Déniaisement d'une ingénue – Éloge de la candeur (épisode 01)

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Déniaisement d'une ingénue – Éloge de la candeur (épisode 01) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Déniaisement d'une ingénue – Éloge de la candeur (épisode 01)
DENIAISEMENT D’UNE INGENUE – Éloge de la candeur (épisode 01)

Pourquoi cette aventure a entraîné Paul, un quinquagénaire dans une liaison qu'il pensait encore plus qu'improbable, il y a seulement quelques mois ? Il ne le sait, toujours est-il, que rien ne pourra plus être comme avant après ce qui va suivre. En fait, tout a commencé par le comportement étrange d'une jeune femme qui se prénomme Sandy.

Au demeurant, ce n'est pas un véritable canon, bien qu'elle ne soit âgée que de vingt-six printemps. Elle est d'une taille très moyenne, mesurant certainement à peine un mètre soixante, ses seins réguliers et ronds sont posés sur un corps très légèrement potelé. Ses jambes sont un peu courtes, surmontées de cuisses malgré tout assez fortes. Ses cheveux châtains et ses yeux marron donnent à son visage un tour agréable, sans plus. Son mari d'origine libanaise se prénomme Hassan, il est né en France, mais son caractère ombrageux et son contact un peu rude, ne le rendent pas très sympathique. Sandy qui curieusement n'a pas encore d'enfant aime apparemment son mari et n'a aucune envie de connaître d'autres hommes.

D'ailleurs, d'après les confidences qu'elle a faites à Marie-Ange l'épouse de Paul, elle n'en a jamais connu d'autre avant lui, c'est son premier et seul amant. Paul est un critique littéraire de cinquante-deux ans qui voyage beaucoup. Sandy fait partie de ses connaissances, ou plutôt, de celles des amies de son épouse, car le couple la voit une ou deux fois par semaine, soit chez eux, soit chez des amis communs. Elle se montre généralement très distante avec Paul, car ils sont certainement les seuls dans leur entourage à se vouvoyer et à ne pas se faire la bise. Peut-être qu'il l'intimide, ou que quelque chose lui déplaît dans son attitude.

Il est vrai que malgré son apparence insignifiante ou peut être à cause d'elle, elle le trouble inconsciemment, car il l'examine peut-être avec trop d'insistance lorsqu'ils ont l'occasion d'être en présence. Elle porte souvent des jupes ou des robes assez courtes, ce qui fait que, lorsqu'elle s'assied dans un fauteuil, elle écarte ses cuisses sans aucun doute par inadvertance, ce qui permet d'entrevoir fugitivement son slip ou plutôt une culotte en coton, qui curieusement est toujours de couleur blanche. Comme beaucoup d'hommes, Paul est un grand voyeur devant l'éternel, ses yeux étant immanquablement attirés par ce qu'il peut deviner de l'intimité de la jeune femme.

Un jour du mois de juillet dernier, il voyage exceptionnellement sans son épouse pour effectuer une expertise dans le Sud-ouest de la France. C'est à cette occasion qu'il rencontre chez des amis communs, Sandy et son mari qui passent des vacances familiales dans la région. Suite à un problème de grève des transports ferroviaires, le couple ne peut rentrer sur Paris. Ce contretemps fait qu’Hassan, est obligé de regagner la capitale directement par avion pour reprendre son travail. À cette époque de l'année, les avions sont bondés et il ne peut trouver une place pour sa femme, l'obligeant à attendre que la grève se termine. Alors que Paul reste seul dans la même ville de Province que la jeune femme qui demeure chez sa mère, il a été convenu que si la grève n'est pas terminée, les obligations de Paul le retenant pour trois jours dans cette ville, il la ramènerait en voiture dans la capitale à l'issue de son séjour.

Le soir même du départ d'Hassan, une invitation les réunit chez des amis communs où le dîner est très agréable. Pour une fois, Sandy regarde attentivement Paul qui trouve cela étrange, elle, si indifférente habituellement. À la fin de la soirée, il se propose naturellement de la raccompagner dans sa maison familiale qui se trouve à quelques kilomètres. À son étonnement, une fois installé sur le siège passager, elle lui demande si elle peut l'entretenir d'un sujet qui la préoccupe, le sollicitant pour qu'il consente à s'arrêter dans un endroit public. Il lui propose, passant devant son hôtel, de prendre un verre dans sa chambre. À sa grande surprise, elle accepte cette suggestion sans sourciller. Une fois dans sa chambre, il lui demande de prendre place dans un des deux fauteuils qui s'y trouvent. Il s'assied dans le second après avoir servi des rafraîchissements qu'il prélève dans le mini bar. Tout en réfléchissant au comportement de la jeune femme qui lui paraît bien hardie d'un seul coup, il se montre, d'un seul coup intrigué lorsqu'elle le questionne à brûle pour point :

