Délire domina

- Par l'auteur HDS Pourquoioui -
Auteur homme.
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Récit libertin : Délire domina Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2020 dans la catégorie A dormir debout
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(10.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Couleur du fond :
Délire domina
Je suis rentrée dans le restaurant sans déclencher d’émeute. Il est vrai que j’ai soigné la discrétion de ma tenue : jupe croisée gris perle, chemise blanche et veste assortie. Ma coupe sage, ma poitrine menue et mes bijoux discrets incitent à la retenue de mes courtisans.
Seul mes talons vertigineux laissent présager du reste…et le reste est dessous : bas bleu nuit à motifs, guêpière en dentelle de soie avec broderies sur le ventre, shorty en soie avec des dentelles qui dessinent un string. Les lacets dans le dos fonds un effet bœuf lorsque je me suis admirée dans la glace avant de m’habiller !
Une touche de Rive Gauche et un long manteau noir complète ma tenue.
De ma place je ressens les mouvements de foule et les regards plus ou moins discret des hommes qui m’observent, me calculent et cherche à savoir…Un homme bien mis, carrure impressionnante, sourire enjôleur…sur de son pouvoir de séduction, est assis à une table avec une femme qui ressemble à une poupée.
Ses seins sont magnifiques. Son visage asiatique tout en finesse, est encadré de long cheveux noir comme de la soie. Sa jupe fourreau révèle ses formes ondulantes. Elle a une attitude soumise et réservée face à son colosse de compagnon.
C’est décidé, c’est lui que je vais chasser !
Sans le regarder je me dirige vers les toilettes au fond du restaurant. Les effluves de mon parfum, ma démarche souple et mes talons qui claquent sur le carrelage hypnotisent son regard…je le sens.
Dés que je ressors, il est là, le regard fier, les muscles saillants, imposant dans son attitude…mais un voile au fond de ses yeux me révèle sa faiblesse.
Je lui tends un bristol ou j’ai noté mon adresse : « je vous attends à 15h » et je m’éloigne sans un regard.
J’ai vu l’ironie et la certitude autour de ses yeux…et l’étincelle de doute au fond de ses prunelles qui commencent à grandir.
A 15 h il est là, debout dans l’entrée, heureux de sa bonne étoile et sur de son pouvoir.
Je l’ai accueilli en petits dessous !
Aucune expression ne s’affiche sur mon visage, mes yeux plongent dans les siens et tout mon corps est tendu vers la traque : je sens ses angoisses jusqu’au fond de mon ventre.
« Déshabille-toi »Les mots ont claqués dans le silence et il a un mouvement de recul. L’affolement se lit sur son visage et l’émotion grandit au fond de ses pupilles.
Il s’exécute gauchement, comme si tous ses muscles étaient endormis…son cerveau est dans du coton.
Il enlève sa chemise et découvre ses muscles saillants qui se gonflent et glissent au gré de ses mouvements.
Il se tient nu comme un petit garçon devant moi, ses cuisses et ses fesses brillent sous la lampe de l’entrée.
Son sexe est encore au repos. Il lutte encore, il n’est pas encore entré dans la nasse !
« A quatre pate que je vois ton jolie petit trou »C’est l’affolement total sur son visage, tous les sentiments se mélangent : la honte, la culpabilité, l’angoisse, la peur…et très loin encore, bien enfouie au fond de son regard la joie !
Il a besoin de sentir la douleur pour comprendre ses émotions, que son corps et son esprit ne fassent qu’un avec l’amour…et j’ai besoin d’évacuer la tension qui c’est accumulée dans mes muscles, mes cuisses et mon ventre.
Dés qu’il est à quatre pattes, je pends ma cravache et lui flagelle les fesses rebondies, les cuisses puissantes et le dos musculeux !
Il cri, essaye d’esquiver, se tortille et ferme les yeux sur lui-même.
Quand ses cris deviennent des murmures, je passe aux choses sérieuses : je lui tends mon godes ceinture.
Il le prend dans ses énormes mains, délicatement comme une porcelaine et s’approche de mes cuisses en marchant sur les genoux.
Avec une douceur incroyable pour une telle masse de muscles, il introduit la partie prévue dans mon vagin et harnache le dispositif autour de mes reins.
Ses mains puissantes, qui pourraient mes broyer d’un simple déclenchement de muscles, sont d’une douceur et d’une tendresse infinie : on approche !
Je suis trempée et mon clitoris, qui dépasse impérieusement de sa gangue de chair rose, s’irrite délicieusement sur le latex du gode.
« Suce-moi »Il a encore un mouvement de recul et des larmes pointent au coin de ses yeux : la lutte est encore féroce !
Je suis inflexible, dans mon regard et dans mon corps, les ondes de dureté que je dégage lui brulent la peau et envahissent sont esprit.
Il fini par ouvrir la bouche et essaye d’avaler le sexe énorme. Il aspire et coulisse le long de la tige et ses mouvements se transmettent à mon clitoris et à mon vagin, accentuant encore ma détermination : il faut que je l’ai !
Il suffoque et pleure : il faut en finir !
Je retire brusquement le chibre de sa gorge et me place derrière lui, le sexe sur son anus qui frémit.
Je le saisi par les fesses et je le pénètre brutalement : un râle émerge du fond de sa gorge avec des hoquets de douleur et des gémissements.
Ses entrailles résistent, son muscle anal se contracte, tous ses muscles se bandent dans une lutte acharnée avec lui-même.
Après plusieurs allés et retours je recule brusquement : la sensation de vide brutal qu’il ressent, fait exploser ses barrières et libère des nuées de choses enfouies qui le submerge. Il s’effondre là, sur le tapis, au pied du lit.
Je le laisse en tas, le corps perclus de douleurs : il lui faut un peu de temps pour tout accepter !
Je m’allonge sur le lit, le gode se dresse fièrement sur mon ventre. Je laisse ses émotions me remplir.
Ses doutes, ses victoires sur la douleur, ses errances me pénètrent par tous les pores…et je libère la tension accumulée dans mon plexus, ma poitrine et mes reins.
Une vague de plaisir se propage vers mon ventre, remonte de mes cuisses, englobe mes seins.
Elle envahie le creux de mes reins et explose dans mon sexe et dans ma gorge…elle est immédiatement suivie d’une autre et puis d’une autre…de moins en moins brutales mais de plus en plus longue et intense !
Je perds la notion du temps et de l’espace et seul un lien irréel me lie à lui, au parcours qu’il est en train de faire, à l’amour qu’il construit.
Quand je redescends sur terre, le soleil se couche à l’horizon et inonde la pièce d’une lumière d’ocre.
Je me lève et je sais : le regard qu’il pose sur moi est remplie d’un amour inconditionnel et sans faille. Il s’aime et il m’aime comme il n’a jamais aime.
Alors je m’approche de lui, le contourne et le pénètre longuement, fermement, jusqu'à ce que son amour explose et nous emplisse tout les deux au plus profond de nos être.
Je suis entière, totalement dans mon corps et mon esprit, repue.

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Texte coquin : Délire domina
Histoire sexe : Une rose rouge
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