris le temps de finir nos verres. Je l’ai entraîné jusqu’à ma chambre. Dès la porte franchie, il a commencé à me déshabiller. Il s’est extasié sur le luxe des lieux.
"C'est la maison de mon chéri" avouais-je.
"Ton chéri ?" demanda Robert, le regard perplexe. "Il ne va pas rentrer trop tôt, j’espère !"
"Oh, non. Il est pris pour la soirée. Il devrait rentrer vers neuf heures. Cela devrait nous laisser un peu de temps."
"Tu es une femme audacieuse. J'espère que le gars n'est pas violent ou jaloux."
"Non, il ne le saura pas" répondis-je.
J'ai abrégé la conversation en m'agenouillant pour prendre la bite dressée de Robert dans ma bouche. J'étais suffisamment humide pour le faire rentrer en moi, mais je voulais jouer un peu avec. Robert a commencé à gémir pendant que je léchais et suçais sa bite. J’ai cru entendre un grincement venant de la penderie, mais je n’y ai pas prêté attention. J'étais beaucoup trop occupée.
Pendant les deux heures et demie qui ont suivi, Robert m’a fait subir un véritable bombardement. C’était le macho que j’avais imaginé. Dominateur, exigeant et magistral. Il savait merveilleusement bien utiliser son outil phénoménal. Il savait aussi utiliser sa langue et ses doigts. Il m’a fait tourner et retourner dans tous les sens en me baladant aux quatre coins du lit. Il m’a achevée en finissant dans ma bouche.
Il avait programmé son téléphone qui a sonné à huit heures et demie. Robert redoutait de rencontrer mon chéri et préférait quitter les lieux un peu avant neuf heures. Il m’annonça qu'il devait rentrer chez lui. Il m’a semblé qu’il prenait conscience de sa femme, et qu’elle l’attendait. Je l'ai aidé à rassembler ses vêtements, et je l'ai raccompagné à la porte. Puis je suis remontée dans la chambre pour attendre Doc. J’ai eu un choc en découvrant Doc assis sur le lit.
"D'où sors-tu ?"
"Je suis là depuis le début" m’a-t-il répondu en me désignant la penderie.
"Enfoiré !" m'exclamais-je. "Sale tricheur !"
"Eh bien, tu ne peux pas prétendre que j'ai gâché ton plaisir. Tu as passé un bon moment avec Robert. Dommage qu’il ait dû partir si tôt !"
"Je suppose que tu t’es rincé l’œil. Tu n’en as pas perdu une miette, mon cochon !"
"Bien sûr ! Je t'ai dit plusieurs fois que j'adorais te voir dans les bras d’un autre. Et cette fois, tu as pris cher !"
"C'était encore mieux que ce que j'avais imaginé. C'était tellement fort que j'ai failli me pâmer. Quand il m’a pénétrée la première fois, j'ai failli m'évanouir, tellement j'étais excitée. Je suis contente que tu te sois amusé, mais tu m'as vraiment fait peur. Ne fais plus jamais ça sans me prévenir, s'il te plaît."
"Je suis désolé, ma chérie," s'excusa Doc. "Je ne voulais pas rater ça, et j'espère que ça ne gâchera pas ta soirée."
Bon, je me suis calmée assez rapidement, lorsque Doc s’est installé entre mes jambes pour me bouffer la chatte. Il me savait incapable de me rebeller lorsqu’il s’occupait de moi ainsi. Bientôt, ses caresses expertes m'ont fait crier de plaisir. Ensuite, il m’a baisée en levrette. Longtemps. Puis, on s’est installés tête-bêche. Assise sur son visage, il a mangé son propre sperme, avant de me baiser une autre fois.
"Incroyable !" s'exclama Doc. "Jamais une femme ne m’avait excité autant que toi ! Pas même plusieurs femmes lors d'une de nos orgies. Jeanne, tu es fantastique. Veux-tu m'épouser ?"
En entendant Doc formuler cette demande saugrenue, j'ai éclaté de rire. Même en supposant que cette déclaration soit sérieuse, les circonstances loufoques et son lyrisme ont déclenché mon fou-rire.