- Il y a plusieurs années que nous nous connaissons Paul, nous ne sommes pas vraiment amis et j'ai beaucoup du mal à vous situer. Vous me regardez souvent avec insistance et cela me met à chaque fois mal à l'aise. Je profite de cette occasion où nous pouvons nous parler seule à seul, pour essayer d'y voir plus clair dans votre attitude.

Paul est un peu interloqué par cette attaque directe. Sandy n'est pas vraiment agressive, mais elle a l'air très décidé. Il se voit dans l'obligation de répondre d'une façon qui va sans doute la déstabiliser, ou tout du moins qui risque de la choquer :

- En effet Sandy, j'ai bien remarqué que vous êtes très distante envers moi et j'en suis quelque peu désolé et embarrassé. C'est certainement pour cela que je vous regarde, avec ce que vous pensez être un peu trop de curiosités. Je suis en général très attentif aux conversations féminines qui sont tenues dans notre cercle d'amis, moi aussi, je n'arrive pas à vous situer complètement. Sous vos dehors, pardonnez-moi cette expression, très pudibonde, couve chez vous une certaine sensualité qui me fait penser que vous avez d'obscurs problèmes sexuels non résolus.

Sandy est devenue rouge pivoine, elle réagit avec une fureur contenue :

- Vous..., vous, vous avez un certain culot, je... je ne vous ai pas demandé de vous occuper de mes soi-disant problèmes sexuels, je..., je..., je ne vous demande pas quels sont les vôtres moi !

- Sandy, ma chère, ce n'est pas moi qui vous ai posé la question en premier, vous vouliez savoir ce qui m'intriguait en vous, je vous ai répondu, tout simplement. N'y voyez aucune curiosité malsaine, je voudrais seulement, puisque vous avez fait le premier pas, que nous puissions avoir une conversation détendue. Je n'ai aucune arrière-pensée malsaine envers vous, croyez le bien. Mon âge certain m'interdit d'avoir trop d'espérances charnelles avec une autre femme que mon épouse. Je peux cependant si vous le désirez, entretenir une conversation qui pourrait vous être utile, dans ce qui, malgré vos dénégations offusquées vous préoccupe.

Elle le regarde d'un air suspicieux, cherchant le vice caché dans les paroles qu'il vient de prononcer. Puis, elle laisse percer un timide sourire qui vient détendre l'atmosphère un peu lourde de la pièce :

- D'accord, je vous présente mes excuses pour ce que je vous ai dit, mais avouez que vous avez tout de même un comportement étrange lorsque nous nous rencontrons. J'ai l'impression que votre regard me déshabille, et puis vos yeux sont souvent dirigés vers mes jambes et cela m'embarrasse.

- Je peux vous assurer que lorsque je vous regarde, mes pensées sont souvent ailleurs et que je ne vous déshabille aucunement du regard. Je mentirais si je ne disais que quelquefois, lorsque vous portez des pull-overs ou des tee-shirts moulants, il ne m'arrive pas d'imaginer la forme de vos seins, j'avoue qu'ils me fascinent. Il est vrai aussi que lorsque vous vous asseyez, votre position me permet d'apercevoir quelquefois vos cuisses jusqu'à vos dessous. J'ai d'ailleurs remarqué que vos sous-vêtements sont toujours de couleur blanche. Mais avouez qu'il est difficile à un homme, de ne pas être attiré par d'aussi jolies choses.

Le rouge est encore monté aux joues de Sandy. Elle n'est plus vraiment en colère, car une femme qui se sait désirée se sent tout de même flattée. Elle devine qui plus est, que tout cela restera verbal, et, qu'elle n'a rien à craindre d'une agression physique de cet homme âgé qui discute courtoisement bien qu'un peu crûment avec elle :

- Vous convenez enfin, que vous avez des regards concupiscents à mon endroit et que ma gêne est bien réelle. Vous êtes bien tous les mêmes. Enfin, puisque nous en sommes à des relations courtoises et civilisées, qu'entendez-vous par problèmes sexuels ?

