Dépannage de nuit payant ...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2016 dans la catégorie Plus on est
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Dépannage de nuit payant ...
Ce soir j’ai la rage, il est trois heures du matin je sors de boite sans avoir pu draguer ou me faire draguer, c’est bien la première fois que je repartirais sans rien avoir eu dans la bouche et dans la chatte
À vingt ans je suis belle et dynamique, d’habitude je refuse les propositions ! mais ce soir rien a ‘pécho’ ! a part une bande de quatre jeunes qui ne quittent pas le bar en levant fréquemment le coude, sauf le plus vieux peut être vingt cinq ans ? qui doit être le ‘capitaine de soirée’ s’évertue a rester sobre et pas du tout enclin a s’amuser , pourtant a plusieurs reprises il m’a lancé des œillades qui en disaient long sur ce qu’il me ferait si nous étions sur la piste de danse ou ailleurs …c’est la seule fois où ma chatte a tressailli !
Dépitée j’ai préférer rentrer car j’ai vingt kilomètres à faire seule dans ma voiture peu fiable
Comme pour confirmer ma malchance ce soir là, à moitié route c’est la cata, en traversant un bled dont les lampadaires sont éteints après minuit, brutalement je ressens une vibration dans le volant, ma voiture devient incontrôlable, j’ai la présence d’esprit de bifurquer sur la place déserte de l’église
La panique me prend, heureusement pour moi des phares se profilent dans la rue, je me précipite sur la chaussée pour faire des signes, après m’avoir évitée le véhicule continue une cinquantaine de mètres avant de freiner et de faire marche arrière… l’angoisse survient, sur qui vais-je tomber ? je reviens dans la lumière de mes phares restés allumés, l’autre véhicule se gare a coté de ma voiture, des rires et des éclats de voix me parviennent malgré les vitre fermées
- C’est la nana de la boite, je la reconnais !
- Qu’es-ce qu’elle fout là ?
- Ont se la tire ?
- Vos gueules ! voyons ce qu’elle a comme emmerde… salut ? que se passe-t-il ?
Et là, je reconnais illico ‘la bande du bar’ …c’est le ‘capitaine’ qui vient de parler, les quatre gars descendent et m’entourent
- Je… je ne sais pas, je ne la dirige plus
- Voyons ça…bah ! pas étonnant t’es crevée a l’avant droit !
- Ah ?
- T’as une roue de secours ?
- J’sais pas ….
- C’est bien une gonzesse ! j’parie que tu sais pas faire ? ouvre ton coffre
- Oui tout de suite …
- Bon, elle est bien gonflée ? et le cric ? où est le cric ?
- Je ne sais pas ?
- Quel bordel, y’en a pas … mais tu tremble ? t’as froid ? ou t’as peur ?
- Oui, les deux …
- Bon vous autres changez lui sa roue, prenez mon cric, toi vient avec moi au chaud dans ma tire
- Merci …
Je monte en confiance avec ce gars qui a un coté rassurant, du coup je ne cherche même pas à rectifier ma jupe relevée peut-être un peu trop haut, ça n’échappe pas au mec qui lorgne mes cuisses, après tout un peu d’adrénaline ne me fera pas de mal ce soir, je bredouille n’importe quoi pour rompre ce silence pesant
- Je vous dédommagerais, c’est sympas de votre part, si vous ne vous étiez pas arrêtés je serai bloquée là pour un bout de temps !
- Ont ne veux pas de fric
- J’insiste !
- Je te dis qu’ont ne veux pas de pognon, mais …
- Mais quoi ?
- T’as l’air gentille, si j’avais pu me faufiler en douce ce soir je t’aurais volontiers tirée en boite !
- Oooooooohhhhh pour qui te prends-tu ?
- Pour celui a qui tu vas faire une pipe
- Certainement pas !
- Ne va pas contre les envies de ta chatte, j’parie qu’tu mouille ?
- Non !