"Qu'est ce qu'il y a de si drôle ?" Demanda Doc. "Ce n’est pas une blague. En fait, je pensais à ça depuis quelques temps. Je voulais juste m’assurer que tu étais capable de te donner à d’autres hommes avec ou sans mon accord. Tu seras l’épouse parfaite pour le candauliste que je suis. Tu as réussi toutes les épreuves, haut la main ! Je te veux pour femme. Jeanne, je t’en supplie, épouse-moi !"
"Désolé, mon cœur. Je ne me moque ni de toi, ni de ta demande. Mais la situation … Je sors des bras d’un autre, tu suces ma chatte dégoulinante de son sperme, je n’ai pas l’habitude. C’est tellement nouveau pour moi !"
"Compris," s’exclama Doc en se levant entièrement nu. Il a juste pris le temps de remettre sa cravate et, sans aucun autre vêtement, a posé un genou au sol pour demander : "Jeanne, ma chérie, veux-tu m'épouser ? "
"Mais oui, mon cœur, je t’aime et je veux t’épouser !" acceptais-je avec un petit rire. Il m’a prise dans ses bras pour me câliner pendant que, moi aussi, je prononçais mes vœux : "Doc, je te jure de t’être infidèle, et de baiser tous les hommes que tu me désigneras, pour notre plus grand bonheur commun !"
Doc était enchanté d’avoir trouvé la compagne idéale, et commença immédiatement à imaginer les réjouissances, où, avec qui, comment … Bientôt, il appelait tous ses amis, d’abord ceux de son club privé où nous avions fait connaissance. Il a décidé d'agir rapidement, et nous avons fixé la date, deux mois plus tard. Cela nous laissait juste assez de temps pour planifier la cérémonie, la lune de miel, et envoyer les invitations.
Les amis du club échangiste ont proposé d’organiser l’enterrement de la vie de garçon de Doc. J’ai trouvé cela insolite, enterrer la vie de garçon d’un gars qui se marie pour mieux se dévergonder, mais j'ai accepté en pensant que ce serait amusant pour Doc. Je croyais qu'ils allaient faire venir des filles. Mais j’ai eu une surprise.
Ils ont décidé que Laura, la femme rousse qui venait parfois aux soirées du club, me donnerait la réplique. Nous serions le divertissement. Ils voulaient que nous montions un show, à base de strip-tease, et de jeux lesbiens. Nous devions être masquées, équipées de perruques, pour être méconnaissables. La liste des invités s'établit à vingt hommes. Deux ont décliné l’invitation.
Je n’étais pas convaincue, mais Doc m’a poussée à le faire. J’ai pensé que tous les participants allaient me baiser, et que cela lui plairait. Alors, j’ai accepté, et j’ai appelé Laura pour planifier le show. Plus la date approchait, plus j’étais excitée.
Avec toute l’agitation qui a précédé le mariage, je n'ai même pas pensé à faire de nouvelles rencontres. Juste un après-midi avec un livreur, mais c'est tout. Doc s’est inquiété en me demandant si mon changement d’état matrimonial n'avait pas freiné mon appétit. Je l’ai rassuré en lui disant qu’un peu d'abstinence me rendrait encore plus chienne pendant le spectacle. Lorsque la soirée est arrivée, j’étais avide de sexe.
La réception se déroulait dans une suite d'un grand hôtel du centre-ville. Laura et moi devions rejoindre les participants une heure après. Elle passait me prendre pour régler les derniers détails et pour être sûres d'arriver ensemble.
Laura était pile à l'heure. Elle était sublime dans un fourreau argenté qui moulait ses formes parfaites. Fendu sur le côté au-dessus de la hanche, je voyais bien qu’elle n’avait rien d’autre que son fourreau et ses talons.
"Tu vas les rendre fous, Laura," dis-je avec envie. "On le dirait cousu sur toi."
"Merci ma chérie," répondit-elle. "Tu es très sexy aussi. J’ai hâte de commencer le show, pour que tu sois toute à moi."
J'ai songé que j'allais bientôt réaliser un numéro saphique avec cette beauté, dans une pièce pleine d'hommes, et ma chatte en bavait d’impatience. Moi, j’étais déguisée en écolière, chemisier blanc, jupe plissée, des mi-bas blancs qui s’arrêtaient juste au-dessus du genou. J’ai soulevé ma jupette pour lui montrer mes sous-vêtements transparents.
"Oh ! Comme c’est gentil !" s’exclama Laura. "J'ai hâte de lécher ta petite chatte si appétissante."
