Dépucelage - histoire érotique

Je m'appelle Malika et cet été, j'ai rencontré Malik, un garçon un peu plus âgé que moi.
J'ai dix huit ans et lui vingt trois.

Je travaillais comme aide cuisinière pour le temps des vacances et lui comme animateur dans une résidence de vacances près de chez moi dans la Creuse.

Il y a peu de distraction et je n'ai pas envie de vivre à la ferme.

Lui vient de la banlieue parisienne, il parle bien, très sportif, il est toujours en survêtement. Il surveille aussi la piscine où l'on voit ses abdos bien dessinés.
Il anime les soirées dansantes et fait le Dj. Il a un charme fou.

Lui, vit dans le centre où il est hébergé, il a une chambre, moi, je rentre chez mes parents au village.

Nous avons commencé par discuter pour faire connaissance puis il m'a raccompagné chez moi.

En chemin, il m'a embrassé, ses lèvres ont un goût de noisette. Nous nous sommes embrassé longuement avec la langue, il me serrait contre lui et il me caressait le dos par-dessus mon tee shirt.

Il ne travaille pas le matin mais moi je commence à six heures pour préparer le petit déjeuner. A dix heures, c'est la pause jusqu'à onze heures et la préparation du repas. Je finis à quinze heures.
J'ai le droit d'aller à la piscine où je le retrouve.

Lui travaille de quatorze heures à dix huit heures puis de vingt à minuit.
Pour être ensemble, je lui apporte son petit déjeuner à dix heures et nous avons une heure pour nous.

Quand j'arrive, il est en tee shirt et en slip. J'ouvre en grand pour aérer. Ça sent la bête mais il m'attire à lui dans son lit posé à même le sol.
Nous nous embrassons longuement, je me love contre lui. Il passe ses mains sous ma chemise et attrape mes seins qu'il caresse fermement. Mes pointes sont érigées et il me déshabille pour les prendre avec sa bouche. Il les suce et parfois les mordille doucement.
Son sexe est tendu sous son caleçon et je l'empoigne par-dessus le tissus. Il me couche sur le dos et s'assoit sur mon ventre pour continuer à m'embrasser et me peloter.
J'en profite pour faire glisser son slip et libérer son membre qui palpite entre nous deux.
Il s'en saisit et le frotte à l'entrée de mon vagin. La sensation est délicieuse mais je le stoppe.
Il comprend que je ne suis pas prête.

Je lui dis que je suis vierge et veut le rester. En vérité, je ne veux pas me faire piéger comme ma mère avec un polichinelle alors que je n'ai pas terminé mes études.
Devant son air abattu, je le couche sur le dos et je m'occupe de lui faire plaisir. Je lape son gland circoncis, ma main en fait le tour et descends vers son pubis avant de remonter.
Mes lèvres coulissent sur son gland, ma langue l'entoure, je lèche son méat puis j'engloutis sa verge au maximum. Je la garde au fond de ma gorge quelques instants avant de recommencer.
Il se redresse assis et prend ma tête entre ses mains. Il accompagne mes gestes et j'accélère.
Certains matins, il me bloque et jouis dans ma bouche. Je n'avale pas et vais le recracher dans la poubelle. D'autrefois, il m'arrête et jouit sur mes seins.
J'aime le voir jouir mais je n'aime pas recevoir son jus sur le visage.
Pour me remercier, il me lèche à son tour. Il aspire mon clito et me procure un orgasme avec ses doigts.
Nous discutons de ce qui nous plaît.
Il insiste beaucoup pour me déflorer avec les doigts puis sa verge encapuchonnée. Mais je m'y refuse par principe. Je ne veux pas lui céder….
Avec ses doigts humide à force de caresser ma vulve, il m'a souvent caressé l'anus. Il m'a même lécher avec application. J'ai trouvé la caresse très agréable.
Aussi un jour ,il me dit « Puisque tu ne veux pas que je te prenne par devant, je vais te prendre par derrière. »
Interloquée, je n'ai rien répondu sur le coup. Puis je me suis dit « Si ça sort, ça doit bien rentrer. »
Le matin suivant, je lui ai dit que si pour lui, c'est important, je veux bien essayer.
Il a été adorable, prévenant, amoureux. Je l'ai bien sucé comme d'habitude, il m'a léché lui aussi puis il pris le beurre du petit déjeuner et m'a tartiné le conduit avec un puis deux doigts.
C'est quand il a mis son sexe que les choses ont changé. Il a stoppé, remis du beurre pendant que ses doigts pinçaient mon clitoris, il m'a chuchoté quelque chose qui m'a fait rire et il s'est enfoncé en moi comme dans du beurre (lol) .
Il jubilait comme si il avait remporté une victoire. Moi, je me suis sentie remplie, pleine. Je lui appartenais. Puis il a opéré des va et vient lents au début puis de plus en plus rapides et forts.
Je me masturbais en même temps et j'ai joui très fort.
Durant tout le temps que nous avons passé ensemble, il m'a sodomisé régulièrement et je continue à y prendre beaucoup de plaisir.
j'aime être dominée et défoncée, sentir les couilles battre sur ma vulve, le sperme couler entre mes fesses.