Déplacement Professionnel
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Déplacement Professionnel
C'était un vendredi après-midi, quand je lui ai téléphoné pour lui dire que je ne rentrais pas ce soir. Je devais terminer mon chantier. Je suis peintre-décorateur. J’étais sur ce chantier, un magasin de vêtements qui allait ouvrir prochainement, depuis le début de la semaine. Le chantier était presque terminé, et il ne pouvait pas attendre le début de la semaine prochaine. J’étais à plus de 3 heures de route de chez moi. Pas question de rentrer ce soir pour revenir demain matin. J’avais eu mon patron au téléphone qui m’avait promis une bonne prime si je terminais le chantier avant de rentrer chez moi.
Elle était en colère au téléphone, je ne voulais pas me disputer avec elle, alors je lui ai suggéré d’appeler ses copines et de passer une soirée entre filles. Prendre un peu de bon temps, se laisser aller, je rentrerais demain, et on organisera une sortie demain soir. Un bon restaurant, un cinéma, tout ce qui lui fera envie. Je n’ai pas pu terminer le soir même, j’ai fini mon chantier en milieu de matinée le samedi, et j’ai pris la route pour rentrer chez moi.
Je suis rentré chez moi juste après l’heure du repas, en tout début d’après-midi. J'ai trouvé ma femme au lit. Comme elle ne fait jamais la sieste, j'ai pensé qu'elle était rentrée tard cette nuit, probablement assez ivre, alors je l'ai laissée dormir. J'étais allongé sur le canapé, devant la télévision, quand elle a fait son apparition. Elle avait une mine de papier mâché. Le teint blafard, des cernes sous les yeux qui lui mangeaient la moitié du visage, le regard sombre comme un zombie. Elle s’est assise sur le canapé, à côté de moi, en disant qu'elle avait fait la fête avec ses copines une bonne partie de la nuit, qu'elle était rentrée très ivre, et qu'elle avait une confession à me faire.
Après mon appel téléphonique, dans l’après-midi d’hier, elle avait appelé ses copines au téléphone, et elles avaient convenu d’un rendez-vous dans une brasserie, en ville. Elles ont cassé la croûte vite fait, bu des verres, mais tout allait bien. Elles sont sorties en boîte, elles s’amusaient vraiment bien, elles ont dansé, même avec des hommes, tout s’est bien passé.
« D'accord, tu t'es bien amusée »
« Heu, chéri, j’ai pas fini. Je ne suis pas rentrée seule hier soir »
Un type a sauté dans le taxi à côté d’elle, et lui a demandé si elle voulait partager la course. Elle a répondu qu’elle n’y voyait aucun mal. Quand le taxi est arrivé dans le quartier où nous habitons, elle lui a demandé où il allait, et il a répondu : « Et toi, tu vas où ? »
Elle regardait obstinément le sol : « J'ai dit que je rentrais chez moi, alors il a dit que ça lui allait bien. J’étais soûle, je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire »
Je ne pouvais pas croire ce qu'elle me disait. Le chauffeur de taxi les a déposés au bout de la rue. Le gars est sorti du taxi avec elle. Le taxi est parti en les laissant là, tous les deux. Elle était désemparée, et très soûle. Elle titubait et le gars l’a soutenue. Il lui souriait, il avait l’air gentil, il lui a proposé de la raccompagner. Ils ont fait quelques pas, elle s’appuyait sur lui, et le gars l’a embrassée. Elle a tourné la tête pour échapper à sa bouche vorace, mais le gars l’a embrassée dans le cou, juste sous l’oreille. Il l’embrassait, la mordillait, en lui murmurant des cochonneries.
Elle aurait aimé le repousser mais il était trop fort. Elle ne l’avait jamais vu de la soirée, elle était ivre, et avec ce que ce gars lui faisait, elle sentait bruisser des papillons dans son ventre. Elle gardait les yeux baissés, et elle s’est tu. Alors j’ai dit : « Continue »
« Il a continué à me mordiller et à me picorer des baisers dans le cou, et puis j'ai senti sa main remonter ma jupe. J'ai attrapé son poignet, et j'ai retiré sa main. Il l'a remis sous ma jupe. J'ai essayé de l’empêcher mais ce gars était vraiment très fort. Moi, j’étais très soûle, et il semblait avoir plus de mains que moi »
Elle s’est arrêtée de parler et s'est mise à pleurer. Doucement, en silence. Juste, elle secouait les épaules, pendant que de grosses larmes roulaient sur ses joues. Elle était bouleversée, en pensant que j'allais me mettre en colère, devenir fou, mais elle ne savait pas que ce qu'elle me racontait, ça m’excitait. Je bandais et je voulais connaître la suite de son récit. Je lui ai dit de continuer, et que je voulais chaque détail. Je lui ai dit que si elle m'avait fait du tort, j’avais besoin de tout savoir pour lui pardonner. Ma bite était lancinante dans mon pantalon. Elle m'a regardé en se demandant pourquoi je n'étais pas en colère. Je lui ai juste dit de continuer, de tout me dire. Je voulais connaître chaque détail. Alors, elle s’est calmée, et elle a repris son histoire.
