Démarcheur à domicile 9 FIN Où est ma femme?
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 515 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Accent ont reçu un total de 3 608 342 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 832 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Démarcheur à domicile 9 FIN Où est ma femme?
Chapitre 9 : " Que fait ma femme? "
Marion a reçu rapidement un S.M.S. en réponse au mien. L’air ennuyé, elle m’a chargé de répondre à Gérard. Des fêlures et non des fractures le tiendraient éloigné du terrain de foot. Il l’avertira de sa sortie de l’hôpital et ils pourront prendre rendez-vous.
- Si nous échangions nos mobiles pendant un certain temps, je réussirais à le dissuader de te revoir.
- C’est ton but ? J’ai cru que tu voulais lui faire du mal. Tu es un amour. Ce soir nous pourrons peut-être faire l’amour. Je me sens beaucoup mieux.
Promesse impossible à tenir, on nous envahit. Liliane débarque en soirée. Joseph l’a rossée une fois de plus. Elle a essayé en vain de se réconcilier avec son époux. Peine perdue, il est arrivé à la maison en compagnie d’une femme assez jolie, l’a présentée :
- C’est Odette, tu la connais ? Bien sûr. C’est la femme de Gérard. Elle n’a pas d’homme en ce moment, par ma faute. J’ai décidé de réparer l‘absence due à ma brutalité. Notre lit est-il fait ? Toi Liliane viens avec nous dans la chambre, entre dans le dressing.
Liliane raconte:
- Il a coincé une barre dans les battants de la porte. J’étais enfermée. Il a attrapé Odette, l’a embrassée. Elle s’est mise au diapason. Je les ai entendus grogner comme des gorets. Entre les lames de la porte à claire-voie j’ai vu mon mari déshabiller la femme, complètement et il s’est exclamé pour que je l’entende :- Au moins toi tu as des poils au ventre. J’aime ça.
- Gérard adore. a répondu la femme trompée.
C’est un fou qui a demandé à Liliane de s’épiler ou de se raser. En beau-frère averti et remonté contre le prédateur, j’interpelle Liliane
- Ne t’a-t-il pas demandé de te raser ? Il impose une marque différente à chacune de ses conquêtes
- C’est vrai tu étais dans le vestiaire. Ça m’a valu une fessée de plus, à me faire jouir sous les claques.
Liliane reprend:
- Mon mari a admiré l’autre grognasse et s’est exclamé :
- Tu as de beaux seins de nourrice. Tu as allaité tes enfants ? Longtemps ? Tes nichons sont aussi doux que ceux de ma truie qui ne veut pas faire de petit. Tu entends salope. Odette viendra habiter ici avec les siens. Ils sont tout faits et elle m’en donnera d’autres si je veux. Regarde comme on fait, il n’y a pas besoin d’engins spéciaux à piles. Ça c’est de la baise.
Odette a ri. Joseph a demandé :
- Ton mari utilise des vibromasseurs pour te faire jouir ?
- Non, il dit que ça abîme et détraque le vagin des putes.
Joseph plus en verve que jamais a triomphé
- Tu entends conasse ? Cette femme a accouché deux fois, mais son ventre est cent fois meilleur que le tien.. Han!
Il s’est tu. Il était couché sur elle, lui envoyait de grands coups de boutoir. Elle s’accrochait à lui avec les bras et les jambes. Ils ont baisé dans toutes les positions. Elle jouissait, il riait et recommençait à la bourrer. J’ai pleuré de rage. Ils sont partis à la douche. Il lui a dit:
- Demain je te déménage.
Elle est partie. Il a ouvert la porte et m’a dit :
- Demain tu fous le camp. Une femme me suffit. Va faire la putain ailleurs.
- Non, je suis chez moi ici. Nous sommes mariés. Où veux-tu que j’aille ? Je reste.
Aussitôt, il m’a retournée et m’a fessée, à grandes gifles sur les fesses. Je lui criais que je lui demandais pardon, que je serais fidèle. Les coups tombaient plus drus et plus violentset il criait:
-Alors tu as fini de me pourrir la vie ? Tu dégageras ou je continue ? Je vais boire un coup de rouge pour reprendre des forces et on recommence, jusqu’à ce que tu te décides à libérer la place. Trouve ton œuf, c’est peut-être plus persuasif que la fessée, on va bien rire. Pendant qu’il buvait je me suis sauvée, en savates, sans culotte et j’ai marché. Hébergez-moi pour la nuit.
Marion bonne sœur et bonne poire l’a prise dans ses bras. Elles ont occupé le lit. J’ai été relégué sur le canapé. Ça fait quinze jours que nous logeons, nourrissons et blanchissons ma belle-sœur. Marion est allée chez Joseph et a ramené les effets personnels de Liliane entassés dans des sacs poubelles. Odette est installée en maîtresse de maison chez Joseph.
De S.M.S en S.M.S. j’ai poussé Gérard à me faire des déclarations d’amour enflammées. Il sort de l’hôpital samedi, persuadé de se confier à ma femme. Je réponds :
- Je serai seule de quatorze heures à dix-sept heures Viens, nous jouerons avec l’œuf. Je m’entraîne tous les jours.
- Et si on faisait l’amour sans ça. Odette m’oublie avec un autre homme. Elle a quitté le domicile. Sais-tu où elle se trouve ?
- Qui aimes-tu, Odette ou moi ? Si tu n’es pas sûr de pouvoir t‘en séparer, ne viens pas.Sinon cherche la et oublie moi.
Il ne marche pas, il court ! La suite arrive aussitôt:
- Cruelle ! Je n’aime que toi. Je me fous d’Odette. J’arriverai à quatorze heures. Bisous, mon amour.
Dans l’impossibilité d’assister au match en raison de prétendues fortes douleurs dans la cheville suite à un faux pas dans un trou, je délègue Marion, elle me représentera au stade avec sa sœur. L’honneur qui lui est fait récompense sa fidélité lui dis-je. Elle se réjouit de ce retour officiel en grâce et me racontera la rencontre. Elle est contente de s’aérer. Hélas Liliane flaire le piège, se met à tousser convulsivement et obtient de rester avec moi. Sa toux dérange mes plans, je comptais l’éloigner pour recevoir Gérard en compagnie de Joseph et de sa maîtresse.
- Je te garde ici, à condition que tu occupes les toilettes quand arrivera ma visite. Entendu ? Tu ne troubles pas la visite que j’attends ou je t’enferme dans le poulailler
- Oui . Ça durera longtemps ?
- Le temps qu’il faudra . C’est à prendre ou à laisser. Je ne t’apprécie guère, alors écrase.