- Tu permets que je vérifie ? écarte les cuisses sinon je siffle mes potes qui vont se faire un plaisir de te foutre à poil
- Bon, mais ce sera tout ce que tu auras… va-y ….
- Mmmmmmmuuuuummmm chouette ton string ficelle, il est à moitié bouffé par ta chagatte, je vais le sortir afin que j’y glisse un doigt plus facilement, soulève ton cul
- Aaaaahhhhhh doucement ! voilà t’es satisfait ?
- Pour l’instant je fourre ta culotte dans la boite à gant
C’est la honte, une fois ouverte la boite a gant éclaire mon abricot comme en plein jour et il ne prend pas la peine de la refermer
- Écarte-toi bien, j’adore les poils du cul blonds …. Putain tu mouille vachement salope !
- Je ne suis ni une putain ni une salope !
- Excuse, c’est une expression que j’emploie quand j’aime bien la fille, en tous cas ton clito est sorti de sa cachette
- Vas-y doucement avec lui, enduit le de sécrétions avant de poser ton doigt dessus
- Empoigne-moi la bite, elle est sortie
- Houuuuaaaaaa, c’est à peine si j’en fais le tour
Tandis qu’il fouille ma moule je le branle en décalottant à fond son gros nœud, j’ai de plus en plus envie de baiser il le comprend a l’humidité croissante de ma chatte
- Tu veux prendre ma bite dans tes miches ?
- Pas ici, pas devant tes potes
- Ils ont l’habitude …
- Pas moi …
- Allons derrière l’église je te prête mon blouson
- D’accord, j’ai eu envie toute la soirée alors je ne vais pas rechigner sur un bon coup !
- Prenez votre temps les gars nous allons faire un tour
- Tu va la baiser mon salaud ?
- Il est gonflé c’est nous qui bossons et c’est lui qui est récompensé !
- Vos gueules les mioches
- Les mioches ? t’en a vu des mioches avec des bites comme les nôtres ?
- Ont vous attends, magnez vous de tirer un coup !
Je n’entends plus leurs paroles crues dignes d’un répertoire porno, je suis bien dans les bras de mon sauveur qui pelote mes fesses en marchant, les poils englués de cyprine accentuent la sensation de fraicheur causée par l’air frais sur mon ventre sans protection, cachés derrière la grande bâtisse il me plaque sur la pierre qui me parait douce en un pareil cas, mes jambes sont déjà écartées lorsqu’il cherche ma bouche langue sortie, il passe ses doigts entre mes lèvres trempées, oubliée la fraicheur du petit matin, dans ma menotte sa queue tressaute nerveusement ,une fois ma jupe coincée a la ceinture il n’y a plus d’obstacle a l’accouplement pourtant laborieuse , un fois le trou da ma vulve déniché par le gland il me poignarde de son glaive de chair en remontant d’une seule poussée, je relève une cuisse afin qu’il puisse pénétrer au plus profond de ma chatte
Mes épaules sont râpées par la pierre à la cadence soutenue de ses coups de reins et ponctués par mes cris de pucelle, soudain dans l’obscurité il me semble apercevoir quelqu’un à deux mètres derrière mon amant d’un soir, au vu des mouvements saccadés de son bras je devine qu’il se caresse la queue en nous matant, ma conviction est désormais acquise, je vais me faire sauter par toute la bande… de toutes façons je n’ai pas le choix c’est consentante ou forcée
La queue se bloque et se raidit en éjaculant au plus profond de mon ventre, je savoure la première giclée apaisante sur mon utérus, il souffle comme un bœuf avant de me lâcher, sa première préoccupation est d’essuyer sa queue sur ma cuisse et de tourner les talons confronté a son copain de beuverie
- Qu’est-ce tu fous là toi ? où sont les autres ?
- Ils n’ont pas encore finit, impossible de débloquer les vis …
- Quelle bande de nuls, j’y vais
- Je peux me la tirer ?