« Sa main avait atteint mon entrejambe. Il a poussé ses doigts en moi, et il a frotté mon clitoris avec son pouce. Il savait parfaitement quoi faire et comment. J'ai failli venir sur place. »
Ils ont commencé à remonter la rue, il la soutenait tout en travaillant sa chatte. Arrivés devant la porte d'entrée, le temps qu’elle trouve sa clé, il avait défait sa mini-jupe, et celle-ci tomba par terre sur le perron. Elle regarda autour d'elle, pour voir s'il y avait quelqu'un, mais la rue était vide. Elle a ouvert sa porte, avant d’entrer précipitamment dans la maison. Il a ramassé sa jupe, l'a jetée à l’intérieur, et s'est emparée d'elle.
« Attendez, nous ne pouvons pas faire cela. Je suis une femme mariée et fidèle. On ne se connaît même pas »
Il a ri et lui a dit : « Ton mari est absent, et tu en meurs d’envie »
Alors elle lui a parlé, en cherchant à le calmer et à le raisonner, lui expliquant qu’il allait faire une bêtise. Mais surtout elle a cherché à le faire parler, lui, afin qu’il retrouve son sang-froid, et qu’il accepte de la laisser et de partir. Elle a appris ainsi qu’il avait 41 ans.
« Mon Dieu, vous êtes presque assez vieux pour être mon père »
« Oui, mais j’ai de l'expérience. Regarde comment je t’ai fait réagir avec mes caresses, aux émotions que je t’ai procuré. Juste avec mes doigts, je t’ai presque fait venir. Je peux te donner le meilleur sexe que tu n’aies jamais connu. Si tu me fais confiance, je te ferai crier de bonheur »
« Je n’ai pas réussi à le calmer, et je n’ai pas eu le temps de tenter quoi que ce soit d'autre. Il me tenait serrée contre lui, m’enlaçait, me caressait, il ne semblait pas dangereux. Soudain, il s’est jeté sur moi, m'a attrapée, et m'a entraînée jusqu'à la chambre. Là, il m'a jetée sur le lit, et il est resté planté là, à me regarder. Il s’est déshabillé très lentement, déboutonnant sa chemise théâtralement, en ondulant exagérément des hanches, comme s’il faisait un strip-tease. Je le regardais, fascinée, et j’étais de plus en plus mouillée. Il a laissé tomber sa chemise et il a ôté ses chaussures. Quand il a défait sa ceinture, j’ai pensé qu’il allait me baiser. Étrangement, je n’avais pas peur. J’avais envie ... »
Elle a eu un sanglot et s’est interrompue. Je me suis raclé la gorge et j’ai dit : « Continue »
« J’avais envie de le supplier de me sauter dessus et de me baiser. Il savait exactement ce qu'il faisait en me faisant languir. Quand il a commencé à dégrafer son pantalon, il m'a demandé si j'étais prête pour lui. J'ai hoché la tête et j'ai répondu oui. Il m’a tourné le dos pour faire glisser lentement son pantalon. Pour un type dans la quarantaine, il avait un très beau corps. Son dos, ses fesses, ses cuisses, ses mollets, tout était ferme et bien musclé. Pas de graisse. J’avais la gorge sèche à force de regarder ce bel homme se trémousser devant moi. Il m’a regardée par-dessus son épaule et m'a fait un clin d’œil »
« Il s’est retourné lentement. Ses mains devant lui couvraient sa queue. Il les a ôtées toutes les deux en même temps. Son sexe pendait. Il avait l'air d'une taille correcte. Il s'est penché sur moi pour m’ôter ma culotte. Je me suis soulevée pour lui faciliter la tâche. Il m'a assise et il a tiré mon caraco par-dessus ma tête. Il s’est penché un peu plus pour dégrafer mon soutien-gorge. Sa bite pendait, proche de moi. À cette distance, je distinguais parfaitement les grosses veines qui couraient sous sa peau. Je n'ai pas pu résister à l’envie de le caresser »
Tout le temps de son récit, elle avait gardé les yeux baissés. Mais là, elle a marqué une pause pour lever son regard inquiet vers moi : « Je te rappelle que j’étais soûle » J’ai juste dit : « Continue »
« Il m’a regardé en souriant, et m’a dit : si tu en as envie, fais-le ! Je l’ai caressé, et sa bite a commencé à se redresser. Je l’ai léché, puis j’ai ouvert ma bouche pour sucer le gland. J’ai repoussé le prépuce et j’ai mis le gland dans ma bouche pour le sucer. Il a eu un grognement d'approbation. J’ai mis une main sur sa tige pour le branler, l’autre sous ses bourses pour le masser, et je l’ai sucé avec ferveur jusqu’à ce qu’il soit bien dur. Sa bite était vraiment impressionnante en érection. La tige était normale, en grosseur et en longueur, mais le gland était étrange. Nettement plus volumineux. Disproportionné. On aurait dit un champignon. Jamais rien vu de comparable »
