Démission

- Par l'auteur HDS Zootman -
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Démission Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Démission
Je ne résiste pas à vous raconter ce qui m’est arrivé la semaine dernière.
Je dirige, à Paris, une petite entreprise, avec 6 salariées, que des femmes. Ne commencez pas à vous exciter, petit(e)s coquin(e)s, je ne suis pas du genre à mélanger boulot et gaudriole !
Deux de mes assistantes sont là depuis bientôt quinze ans, donc nous nous connaissons bien professionnellement. Mais il n’y a jamais eu d’ambiguïté dans nos relations.
Bien sûr, comme je suis un mâle un peu porté sur la chose, j’ai bien profité parfois d’un corsage un peu ouvert pour tenter de voir un peu plus les beaux seins d’Amélie, et ceux, moins fournis, de Carine.
Mais très discrètement, pendant que l’on parlait des dossiers.
Les seins d’Amélie et le cul de Carine ont, je l’avoue, parfois été l’objet de fantasmes quand je me branlais dans mon lit le soir ou sous la douche. J’en imaginais une venant s’asseoir dans mon bureau, elle à la table ronde à quelques mètres, moi derrière mon bureau, pour parler d’un dossier.
Carine par exemple, venait en ayant une jupe (pur fantasme, elle n’en porte jamais) et je pouvais apercevoir un bout de sa petite culotte. Et ce jour-là, dans mon rêve, elle voyait que je la regardais, alors l’air de rien elle écartait un peu les jambes, puis passait une main sur sa motte.
Alors je me levais en souriant, je m’approchais, je m’agenouillais devant elle et, écartant sa culotte, je lui léchais la moule avidement, avant de la mettre dos sur la table et de l’enfiler prestement, puis de la retourner et de l’enculer sauvagement.
Amélie, elle, je la voyais plutôt s’approchant de mon bureau et, se penchant pour me montrer un point dans un document, me laisser apercevoir ses beaux seins.
Alors, la regardant, je lui prenais la taille, et enfouissait mon visage entre ses seins après les avoir libérés. Puis elle s’agenouillait et me suçait divinement, moi dans mon fauteuil de patron, avant que je ne la bascule sur le bureau pour lui enfourner ma queue bien profondément.
Du fantasme de patron sur ses secrétaires, mais pas plus. Jusque- là.
Amélie m’a donné sa démission il y a quelques temps, souhaitant partir dans sa région d’origine pour s’occuper de sa maman âgée. J’en ai été un peu dépité mais c’est ainsi.
Jeudi dernier, donc, une fois tout le monde partit, je l’ai invitée à venir signer tous les documents liés à son départ. L’ambiance était à la fois un peu tendue, car c’était un moment un peu difficile pour elle comme pour moi, mais aussi conviviale du fait de notre longue collaboration.
Après les formalités, je lui ai proposé, une fois n’est pas coutume, de boire un verre de ce délicieux armagnac que je garde dans un placard. Puis nous avons commencé à papoter un peu, nous rappelant les anecdotes qui ont émaillé la vie du bureau depuis 15 ans. Cela nous a fait rire, et l’alcool aidant, nous nous sommes détendus.
Amélie portait une jupe large, comme souvent, et un chemisier blanc un peu échancré. Comme à l’habitude, je louchais un peu dedans, mais il faut croire que j’ai été moins discret que d’habitude. Amélie m’a regardé fixement et m’a dit :
- Monsieur Steve, je vois que vous regardez encore dans mon corsage. Croyez-vous que je ne vous ai pas vu faire depuis tout ce temps ? Vous devriez avoir un peu honte, non, à votre âge !
J’étais un peu confus, mais j’ai joué la vérité
- Amélie, depuis des années, je vous regarde, comme mon assistante bien sûr, mais également comme une femme. Je vous ai toujours trouvé charmante, et désirable, surtout quand vous présentez ainsi vos appâts, comme l’on disait autrefois.
- Ô Monsieur Steve, vous êtes décidément incorrigible ce soir. Mais puisque l’on va se quitter pour toujours, je peux aussi vous avouer que je vous ai regardé comme un homme, souvent. Et que j’ai parfois imaginé…
Je ne l’ai pas laissé finir sa phrase. Je me suis approché d’elle et je l’ai embrassée, la prenant dans mes bras pour la retenir.
Mais nul besoin de la retenir ! Elle m’a rendu mon baiser avec avidité, et nous nous sommes enlacés tous deux.
Le baiser terminé, nous nous sommes regardés, un peu interdits par ce qui venait de se passer, un peu gênés aussi. Mais nos yeux disaient notre joie du moment.
- Amélie, je vous veux ce soir, pour un adieu mémorable.
- Steve, ce soir je vous appelle juste Steve, je vous veux aussi, je suis folle, mais j’ai envie de vous.
Je l’ai emmené s’asseoir sur le canapé de mon bureau (j’ai un grand bureau).
Je me suis agenouillé devant elle, et j’ai posé ma tête sur ses cuisses. Elle m’a caressé les cheveux, pendant que mes mains remontaient de ses chevilles vers ses cuisses, remontant sous sa jupe pour atteindre ses hanches.
Elle a écarté ses jambes, et, soulevant sa jupe, j’ai aperçu sa culotte blanche ou une tâche de cyprine s’élargissait.
- Amélie, ta chatte est belle, je vais te lécher
- Vas-y, j’en rêve depuis des années !