"Moi aussi" soupirais-je en remettant ma jupette en place. J’ai pris conscience du camion arrêté au feu rouge, à côté de notre voiture, lorsque le routier a baissé sa vitre pour m’apostropher. Il me proposait de visiter sa couchette qu’il prétendait très confortable.
"Ce type a des yeux de cochon, je suis toute mouillée" dis-je à Laura.
"Remonte ta jupe." M’ordonna Laura. "Laisse le gars te mater. Peut-être pourrions-nous prendre un apéritif."
J’ai remonté ma jupette jusqu'à la taille. J'ai écarté mes cuisses autant que possible, et j’ai ouvert ma fenêtre :
"Garez-vous un peu plus loin, si vous voulez nous faire visiter votre couchette."
Nous sommes arrivées à l'hôtel un peu plus tard que prévu. Le routier avait un trop-plein d’affection, et l’apéritif s’est prolongé. Le voiturier a ouvert ma porte avant que je me rende compte que nous étions arrêtées. Il a eu le panorama sur ma culotte trempée et mes cuisses nues. Je l'ai dévisagé en souriant. Il était vraiment mignon. J'espérais qu'il accepterait cela comme un pourboire. Je n'avais pas d'argent sur moi.
Alors que nous approchions de la salle, j'ai ressenti une soudaine ruée d’hormones. Cette merveilleuse sensation qui m’envahit chaque fois que je vais faire la connaissance de nouvelles bites. Seulement ce soir, ce sera un assortiment de bites. Ce sera sûrement une soirée marquante, autant de bites pour ma petite chatte. Nous avons enfilé nos masques et nos perruques avant d’entrer dans l’arène.
"Prête, Laura ? ai-je demandé en ajustant mon masque.
"Prête et bien disposée" répondit-elle avec un sourire féroce. "En avant !"
La fête avait déjà bien commencé quand Jacques nous ouvrit la porte. La pièce est soudain devenue très calme. On pouvait entendre une mouche voler. Les hommes nous observaient. Bouche ouverte, regard fixe, je pouvais deviner leurs pensées.
Jacques a demandé aux gars de ranger les chaises en demi-cercle autour du lit. Doc s'est vu attribuer la chaise d'honneur, au premier rang, au centre. Quand tout le monde fut installé, Jacques prit la parole :
"Mes amis, nous avons le plaisir d’accueillir ce soir deux jeunes femmes très talentueuses. Voici Pussy et Chatte !" C'étaient les noms de scène que nous avions choisis.
Nous avions convenu de nous déshabiller mutuellement, mais Laura portait très peu de vêtements. Alors, pendant qu’elle me déshabillait, je faisais durer le spectacle en la rhabillant. Je dénudais ses seins, puis je les recouvraient. Je remontais le fourreau jusqu’à sa taille, puis je le laissais redescendre le long de ses jambes. À chaque fois, les hommes criaient leur dépit.
Une fois en sous-vêtement, je me suis assise sur le bord du lit, face à Doc, jambes écartées. Laura s’est penchée, elle a écarté ma culotte pour glisser ses doigts dans ma fente ruisselante.
"Oh, ça fait du bien ! Approche, coquine !" murmurais-je.
Je me suis allongée sur le lit et Laura s'est installée au-dessus de moi, tête-bêche. Du coin de l’œil, j’ai pu voir les gars se tortiller sur leurs chaises, visiblement à l’étroit dans leurs pantalons.
"T’as vu leurs nichons ! J'aimerais bien y goûter !" s’est exclamé un des gars.
Un autre à répondu : "Elles ont leurs chattes pleines de sperme ! Elles se sont fait baiser en venant !"
Pendant quelques minutes, nous avons oublié l’assistance pour nous consacrer à notre partenaire. Il n'a pas fallu longtemps à Laura pour me faire jouir, et les hommes ont manifesté leur approbation en entendant mes gémissements. Nous avons échangé nos positions et je lui ai rendu la pareille. J’ai plongé avec délice dans sa fente odorante. Laura a joui rapidement, elle aussi. De nouveau, les hommes manifestèrent leur approbation.
Alors que nous faisions une courte pause, j'ai senti quelqu’un derrière moi. Quelque chose qui pourrait être une bite glissait de haut en bas dans ma fente humide. À quatre pattes au-dessus de Laura, les fesses en l'air, orientées vers le public, j’offrais ma chatte à un inconnu. Puis, j'ai ressenti une exaltation merveilleuse lorsque le sexe est entré en moi.