« Il a retiré sa bite de ma bouche, et m'a dit que c'était mon tour. Il s’est allongé sur le lit à côté de moi, et il m'a demandé de m'asseoir sur son visage, face à ses pieds. Quand j’ai posé ma chatte sur sa bouche, je me souviens que j’étais gênée, parce que je mouillais beaucoup. Mais cela ne l’a pas dérangé, et il s'est mis directement au travail. Je peux t’assurer qu’il savait y faire, et que j’ai apprécié sa besogne. C'était un expert, je n’ai pas pu me retenir de broyer ma chatte contre son visage. Je tremblais et je vibrais de plaisir. Je me suis penchée sur sa bite pour le sucer. Je l’ai pompé si fort que j’avais mal dans ma bouche. Et il a léché encore plus fort ma chatte. Puis ça m'a suffoqué, un éblouissement, l’orgasme le plus grisant de tous les temps. J'ai cru mourir de bonheur. Je me suis agrippé fermement, partout où je pouvais. Ma main sur sa bite. Mes genoux sur son torse. Et lui n’arrêtait pas de me lécher. Je n’ai jamais connu un orgasme qui dure aussi longtemps. Quand cela s’est arrêté, j’avais les muscles comme de la gelée. Je me suis laissée glisser à côté de lui, sur le lit, et il m’a câlinée.
« À cet instant, je ne voulais qu’une chose, qu’il me prenne. Qu’il mette cette bite étonnante en moi. Pour savoir, pour connaître la sensation qu’elle pouvait me procurer, avec ce gland turgescent. Mais il se contentait de la frotter dans ma fente. Je l’ai supplié, mais il a ri de mon impatience. J’ai essayé de propulser ma chatte en avant, quand sa bite passait devant l’entrée. Même si le bout de sa bite entrait, il se retirait en faisant tss-tss. J’étais frustrée, troublée, alors j’ai perdu mes esprits et je lui ai crié d'arrêter ses conneries et de mettre sa putain de bite dans ma chatte. Il a ri, s’est moqué de moi et, au moment au je m’y attendais le moins, il a planté sa bite en moi, et il l’a poussée fort »
« Il s’est introduit en moi si fort, si vite, si profond, que ça m’a coupé le souffle. Comme tu es serrée, m’a-t-il dit. Est-ce que ton mari à une petite bite, ou est-ce parce qu’il ne te fait pas souvent l’amour ? J’étais vexée. J’ai dit que mon mari avait une bite normale, quoi, c’est vrai, non ? Tu n’es pas immense, mais enfin, bon, ça va ! Par contre, c’est vrai que je n’ai pas beaucoup de sexe avec un mari souvent en déplacement. Tu travailles beaucoup, tu gagnes pas mal d’argent, mais c’est pas marrant pour moi »
« Il a touché le fond et j’ai poussé un long soupir. Il a commencé immédiatement à coulisser en moi, d’avant en arrière, sans marquer de temps d’arrêt, comme tu le fais. C’était très bizarre. Je sentais distinctement son gland proéminent frotter sur ma muqueuse. C’était à la fois lancinant et très envoûtant. Il me baisait et je me sentais fondre. Ainsi sollicité, mon vagin est devenu très humide. Plus qu’humide, mouillé. Ma chatte faisait des bruits gênants. Des bruits humides, qui le motivaient pour me baiser encore plus vigoureusement. Il m'a baisée, si fort, si profond à chaque poussée ! Il me clouait sur le lit. Je me suis accrochée à lui. Mes ongles s’enfonçaient dans la peau de son dos. Les bruits de ma chatte et mes gémissements lui disaient à quel point j'appréciais sa façon de me baiser »
« Puis, d’un coup, il s'est complètement retiré de moi et s'est agenouillé là, entre mes jambes. Il voulait me baiser en levrette. J'ai regardé son sexe, il brillait de mes jus et il y avait une épaisse mousse blanchâtre à la base de son sexe et sur ses bourses. J'étais si mouillée, je l’avais tout sali. Je me suis mise à quatre pattes, je me suis penchée, j'ai mis mon visage dans un oreiller et je suis restée avec mon cul en l'air. Il s'est collé à moi et m’a plantée toute sa longueur d'un coup. Il m’a prise par mes hanches pour me tirer contre lui. Son pubis heurtait mes fesses violemment et nos chairs claquaient. Dans cette position, je sentais encore mieux sa bite coulisser en moi. Il m’a retourné le cerveau. J’ai gueulé dans l’oreiller en jouissant. Plusieurs fois. Il a été d’une endurance exceptionnelle. Il ne faisait pas de pauses, juste des baisses de régime pendant que je succombais de bonheur »
