DÉNIAISE PAR MON FRÈRE

- Par l'auteur HDS Alex -
Récit érotique écrit par Alex [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : DÉNIAISE PAR MON FRÈRE Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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DÉNIAISE PAR MON FRÈRE
Mon histoire n'est pas banal car j'ai été déniaisé par mon frère, ce qui n'est pas si rare, mais moi ça a été par mon petit frère de 3 ans mon cadet...

Mon petit frère s'appelle Victor et a toujours était un gars détendu et sans complexes qui profite de la vie sans se cacher que ce soit en sport, en amitié ou en sexe et il n'a pas hésité, l'année de ses 18 ans, à présenter son petit copain Tonio ( Victor est BI) à nos parents.

Moi je m'appelle Alexandre, mais on me dit en général simplement Alex, et au contraire de Victor, j'ai toujours étais assez réservé et disons même timoré, de sorte que je ne faisais pas de sport et n'avait que deux copains et encore je leur racontais pas tous mes états d'âme... Par contre j'aimais la musique classique et je jouais, et joue toujours, du piano ce qui faisais de moi un garçon à part au lycée. J'avais été trois fois plus ou moins amoureux de filles, mais sans aller plus loin qu'un baiser furtif et encore sans recommencer. Bien sûr je n’ai pas essayé de sexe avec les garçons. Bref j'étais tout le contraire de mon petit frère et on était pas proche du tout.

A 22 ans passé, enfin, j'aimais beaucoup beaucoup une fille, Marie, même si question flirt on est quasiment pas allé bien loin et surtout pas l'amour. J'avais 23 ans quand elle m'a quitté, le jour de mon anniversaire, pour un gars plus déluré et à ce moment mon frère avait donc 20 ans. Il était toujours avec son petit copain de ses 18 ans : ça avait l'air assez sérieux entre eux et Victor respirait le bonheur.

Moi je broyais du noir alors mon frère m'a proposé d'aller quelques jours dans un camping à la mer pour me changer les idées, je pensais qu'on y irait avec Tonio et j'avais peur de les déranger et de mes sentir mal à l'aise entre eux ; mais Victor m'a rassuré en disant que Tonio était occupé ailleurs et qu'on serait seuls tous les deux alors j'ai accepté.

Finalement on se retrouve au Grau du Roi, on monte vite fait la tente et on va à la plage et, en me surprenant pas mal, Victor a voulu qu'on aille à la section nudiste. J'étais assez complexé car je me trouve moche : je suis grand mais assez maigre et poilu, des poils noirs abondants qui me donnent un faux air viril que mon absence de muscles dément, ainsi que mon sexe qui dépasse pas les 14 cm en érection et fait bien moins au repos.
Mon frère lui n'avait pas à être complexé car il est grand et fin mais pas maigre avec ses muscles bien dessinés par son absence de graisse et des poils blonds fins du plus bel effet; de plus il a alors affiché un sexe que je voyais pour la première fois et qui, bien qu'au repos, était enviable : long et épais avec un gros gland ( pour des raisons d’hygiène on a été circoncis tous les deux).

Bon j'ai quand même surmonté mon malaise en me jetant vite à l'eau, car j'aime nager et que aussi ça me permettait de cacher mon corps. Pendant ce temps Victor, après avoir nagé une demie-heure, se bronzait et attirait les regards des filles et des garçons indistinctement : je vis qu'il en bandait à moitié et me demandais ce que je ferais si il ramenait une conquête sous notre tente...

Mais finalement on est rentré que tous les deux au camping et, après une bonne douche, on a mangé au petit resto sur place. Pendant le repas Victor a essayé de me changer les idées et comme ça marchait pas trop il m'a dit que Marie s’éclatait avec son nouveau mec et que moi aussi je devrais prendre du bon temps. Mais je lui dit que n’avais pas trop le goût à faire du sexe en ce moment et il m'a charrié en disant que c'était tout le temps en fait que j’en faisais pas, mais que c'était parce que je n'étais pas encore tomber sur une personne qui avait su y faire avec moi...