J’ai enlevé prestement sa culotte, et je me suis enfoui dans sa toison, recherchant son clitoris pour le happer, et léchant bien sa fente humide.
Elle commençait à gémir sous ma langue, aussi je m’appliquais, dégustant cette chatte nouvelle dont je savais que ce serait la seule fois. J’entrais ma langue le plus profondément possible, et elle aimait ça, et quand je revenais sur son bouton érigé, ses soupirs se faisaient plus aigus.
Puis j’y ai mis un, puis deux doigts, la branlant lentement, la regardant prendre du plaisir. Son jus coulait, et j’ai commencé à lui masser le petit trou.
- Mets-moi des doigts dans le cul, j’adore aussi cela m’a-t-elle soufflé.
Alors, j’ai inséré mon annulaire pendant que mon majeur et mon index continuaient de découvrir sa grotte.
Au bout de dix minutes, elle a crié sa jouissance. Et moi j’étais heureux de l’avoir fait jouir.
Je me suis relevé, ai enlevé mes vêtements, et j’ai présenté ma queue à sa bouche
- Suce-moi, Amélie, ça aussi j’en ai rêvé lui ai-je lancé, tout en lui déboutonnant son corsage pour libérer ses gros seins.
J’ai rajouté :
- Tes seins, tu ne peux pas savoir combien de fois je me suis branlé en les imaginant autour de ma queue !
- Alors donne-la-moi pour commencer, viens te branler entre mes seins
- Ahhh, j’aime que tu serres tes seins sur mon gourdin, je sens leur peau soyeuse.
- Vas-y, c’est bon pour moi aussi.
J’aime voir mon vit coulisser entre des seins, et j’ai déjà eu par le passé l’impression que certaines femmes aiment bien cela aussi, que cela doit répondre à un de leurs fantasmes (dites-moi mesdames si c’est votre cas).
Au bout d’un moment, elle s’est reculée, s’est un peu penchée et m’a pris dans sa bouche, pour me faire une fellation de toute beauté, douce, appuyée, sa langue tournant autour de mon pieu tendu, s’attardant sur le prépuce, sur le gland, puis m’embouchant en entier au risque de s’étouffer.
Je lui caressais les cheveux pendant ce temps-là, et parfois, je lui maintenais la tête pour rester en elle un peu plus longtemps.
Enfin, sentant qu’elle ne pourrait raidir davantage mon sexe, elle s’est relevée, s’est agenouillée sur le canapé et, me présentant son cul magnifique, m’a invité à la baiser.
Bien sûr, d’un coup, je l’ai pénétrée et nous avons partagé ce moment de sexe intense, profitant de cette baise que nous savions unique, inscrivant dans nos mémoires la scène pour nous en souvenir.
Au bout d’un moment, Amélie m’a stoppé, puis a commencé à faire des aller-retour sur ma queue. Je restais immobile, regardant son cul m’engloutir et me recracher, ses lèvres s’écartant sous sa poussée.
Très excitée, elle criait « ah, je me baise sur toi, j’aime ta queue, je la voulais tellement depuis tout ce temps ».
Puis, s’arrêtant, elle a baissé un peu son fessier et, tenant ma queue d’une main, l’a présentée à son anus.
- Encule-moi, je veux ce souvenir de toi.
J’ai attrapé ses hanches, et je l’ai enculée lentement, écoutant ses gémissements. Visiblement, elle n’avait pas mal et devait avoir un peu d’expérience en la matière.
- Défonce-moi le cul, Steve, je veux être remplie de toi.
J’ai accéléré le rythme, et au bout de cinq minutes, j’ai vu son cul tressauter, et ses cris se sont accentués.
- Aaahhh, je jouis, continue, baise-moi à fond.
Tout en l’enculant sauvagement, je ne pouvais m’empêcher de penser à cette femme qui m’avait assisté pendant tant d’années sans un regard équivoque. La nature humaine sait cacher ses envies secrètes
J’ai éjaculé en elle, giclant une quantité inhabituelle de sperme épais qui est allé tapisser son fondement.
- Oooohhh, Amélie, je te remplis de mon foutre, ma belle cochonne.
- Ahhh, Steve, mon taureau, enfin tu m’as baisée……
Une fois calmés, nous nous sommes retrouvés face à face, et un long baiser mouillé a conclu cet épisode inattendu.
Nous nous sommes rhabillés, et, au moment des adieux, elle m’a lancé un regard doux :
- Steve, merci pour ce moment, et pour toutes ces années ensemble. Si tu veux, j’ai une nièce qui pourrait peut-être me remplacer.
- C’est une idée, car la personne qui a commencé le job n’est pas très efficace par rapport à toi.
- Tu verras, elle sera opérationnelle, je lui en ai déjà parlé.
- Ah, envoies-la moi, je verrai ça.
- Et surtout, surtout, ne fais pas comme pour moi, n’attends pas quinze ans pour la baiser !
- Mais tu sais que je ne mélange pas sexe et boulot.
- Je crois que tu vas évoluer dans tes concepts, mon patron chéri. Quand tu l’auras vue, tu jugeras…..

Elle est partie, et trois jours plus tard, Camille prenait sa place.
Cela ne fait que commencer, mais j’ai compris ce que voulait dire Amélie : sa nièce m’a l’air d’une fieffée cochonne. Si cela évolue, je vous raconterai

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
très bon récit vivement la suite !!!

Histoire Erotique
C'est avec plaisir que nous lirons tes parties fines avec sa nièce



Texte coquin : Démission
Histoire sexe : Une rose rouge
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