«Il s'est retiré de nouveau. Cette fois, il s'est allongé sur le dos en me disant de le chevaucher. Je me suis empalée sur sa bite. J'ai commencé à remuer de haut en bas, d’avant en arrière. Je broyais sa bite, ça tuait mes jambes, mais le plaisir était immense. Dans cette position, je sentais son gland protubérant frotter en passant sur mon point G. En même temps, avec tout ce que j’avais bu, l’envie de faire pipi devenait pressante. Il m’a que c’était bon, qu’il n'en pouvait plus, et qu’il allait inonder ma chatte. Il m’a attrapée par les hanches pour me maintenir en place, et je l’ai senti gicler sa semence dans ma chatte. Je sentais chaque jet frapper les parois de ma chatte. Je me suis effondrée sur lui, j’ai allongé mes jambes qui me faisaient souffrir et je l’ai embrassé profondément et langoureusement. J’étais pleinement comblée. Nous sommes restés sans bouger pendant un moment, sa queue était toujours en moi. Il m'a demandé si j’avais aimé »
Elle s'arrêta de nouveau. Elle ne pouvait pas me regarder dans les yeux, alors j’ai dit : « Continue »
« Je lui ai dit que c'était probablement le meilleur sexe que j’ai eu de ma vie, que sa bite était extravagante, extraordinaire, et qu’il m’avait comblé de bonheur. Je suis désolée, chéri, tu m’en veux ? »
Je n’ai pas répondu à sa question. J’ai juste dit : « Continue »
« Bien, mais je n’ai pas encore fini, dit-il. Ma bite est toujours dure en toi, alors continuons. Je ne le pensais pas capable de continuer sur ce rythme-là, j’ai souri, mais il m’a basculée sur le dos, sans sortir de ma chatte, et il a recommencé à me baiser. Il m'a baisée pendant plus de deux heures. Il m'a démontée et il m’a sidérée. J’ai joui, encore et encore. Combien de fois ? J’ai perdu le compte. Quand il a fini, j’étais morte. Je me suis couchée sur le côté, en chien de fusil, et je me suis endormie. Sans passer par la salle de bain pour me nettoyer. Je me suis endormie au milieu des draps souillés, sans force »
« J'ai été réveillée ce matin par la sensation de sa grosse bite qui se glissait en moi par derrière. J’étais encore couchée sur le côté, il s’était glissé contre mes fesses, dans la position des petites cuillères, et il me baisait doucement, délicatement, à la paresseuse, pour me dire au revoir. Avant de partir, il m’a laissé son numéro, en me disant que si je me sentais seule... »
J’étais sidéré par ce que ma femme venait de me raconter. Et très excité. J’ai sorti ma bite bien dure en lui disant que je voulais la baiser maintenant. Elle m'a montré sa chatte, boursouflée et rouge vif. Elle m’a dit qu'elle avait très mal, mais qu’elle pouvait me branler et me sucer un peu. Elle a posé sa main et sa bouche sur ma bite mais, juste à ce moment-là, son téléphone a sonné. Elle a regardé l’écran et m’a dit :
« C’est lui »
« Décroche et réponds-lui »
« Oui, je suis réveillée » Elle était restée à côté de moi et me caressait la bite en lui parlant.
« Oui, il est rentré … Oui, je lui ai tout raconté … Oui, tout … Non, il n’est pas fâché … Si on pourra se revoir, je ne sais pas, je demande... »
J’ai secoué la tête affirmativement. « Il est d’accord … Maintenant ? »
J’ai de nouveau secoué la tête affirmativement. « D’accord, tu peux venir ... »
Elle était en colère au téléphone, je ne voulais pas me disputer avec elle, alors je lui ai suggéré d’appeler ses copines et de passer une soirée entre filles. Prendre un peu de bon temps, se laisser aller, je rentrerais demain, et on organisera une sortie demain soir. Un bon restaurant, un cinéma, tout ce qui lui fera envie. Je n’ai pas pu terminer le soir même, j’ai fini mon chantier en milieu de matinée le samedi, et j’ai pris la route pour rentrer chez moi.
Je suis rentré chez moi juste après l’heure du repas, en tout début d’après-midi. J'ai trouvé ma femme au lit. Comme elle ne fait jamais la sieste, j'ai pensé qu'elle était rentrée tard cette nuit, probablement assez ivre, alors je l'ai laissée dormir. J'étais allongé sur le canapé, devant la télévision, quand elle a fait son apparition. Elle avait une mine de papier mâché. Le teint blafard, des cernes sous les yeux qui lui mangeaient la moitié du visage, le regard sombre comme un zombie. Elle s’est assise sur le canapé, à côté de moi, en disant qu'elle avait fait la fête avec ses copines une bonne partie de la nuit, qu'elle était rentrée très ivre, et qu'elle avait une confession à me faire.