- Demande-lui …
- Tu veux bien de ma pine dans la moule ?
- D’accord, mais pas debout, étale ta veste sur l’herbe, je vais m’allonger dessus
- Huuuummmmm, t’es gentille toi !
- Et pas question de viser mon cul hein ?
- Non-non je préfère par la chatte... il te l’a bien remplie le salaud ça coule entre tes fesses
- Tu t’en contente ou tu te barre
- Je vais te la fourrer bien profond
- Dépêche toi avant que les autres n’arrivent
- Tu veux te les faire aussi ?
- Baise moi et ferme-là
Il ne tâtonne pas longtemps avant de trouver ma fente baveuse, plus courte mais plus large sa bite me fait du bien, en appuis sur les mains il me besogne maladroitement et son souffle chargé d’alcool me gêne mais je m’en fiche, du moment que ma chatte est a la fête tout va bien !
J’ai beau me concentrer impossible de jouir, le sperme abondant qui reste en moi rend le rapport insipide je rapproche les cuisses afin de mieux ressentir les vas-et-viens de la verge, c’est mieux et ça a pour effet de le décharger prématurément, il se relève et me tend la main pour pouvoir récupérer sa veste
- Allons rejoindre les autres
- J’espère qu’ils ont terminé que je puisse rentrer me laver
- Soit pas trop pressée …où sont-ils ? où êtes-vous les gars ? il fait noir comme dans un trou
- Ici, dans notre bagnole ‘elle’ est là ?
- Oui je suis là pourquoi ?
- Approche
La portière s’ouvre déclenchant l’éclairage intérieur et ce que je découvre ma fait redouter le pire, un gars est assis le pantalon baissé ils tendent leurs bites dressées, avant que je n’ai pu réagir l’un descend et me pousse a l’intérieur je tombe a genou sur la banquette genoux le visage a vingt centimètres de la queue, derrière moi l’autre resté a l’extérieur ne perd pas une seconde et relève ma jupe, deux main encrées sur mes hanches empêchent tout recul très vite je suis a nouveau enfilée par un sexe bien raide et bien long celui-ci va me faire jouir a coup sûr
- Elle est pas belle la vie ? aller suce moi pendant qu’il ta baise, ce sera notre récompense pour avoir changé ta roue
Je me jette goulument sur ce chibre qui sent la pisse, les chocs de la pénétration me font avaler plus de chaire que je n’en voudrais, après avoir posé une main sur queue en guise de butoir je suis aux anges, les copains commentent notre action, le plus âgé prend la parole, des paroles qui me sidèrent…
- Prévient moi quand tu seras prêt a décharger, je vais la sodomiser, prépare lui l’anus avec ton pouce
- C’est déjà fait ! il est très souple !
Moi qui pensais avoir raté ma soirée je suis servie ! je n’ai jamais été autant baisée et bien baisée ! le pouce complètement enfoncé tournicote aisément dans mon boyau, des picotements montent dans mon ventre et dans ma tête, le voilà mon orgasme ! et quel orgasme ! je prend des giclées de sperme dans la bouche, autant dans le con tout en pissant sur les testicules qui tapent sur mon clito, un bruit de portière et le relais s’effectue, pas le temps de me redresser, la verge entre un coup dans ma chatte simplement pour s’enduire de mouille et de foutre mélangés avant qu’il ne s’introduise dans mon anus en feu et me ramone avec la vigueur d’un bucheron, je mords le tissu des sièges lorsque je lâche un hurlement causé par ma jouissance, pourvu que je n’ai pas alerté des riverains en mal de sommeil
- AAAAAAAAAAHH salope tu me vide les couilles ! y’en a un autre qui veut encore la baiser ?
- Bauff non, ça va
- Je m’endors rentrons
- Avez-vous des mouchoirs afin que je m’essuie l’entrejambe ?
- Dans la boite a gant avec ton slip, tu me le donne ?
- Si tu veux ça te fera un souvenir
- Tu va souvent à ce club ?