- Ça va, je sais me tenir. Qui vient? A plus tard, voilà quelqueun
J’ai convoqué mon comité d’accueil : je dirige mes visiteurs, Joseph et Odette, vers ma chambre à coucher avec une mission concrète. Je fais venir Liliane et je lui montre sur mon smartphone les échanges par internet de plus en plus érotiques ou pornographiques entre Gérard et sa sœur. Elle rit jaune. Sous l’identité de Marion j’ai écrit des horreurs qui stupéfient Liliane. Que sa sœur est dégoûtante, c’est la honte de la famille, une dévergondée et Liliane se montre méprisante
- Ça ne m’étonne pas. Il avait juré de te la piquer. Excuse-moi, ma sœur est amoureuse de lui. Il a gagné :Ses messages sont explicites. Elle va te quitter, sûr !
Comme une chatte Liliane retombe sur ses pattes et dévoile son plan B :
- Mais je serai là pour te consoler.
- Merci, mais Gérard n’a pas encore gagné.
- Relis les textes et rends-toi à l’évidence. Il y a longtemps que je le prévoyais. Elle allait tous les jeudis à une réunion de vente, oui ?
- Effectivement.
- Mais il n’y a pas une réunion tous les jeudis, mon pauvre. Alors où allait-elle quand tu suivais l’entraînement ? Ne t’es-tu pas posé la question, jamais ? Sais-tu où elle est en ce moment et avec qui ? Je parierais qu’elle a rejoint Gérard et ils s’envoient en l’air en te plaignant. d’être aussi crédule. Elle te racontera un match bidon. C’est pour cela qu’elle m’a interdit de l’accompagner cet après-midi.
- Tu la dénonces ? Tiens tu ne tousses plus.
- C’est scandaleux de se moquer de son mari comme elle le fait depuis deux ans. Elle ne te mérite pas. C’est ma sœur mais elle me fait honte. Moi, je m’occuperai bien de toi.
J’en ai les jambes sciées. Berné, cocu et aveugle. Comment en douter après ces révélations de cette sœur. Tout mais pas Liliane !
Je n’ai pas besoin de répondre plus longuement car on sonne de nouveau, On sonne, il est 14 heures. Liliane va d’elle-même dans les toilettes, que ne ferait-elle pas pour remplacer sa sœur chez moi ? Elle oublie sa liaison avec Gérard et tout et tout et tout.
Je suis presque étonné de me retrouver face à Gérard. S’il est là, Marion n’est pas avec lui. Liliane m’a menti ou s’est trompée ? Gérard remarque ma surprise, est gêné, il ne peut pas dissimuler son étonnement. Il me croyait absent.
- Bonjour, euh !…Je sors de l’hôpital et j’ai pensé prendre des nouvelles de mes amis. Puis-je saluer Marion ?
- Bien entendu. Elle fait une petite sieste dans la chambre. Entre, je t’en prie, prends place, je l’appelle.
J’ouvre la porte de la chambre,
- Venez , vous avez de la visite.
- Tu voussoies ta femme ? Je croyais cette mode passée.
Il se tourne vers la porte, voit sortir une femme nue suivie d’un costaud aussi nu. Il rit jaune à son tour, n’a ni la force ni le courage de se lever. Le malheureux, terrorisé par l’apparition de Joseph est vite aussi nu que les deux autres. Une corde lui lie les mains dans le dos. Nous le couchons sur le parquet, fesses en l’air. J’avais juré de lui faire bouffer l’œuf. Il y a mieux à faire. L’oeuf enduit de lubrifiant entre difficilement dans son anus. Les six centimètres disparaissent, l’anneau trop large émerge à ras de la rose. J’appelle Liliane. Elle ouvre des yeux !
- Tiens la télécommande et dis-moi où est l’œuf. Cherche. Mise en route, appuie. Plus vite ! Maintiens ce niveau. Amuse-toi. Punis Gérard de te tromper avec Marion.
Je m’adresse à Gérard :
- Depuis quand es-tu l’amant de ma femme ?
- Pas moi ! Je n’ai jamais couché avec Marion
- Liliane accélère, ne supporte pas ses mensonges
La sœur appuie. Le corps se contorsionne. Il tremble des pieds à la tête, bave.
- Tu as abîmé le vagin de Marion. crie Liliane. Menteur, avoue votre livraison. Pourquoi mens-tu. Veux-tu que j’accélère encore?
- C’était la seule qui me résistait.
- Il ment, elle était d’accord. Elle n’est pas si « abîmée » que ça. Jean, elle t’enfume pour ne pas faire l’amour avec toi. Allez, Gérard, dis lui avec qui tu l’as placée en attendant de la récupérer. Parle ou je mets au maximum.
Il pleure, se tord, crie :
- Stop, je parle.
Liliane ralentit.
- Avec qui s‘amuse-t-elle en ce moment, parle ou…?
- Non, pitié. Avec Émile. Mais elle n’a pas eu besoin de moi. Le jeune con l’a draguée. C’est pour ça qu’elle ne voulait pas de moi, la conne. Débaucher un mineur. Il n’y a plus de morale. Odette que fais tu ici ?
- Regarde, cher mari. Joseph a une belle queue, hein. Belle et bonne. Si tu savais !
Odette s’accroupit au dessus de Joseph couché sur le dos, cherche la bonne place et s’enfonce sur le mandrin de son concubin. Elle chante :
- Hue, coco !
- Non, ne fais pas ça. Que vont devenir nos enfants ! pleurniche le couveur d’œufs artificiels.
- Il serait temps de t’en souvenir, père indigne. Ils grandiront avec celui que je porte.
Liliane ne sait plus, chassée par l’un, remplacée par l’autre, elles‘accroche à son dernier rêve, me sourit:
- Jean, tu me gardes ?
A sa question je réponds par une question :
- Où est Marion ?
- Si tu me gardes,
- Parle où je t’enfonce l’œuf dans le cul.
La menace lui délie la langue:
Au stade, dans le réduit à balais.
J’arrive en un temps record. Je me précipite vers le réduit, fermé par une porte pleine. Sur le côté la lumière entre par une toute petite fenêtre. Balais, tondeuse à gazon, râteau, pioche et seau de chaux ont été sortis. A l’intérieur on chahute. Je jette un œil à travers la vitre sale, crasseuse. Trois gaillards nus, bite en main entourent une femme. A tour de rôle elle les suce ou les masturbe avec application, un dans la bouche, un dans chaque main. Je ne distingue pas sa figure. Est-elle brune, châtain ou rousse ? Les garçons crient :
-Debout, debout, tends tes fesses. Le bonheur est ici, tu le connaîtras. Baisons, foutons enfin.