- Sandy, vous êtes adorable d'ingénuité. Je vous ai dit que sous votre fausse froideur couvait certainement un feu intérieur. Voulez-vous que nous nous amusions au jeu des questions réponses, droit dans les yeux. Tenez mettons-nous en face l'un de l'autre, je vous tiendrais les mains, promis, ce sera le seul attouchement que je me permettrais, et puis, je vous poserais des questions, à vous de me répondre avec le plus de sincérité possible.

Tout en lui parlant, Paul a tourné son fauteuil qu'il a disposé en face du sien. Il s'est installé, ses jambes à l'extérieur des siennes en lui prenant ses mains, le regardant droit dans les yeux, sachant qu'elle va lui faire confiance. Son regard n'a rien d'ironique et il connaît le pouvoir que peuvent avoir ses yeux plongés dans ceux d'une femme. Elle, par contre, est très tendue, ses mains sont très moites, elle tient ses jambes serrées l'une contre l'autre, mais elle a accepté la pression des mains masculines le regardant fixement sans baisser un cil :

- Sandy, mes questions risquent d'être très indiscrètes. Réfléchissez avant de répondre, seule la vérité est importante. Je puis vous assurer qu'à la suite de cette conversation, vous en tirerez, sinon une grande satisfaction, tout du moins le soulagement de vous être livré et d'avoir pu exprimer votre moi profond.

Il laisse passer un temps. - Commençons si vous le voulez bien : aimez-vous vous caresser ?

Elle s'est rigidifiée, Paul a senti ses mains qui se sont crispées et son regard qui s'est voilé. Elle répond dans un chuchotement :

- Oui.

- Caressez-vous vos seins ?

- Oui ......

- Votre sexe ?
. ................... Un silence prolongé :

- Oui .......

- Souvent ?

........... - De temps en temps ........

- Le faites-vous devant votre mari ?

Un vent de panique agite son regard, ses yeux se ferment,
puis les ouvrant à nouveau, elle dit timidement :

- Non, jamais.

Elle est pétrifiée, sa langue sort de sa bouche et mouille ses lèvres asséchées. Malgré tout, elle est courageuse, car elle continue à regarder Paul dans les yeux. Il continue, impitoyable :

- Avez-vous eut un ou des amants avant votre mari ?

.... - Non.

- C'est donc le premier homme avec qui vous avez fait l'amour ?

- Oui

- Vous caresse-il ?

...... Une hésitation ...... :

- Un peu.........

Paul insiste, la provocant :

- Comment ?

Elle s'est de nouveau figée, ses yeux sont aux abois. Elle veut retirer ses mains enserrées dans les siennes :

- Oh ! Je vous en supplie, laissez-moi, je ne veux plus vous répondre.

- Sandy, nous avons commencé en confiance, vous avez très bien répondu, prenez le temps qu'il faudra, mais ne vous soustrayez pas aux réponses, tout va bien, reprenez votre souffle et répondez quand vous vous sentirez prête.

Elle récupère, respirant très fort, sa poitrine se soulevant spasmodiquement, bien trop vite. Les questions la torturent, mais en même temps elle veut certainement y répondre, pour elle-même, pas pour l'homme qui se montre aussi impitoyable. Après un certain temps de réflexion, elle se confesse :

- En fait non, il ne me caresse pas vraiment, il m'embrasse comme je le lui ai fait voir car il ne savait pas se servir de sa langue quand je l'ai connu, moi, j'avais déjà eu quelques flirts. Oh ! Juste des baisers profonds. Il me triture souvent la poitrine, mais sans douceur. Cela s'arrête là.

Paul reprend :

- Bien ! La question suivante est certainement inutile, mais il faut me répondre franchement. Même si vous n'avez pas pratiqué, vous devez lire beaucoup Sandy, car je ne vous prends pas pour une idiote. Vous fait-il des cunnilingus ?

Un long silence, elle se tortille dans son fauteuil, ses jambes s'agitent entre les jambes de l'homme qui les retient prisonnières. Il a dû toucher un point sensible, pratique qu'elle a dû espérer souvent. Quelle femme n'aime pas cette caresse linguale, qui du clitoris au vagin peut lui occasionner un nombre d'orgasmes incalculables :

- Je sais très bien ce que vous voulez dire Paul, en effet, je lis beaucoup. À notre époque n'importe quelle revue féminine en parle, il n'est pas nécessaire de lire des livres érotiques, et pourtant, j'en lis aussi. Non, je regrette de ne pas avoir ressentit cette caresse de la bouche de mon mari, je n'ose pas le lui demander, il penserait que je suis une dévergondée.