- Non, mais j’y reviendrais …..
La voiture a démarré en trombe, je suis rentrée à la maison très satisfaite de ma soirée !
À vingt ans je suis belle et dynamique, d’habitude je refuse les propositions ! mais ce soir rien a ‘pécho’ ! a part une bande de quatre jeunes qui ne quittent pas le bar en levant fréquemment le coude, sauf le plus vieux peut être vingt cinq ans ? qui doit être le ‘capitaine de soirée’ s’évertue a rester sobre et pas du tout enclin a s’amuser , pourtant a plusieurs reprises il m’a lancé des œillades qui en disaient long sur ce qu’il me ferait si nous étions sur la piste de danse ou ailleurs …c’est la seule fois où ma chatte a tressailli !
Dépitée j’ai préférer rentrer car j’ai vingt kilomètres à faire seule dans ma voiture peu fiable
Comme pour confirmer ma malchance ce soir là, à moitié route c’est la cata, en traversant un bled dont les lampadaires sont éteints après minuit, brutalement je ressens une vibration dans le volant, ma voiture devient incontrôlable, j’ai la présence d’esprit de bifurquer sur la place déserte de l’église
La panique me prend, heureusement pour moi des phares se profilent dans la rue, je me précipite sur la chaussée pour faire des signes, après m’avoir évitée le véhicule continue une cinquantaine de mètres avant de freiner et de faire marche arrière… l’angoisse survient, sur qui vais-je tomber ? je reviens dans la lumière de mes phares restés allumés, l’autre véhicule se gare a coté de ma voiture, des rires et des éclats de voix me parviennent malgré les vitre fermées
- C’est la nana de la boite, je la reconnais !
- Qu’es-ce qu’elle fout là ?
- Ont se la tire ?
- Vos gueules ! voyons ce qu’elle a comme emmerde… salut ? que se passe-t-il ?
Et là, je reconnais illico ‘la bande du bar’ …c’est le ‘capitaine’ qui vient de parler, les quatre gars descendent et m’entourent
- Je… je ne sais pas, je ne la dirige plus
- Voyons ça…bah ! pas étonnant t’es crevée a l’avant droit !
- Ah ?
- T’as une roue de secours ?
- J’sais pas ….
- C’est bien une gonzesse ! j’parie que tu sais pas faire ? ouvre ton coffre
- Oui tout de suite …
- Bon, elle est bien gonflée ? et le cric ? où est le cric ?
- Je ne sais pas ?
- Quel bordel, y’en a pas … mais tu tremble ? t’as froid ? ou t’as peur ?
- Oui, les deux …
- Bon vous autres changez lui sa roue, prenez mon cric, toi vient avec moi au chaud dans ma tire
- Merci …
Je monte en confiance avec ce gars qui a un coté rassurant, du coup je ne cherche même pas à rectifier ma jupe relevée peut-être un peu trop haut, ça n’échappe pas au mec qui lorgne mes cuisses, après tout un peu d’adrénaline ne me fera pas de mal ce soir, je bredouille n’importe quoi pour rompre ce silence pesant
- Je vous dédommagerais, c’est sympas de votre part, si vous ne vous étiez pas arrêtés je serai bloquée là pour un bout de temps !
- Ont ne veux pas de fric
- J’insiste !
- Je te dis qu’ont ne veux pas de pognon, mais …
- Mais quoi ?
- T’as l’air gentille, si j’avais pu me faufiler en douce ce soir je t’aurais volontiers tirée en boite !
- Oooooooohhhhh pour qui te prends-tu ?
- Pour celui a qui tu vas faire une pipe
- Certainement pas !
- Ne va pas contre les envies de ta chatte, j’parie qu’tu mouille ?
- Non !
- Tu permets que je vérifie ? écarte les cuisses sinon je siffle mes potes qui vont se faire un plaisir de te foutre à poil
- Bon, mais ce sera tout ce que tu auras… va-y ….