Celui qui me tourne le dos cache le visage et une grande partie du corps de la femme. Ma femme si j’en crois cette vipère de Liliane. Derrière elle un autre pointe sa verge vers le sexe sous la croupe encore jeune, pas trop impressionnante, il s’y frotte, pousse son ventre en avant. Les mains sur les hanches de la femme, le jeune se balance lentement, encouragé par les rires des deux autres. Voilà donc à quoi se livre Marion. Elle ne souffre plus, pour eux son vagin est disponible et libre, l’œuf est oublié ! Le troisième prend son tour derrière le corps penché sur une brouette. Et vlan, il l’embroche vigoureusement, mène son affaire prestement, se retire et gicle sur le bas du dos. Le premier vient s’appuyer devant la fenêtre, zut. Je vois le troisième s’installer face à la croupe et pénétrer la gourmande
- Dans le cul , Émile, mets lui dans le cul. La salope aime l’anal. Perce lui la rondelle. Vas-y Émile.
Il n’y a pas de doute, si c’est Émile, le livreur amoureux, la femme est forcément Marion. Je vais la tuer. Et je tuerai Émile en même temps. Je me dirige vers la porte métallique, je saisis un manche de pioche. Une main se pose sur mon épaule :
- Alors Jean, on joue au curieux ? Qu’est-ce qui se passe là-dedans , c‘est si passionnant?
Cette voix ! Quel bonheur d’entendre la voix de… Marion ou Liliane ?
- Tu ne devais pas venir. Tiens, j’ai pris plein de notes sur le match. On a gagné ! Quoi, tu ne m’as jamais vue. Ho ! Jean, je suis ta femme. Tu as laissée Liliane seule à la maison ? Elle va faire des conneries. C’est une malade, une mythomane. Vite. Non, d’abord ouvre cette porte que moi aussi je voie ce qui t’intéresse tant.
Je tire la porte. Le gars qui défonce l’inconnue se retourne. Marion s’esclaffe joyeuse
- Bonjour Émile. Alors tu as fini par trouver l’âme sœur !
Elle me fixe :
- Ce jeune bouc m’a fait la cour. Il voulait que je le dépucelle, se recommandait de Gérard, cet autre taré.
La maison est vide. Quelques mots griffonnés sur une feuille de photocopieuse me soulagent :
« Liliane part avec Gérard ». ouf! Ton matelas est d’excellente qualité, Odette a apprécié. Merci pour le bon tour. JOSEPH.
Marion ouvre de grands yeux
- Chouette, enfin elle est casée. Explique-moi, Gérard est venu ? Et Joseph avec Odetteont occupé notre lit. C’est quoi cette histoire ? Tu m’as expédiée pour que je ne les voie pas? Pour que je ne rencontre pas Gérard ? Quand me feras-tu confiance ? Tu mériterais...
- Quoi ?
- Viens au lit, que je te montre quoi : "Je t’aime" et j’ai envie de toi. Oh, la belle queue, pour moi toute seule.
Marion a reçu rapidement un S.M.S. en réponse au mien. L’air ennuyé, elle m’a chargé de répondre à Gérard. Des fêlures et non des fractures le tiendraient éloigné du terrain de foot. Il l’avertira de sa sortie de l’hôpital et ils pourront prendre rendez-vous.
- Si nous échangions nos mobiles pendant un certain temps, je réussirais à le dissuader de te revoir.
- C’est ton but ? J’ai cru que tu voulais lui faire du mal. Tu es un amour. Ce soir nous pourrons peut-être faire l’amour. Je me sens beaucoup mieux.
Promesse impossible à tenir, on nous envahit. Liliane débarque en soirée. Joseph l’a rossée une fois de plus. Elle a essayé en vain de se réconcilier avec son époux. Peine perdue, il est arrivé à la maison en compagnie d’une femme assez jolie, l’a présentée :
- C’est Odette, tu la connais ? Bien sûr. C’est la femme de Gérard. Elle n’a pas d’homme en ce moment, par ma faute. J’ai décidé de réparer l‘absence due à ma brutalité. Notre lit est-il fait ? Toi Liliane viens avec nous dans la chambre, entre dans le dressing.
Liliane raconte:
- Il a coincé une barre dans les battants de la porte. J’étais enfermée. Il a attrapé Odette, l’a embrassée. Elle s’est mise au diapason. Je les ai entendus grogner comme des gorets. Entre les lames de la porte à claire-voie j’ai vu mon mari déshabiller la femme, complètement et il s’est exclamé pour que je l’entende :- Au moins toi tu as des poils au ventre. J’aime ça.
- Gérard adore. a répondu la femme trompée.
C’est un fou qui a demandé à Liliane de s’épiler ou de se raser. En beau-frère averti et remonté contre le prédateur, j’interpelle Liliane
- Ne t’a-t-il pas demandé de te raser ? Il impose une marque différente à chacune de ses conquêtes
- C’est vrai tu étais dans le vestiaire. Ça m’a valu une fessée de plus, à me faire jouir sous les claques.
Liliane reprend:
- Mon mari a admiré l’autre grognasse et s’est exclamé :
- Tu as de beaux seins de nourrice. Tu as allaité tes enfants ? Longtemps ? Tes nichons sont aussi doux que ceux de ma truie qui ne veut pas faire de petit. Tu entends salope. Odette viendra habiter ici avec les siens. Ils sont tout faits et elle m’en donnera d’autres si je veux. Regarde comme on fait, il n’y a pas besoin d’engins spéciaux à piles. Ça c’est de la baise.
Odette a ri. Joseph a demandé :
- Ton mari utilise des vibromasseurs pour te faire jouir ?
- Non, il dit que ça abîme et détraque le vagin des putes.
Joseph plus en verve que jamais a triomphé
- Tu entends conasse ? Cette femme a accouché deux fois, mais son ventre est cent fois meilleur que le tien.. Han!
Il s’est tu. Il était couché sur elle, lui envoyait de grands coups de boutoir. Elle s’accrochait à lui avec les bras et les jambes. Ils ont baisé dans toutes les positions. Elle jouissait, il riait et recommençait à la bourrer. J’ai pleuré de rage. Ils sont partis à la douche. Il lui a dit:
- Demain je te déménage.
Elle est partie. Il a ouvert la porte et m’a dit :
- Demain tu fous le camp. Une femme me suffit. Va faire la putain ailleurs.