La bite qui me baisait ne m’était pas inconnue. C'était Doc. Il n'est pas resté longtemps en moi. Il s’est retiré pour couvrir Laura. Il a rapidement plongé son poignard dans son antre. Aussitôt, une autre bite à pris sa place. Un gros manchon que je ne connaissais pas. Alors que je cherchais à identifier l’envahisseur, le pied de Laura a accroché mon masque qui est tombé. J'avais perdu mon anonymat.
"Hé, c'est la promise !" a crié quelqu'un.
"Jeanne ?" a crié une autre voix.
J'étais contrariée par cet incident, mais le vigoureux assaut de la bite qui pompait dans mon ventre a soustrait mon attention, et j'ai commencé à me soumettre à la volupté qui embrasait mes reins. Quelques instants encore, et les premiers spasmes me faisaient gémir et me laissaient pantelante, comme la proie offerte à la dague du chasseur. Une myriade de sensations merveilleuses m’ont fait oublier la gêne momentanée.
L’ardeur des hommes était accrue par leur désir de baiser la fiancée. Laura et moi avons dû subir leurs violents assauts pendant plus de deux heures. Prises en double, parfois en triple, ce fut une véritable empoignade. Deux femmes contre une vingtaine de types en chaleur, nous avons terminé cette mêlée épuisées. Laura avait perdu son déguisement depuis longtemps. En fait, elle l’a arraché parce que cela la gênait pour sucer.
Lorsque les hommes ont commencé à rendre les armes, tous les muscles de mon corps étaient douloureux. Ma chatte, mon anus étaient boursouflés et congestionnés. Mes mâchoires semblaient tétanisées. J’étais gluante de foutre de la tête aux pieds. Un ruisseau de sperme suintait de mes orifices. J’ai jeté un coup d'œil à Laura, elle n’avait plus rien à voir avec la femme sexy et pomponnée qui était venue à la soirée avec moi. J'ai vu une traînée. Une salope pas chère.
"Ma pauvre fille, tu ressembles à pas grand-chose !" plaisantais-je.
"Tu peux parler, pétasse !" rigola-t-elle. "Tu étais l'image de l'innocence en venant ici, maintenant, tu as tout d’une morue avariée."
À ce moment-là, nous n'étions plus qu’une poignée dans la pièce. Doc avait hâte d’œuvrer entre mes cuisses dégoulinantes, et commencer mon "nettoyage". Il attendait que nous soyons seuls. Laura était allongée sur le lit, les bras en croix, essayant de reprendre son calme. Un mec traînait sans raison apparente, ce qui me mettait plutôt mal à l'aise.
Je me suis allongée sur le lit à côté de Laura, et j'ai ouvert les cuisses à l’attention de Doc. J'ai fermé les yeux en ressentant la merveilleuse sensation de sa langue dans ma fente. J'étais tellement absorbée que je n'ai pas remarqué que l’autre mec avait écarté les cuisses de Laura pour lui faire la même chose. Mon attention a été attirée par les cris de surprise de Laura.
"Oh non, mec, fais pas ça !" l'a-t-elle réprimandé. "Je suis une vraie poubelle puante. Je veux dire … Oh, putain oui, ta langue, mec, oui, continue, t’arrête pas !"
Après la fête, j’étais brisée, moulue, défoncée. Doc a insisté, après son "nettoyage", pour me fourrer encore une fois. J’ai mis plusieurs jours pour m’en remettre. Le samedi matin, Doc avait planifié la visite d’un décorateur pour des travaux de rénovation. Avec un clin d’œil complice, il m’a dit que ce serait bien si c’était la maîtresse de maison qui le recevait.
Le décorateur est reparti au bout de deux heures, après m’avoir fait jouir plusieurs fois. Doc a suivi le spectacle depuis la penderie de la chambre, puis il a bouffé ma chatte, avant de me baiser à nouveau.
Le grand jour est arrivé rapidement. Le mariage s'est déroulé très simplement. Nous n’étions que six, les mariés et deux témoins chacun. Tous des hommes … et moi. Doc a insisté pour que je me marie en blanc, dans une grande et belle robe en dentelles.