- Mmmmmmmuuuuummmm chouette ton string ficelle, il est à moitié bouffé par ta chagatte, je vais le sortir afin que j’y glisse un doigt plus facilement, soulève ton cul
- Aaaaahhhhhh doucement ! voilà t’es satisfait ?
- Pour l’instant je fourre ta culotte dans la boite à gant
C’est la honte, une fois ouverte la boite a gant éclaire mon abricot comme en plein jour et il ne prend pas la peine de la refermer
- Écarte-toi bien, j’adore les poils du cul blonds …. Putain tu mouille vachement salope !
- Je ne suis ni une putain ni une salope !
- Excuse, c’est une expression que j’emploie quand j’aime bien la fille, en tous cas ton clito est sorti de sa cachette
- Vas-y doucement avec lui, enduit le de sécrétions avant de poser ton doigt dessus
- Empoigne-moi la bite, elle est sortie
- Houuuuaaaaaa, c’est à peine si j’en fais le tour
Tandis qu’il fouille ma moule je le branle en décalottant à fond son gros nœud, j’ai de plus en plus envie de baiser il le comprend a l’humidité croissante de ma chatte
- Tu veux prendre ma bite dans tes miches ?
- Pas ici, pas devant tes potes
- Ils ont l’habitude …
- Pas moi …
- Allons derrière l’église je te prête mon blouson
- D’accord, j’ai eu envie toute la soirée alors je ne vais pas rechigner sur un bon coup !
- Prenez votre temps les gars nous allons faire un tour
- Tu va la baiser mon salaud ?
- Il est gonflé c’est nous qui bossons et c’est lui qui est récompensé !
- Vos gueules les mioches
- Les mioches ? t’en a vu des mioches avec des bites comme les nôtres ?
- Ont vous attends, magnez vous de tirer un coup !
Je n’entends plus leurs paroles crues dignes d’un répertoire porno, je suis bien dans les bras de mon sauveur qui pelote mes fesses en marchant, les poils englués de cyprine accentuent la sensation de fraicheur causée par l’air frais sur mon ventre sans protection, cachés derrière la grande bâtisse il me plaque sur la pierre qui me parait douce en un pareil cas, mes jambes sont déjà écartées lorsqu’il cherche ma bouche langue sortie, il passe ses doigts entre mes lèvres trempées, oubliée la fraicheur du petit matin, dans ma menotte sa queue tressaute nerveusement ,une fois ma jupe coincée a la ceinture il n’y a plus d’obstacle a l’accouplement pourtant laborieuse , un fois le trou da ma vulve déniché par le gland il me poignarde de son glaive de chair en remontant d’une seule poussée, je relève une cuisse afin qu’il puisse pénétrer au plus profond de ma chatte
Mes épaules sont râpées par la pierre à la cadence soutenue de ses coups de reins et ponctués par mes cris de pucelle, soudain dans l’obscurité il me semble apercevoir quelqu’un à deux mètres derrière mon amant d’un soir, au vu des mouvements saccadés de son bras je devine qu’il se caresse la queue en nous matant, ma conviction est désormais acquise, je vais me faire sauter par toute la bande… de toutes façons je n’ai pas le choix c’est consentante ou forcée
La queue se bloque et se raidit en éjaculant au plus profond de mon ventre, je savoure la première giclée apaisante sur mon utérus, il souffle comme un bœuf avant de me lâcher, sa première préoccupation est d’essuyer sa queue sur ma cuisse et de tourner les talons confronté a son copain de beuverie
- Qu’est-ce tu fous là toi ? où sont les autres ?
- Ils n’ont pas encore finit, impossible de débloquer les vis …
- Quelle bande de nuls, j’y vais
- Je peux me la tirer ?
- Demande-lui …
- Tu veux bien de ma pine dans la moule ?
- D’accord, mais pas debout, étale ta veste sur l’herbe, je vais m’allonger dessus
- Huuuummmmm, t’es gentille toi !