- Non, je suis chez moi ici. Nous sommes mariés. Où veux-tu que j’aille ? Je reste.
Aussitôt, il m’a retournée et m’a fessée, à grandes gifles sur les fesses. Je lui criais que je lui demandais pardon, que je serais fidèle. Les coups tombaient plus drus et plus violentset il criait:
-Alors tu as fini de me pourrir la vie ? Tu dégageras ou je continue ? Je vais boire un coup de rouge pour reprendre des forces et on recommence, jusqu’à ce que tu te décides à libérer la place. Trouve ton œuf, c’est peut-être plus persuasif que la fessée, on va bien rire. Pendant qu’il buvait je me suis sauvée, en savates, sans culotte et j’ai marché. Hébergez-moi pour la nuit.
Marion bonne sœur et bonne poire l’a prise dans ses bras. Elles ont occupé le lit. J’ai été relégué sur le canapé. Ça fait quinze jours que nous logeons, nourrissons et blanchissons ma belle-sœur. Marion est allée chez Joseph et a ramené les effets personnels de Liliane entassés dans des sacs poubelles. Odette est installée en maîtresse de maison chez Joseph.
De S.M.S en S.M.S. j’ai poussé Gérard à me faire des déclarations d’amour enflammées. Il sort de l’hôpital samedi, persuadé de se confier à ma femme. Je réponds :
- Je serai seule de quatorze heures à dix-sept heures Viens, nous jouerons avec l’œuf. Je m’entraîne tous les jours.
- Et si on faisait l’amour sans ça. Odette m’oublie avec un autre homme. Elle a quitté le domicile. Sais-tu où elle se trouve ?
- Qui aimes-tu, Odette ou moi ? Si tu n’es pas sûr de pouvoir t‘en séparer, ne viens pas.Sinon cherche la et oublie moi.
Il ne marche pas, il court ! La suite arrive aussitôt:
- Cruelle ! Je n’aime que toi. Je me fous d’Odette. J’arriverai à quatorze heures. Bisous, mon amour.
Dans l’impossibilité d’assister au match en raison de prétendues fortes douleurs dans la cheville suite à un faux pas dans un trou, je délègue Marion, elle me représentera au stade avec sa sœur. L’honneur qui lui est fait récompense sa fidélité lui dis-je. Elle se réjouit de ce retour officiel en grâce et me racontera la rencontre. Elle est contente de s’aérer. Hélas Liliane flaire le piège, se met à tousser convulsivement et obtient de rester avec moi. Sa toux dérange mes plans, je comptais l’éloigner pour recevoir Gérard en compagnie de Joseph et de sa maîtresse.
- Je te garde ici, à condition que tu occupes les toilettes quand arrivera ma visite. Entendu ? Tu ne troubles pas la visite que j’attends ou je t’enferme dans le poulailler
- Oui . Ça durera longtemps ?
- Le temps qu’il faudra . C’est à prendre ou à laisser. Je ne t’apprécie guère, alors écrase.
- Ça va, je sais me tenir. Qui vient? A plus tard, voilà quelqueun
J’ai convoqué mon comité d’accueil : je dirige mes visiteurs, Joseph et Odette, vers ma chambre à coucher avec une mission concrète. Je fais venir Liliane et je lui montre sur mon smartphone les échanges par internet de plus en plus érotiques ou pornographiques entre Gérard et sa sœur. Elle rit jaune. Sous l’identité de Marion j’ai écrit des horreurs qui stupéfient Liliane. Que sa sœur est dégoûtante, c’est la honte de la famille, une dévergondée et Liliane se montre méprisante
- Ça ne m’étonne pas. Il avait juré de te la piquer. Excuse-moi, ma sœur est amoureuse de lui. Il a gagné :Ses messages sont explicites. Elle va te quitter, sûr !
Comme une chatte Liliane retombe sur ses pattes et dévoile son plan B :
- Mais je serai là pour te consoler.
- Merci, mais Gérard n’a pas encore gagné.
- Relis les textes et rends-toi à l’évidence. Il y a longtemps que je le prévoyais. Elle allait tous les jeudis à une réunion de vente, oui ?
- Effectivement.
- Mais il n’y a pas une réunion tous les jeudis, mon pauvre. Alors où allait-elle quand tu suivais l’entraînement ? Ne t’es-tu pas posé la question, jamais ? Sais-tu où elle est en ce moment et avec qui ? Je parierais qu’elle a rejoint Gérard et ils s’envoient en l’air en te plaignant. d’être aussi crédule. Elle te racontera un match bidon. C’est pour cela qu’elle m’a interdit de l’accompagner cet après-midi.
- Tu la dénonces ? Tiens tu ne tousses plus.
- C’est scandaleux de se moquer de son mari comme elle le fait depuis deux ans. Elle ne te mérite pas. C’est ma sœur mais elle me fait honte. Moi, je m’occuperai bien de toi.
J’en ai les jambes sciées. Berné, cocu et aveugle. Comment en douter après ces révélations de cette sœur. Tout mais pas Liliane !
Je n’ai pas besoin de répondre plus longuement car on sonne de nouveau, On sonne, il est 14 heures. Liliane va d’elle-même dans les toilettes, que ne ferait-elle pas pour remplacer sa sœur chez moi ? Elle oublie sa liaison avec Gérard et tout et tout et tout.
Je suis presque étonné de me retrouver face à Gérard. S’il est là, Marion n’est pas avec lui. Liliane m’a menti ou s’est trompée ? Gérard remarque ma surprise, est gêné, il ne peut pas dissimuler son étonnement. Il me croyait absent.
- Bonjour, euh !…Je sors de l’hôpital et j’ai pensé prendre des nouvelles de mes amis. Puis-je saluer Marion ?
- Bien entendu. Elle fait une petite sieste dans la chambre. Entre, je t’en prie, prends place, je l’appelle.
J’ouvre la porte de la chambre,
- Venez , vous avez de la visite.
- Tu voussoies ta femme ? Je croyais cette mode passée.
Il se tourne vers la porte, voit sortir une femme nue suivie d’un costaud aussi nu. Il rit jaune à son tour, n’a ni la force ni le courage de se lever. Le malheureux, terrorisé par l’apparition de Joseph est vite aussi nu que les deux autres. Une corde lui lie les mains dans le dos. Nous le couchons sur le parquet, fesses en l’air. J’avais juré de lui faire bouffer l’œuf. Il y a mieux à faire. L’oeuf enduit de lubrifiant entre difficilement dans son anus. Les six centimètres disparaissent, l’anneau trop large émerge à ras de la rose. J’appelle Liliane. Elle ouvre des yeux !