Après mon appel téléphonique, dans l’après-midi d’hier, elle avait appelé ses copines au téléphone, et elles avaient convenu d’un rendez-vous dans une brasserie, en ville. Elles ont cassé la croûte vite fait, bu des verres, mais tout allait bien. Elles sont sorties en boîte, elles s’amusaient vraiment bien, elles ont dansé, même avec des hommes, tout s’est bien passé.
« D'accord, tu t'es bien amusée »
« Heu, chéri, j’ai pas fini. Je ne suis pas rentrée seule hier soir »
Un type a sauté dans le taxi à côté d’elle, et lui a demandé si elle voulait partager la course. Elle a répondu qu’elle n’y voyait aucun mal. Quand le taxi est arrivé dans le quartier où nous habitons, elle lui a demandé où il allait, et il a répondu : « Et toi, tu vas où ? »
Elle regardait obstinément le sol : « J'ai dit que je rentrais chez moi, alors il a dit que ça lui allait bien. J’étais soûle, je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire »
Je ne pouvais pas croire ce qu'elle me disait. Le chauffeur de taxi les a déposés au bout de la rue. Le gars est sorti du taxi avec elle. Le taxi est parti en les laissant là, tous les deux. Elle était désemparée, et très soûle. Elle titubait et le gars l’a soutenue. Il lui souriait, il avait l’air gentil, il lui a proposé de la raccompagner. Ils ont fait quelques pas, elle s’appuyait sur lui, et le gars l’a embrassée. Elle a tourné la tête pour échapper à sa bouche vorace, mais le gars l’a embrassée dans le cou, juste sous l’oreille. Il l’embrassait, la mordillait, en lui murmurant des cochonneries.
Elle aurait aimé le repousser mais il était trop fort. Elle ne l’avait jamais vu de la soirée, elle était ivre, et avec ce que ce gars lui faisait, elle sentait bruisser des papillons dans son ventre. Elle gardait les yeux baissés, et elle s’est tu. Alors j’ai dit : « Continue »
« Il a continué à me mordiller et à me picorer des baisers dans le cou, et puis j'ai senti sa main remonter ma jupe. J'ai attrapé son poignet, et j'ai retiré sa main. Il l'a remis sous ma jupe. J'ai essayé de l’empêcher mais ce gars était vraiment très fort. Moi, j’étais très soûle, et il semblait avoir plus de mains que moi »
Elle s’est arrêtée de parler et s'est mise à pleurer. Doucement, en silence. Juste, elle secouait les épaules, pendant que de grosses larmes roulaient sur ses joues. Elle était bouleversée, en pensant que j'allais me mettre en colère, devenir fou, mais elle ne savait pas que ce qu'elle me racontait, ça m’excitait. Je bandais et je voulais connaître la suite de son récit. Je lui ai dit de continuer, et que je voulais chaque détail. Je lui ai dit que si elle m'avait fait du tort, j’avais besoin de tout savoir pour lui pardonner. Ma bite était lancinante dans mon pantalon. Elle m'a regardé en se demandant pourquoi je n'étais pas en colère. Je lui ai juste dit de continuer, de tout me dire. Je voulais connaître chaque détail. Alors, elle s’est calmée, et elle a repris son histoire.
« Sa main avait atteint mon entrejambe. Il a poussé ses doigts en moi, et il a frotté mon clitoris avec son pouce. Il savait parfaitement quoi faire et comment. J'ai failli venir sur place. »
Ils ont commencé à remonter la rue, il la soutenait tout en travaillant sa chatte. Arrivés devant la porte d'entrée, le temps qu’elle trouve sa clé, il avait défait sa mini-jupe, et celle-ci tomba par terre sur le perron. Elle regarda autour d'elle, pour voir s'il y avait quelqu'un, mais la rue était vide. Elle a ouvert sa porte, avant d’entrer précipitamment dans la maison. Il a ramassé sa jupe, l'a jetée à l’intérieur, et s'est emparée d'elle.
« Attendez, nous ne pouvons pas faire cela. Je suis une femme mariée et fidèle. On ne se connaît même pas »
Il a ri et lui a dit : « Ton mari est absent, et tu en meurs d’envie »
Alors elle lui a parlé, en cherchant à le calmer et à le raisonner, lui expliquant qu’il allait faire une bêtise. Mais surtout elle a cherché à le faire parler, lui, afin qu’il retrouve son sang-froid, et qu’il accepte de la laisser et de partir. Elle a appris ainsi qu’il avait 41 ans.