À seize heures, j'étais dans le bureau de Doc, penchée en avant sur sa table de travail, en train de me faire baiser par les quatre témoins qui prenaient leur tour. Dans ma robe de mariée troussée jusqu’aux reins. Doc nous a amenés ici pour prendre l’apéritif. L’apéritif, c’était moi ! Il m'a juste penchée sur le bureau, a retroussé ma robe sur mon dos, a écarté mon string, et a déclaré :
"Messieurs, ma femme est à votre disposition. Faites-en bon usage."
Puis il s'est assis dans un coin de la pièce pour les regarder me baiser.
Notre lune de miel aux Caraïbes a été paradisiaque. Dix jours de sexe merveilleux. La plupart du temps au lit, je ne sortais que pour trouver un étalon. Il me baisait devant mon mari, ensuite Doc faisait le ménage avant de me donner le coup de grâce.
Mon terrain de chasse préféré se trouvait au sous-sol de l’hôtel. Dans la boîte de nuit, au bar ou sur la piste de danse, je n’avais aucune difficulté à convaincre le gibier que j’abordais de me suivre jusqu’à notre chambre. Je devais au préalable prévenir le gars que nous ne serions pas seuls, mon mari souhaitant assister aux ébats.
Le premier soir, j’avais trouvé un gars qui me plaisait au bar. Un grand black, athlétique et magnifique. Le parfait mâle viril qui allait me donner les frissons désirés. Sans doute prise par l’ivresse du moment, séduite par ses caresses osées, j’avais oublié de le prévenir de la présence de mon mari. Il s’est enfui quand Doc a ouvert la porte de la chambre. Imaginez ma déception et ma frustration. C’était notre première soirée, et elle était ratée.
J’ai eu plusieurs amants noirs pendant notre lune de miel. Doc trouvé qu'il y avait quelque chose de particulièrement érotique dans la vision d’une femme blanche s’offrant au viril assaut d’un mâle noir. Doc m’a proposé de renouveler l’expérience. Je ne pouvais certainement pas m'y opposer. J’avais été subjuguée par mon premier amant noir. Il était si enveloppant, si naturellement décontracté, j’avais été pleinement satisfaite.
Avant la fin de notre lune de miel, j'avais expérimenté d’autres nouvelles bites noires. Certaines étaient particulièrement volumineuses. Ces mecs étaient là pour baiser, rien ne pouvaient les distraire de leur objectif, pas même Doc qui nous tournait autour pour prendre des photos. Nous avons convenu, Doc et moi, qu’une fois rentrés en métropole, nous continuerions ces expériences avec des hommes de toutes origines.
Il y a encore beaucoup de choses que j'aimerais vous raconter. Beaucoup d’histoires rocambolesques. Mais j’ai baisé avec tellement d’hommes, depuis cinq ans que j’ai épousé Doc, que toutes mes aventures se mélangent un peu dans mon souvenir. Maintenant, nous sommes plus sages, moins aventureux. Nous allons chasser dans des clubs privés, pratiquer l’échangisme avec des gens sérieux qui savent pourquoi ils sont là.
Allez, une dernière. Une fois, dans un restaurant, un monsieur me plaisait beaucoup. Il était accompagné d’une dame, peut-être sa femme, mais j’ai tenté ma chance. Quelques œillades osées n’ont pas laissé le monsieur insensible. Doc m’a mis au défi de le séduire. Sans que sa femme se doute de quelque chose.
Je suis allée aux toilettes, retirer ma culotte et, de retour en salle, je me suis arrangée pour qu’il voit ma chatte exposée. Le gars essayait de mater des jetons sans se faire choper par la femme qui l’accompagnait. Je l’ai chauffé tant que je pouvais, en humidifiant mes lèvres avec la pointe de ma langue, en jouant négligemment avec mon décolleté, ou en croisant et décroisant mes jambes.
Malgré la discrétion du gars, j’ai bien vu que je l’avais chauffé à blanc. Alors, je suis retournée aux toilettes, en lui faisant un signe discret en passant devant lui. Quelques minutes plus tard, il me rejoignait et nous avons partagé une étreinte passionnée. Nous avons échangé nos numéros de téléphone, et je l’ai mis au défi de me rejoindre le soir même.
Le gars ne m'a pas déçu. Il a raccompagné sa femme, s’est éclipsé sous un fallacieux prétexte, et m’a rejointe chez moi deux heures plus tard. Doc, bien sûr, a assisté aux ébats depuis la penderie.
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