- Tiens la télécommande et dis-moi où est l’œuf. Cherche. Mise en route, appuie. Plus vite ! Maintiens ce niveau. Amuse-toi. Punis Gérard de te tromper avec Marion.
Je m’adresse à Gérard :
- Depuis quand es-tu l’amant de ma femme ?
- Pas moi ! Je n’ai jamais couché avec Marion
- Liliane accélère, ne supporte pas ses mensonges
La sœur appuie. Le corps se contorsionne. Il tremble des pieds à la tête, bave.
- Tu as abîmé le vagin de Marion. crie Liliane. Menteur, avoue votre livraison. Pourquoi mens-tu. Veux-tu que j’accélère encore?
- C’était la seule qui me résistait.
- Il ment, elle était d’accord. Elle n’est pas si « abîmée » que ça. Jean, elle t’enfume pour ne pas faire l’amour avec toi. Allez, Gérard, dis lui avec qui tu l’as placée en attendant de la récupérer. Parle ou je mets au maximum.
Il pleure, se tord, crie :
- Stop, je parle.
Liliane ralentit.
- Avec qui s‘amuse-t-elle en ce moment, parle ou…?
- Non, pitié. Avec Émile. Mais elle n’a pas eu besoin de moi. Le jeune con l’a draguée. C’est pour ça qu’elle ne voulait pas de moi, la conne. Débaucher un mineur. Il n’y a plus de morale. Odette que fais tu ici ?
- Regarde, cher mari. Joseph a une belle queue, hein. Belle et bonne. Si tu savais !
Odette s’accroupit au dessus de Joseph couché sur le dos, cherche la bonne place et s’enfonce sur le mandrin de son concubin. Elle chante :
- Hue, coco !
- Non, ne fais pas ça. Que vont devenir nos enfants ! pleurniche le couveur d’œufs artificiels.
- Il serait temps de t’en souvenir, père indigne. Ils grandiront avec celui que je porte.
Liliane ne sait plus, chassée par l’un, remplacée par l’autre, elles‘accroche à son dernier rêve, me sourit:
- Jean, tu me gardes ?
A sa question je réponds par une question :
- Où est Marion ?
- Si tu me gardes,
- Parle où je t’enfonce l’œuf dans le cul.
La menace lui délie la langue:
Au stade, dans le réduit à balais.
J’arrive en un temps record. Je me précipite vers le réduit, fermé par une porte pleine. Sur le côté la lumière entre par une toute petite fenêtre. Balais, tondeuse à gazon, râteau, pioche et seau de chaux ont été sortis. A l’intérieur on chahute. Je jette un œil à travers la vitre sale, crasseuse. Trois gaillards nus, bite en main entourent une femme. A tour de rôle elle les suce ou les masturbe avec application, un dans la bouche, un dans chaque main. Je ne distingue pas sa figure. Est-elle brune, châtain ou rousse ? Les garçons crient :
-Debout, debout, tends tes fesses. Le bonheur est ici, tu le connaîtras. Baisons, foutons enfin.
Celui qui me tourne le dos cache le visage et une grande partie du corps de la femme. Ma femme si j’en crois cette vipère de Liliane. Derrière elle un autre pointe sa verge vers le sexe sous la croupe encore jeune, pas trop impressionnante, il s’y frotte, pousse son ventre en avant. Les mains sur les hanches de la femme, le jeune se balance lentement, encouragé par les rires des deux autres. Voilà donc à quoi se livre Marion. Elle ne souffre plus, pour eux son vagin est disponible et libre, l’œuf est oublié ! Le troisième prend son tour derrière le corps penché sur une brouette. Et vlan, il l’embroche vigoureusement, mène son affaire prestement, se retire et gicle sur le bas du dos. Le premier vient s’appuyer devant la fenêtre, zut. Je vois le troisième s’installer face à la croupe et pénétrer la gourmande
- Dans le cul , Émile, mets lui dans le cul. La salope aime l’anal. Perce lui la rondelle. Vas-y Émile.
Il n’y a pas de doute, si c’est Émile, le livreur amoureux, la femme est forcément Marion. Je vais la tuer. Et je tuerai Émile en même temps. Je me dirige vers la porte métallique, je saisis un manche de pioche. Une main se pose sur mon épaule :
- Alors Jean, on joue au curieux ? Qu’est-ce qui se passe là-dedans , c‘est si passionnant?
Cette voix ! Quel bonheur d’entendre la voix de… Marion ou Liliane ?
- Tu ne devais pas venir. Tiens, j’ai pris plein de notes sur le match. On a gagné ! Quoi, tu ne m’as jamais vue. Ho ! Jean, je suis ta femme. Tu as laissée Liliane seule à la maison ? Elle va faire des conneries. C’est une malade, une mythomane. Vite. Non, d’abord ouvre cette porte que moi aussi je voie ce qui t’intéresse tant.
Je tire la porte. Le gars qui défonce l’inconnue se retourne. Marion s’esclaffe joyeuse
- Bonjour Émile. Alors tu as fini par trouver l’âme sœur !
Elle me fixe :
- Ce jeune bouc m’a fait la cour. Il voulait que je le dépucelle, se recommandait de Gérard, cet autre taré.
La maison est vide. Quelques mots griffonnés sur une feuille de photocopieuse me soulagent :
« Liliane part avec Gérard ». ouf! Ton matelas est d’excellente qualité, Odette a apprécié. Merci pour le bon tour. JOSEPH.
Marion ouvre de grands yeux
- Chouette, enfin elle est casée. Explique-moi, Gérard est venu ? Et Joseph avec Odetteont occupé notre lit. C’est quoi cette histoire ? Tu m’as expédiée pour que je ne les voie pas? Pour que je ne rencontre pas Gérard ? Quand me feras-tu confiance ? Tu mériterais...
- Quoi ?
- Viens au lit, que je te montre quoi : "Je t’aime" et j’ai envie de toi. Oh, la belle queue, pour moi toute seule.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Accent
26 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Aux innocentes les mains pleines.
Ne vous fatiguez pas à convaincre tranquille 2, il ne veut pas comprendre que le mari veut correspondre par e-mail ou sms en se faisant passer pour Marion afin d'obtenir des renseignements . Donnez lui raison et qu'on en finisse. C'est simple, ne perdez pas votre temps puisqu'il a raison, toujours!
Les remarques de cette lectrice sont sans objet ce sont les mots qu'utilise Marion en donnant son portable tout en sachant que Gérard a son adresse devant lui livrer son colis de soutiens-gorge.