« Mon Dieu, vous êtes presque assez vieux pour être mon père »
« Oui, mais j’ai de l'expérience. Regarde comment je t’ai fait réagir avec mes caresses, aux émotions que je t’ai procuré. Juste avec mes doigts, je t’ai presque fait venir. Je peux te donner le meilleur sexe que tu n’aies jamais connu. Si tu me fais confiance, je te ferai crier de bonheur »
« Je n’ai pas réussi à le calmer, et je n’ai pas eu le temps de tenter quoi que ce soit d'autre. Il me tenait serrée contre lui, m’enlaçait, me caressait, il ne semblait pas dangereux. Soudain, il s’est jeté sur moi, m'a attrapée, et m'a entraînée jusqu'à la chambre. Là, il m'a jetée sur le lit, et il est resté planté là, à me regarder. Il s’est déshabillé très lentement, déboutonnant sa chemise théâtralement, en ondulant exagérément des hanches, comme s’il faisait un strip-tease. Je le regardais, fascinée, et j’étais de plus en plus mouillée. Il a laissé tomber sa chemise et il a ôté ses chaussures. Quand il a défait sa ceinture, j’ai pensé qu’il allait me baiser. Étrangement, je n’avais pas peur. J’avais envie ... »
Elle a eu un sanglot et s’est interrompue. Je me suis raclé la gorge et j’ai dit : « Continue »
« J’avais envie de le supplier de me sauter dessus et de me baiser. Il savait exactement ce qu'il faisait en me faisant languir. Quand il a commencé à dégrafer son pantalon, il m'a demandé si j'étais prête pour lui. J'ai hoché la tête et j'ai répondu oui. Il m’a tourné le dos pour faire glisser lentement son pantalon. Pour un type dans la quarantaine, il avait un très beau corps. Son dos, ses fesses, ses cuisses, ses mollets, tout était ferme et bien musclé. Pas de graisse. J’avais la gorge sèche à force de regarder ce bel homme se trémousser devant moi. Il m’a regardée par-dessus son épaule et m'a fait un clin d’œil »
« Il s’est retourné lentement. Ses mains devant lui couvraient sa queue. Il les a ôtées toutes les deux en même temps. Son sexe pendait. Il avait l'air d'une taille correcte. Il s'est penché sur moi pour m’ôter ma culotte. Je me suis soulevée pour lui faciliter la tâche. Il m'a assise et il a tiré mon caraco par-dessus ma tête. Il s’est penché un peu plus pour dégrafer mon soutien-gorge. Sa bite pendait, proche de moi. À cette distance, je distinguais parfaitement les grosses veines qui couraient sous sa peau. Je n'ai pas pu résister à l’envie de le caresser »
Tout le temps de son récit, elle avait gardé les yeux baissés. Mais là, elle a marqué une pause pour lever son regard inquiet vers moi : « Je te rappelle que j’étais soûle » J’ai juste dit : « Continue »
« Il m’a regardé en souriant, et m’a dit : si tu en as envie, fais-le ! Je l’ai caressé, et sa bite a commencé à se redresser. Je l’ai léché, puis j’ai ouvert ma bouche pour sucer le gland. J’ai repoussé le prépuce et j’ai mis le gland dans ma bouche pour le sucer. Il a eu un grognement d'approbation. J’ai mis une main sur sa tige pour le branler, l’autre sous ses bourses pour le masser, et je l’ai sucé avec ferveur jusqu’à ce qu’il soit bien dur. Sa bite était vraiment impressionnante en érection. La tige était normale, en grosseur et en longueur, mais le gland était étrange. Nettement plus volumineux. Disproportionné. On aurait dit un champignon. Jamais rien vu de comparable »
« Il a retiré sa bite de ma bouche, et m'a dit que c'était mon tour. Il s’est allongé sur le lit à côté de moi, et il m'a demandé de m'asseoir sur son visage, face à ses pieds. Quand j’ai posé ma chatte sur sa bouche, je me souviens que j’étais gênée, parce que je mouillais beaucoup. Mais cela ne l’a pas dérangé, et il s'est mis directement au travail. Je peux t’assurer qu’il savait y faire, et que j’ai apprécié sa besogne. C'était un expert, je n’ai pas pu me retenir de broyer ma chatte contre son visage. Je tremblais et je vibrais de plaisir. Je me suis penchée sur sa bite pour le sucer. Je l’ai pompé si fort que j’avais mal dans ma bouche. Et il a léché encore plus fort ma chatte. Puis ça m'a suffoqué, un éblouissement, l’orgasme le plus grisant de tous les temps. J'ai cru mourir de bonheur. Je me suis agrippé fermement, partout où je pouvais. Ma main sur sa bite. Mes genoux sur son torse. Et lui n’arrêtait pas de me lécher. Je n’ai jamais connu un orgasme qui dure aussi longtemps. Quand cela s’est arrêté, j’avais les muscles comme de la gelée. Je me suis laissée glisser à côté de lui, sur le lit, et il m’a câlinée.