On s'est attardé au resto en buvant pas mal jusqu'à la fermeture puis on est allé se coucher. On avait amené chacun un duvet mince mais il faisait bien trop chaud, aussi je voulus juste me glisser dans le drap housse ; mais Victor me dit que ça serait encore trop chaud et il s'installa dessus... et à poils ! Je fus un peu surpris de cette promiscuité, mais quand il me dit de faire pareil je l'imitais, mais j'étais des plus troublé...
On a éteint les lumières mais il faisait pas noir complet dans la tente translucide installée sous un réverbère et je vis que Victor bandait ! Ça m'a encore plus troublé et moi aussi je me suis mis à bander ! Très gêné de ses doubles bandaisons entre frères je me suis tourné sur le coté pour cacher la mienne de sorte que j'avais les fesses vers Victor. Je cherchais a faire semblant de dormir même si j'étais trop troublé pour sombrer dans le bras de Morphée. Et en fait de bras c'est un bras de Victor qui est passé sur mon flanc avec une main qui a commencé à me caresser le torse !

- Qu'est tu fais ? dis-je surpris, tout autant de son geste que de le l'effet agréable que ça ma faisait.
- Laisse-toi faire, tu verras ça sera cool et tu as besoin de ça !

Alors je me laissais faire ! Ses caresses se sont intéressé à mes tétons en les pinçant et les tordant et ça aussi c'était cool, bien que nouveau pour moi. Mais ce qui était surtout nouveau c'est que je sentais son gland chaud, dur et doux à la fois, qui appuyait contre mon anus. C'était surprenant mais agréable, aussi, instinctivement, je me cambrais offrant mon trou à cette caresse.

Mais Victor avait un plan que je soupçonnais pas dans mon innocence : il profita de ma position pour m’attraper par les hanches et poussa du gland contre mon anus, progressivement mais fermement, de sorte que petit à petit mon trou s'ouvrit et que mon frère se trouva installé en moi ! Je sais pas pourquoi je me laissais faire ! Bien sûr j’eus mal et je gémis en me mordant les lèvres, pour me retenir de hurler pour pas alerter les voisins des tentes à coté...

Comme je ne me débattais pas Victor en conclut que j'étais consentant et commença à me limer, d’abord cool, ce qui me permit de me faire à son calibre dans mon trou vierge, puis de plus en plus fort et rapidement me secouant sauvagement tout le corps depuis l'intérieur et là je recommençai à gémir sans retenue, mais de plaisir cette fois. Au passage il me massait la prostate ( je ne connus qu'après l'existence et les capacités jouissives de cette glande) de sorte que quand il me féconda au bout d'une vingtaine de minutes je jouis sans même me toucher d'une double jouissance : celle classique de l'éjaculation, provoquée sans que je me touche la bite, et, surtout, celle inconnue venue du fond de mes boyaux : je connu l'extase !
Victor laissa son sexe débander calmement en moi, puis celui-ci sortit doucement. Pendant ce temps Victor me serrait dans ses bras contre sa poitrine puissante et s'endormit d'un coup. Je sentais sa respiration régulière dans le cou, cela me berçait agréablement. Je trouvais cool son étreinte rassurante et calme mais je ne pus pas m’endormir car je pensais que, contre toute attente, j'avais rejoint le camp des enculés et même des enculés heureux et que, bien plus troublant, c'était grâce à mon petit frère ! Quel étrange et merveilleux cadeau d'anniversaire ! Pile ce dont j'avais besoin...
Je sentais que ce moment allait nous rapprocher tendrement et durablement… ce qui fut le cas, car on recommença tous le matins et soirs au camping et qu’on continua régulièrement une fois rentrés à la maison.

Les avis des lecteurs

Je suis peut-être mauvais public pour les récits érotiques, car demandeur du minimum de réalisme, ou du moins de crédibilité. Et on ne juge bien sûr que par ses propres références, finalement subjectives, mais ma première sodo, prévue, attendue, bien préparée, m'avait fait un mal de chien (les trucs qu'on fait par ce qu'on croit être de l'amour...) alors celles qui passent comme une lettre à la poste avec éjac *et* orgasme anal, c'est un peu too much. Jolie histoire, ceci dit. Merci.



Texte coquin : DÉNIAISE PAR MON FRÈRE
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