A aucun moment je ne dis que le portable donne l'adresse de son propriétaire.cette lectrice devrait lire plus attentivement.
A aucun moment je ne dis que le portable donne l'adresse de son propriétaire.cette lectrice devrait lire plus attentivement.
ACCENT ; tu me manques, reviens. Ne te laisse pas écarter par Tranquille le trublion qui veut te fâcher pour te faire rayer de la liste des auteurs. C'est pour ça qu'il te cherche depuis toujours.
salut accent, moi j' adore tout t'est récit je te suit depuis longtemps sur ce site et aussi sur d'autre j' ai dans l’espoir que tu va continuer de nous faire part de t'es fabuleux récit et ne pas tenir conte d’imbécile qui sont toujours dans la critique et je leur dit que si il n'aime pas il sont pas obliger de lire et de passer leur chemin toi accent tu est libre d’écrire et de récrire t'es récit il sont a toi et tu fait se qu'il te plait et puis moi j'aime bien quand tu remanie d'ancien récit ça change .alors accent continue a nous donner de t'es récit qui nous font plaisir . (mille excuse si il y a des faute d'orthographe)
La plus élémentaire des politesses serait de ne pas me tutoyer c'est réservé à mes proches
De plus je n'ai pas à me justifier
"Accent" n'a certainement pas besoin de la défense d'une personne ignorant le mot "politesse.
Il est grand assez et n'a nul besoin d'une personne comme vous pour réagir s'il le souhaite.
Tranquille 52 ( et il est vrai que je suis une personne tranquille et qui aime cette tranquillité)
De plus je n'ai pas à me justifier
"Accent" n'a certainement pas besoin de la défense d'une personne ignorant le mot "politesse.
Il est grand assez et n'a nul besoin d'une personne comme vous pour réagir s'il le souhaite.
Tranquille 52 ( et il est vrai que je suis une personne tranquille et qui aime cette tranquillité)
Si le ridicule tuait encore tu ne serais plus Tranquille, tu serais mort et Accent écrirait pour nous
Un chicaneur incapable ne doit pas te décourager
Au lecteur auteur de "c'est pas moi c'est l'autre" le mieux c'est de commencer par vérifier.
Autre chose,quand je met un commentaire il est signé tant par mon pseudo(tranquille 52)
et ou mon adresse mail et de toute manière je ne pense pas que Accent ait besoin de
chevaliers(ères) blancs(ches)
Autre chose,quand je met un commentaire il est signé tant par mon pseudo(tranquille 52)
et ou mon adresse mail et de toute manière je ne pense pas que Accent ait besoin de
chevaliers(ères) blancs(ches)
(d'après les commentaires de lecteurs) C'est pas moi, c'est les autres!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Quand la critique montre que tu ne comprends pas le texte ...Yvette
Quelle adresse dévoile-t-on avec un téléphone mobile sinon l'adresse téléphonique? Pourquoi la communiquer ? Pour inciter Gérard, qui répondrait, à envoyer des messages à la propriétaire de l'adresse( des e-mails par exemple). Le mari recevra ces messages et réglera sa conduite en fonction du contenu des messages. Ainsi Gérard s'attendant à rencontrer Marion se trouvera en face du mari ! Il aurait suffit à notre brillantissime critique de comprendre une chose aussi simple pour comprendre qu'il cherchait des poux dans les cheveux d'un chauve.
"Quand on cherche des anomalies dans les récit il est très facile d'en trouver." Surtout quand on n'a pas compris ou qu'on est de mauvaise foi.
"Quand on cherche des anomalies dans les récit il est très facile d'en trouver." Surtout quand on n'a pas compris ou qu'on est de mauvaise foi.
Au fil des nombreuses histoires de "Accent" il se confirme (d'après les commentaires
de lecteurs) que l'auteur a du mal avec la critique.
Dans mon commentaire sur cette histoire,je n'ai pas critiqué mais simplement fait remarquer
qu'il manquait une partie d'un chapitre à ce récit au demeurant identique tant au début qu'à
la fin à la version lue autre part sur un autre site.
Par contre je suis étonné qu'un auteur si attaché à la cohérence dans ses récits fasse dire
à Marion (je cite).Quel drame.Tiens mon portable.J'ai compris tu veux qu'il ait mon adresse.
Mais l'adresse Gérard la connait car il a envoyé Emile porter le colis avec sa carte dans la
petite boite contenant l'oeuf vibrant et il connait d'autant mieux cette adresse qu'il y est venu
avec Liliane pour profiter de leur chambre conjugale.
L'auteur à bien sur le droit d'écrire et de publier ce qu'il à envie.
Le lecteur aime ou n'aime pas,fait un commentaire ou n'en fait pas cette rubrique étant là pour.
Je commente une histoire suivant mes impressions lors de la lecture et ce que je publie est
strictement personnel,je ne demande à personne d'approuver ou désapprouver mon commentaire.
Quand on cherche des anomalies dans les récit il est très facile d'en trouver.
Tranquille 52
de lecteurs) que l'auteur a du mal avec la critique.
Dans mon commentaire sur cette histoire,je n'ai pas critiqué mais simplement fait remarquer
qu'il manquait une partie d'un chapitre à ce récit au demeurant identique tant au début qu'à
la fin à la version lue autre part sur un autre site.
Par contre je suis étonné qu'un auteur si attaché à la cohérence dans ses récits fasse dire
à Marion (je cite).Quel drame.Tiens mon portable.J'ai compris tu veux qu'il ait mon adresse.
Mais l'adresse Gérard la connait car il a envoyé Emile porter le colis avec sa carte dans la
petite boite contenant l'oeuf vibrant et il connait d'autant mieux cette adresse qu'il y est venu
avec Liliane pour profiter de leur chambre conjugale.
L'auteur à bien sur le droit d'écrire et de publier ce qu'il à envie.
Le lecteur aime ou n'aime pas,fait un commentaire ou n'en fait pas cette rubrique étant là pour.
Je commente une histoire suivant mes impressions lors de la lecture et ce que je publie est
strictement personnel,je ne demande à personne d'approuver ou désapprouver mon commentaire.
Quand on cherche des anomalies dans les récit il est très facile d'en trouver.
Tranquille 52
Pourquoi te punis -tu ainsi?
Tu as commencé à écrire sur ce genre de site pour réaliser un de tes projets. Tu te laisse abattre par quelques critiques!
Prends sur toi et quelques jours de vacances et reviens nous.
Dans les critiques tu prends ce qui fait ton affaire et tu laisses le reste.