« À cet instant, je ne voulais qu’une chose, qu’il me prenne. Qu’il mette cette bite étonnante en moi. Pour savoir, pour connaître la sensation qu’elle pouvait me procurer, avec ce gland turgescent. Mais il se contentait de la frotter dans ma fente. Je l’ai supplié, mais il a ri de mon impatience. J’ai essayé de propulser ma chatte en avant, quand sa bite passait devant l’entrée. Même si le bout de sa bite entrait, il se retirait en faisant tss-tss. J’étais frustrée, troublée, alors j’ai perdu mes esprits et je lui ai crié d'arrêter ses conneries et de mettre sa putain de bite dans ma chatte. Il a ri, s’est moqué de moi et, au moment au je m’y attendais le moins, il a planté sa bite en moi, et il l’a poussée fort »
« Il s’est introduit en moi si fort, si vite, si profond, que ça m’a coupé le souffle. Comme tu es serrée, m’a-t-il dit. Est-ce que ton mari à une petite bite, ou est-ce parce qu’il ne te fait pas souvent l’amour ? J’étais vexée. J’ai dit que mon mari avait une bite normale, quoi, c’est vrai, non ? Tu n’es pas immense, mais enfin, bon, ça va ! Par contre, c’est vrai que je n’ai pas beaucoup de sexe avec un mari souvent en déplacement. Tu travailles beaucoup, tu gagnes pas mal d’argent, mais c’est pas marrant pour moi »
« Il a touché le fond et j’ai poussé un long soupir. Il a commencé immédiatement à coulisser en moi, d’avant en arrière, sans marquer de temps d’arrêt, comme tu le fais. C’était très bizarre. Je sentais distinctement son gland proéminent frotter sur ma muqueuse. C’était à la fois lancinant et très envoûtant. Il me baisait et je me sentais fondre. Ainsi sollicité, mon vagin est devenu très humide. Plus qu’humide, mouillé. Ma chatte faisait des bruits gênants. Des bruits humides, qui le motivaient pour me baiser encore plus vigoureusement. Il m'a baisée, si fort, si profond à chaque poussée ! Il me clouait sur le lit. Je me suis accrochée à lui. Mes ongles s’enfonçaient dans la peau de son dos. Les bruits de ma chatte et mes gémissements lui disaient à quel point j'appréciais sa façon de me baiser »
« Puis, d’un coup, il s'est complètement retiré de moi et s'est agenouillé là, entre mes jambes. Il voulait me baiser en levrette. J'ai regardé son sexe, il brillait de mes jus et il y avait une épaisse mousse blanchâtre à la base de son sexe et sur ses bourses. J'étais si mouillée, je l’avais tout sali. Je me suis mise à quatre pattes, je me suis penchée, j'ai mis mon visage dans un oreiller et je suis restée avec mon cul en l'air. Il s'est collé à moi et m’a plantée toute sa longueur d'un coup. Il m’a prise par mes hanches pour me tirer contre lui. Son pubis heurtait mes fesses violemment et nos chairs claquaient. Dans cette position, je sentais encore mieux sa bite coulisser en moi. Il m’a retourné le cerveau. J’ai gueulé dans l’oreiller en jouissant. Plusieurs fois. Il a été d’une endurance exceptionnelle. Il ne faisait pas de pauses, juste des baisses de régime pendant que je succombais de bonheur »
«Il s'est retiré de nouveau. Cette fois, il s'est allongé sur le dos en me disant de le chevaucher. Je me suis empalée sur sa bite. J'ai commencé à remuer de haut en bas, d’avant en arrière. Je broyais sa bite, ça tuait mes jambes, mais le plaisir était immense. Dans cette position, je sentais son gland protubérant frotter en passant sur mon point G. En même temps, avec tout ce que j’avais bu, l’envie de faire pipi devenait pressante. Il m’a que c’était bon, qu’il n'en pouvait plus, et qu’il allait inonder ma chatte. Il m’a attrapée par les hanches pour me maintenir en place, et je l’ai senti gicler sa semence dans ma chatte. Je sentais chaque jet frapper les parois de ma chatte. Je me suis effondrée sur lui, j’ai allongé mes jambes qui me faisaient souffrir et je l’ai embrassé profondément et langoureusement. J’étais pleinement comblée. Nous sommes restés sans bouger pendant un moment, sa queue était toujours en moi. Il m'a demandé si j’avais aimé »
Elle s'arrêta de nouveau. Elle ne pouvait pas me regarder dans les yeux, alors j’ai dit : « Continue »
« Je lui ai dit que c'était probablement le meilleur sexe que j’ai eu de ma vie, que sa bite était extravagante, extraordinaire, et qu’il m’avait comblé de bonheur. Je suis désolée, chéri, tu m’en veux ? »
Je n’ai pas répondu à sa question. J’ai juste dit : « Continue »
« Bien, mais je n’ai pas encore fini, dit-il. Ma bite est toujours dure en toi, alors continuons. Je ne le pensais pas capable de continuer sur ce rythme-là, j’ai souri, mais il m’a basculée sur le dos, sans sortir de ma chatte, et il a recommencé à me baiser. Il m'a baisée pendant plus de deux heures. Il m'a démontée et il m’a sidérée. J’ai joui, encore et encore. Combien de fois ? J’ai perdu le compte. Quand il a fini, j’étais morte. Je me suis couchée sur le côté, en chien de fusil, et je me suis endormie. Sans passer par la salle de bain pour me nettoyer. Je me suis endormie au milieu des draps souillés, sans force »
« J'ai été réveillée ce matin par la sensation de sa grosse bite qui se glissait en moi par derrière. J’étais encore couchée sur le côté, il s’était glissé contre mes fesses, dans la position des petites cuillères, et il me baisait doucement, délicatement, à la paresseuse, pour me dire au revoir. Avant de partir, il m’a laissé son numéro, en me disant que si je me sentais seule... »
J’étais sidéré par ce que ma femme venait de me raconter. Et très excité. J’ai sorti ma bite bien dure en lui disant que je voulais la baiser maintenant. Elle m'a montré sa chatte, boursouflée et rouge vif. Elle m’a dit qu'elle avait très mal, mais qu’elle pouvait me branler et me sucer un peu. Elle a posé sa main et sa bouche sur ma bite mais, juste à ce moment-là, son téléphone a sonné. Elle a regardé l’écran et m’a dit :
« C’est lui »
« Décroche et réponds-lui »
« Oui, je suis réveillée » Elle était restée à côté de moi et me caressait la bite en lui parlant.
