Dépannage chez un particulier - histoire érotique

je viens de tomber sur ce site, et décide d'y laisser une trace de certaines de mes histoires...

Je suis électricien, j'ai 29 ans, 1m83, 75 kilos, brun yeux bleus, barbe de trois jours.
Je plais beaucoup aux femmes et aux hommes, et systématiquement toutes les semaines, je me fais accoster.
Des fois, il m'arrive de craquer, mais de façon générale, j'évite de tromper ma copine.

Voilà une histoire qui m'est arrivée il y a quelques semaines :
J'arrive dans un appart à 10h du matin où se trouve un jeune mec, 22ans.
Je pense que toutes les allusions ou gestes déplacés sont très rarement innocents..
Il m'ouvre en petit shirt blanc-débardeur blanc, il me serre la main.

-Bonjour, où se trouve votre cuisine?
-Suivez moi.

Il se pavane devant moi avec une p'tite boule bien serré dans le shirt.
Je me dis que tout ça n'est pas que du au hasard, mais qu'il doit fantasmer sur les dépanneurs à domicile, et qu'étant beau gosse, il doit être émoustillé par ma présence..
Il m'explique le soucis tout en se touchant le chibre au travers de son shirt, je le regarde faire sans pudeur.
Apparemment, il ne porte pas de caleçon dessous. Puis la seconde d'après il se caresse le ventre en passant la main sous son T-shirt, et recommence ses gestes les uns après les autres.

Je reste insensible et commence mon travail. Je monte sur un tabouret pour atteindre le lustre et lui reste là, presque collé à mon ventre mimant de s'intéresser à mes gestes méthodiques.
-Votre tabouret est un peu branlant, pouvez vous bien me tenir les jambes ?
- Bien sur !
Le voici agrippé, face à moi, le visage à hauteur de mon zgueg. Je décide alors de le tester pour voir ce qu'il est capable de faire.
-Attention, je vais faire de la poussière, c'est peut être gênant, vous allez vous salir. Je vois que vous êtes en blanc..
Changez vous ou enlevez au moins votre T-shirt.
-Vous avez raison, je vais éviter de salir mes vêtements.
Le voilà torse-nu. Alors qu'il me tient je descends ma braguette sous ses yeux et sors ma queue :
-Allez vas y t'en meurs d'envie, suce moi, je te la donne, elle est à toi.
Il me prend dans sa bouche et commence à me pomper le dard. Il s'excite dessus comme si c'était le jouet qu'il attendait depuis longtemps.
Je lui attrape la tête et commence à lui baiser la bouche. Je m'enfonce au fond de sa gorge jusqu'à son épuisement.
-T'aimes ça salope hein ? vas y pompe moi. Maintenant enlève ton shirt.
Je prends mon gros scotch marron, lui attache les mains, le met par terre puis je m'allonge sur lui en lui baisant la bouche. Je calotte ses joues avec ma bite enduite de sa salive.
-dis le que c'est ce que tu voulais ! Dis le que t'aimes sucer !
-Oui c'est bon, baise ma bouche, baise mon cul !
- Tu veux que j'te fuck p'tite salope? Allez dis le, dis le fort !
-Oui, prends moi le cul, défonce moi, fais de moi ta chienne.
Je le retourne, crache sur sa rondelle et pénètre d'un seul coup à fond. Je claque son cul jusqu'à ce qu'il devienne rouge.
-Eh bèh, c'est pas ta première sodomie coquine! T'aimes ça être à quatre pattes, c'est comme ça que tu prends ton pied !
Hein ?
Il bande dur et lance des râles de bête. Il prend son pied de p'tit soumis.
Après quelques allers retours, je sors ma bite, me place au dessus de son visage et jute sur sa gueule de minet, sur son torse, ses cheveux et son cou.
Je finis de jouir en me tapotant le chibre sur ses joues et lui demande de gober mon gland afin de le laver.

Ensuite, je le laisse là, allongé sur le sol et continu mon travail à poil, dans sa cuisine.
-Alors t'as aimé, c'est ce que tu voulais ? T'as été parfait, tu méritais mon jus.
- Oui, j'ai aimé, j'ai aimé ton goût, j'ai aimé que tu me prennes le cul, mais s'il te plait détache moi que je me branle, j'en peux plus.
-Attends bouge pas, c'est pas fini, attends un peu. T'es mon premier client à demander ma queue. Dès que je suis entré chez toi, j'ai su ce que tu voulais. Je croise rarement des pédales aussi démonstratives, tu m'as fait bander assez rapidement.
Une fois mon travail fini, je retapotte son visage encore enduit de mon foutre, et fous ma bite dans sa bouche.
Et c'est repartit pour une bonne pipe. Je finis par tout lui gicler dans la bouche et sur les yeux.
Je finis par lui détacher les mains.
-Vas y sers toi de mon sperme comme crème, et branle toi.
Je suis debout devant lui et je le regarde se branler assis contre le mur. En quelques allers retours de mains, le voilà qu'il se gicle dessus sans retenue, dans un râle.

Je finis par lui dire au revoir et lui donne ma carte pour qu'il n'hésite pas à me rappeler en cas de soucis.