Jacques du Canada
Tu as commencé à écrire sur ce genre de site pour réaliser un de tes projets. Tu te laisse abattre par quelques critiques!
Prends sur toi et quelques jours de vacances et reviens nous.
Dans les critiques tu prends ce qui fait ton affaire et tu laisses le reste.
Jacques du Canada
Je n'étais pas venu sur ce site pour me battre, je m'amusais à inventer des histoires, c'est tout. Je préfère me retirer. Adieux à tous, merci à ceux qui m'ont montré de l'amitié, pardon à ceux que je pourrais avoir vexés
" Te penses--tu le maître de l’écriture " ?
L'ai-je jamais prétendu? Simplement j'en ai marre d'être constamment repris par des gens incapables d'écrire un texte et qui voudraient m'imposer le contenu de mes récits. Qu'ils fassent leurs preuves avant de céder à l'envie stérile de comparer les versions. L'un me dit que la suppression d'un paragraphe a rendu le texte incompréhensible pour qui n'a pas lu les versions précédentes ; l'autre me dit: je te cite: " Je dois te dire que ce dernier récit selon mon humble avis est un de tes meilleurs." Il y a de quoi être soupe au lait! Quant à être "imbu " de moi-même,ou à prendre les lecteurs pour des "idiots", je te laisse la responsabilité de tes jugements. ACCENT
L'ai-je jamais prétendu? Simplement j'en ai marre d'être constamment repris par des gens incapables d'écrire un texte et qui voudraient m'imposer le contenu de mes récits. Qu'ils fassent leurs preuves avant de céder à l'envie stérile de comparer les versions. L'un me dit que la suppression d'un paragraphe a rendu le texte incompréhensible pour qui n'a pas lu les versions précédentes ; l'autre me dit: je te cite: " Je dois te dire que ce dernier récit selon mon humble avis est un de tes meilleurs." Il y a de quoi être soupe au lait! Quant à être "imbu " de moi-même,ou à prendre les lecteurs pour des "idiots", je te laisse la responsabilité de tes jugements. ACCENT
L'auteur est maitre de ses textes et de ses recits . On y adhère ou pas. Personnellement je prends plaisirs à lire ou relire les textes d accent anciens ou nouveaux Même si parfois il ajoute ou supprime quelques mots ou phrases dans ses nouvelles parutions. J'espère que les avis d'autres lecteurs ne viendront pas arrêter ses parutions. Seul regret c'est les espaces entre les envois de parutions de textes. Routard83 83
Encore merci Accent. Toujours la même lectrice qui te demande de revenir trés rapidement pour d'autres histoires succulentes. Bisous.
Oh! Accent tu es un peu soupe au lait. Même un peu imbue de toi-même! Te penses--tu le maître de l’écriture
L’êtr humain ne vient pas au monde en état de perfection. L’expérience et les corrections de la vie le rendent meilleur.
Tes récits en général sont bien même si des fois avec tes énoncés et la logique de tes textes,on dirait que tu prends tes lecteurs pour des idiots.
Je dois te dire que ce dernier récit selon mon humble avis est un de tes meilleurs.
Tu as raison Accent une couple de semaines de vacances te feront du bien.
Jacques du Canada.
L’êtr humain ne vient pas au monde en état de perfection. L’expérience et les corrections de la vie le rendent meilleur.
Tes récits en général sont bien même si des fois avec tes énoncés et la logique de tes textes,on dirait que tu prends tes lecteurs pour des idiots.
Je dois te dire que ce dernier récit selon mon humble avis est un de tes meilleurs.
Tu as raison Accent une couple de semaines de vacances te feront du bien.
Jacques du Canada.
histoire pour la première fois doivent se demander ce qu'il c'est passé entre la fin du ch 4 et le début du ch 5.
Il manque en effet un morceau important pour la compréhension de cette histoire.
MOI ACCENT, l'auteur, je pense qu'il ne manque aucun paragraphe pour la compréhension du texte. Je retravaille mes textes précisément pour échapper à la routine. Il m'arrive dans une nouvelle version d'apporter des changements . Que cela surprenne ceux qui voudraient une reproduction exacte des versions précédentes et que cela les chagrine montre le peu de souplesse de leur esprit. Je n'ai juré nulle part de faire un " copier coller." Je prétends que le chapitre quatre est entier et que le cinq est assez explicite pour que le récit soit compréhensible sans le paragraphe qui ne manque qu'à Tranquille 52 . Pourquoi ce monsieur veut-il m'imposer ses vues? Comment sait-il que ceux qui lisent mon récit pour la première fois ne peuvent pas le comprendre? Ce monsieur m'énerve par sa prétention. Je vais prendre quelques semaines de repos pour me mettre à l'abri de ses critiques malveillantes. Evidemment, qui pourrait critiquer les textes qu'il n'a jamais écrits?
Il manque en effet un morceau important pour la compréhension de cette histoire.
MOI ACCENT, l'auteur, je pense qu'il ne manque aucun paragraphe pour la compréhension du texte. Je retravaille mes textes précisément pour échapper à la routine. Il m'arrive dans une nouvelle version d'apporter des changements . Que cela surprenne ceux qui voudraient une reproduction exacte des versions précédentes et que cela les chagrine montre le peu de souplesse de leur esprit. Je n'ai juré nulle part de faire un " copier coller." Je prétends que le chapitre quatre est entier et que le cinq est assez explicite pour que le récit soit compréhensible sans le paragraphe qui ne manque qu'à Tranquille 52 . Pourquoi ce monsieur veut-il m'imposer ses vues? Comment sait-il que ceux qui lisent mon récit pour la première fois ne peuvent pas le comprendre? Ce monsieur m'énerve par sa prétention. Je vais prendre quelques semaines de repos pour me mettre à l'abri de ses critiques malveillantes. Evidemment, qui pourrait critiquer les textes qu'il n'a jamais écrits?
À la chère lectrices:
Dans la vraie vie il y a plus de femmes trompées que d’homme Cocu.
Ne vous sous estimez pas c’est la gente féminine qui fait bien les choses.
Jacques du Canada
Dans la vraie vie il y a plus de femmes trompées que d’homme Cocu.
Ne vous sous estimez pas c’est la gente féminine qui fait bien les choses.