« Oui, il est rentré … Oui, je lui ai tout raconté … Oui, tout … Non, il n’est pas fâché … Si on pourra se revoir, je ne sais pas, je demande... »
J’ai secoué la tête affirmativement. « Il est d’accord … Maintenant ? »
J’ai de nouveau secoué la tête affirmativement. « D’accord, tu peux venir ... »
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une histoire à la con toujours la même rengaine un amant avec une grosse bise et qui baise qui baise qui baise pendant des heures L auteur prends les lecteurs pour des idiots il ni a qu au cinéma que l on voit ça et tout est truqué faut pas rêver les mecs se drogue se pique la queue avec des seringues pour pouvoir tenir pendant une heure alors arrêter de nous bassiner avec vos histoires à dormir debout.
Bos histoire dont bien raconte mais les femmes manipule trop leur homme changer de registre sa devient pénible
Slt Mr TAMALOU
Content de retrouver vos histoires et que le site soit enfin de retour.
J'avais déjà lu cette histoire et je ne me lasse pas de la relire.
Est-ce que je l'avait déjà commenté auparavant! je ne m'en souviens plus.
En tout cas , une chose qui est dommage, c'est que beaucoup d'auteurs a succès ont perdus tout les commentaires déposés par les lecteurs depuis des années ,
Grâce au remaniement du site .
Pour en revenir à cette histoire, le mari bafoué par son épouse infidèle a cause de l'alcool quelle n'a pas su gérer se voit refuser par son épouse après le récit détaillé qu'elle vient de lu exposé sous prétexte que son amant, au gland magique, d'un soir,
Lui aurait mis la minette en mode pose avec son démonte pneu.
Dans la dernière phrase de l'histoire, c'est dingue comme sa petite chatte toute boursouflée et rouge vif se répare à vitesse grand V, juste parce qu'elle mouille comme une folle à l'idée que Mr du gland va finir de la déglinguée dans l'après-midi devant son mari .
J'espère pour le cocu, qui apparemment serai candauliste sans qu'elle le sache, va quand même lui mettre une cartouche sans lui demander son avis maintenant qu'elle est prête à recevoir dans les instants qui suivent son zozo qui ne devrait plus tarder à arriver.
Roulio
Content de retrouver vos histoires et que le site soit enfin de retour.
J'avais déjà lu cette histoire et je ne me lasse pas de la relire.
Est-ce que je l'avait déjà commenté auparavant! je ne m'en souviens plus.
En tout cas , une chose qui est dommage, c'est que beaucoup d'auteurs a succès ont perdus tout les commentaires déposés par les lecteurs depuis des années ,
Grâce au remaniement du site .
Pour en revenir à cette histoire, le mari bafoué par son épouse infidèle a cause de l'alcool quelle n'a pas su gérer se voit refuser par son épouse après le récit détaillé qu'elle vient de lu exposé sous prétexte que son amant, au gland magique, d'un soir,
Lui aurait mis la minette en mode pose avec son démonte pneu.
Dans la dernière phrase de l'histoire, c'est dingue comme sa petite chatte toute boursouflée et rouge vif se répare à vitesse grand V, juste parce qu'elle mouille comme une folle à l'idée que Mr du gland va finir de la déglinguée dans l'après-midi devant son mari .
J'espère pour le cocu, qui apparemment serai candauliste sans qu'elle le sache, va quand même lui mettre une cartouche sans lui demander son avis maintenant qu'elle est prête à recevoir dans les instants qui suivent son zozo qui ne devrait plus tarder à arriver.
Roulio