DEMENAGEURS
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
DEMENAGEURS
Une bite dans la bouche, l'autre dans le cul, mon corps se balance dans le vide, soutenu aux épaules et aux cuisses, par les grosses mains puissantes de deux colosses, déménageurs de leur état.
Il y a un mois, j'ai commandé un canapé. J'ai oublié de noter la date et l'heure de la livraison. Le jour de celle-ci, le bruit insistant de la sonnette me réveille. Je me lève en trombe et vais ouvrir. Je dors toujours à poil. Dans l'affolement, j'ai passé le premier vêtement que j'ai trouvé. Une chemise en polaire, suffisamment courte pour qu'on puisse voir le haut de mes cuisses. J'ai ouvert la porte et le premier est entré.
Je me suis retourné pour le suivre et lui montrer le chemin. Le deuxième a vu mon cul. Il y a mis la main. J'ai sursauté mais n'ai rien dit. J'ai montré l'emplacement ou je voulais mettre le canapé, le déménageur sur mes talons. Il a relevé la chemise et m'a remis la main au cul, de façon plus appuyée. Devant mon absence de réaction, il releva complètement la chemise et me retourna vers son collègue.
- Marcel ! fit-il. Ca te dirait après le boulot ?
- Pourquoi après ? demanda Marcel. Peut-être qu'il voudra plus après...
C'est ainsi que Marcel me retira la chemise, sortit sa bite et, me prenant par les cheveux, me courba vers son entrejambe et présenta sa bite à mes lèvres. J'ai ouvert la bouche et il s'y enfonça. Son collègue me prit par les cuisses et me souleva.
- Ecartes tes fesses ! M'ordonna-t-il.
Les jambes pendant dans le vide, j'écartai mes fesses de mes mains et il s'y introduit.
Soulevé par l'arrière, la bite de Marcel ne pouvait plus glisser entre mes lèvres. Celui-ci me prit par les aisselles et me souleva aussi. Ils se mirent à onduler des hanches de concert, leurs bites entrant et sortant en rythme de ma bouche et de mon cul.
Quand ils se furent soulagés, je leur ai demandé s'ils ne voulaient pas s'offrir une nouvelle compensation après le boulot.
Ils ont changé de place, Marcel dans mon cul, l'autre dans ma bouche, et, on a recommencé.
Il y a un mois, j'ai commandé un canapé. J'ai oublié de noter la date et l'heure de la livraison. Le jour de celle-ci, le bruit insistant de la sonnette me réveille. Je me lève en trombe et vais ouvrir. Je dors toujours à poil. Dans l'affolement, j'ai passé le premier vêtement que j'ai trouvé. Une chemise en polaire, suffisamment courte pour qu'on puisse voir le haut de mes cuisses. J'ai ouvert la porte et le premier est entré.
Je me suis retourné pour le suivre et lui montrer le chemin. Le deuxième a vu mon cul. Il y a mis la main. J'ai sursauté mais n'ai rien dit. J'ai montré l'emplacement ou je voulais mettre le canapé, le déménageur sur mes talons. Il a relevé la chemise et m'a remis la main au cul, de façon plus appuyée. Devant mon absence de réaction, il releva complètement la chemise et me retourna vers son collègue.
- Marcel ! fit-il. Ca te dirait après le boulot ?
- Pourquoi après ? demanda Marcel. Peut-être qu'il voudra plus après...
C'est ainsi que Marcel me retira la chemise, sortit sa bite et, me prenant par les cheveux, me courba vers son entrejambe et présenta sa bite à mes lèvres. J'ai ouvert la bouche et il s'y enfonça. Son collègue me prit par les cuisses et me souleva.
- Ecartes tes fesses ! M'ordonna-t-il.
Les jambes pendant dans le vide, j'écartai mes fesses de mes mains et il s'y introduit.
Soulevé par l'arrière, la bite de Marcel ne pouvait plus glisser entre mes lèvres. Celui-ci me prit par les aisselles et me souleva aussi. Ils se mirent à onduler des hanches de concert, leurs bites entrant et sortant en rythme de ma bouche et de mon cul.
Quand ils se furent soulagés, je leur ai demandé s'ils ne voulaient pas s'offrir une nouvelle compensation après le boulot.
Ils ont changé de place, Marcel dans mon cul, l'autre dans ma bouche, et, on a recommencé.
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