Jacques du Canada
Pourquoi toujours envisager le pire ? Homme ou femme on peut tromper par vice, par curiosité ou par accident on peut aussi ne pas tromper par vertu ou par manque d'occasion ou par manque d'audace. Dans ce récit, je me suis appliqué à jeter le doute dans l'esprit du mari. Le rôle de la soeur y a contribué, mais finalement tout est pour le mieux dans le monde de ce couple. On sort enfin des eaux troubles après avoir côtoyé des situations scabreuses. L'auteur suit une trame, le lecteur peut broder, laisser courir son imagination. Merci à celles ou ceux qui alimentent la discussion par leurs commentaires et fournissent des pistes aux lecteurs ACCENT
Dans cette histoire et Marchand d'illusions publication en 2017 sur ce site et en 2012 sur au moins 3 autres,il n'y a à mon sens qu'une similitude,le vente à domicile d'objets intimes.
Quand à l'histoire présente (publiée intégralement sur au moins un autre site)les lecteurs/lectrices attentif découvrant cette histoire pour la première fois doivent se demander ce qu'il c'est passé entre la fin du ch 4 et le début du ch 5.
Il manque en effet un morceau important pour la compréhension de cette histoire.
Pour terminer j'adhère aux remarques de la lectrice ci-dessus tout en regrettant qu'"Accent"reste un des rares auteurs à proposer des histoires plaisantes à lire,sans vulgarité et souvent empreintes d'une morale
Jean-Mi
P-S La note de 9 est due au manque d'un paragraphe de l'histoire
Quand à l'histoire présente (publiée intégralement sur au moins un autre site)les lecteurs/lectrices attentif découvrant cette histoire pour la première fois doivent se demander ce qu'il c'est passé entre la fin du ch 4 et le début du ch 5.
Il manque en effet un morceau important pour la compréhension de cette histoire.
Pour terminer j'adhère aux remarques de la lectrice ci-dessus tout en regrettant qu'"Accent"reste un des rares auteurs à proposer des histoires plaisantes à lire,sans vulgarité et souvent empreintes d'une morale
Jean-Mi
P-S La note de 9 est due au manque d'un paragraphe de l'histoire
Merci Accent. Je suis cette lectrice. J'ai aussi proposée l’œuf vibrant pour Gérard. C'est peut être une fin que certain lecteur n'aime pas. Mais pourquoi une femme ne serait elle pas fidèle pour une fois ou plusieurs si tu le propose dans d'autres histoires. Encore merci de tes récits. Je suis une femme, j'aime le sexe. Mais pourquoi on aurait toujours les mauvais rôles.
Des doutes peuvent encore subsister. Malgré tout
marion se réjouit du fait que Jean ne veuille pas faire de mal à Gérard .
Gérard déclare en réponse à qui est l'amant. Pas moi Mais ....
Marion n'assiste pas à apparement à toutes les réunions du jeudi. Ou et avec qui est elle
Jean devant le réduit à balai est rejoint par Marion. Comme par hasard connaissait elle deja ce lieux de rencontres des sportifs. Pour noyer le poisson elle lui propose une partie gratuite au domicile. Sans être suspicieux il devrait malgré tout continuer à la surveiller discrètement . Routard. Çela sera peut être une futur suite à l'histoire.
marion se réjouit du fait que Jean ne veuille pas faire de mal à Gérard .
Gérard déclare en réponse à qui est l'amant. Pas moi Mais ....
Marion n'assiste pas à apparement à toutes les réunions du jeudi. Ou et avec qui est elle
Jean devant le réduit à balai est rejoint par Marion. Comme par hasard connaissait elle deja ce lieux de rencontres des sportifs. Pour noyer le poisson elle lui propose une partie gratuite au domicile. Sans être suspicieux il devrait malgré tout continuer à la surveiller discrètement . Routard. Çela sera peut être une futur suite à l'histoire.
Le 03-03-2013 à 02h14 ( sur un autre site) en réponse à la question que fait-elle le jeudi, j"avais répondu :
Auteur
A dédé. Lecteur attentif. Bravo pour cette question : que fait-elle le jeudi quand il n'y a pas de réunion? Eh! oui. Elle demande à son mari de lui faire confiance. Elle n'a pas cédé à Gérard, ni à Emile, c'est rassurant. Mais la question est sans réponse et devrait alerter le mari. Doit-il insister pour qu'elle donne des explications, doit-il l'espionner au risque de lui déplaire et de la perdre ou doit-il se contenter d'étouffer les soupçons, s contenter d'avoir une jolie femme et de recevoir amour et affection ? Le passé est derrière eux. Elle devra dire où elle va si elle doit s'absenter le jeudi alors que le mari blessé ne s'entraîne plus au foot. J'ai imaginé qu'elle l'invitait à l'aider aux restos du coeur le jeudi après le travail. Ce qui réconcilie ce couple . Elle se livrait à des bonnes oeuvres sans le proclamer, le mari constatera qu'elle est connue dans ce milieu et que ses soupçons étaient injustifiés. C'EST une réponse possible. Elle n'entre pas dans le cadre des histoires érotiques, voilà pourquoi je préfère laisser planer un doute. Chacun peut imaginer une suite, à la manière de corto qui la fait passer à la casserole.Est-ce dans le caractère du personnage ? D'autres pourront y passer...
Le texte était envoyé quand une lectrice m'a demandé de faire de Marion une femme fidéle : elle sera satisfaite par la fin de cette histoire
ACCENT
Auteur
A dédé. Lecteur attentif. Bravo pour cette question : que fait-elle le jeudi quand il n'y a pas de réunion? Eh! oui. Elle demande à son mari de lui faire confiance. Elle n'a pas cédé à Gérard, ni à Emile, c'est rassurant. Mais la question est sans réponse et devrait alerter le mari. Doit-il insister pour qu'elle donne des explications, doit-il l'espionner au risque de lui déplaire et de la perdre ou doit-il se contenter d'étouffer les soupçons, s contenter d'avoir une jolie femme et de recevoir amour et affection ? Le passé est derrière eux. Elle devra dire où elle va si elle doit s'absenter le jeudi alors que le mari blessé ne s'entraîne plus au foot. J'ai imaginé qu'elle l'invitait à l'aider aux restos du coeur le jeudi après le travail. Ce qui réconcilie ce couple . Elle se livrait à des bonnes oeuvres sans le proclamer, le mari constatera qu'elle est connue dans ce milieu et que ses soupçons étaient injustifiés. C'EST une réponse possible. Elle n'entre pas dans le cadre des histoires érotiques, voilà pourquoi je préfère laisser planer un doute. Chacun peut imaginer une suite, à la manière de corto qui la fait passer à la casserole.Est-ce dans le caractère du personnage ? D'autres pourront y passer...
Le texte était envoyé quand une lectrice m'a demandé de faire de Marion une femme fidéle : elle sera satisfaite par la fin de cette histoire
ACCENT