Il lui laisse le temps de se reprendre, cela n'a pas dû lui être facile de pouvoir se livrer avec autant de franchise. Elle a les yeux pleins de larmes. Pour détendre l'atmosphère, il lui tend un mouchoir, et, lui tournant le dos, il va remplir les verres de l'orangeade qu'ils buvaient déjà. Après son retour, et un bon moment de répit, il lui demande si elle est prête à continuer. Elle acquiesce d'un signe de tête. Il se remet dans la même position, lui reprenant ses mains dans les siennes sans qu'elle se dérobe. Elle est beaucoup moins crispée, elle lui presse ses mains, ses pupilles se sont agrandies, enfin, elle plonge ses yeux dans les siens, attendant la suite de ses questions embarrassantes qu'elle semble souhaiter à présent avec impatience :

- Sandy, il faudra vous débrouiller à l'avenir, pour lui faire comprendre que des baisers appuyés sur votre vulve seraient susceptibles de vous faire plaisir. Lorsqu'il le fera, arrangez-vous pour qu'il découvre que votre clitoris est une zone érogène importante, exagérez même votre jouissance pour qu'il comprenne qu'il lui faudra se pencher sur ce bourgeon aussi sensible que le gland de sa verge.

Sandy est un peu haletante, elle se mouille ses lèvres avec sa langue de plus en plus souvent. Elle est de nouveau un peu rouge. Les paroles qu'elle entend l'excitent probablement plus qu'elle ne voudrait. Mais elle ne veut plus s'arrêter maintenant. Ce jeu émoustille ses sens :

- Continuez Paul, je peux tout entendre maintenant et je me sens prête à répondre à toutes vos questions.

- Je ne pense pas que l'anilingus vous soit non plus une pratique familière, mais sait-on jamais ?

- Non, je ne me rends pas compte d'ailleurs ce que cela peut occasionner comme plaisir ?

- Oh ! Ce n'est pas superflu, croyez-moi Sandy, je vous expliquerais une autre fois si vous le voulez, et puis, cela peut amener à la question suivante. A-t-il essayé d'introduire un doigt ou plus dans votre anus ?

Sandy devient cette fois cramoisie jusqu'à la racine de ses cheveux, mais c'est une femme courageuse, aussi, résolument, elle se confie :

- Non, un doigt non, mais il a essayé de... enfin il voulait.... oh ! Que c'est difficile à dire, vous êtes un monstre Paul. Eh ! Bien oui, il a essayé de me sodomiser, c'est ce que vous vouliez m'entendre dire, je n'ai pas voulu, je trouve cela dégouttant et puis cela doit faire horriblement mal.

Paul laisse passer un temps pour qu'elle se décontracte, puis il reprend :

- C'est selon, un certain nombre de femmes, une fois que la douleur du passage du sphincter s'est atténuée et à même disparu, y trouve un certain plaisir, plaisir tout autre que celui de la pénétration dans le vagin. On ne peut condamner que ce que l'on connaît Sandy. D'ailleurs, il est difficile d'aller plus loin sur ce sujet ce soir, mais, sans parler de verges, ni d'amour à plusieurs, certaines femmes prennent beaucoup de plaisir aux doigts, qui fouillent en même temps leur vulve et leur anus, croyez-moi, beaucoup plus souvent que vous ne pouvez l'imaginer.

Sandy, digère ces paroles tout en le regardant très fixement. Ils sont très près l'un de l'autre, son visage est à peine à quelque trente centimètres de celui de Paul, elle lui malaxe ses mains de plus en plus, et il sent entre ses cuisses celles de la jeune femme qui frémit. Les lèvres de Sandy s'entrouvrent, ses prunelles se sont de plus en plus agrandies. Soudain elle chuchote :
- Paul, voulez-vous m'embrasser ?
Son visage étant de plus en plus proche, Paul, entrouvrant ses lèvres, lui prend délicatement la bouche et darde sa langue qui vient s'entortiller autour de la sienne. Ils restent ainsi soudés pendant un long moment. Paul lui caresse sa chevelure tout en l'embrassant, il la caresse entre les épaules, son corsage étant à dos nu. Elle frissonne et lui laisse passer une main sur ses seins. Il les presse légèrement à travers le tissu du corsage et celui du soutien-gorge. Puis, s'enhardissant, il dégrafe le soutien-gorge de la main qui est dans son dos, puis passant sous le corsage, il vient de l'autre main envelopper un sein bien ferme dont il titille la pointe. Sandy laisse fuser de petits gémissements de plaisir, aussi il en profite aussitôt pour dégager les deux seins et pour en engloutir un dans sa bouche pendant que sa main caresse l'autre.