- Et pas question de viser mon cul hein ?
- Non-non je préfère par la chatte... il te l’a bien remplie le salaud ça coule entre tes fesses
- Tu t’en contente ou tu te barre
- Je vais te la fourrer bien profond
- Dépêche toi avant que les autres n’arrivent
- Tu veux te les faire aussi ?
- Baise moi et ferme-là
Il ne tâtonne pas longtemps avant de trouver ma fente baveuse, plus courte mais plus large sa bite me fait du bien, en appuis sur les mains il me besogne maladroitement et son souffle chargé d’alcool me gêne mais je m’en fiche, du moment que ma chatte est a la fête tout va bien !
J’ai beau me concentrer impossible de jouir, le sperme abondant qui reste en moi rend le rapport insipide je rapproche les cuisses afin de mieux ressentir les vas-et-viens de la verge, c’est mieux et ça a pour effet de le décharger prématurément, il se relève et me tend la main pour pouvoir récupérer sa veste
- Allons rejoindre les autres
- J’espère qu’ils ont terminé que je puisse rentrer me laver
- Soit pas trop pressée …où sont-ils ? où êtes-vous les gars ? il fait noir comme dans un trou
- Ici, dans notre bagnole ‘elle’ est là ?
- Oui je suis là pourquoi ?
- Approche
La portière s’ouvre déclenchant l’éclairage intérieur et ce que je découvre ma fait redouter le pire, un gars est assis le pantalon baissé ils tendent leurs bites dressées, avant que je n’ai pu réagir l’un descend et me pousse a l’intérieur je tombe a genou sur la banquette genoux le visage a vingt centimètres de la queue, derrière moi l’autre resté a l’extérieur ne perd pas une seconde et relève ma jupe, deux main encrées sur mes hanches empêchent tout recul très vite je suis a nouveau enfilée par un sexe bien raide et bien long celui-ci va me faire jouir a coup sûr
- Elle est pas belle la vie ? aller suce moi pendant qu’il ta baise, ce sera notre récompense pour avoir changé ta roue
Je me jette goulument sur ce chibre qui sent la pisse, les chocs de la pénétration me font avaler plus de chaire que je n’en voudrais, après avoir posé une main sur queue en guise de butoir je suis aux anges, les copains commentent notre action, le plus âgé prend la parole, des paroles qui me sidèrent…
- Prévient moi quand tu seras prêt a décharger, je vais la sodomiser, prépare lui l’anus avec ton pouce
- C’est déjà fait ! il est très souple !
Moi qui pensais avoir raté ma soirée je suis servie ! je n’ai jamais été autant baisée et bien baisée ! le pouce complètement enfoncé tournicote aisément dans mon boyau, des picotements montent dans mon ventre et dans ma tête, le voilà mon orgasme ! et quel orgasme ! je prend des giclées de sperme dans la bouche, autant dans le con tout en pissant sur les testicules qui tapent sur mon clito, un bruit de portière et le relais s’effectue, pas le temps de me redresser, la verge entre un coup dans ma chatte simplement pour s’enduire de mouille et de foutre mélangés avant qu’il ne s’introduise dans mon anus en feu et me ramone avec la vigueur d’un bucheron, je mords le tissu des sièges lorsque je lâche un hurlement causé par ma jouissance, pourvu que je n’ai pas alerté des riverains en mal de sommeil
- AAAAAAAAAAHH salope tu me vide les couilles ! y’en a un autre qui veut encore la baiser ?
- Bauff non, ça va
- Je m’endors rentrons
- Avez-vous des mouchoirs afin que je m’essuie l’entrejambe ?
- Dans la boite a gant avec ton slip, tu me le donne ?
- Si tu veux ça te fera un souvenir
- Tu va souvent à ce club ?
- Non, mais j’y reviendrais …..
La voiture a démarré en trombe, je suis rentrée à la maison très satisfaite de ma soirée !
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