Elle s'est complètement avachie dans le fauteuil, sa jupe s'étant retroussée jusqu'en haut de ses cuisses. Paul reprend sa bouche dans la sienne, et, tout en laissant une main s'occuper d'un mamelon, son autre main vient se poser sur son ventre. Elle n'a aucune réaction de rejet à ce contact si intime, aussi, il effleure son genou et caresse l'intérieur de sa cuisse. Le premier réflexe de Sandy est de serrer ses deux cuisses sur la main qui essaie de s’infiltrer, puis devant son insistance, le compas se desserre, alors que la main, remonte inexorablement vers sa petite culotte, venant s'appliquer par-dessus le coton sur la motte bombée de son sexe. À travers le tissu, Paul sent sa main s'humidifier, constatant qu’elle mouille certainement depuis un bon moment. Maintenant il espère arriver à ses fins, bien qu'aucune préméditation de sa part n'ait eu lieu. Il entreprend de masser le mont de vénus à travers le tissu, ses doigts perçoivent la vulve qui s'entrouvre sous ses attouchements précis, et il fait rouler doucement le clitoris qui se révèle sous le frottement de ses ongles. Très vite, Sandy part dans un fabuleux orgasme, gémissant d’un voluptueux plaisir.

Avant qu'elle ne se ressaisisse, il fait rouler sa culotte en coton au bas de ses pieds, puis se penchant sur son ventre offert, il effleure ses cuisses de sa moustache, lèche l'intérieur du haut de l'aine dans l'endroit le plus tendre de sa peau. Sandy frissonne de plaisir. Il lèche maintenant ses grandes lèvres et lape ses sécrétions vaginales qui dégoulinent de sa vulve palpitante. Puis, il explore avec sa langue la cavité secrète de la jeune femme qui pousse des petits cris de satisfaction. Sa mouille est délicate en aspirant cette liqueur, si fraîche et si jeune elle est même en la humant un peu parfumée. Sandy, vient d'avoir deux orgasmes successifs très violents. Elle lui maintient la tête, de peur sans doute qu’il ne la retire de son intimité. Paul attaque maintenant son clitoris qu’il décapuchonne délicatement avec ses lèvres. Il est d'un rose tendre et se dresse sous les attouchements de sa langue qui le font vibrer. Les jambes, les cuisses et le ventre de Sandy tressautent, tout en criant sa jouissance :
- Oh ! Oui Paul, continuez, je vous en prie ! Je jouis… oh ! Jamais, jamais je n'aurais pu................. croirrrrrr..... oh ! Oui je jouis, encore Paul ! Encore...... encore....... oh ! Oui ! Oui ! Encore ! Ooooh ! Oooooooooooh...................!
Paul se redresse, la bouche et la figure barbouillées de la liqueur vaginale. Elle a les yeux révulsés, étendue presque nue sur le fauteuil dans une pose plus qu'impudique. Quel plaisir de pouvoir regarder et admirer ce corps si jeune et si tendre, abandonné et confiant dans le plaisir voluptueux qu'il vient de recevoir. Sandy refait doucement surface. Paul se tient à côté d'elle, lui caressant ses cheveux et son cou. Elle le regarde fixement, ayant du mal certainement à admettre ce qui vient de lui arriver, puis, ses yeux se chargent de reconnaissance et elle murmure :
- Oh ! Paul, merci, merci de ce que vous venez de me faire découvrir. Il y a tellement longtemps que.... oh et puis zut ! Paul, vous m'avez fait magnifiquement jouir. Venez près de moi et embrassez-moi encore. C'est une sensation délicieuse que je ressens.
Paul l'enlace et l'embrasse tendrement, il lui caresse sa poitrine maintenant complètement découverte. Elle aspire sa langue goulûment tout en glissant une main dans sa chemise, elle caresse les poils de sa poitrine. Il sent qu’il va certainement pouvoir aller plus loin. Il lui demande de retirer sa jupe, seul vêtement qu'elle porte encore, puis, une fois dénudée, il la prend dans ses bras et il la porte sur son lit qui n'a pas encore servi. Il l'étend délicatement, la couvrant de baisers sur tout son corps. Elle gémit, se laissant faire avec plaisir. Il descend de nouveau vers son intimité et il fourre sa langue dans la chatte si accueillante de la jeune femme. Cette fois, sa langue s'abaisse vers sa raie culière et vient titiller la rosace de son anus.
À ce contact, son corps se raidit brusquement, mais la langue imbibe de salive le petit trou qui s'est rétracté. Elle a deviné ce qu’il tente de faire, se détendant soudain, laissant sa langue se faufiler dans le vestibule de son anus, ressentant pour la première fois des sensations sur son délicieux petit anneau de vénus. Une des mains de Paul caresse la vulve et introduit deux doigts dans la fente vulvaire entrouverte, massant la paroi interne du vagin, qui se trouve vers le pubis, le point G si sensible, se trouve dans cette région.
En tout cas, Sandy réagit voluptueusement à ces attouchements, ses gémissements s'accentuent. Paul en profite, pour humecter de salive l'index de son autre main, et pour le pousser à côté de sa langue vers le passage étroit de l'anus vierge. Sandy délire légèrement, elle vient d'avoir encore un orgasme, alors que le doigt se faufile vers la rosace plissée sans qu'elle s'en rende vraiment compte. Paul effectue un massage de l’œillet rétractile, mais son doigt n'a pas encore franchi l'anneau du sphincter. Il accélère ses attouchements buccaux, lui titillant furieusement son clitoris, en pistonnant ses doigts dans son vagin, puis, sans qu’elle s’en rende compte, le doigt de son autre main perfore la rosette de l’anus et plonge dans l’étroite gaine rectale jusqu’au fond du rectum. Sandy pousse un petit cri, mais elle s'agite en cadence, tellement la jouissance de tous ses sens sollicités est considérable.
Paul fait aller et venir son doigt dans ce cul exigu et nouvellement percé, tout en sentant ses autres doigts qui pistonnent le vagin, glisser le long de celui qui fouille le conduit anal. Sandy hurle maintenant son bonheur, elle rit, pleure, crie que c'est bon, qu'elle a mal, qu'il faudrait continuer, que c'est fabuleux, elle divague longuement avec des mots sans suite. Paul a laissé ses doigts profondément enfoncés dans son vagin et dans son anus, mais il s’est redressé et il l'embrasse au coin de ses lèvres, sur ses yeux, il lui mordille le lobe de ses oreilles, continuant à l'affoler. Elle l'embrasse goulûment sur la bouche et ne peut se retenir de lui dire qu'elle l'aime. Il est temps de dédramatiser et de reprendre ses esprits, il s'allonge à côté d'elle, elle vient se blottir entre ses bras. Sa main vient effleurer la bosse de son pantalon, et caresse sa verge à travers le tissu. Elle essaie de glisser sa main à l'intérieur. Paul pose une main sur son poignet et lui dit :

- Sandy, je suis un vieux Monsieur, je suis très content d'avoir pu te faire découvrir une nouvelle façon de prendre ton plaisir. Pour moi c'est trop tard, d'abord je risque de ne pas tenir la distance et puis, pour nous deux, il vaut mieux que nous n'allions pas plus loin. Tu devras exiger de ton mari qu'il te fasse jouir convenablement, ou alors, prend des amants de ton âge. Pour moi, je risquerais de m'attacher à ton jeune corps et de tomber amoureux. Je veux juste être pour toi un professeur désintéressé. Ta jouissance est ma meilleure récompense petite Sandy.

Ils s’embrassent encore, puis, épuisés, ils s’assoupissent bientôt, étroitement enlacés. Sandy s'endort comme un ange, elle est repue et comblée. Paul songe tout éveillé à ses amours et à ses années passées.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Un superbe récit, très bien écrit qui nous empresse à lire la suite au plus vite.

Bonjour Didier, non, elle n'était pas niaise, seulement inexpérimentée puisque n'ayant connu que son mari, pas très dégrossi. Sa libido la travaillait néanmoins, ce qui a provoqué ses qustions à Paul et ce qui en a découlé. Cordialement. Vieulou

Histoire Erotique
Bonjour, vieux loup, était-elle vraiment niaise ? Ou simplement en manque d'hommes plus expérimentés pour la dévoiler à elle-même ? Merci pour ce texte !
Didier

Histoire Erotique
Vraiment un beau récit.

Histoire Erotique
J'adore la réaction final, c'est un vrai gentleman avec comme seul but de faire jouir les femmes, comme moi.



Texte coquin : Déniaisement d'une ingénue – Éloge de la candeur (épisode 01)
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