Depucelage à L'espagnole - histoire érotique

Daniela, mère d'un camarade de classe.

Cela se passe un jour où je vais chez elle pour voir son fils qui est un camarade de classe. Il se trouve qu'à ce moment-là, Dominique est parti faire les courses avec son père. Après avoir pédalé une dizaine de kilomètres pour venir le voir, elle me propose de boire un verre en entrant. Mon regard se porte automatiquement sur sa poitrine opulente, ce qui la fait sourire. Je m'assois sur le canapé du salon pendant qu'elle part dans la cuisine me chercher un Coca-Cola. Je remarque également sa chute de reins superbe. Elle revient avec les boissons, un sourire aux lèvres et sa poitrine en avant, ce qui provoque un rougissement de ma part et une forte érection. Elle s'en rend compte rapidement et me dit :
— Antoine, j'ai remarqué que tu viens souvent à la boulangerie, est-ce que ce sont les croissants de mon mari qui te plaisent autant ? dit-elle sur un ton coquin. Je ne sais plus où me mettre, je rougis de plus en plus et ma bosse est sans doute visible. Elle continue en disant :
— Tu sais Antoine, je sais bien que c'est ma poitrine que tu reluques et tu n'es pas le seul. En disant cela, elle se penche vers la table pour poser deux verres et servir les Coca-Colas. J'ai ses deux gros seins devant les yeux. Après cela, elle s'assied à mes côtés. Son décolleté est très échancré et mes yeux ne peuvent pas s'en détacher. Elle garde son sourire enjôleur, et moi j'ai chaud et ma trique est bien présente.
 — Bois un petit coup, Antoine, tu es tout rouge. Mes seins te plaisent, on dirait. Tu veux les toucher ? entends-je de sa part. À cet instant, je ne sais plus quoi faire. Je tousse et le Coca-Cola atterrit sur le haut de son décolleté.
— Petit cochon! dit-elle en riant, prends la serviette qui est sur la table et viens m'essuyer ! Machinalement, je prends la serviette et je commence à essuyer le haut de son décolleté. Elle dégrafe alors son corsage et ses deux seins sortent d'un coup. C'est la première fois que je touche avec ma main des seins aussi imposants.
— Frotte bien, Antoine, tu en as mis partout. Tu vois là ! dit-elle en prenant mes mains et en les posant sur ses gros seins bien chauds
 — Tu peux aussi les lécher si tu veux, profites-en, mon chéri. Ce ne sera pas tous les jours dimanche !

En disant cela, elle attrape ma tête et la colle sur ses seins. Je suis rouge écarlate à ce moment-là, mais aussi très excité. Je commence à lécher sa peau douce qui sent le lait. À ce moment-là, je sens une main sur ma cuisse qui remonte rapidement vers mon sexe.

— Ça bande bien, le petit coquin ! dit-elle. Avec sa main experte, elle déballe rapidement mon engin qui est raide. En plus, je suis en survêtement, donc facile à enlever. Pendant ce temps, je lui suce les tétons.
— Je te fais de l'effet, mon coquin. Ta queue est bien tendue. Veux-tu que je te branle à ma façon, mon biquet ? Je n'en crois pas mes yeux, la mère de mon ami et aussi l'amie de ma mère me propose cel. Je n'aurais jamais cru cela possible.
 — Retire ton bas de survêtement, Antoine, moi je vais me mettre à l'aise.
— Oui, Madame.

- Appelle-moi Daniela, mon biquet. Là, elle ôte son haut et je vois devant moi ses grosses mamelles splendides. Je suis ébahi devant sa beauté. C'est une femme de quarante ans aux courbes voluptueuses, avec de beaux seins généreux, des hanches pulpeuses, un regard et une bouche sensuels. Elle se tient nue devant moi, un jeune puceau. Je suis debout devant elle, avec mon bas de survêtement sur les talons et une érection solide. Elle me dit :

— Allez mon biquet, enlève ça et assieds-toi sur le canapé. Dominique et son père seront de retour d'ici deux heures, nous avons le temps, mais il ne faudrait pas qu'ils nous surprennent Dit-elle avec un sourire.Après un moment de surprise, j'enlève mon bas de survêtement et mes chaussures. Elle se tient devant moi, me toisant avec son sourire séducteur et sa taille d'1m85, plus grande que moi. Son regard se pose sur mon érection, elle se lèche les lèvres de manière suggestive puis me pousse sur le canapé. Je m'assois. Daniela s'agenouille devant moi, entre mes jambes écartées. Ma verge est tendue et je ne peux m'empêcher d'être excité en la voyant se lécher les lèvres devant moi.
— On t'a déjà fait une fellation, mon chéri ? dit-elle en souriant.Je rougis et bafouille ma réponse.
— Non, madame.
 — Es-tu encore vierge, mon chéri ? demande-t-elle d'une voix qui me fait frissonner.Je suis tout rouge.
— Oh, ne rougis pas, il n'y a pas de honte à être puceau ! Aujourd'hui, je vais te faire ta première fellation accompagnée d'une branlette espagnole.

Puis elle prend ma virilité fermement d'une main et approche délicatement ses lèvres de mon gland. Elle souffle légèrement dessus avant de le lécher doucement. Je suis instantanément parcouru d'un courant électrique, je me contracte face à cette première caresse buccale qui me fait bander.

— Oh, détends-toi mon chéri !! Tu ne vas pas éjaculer tout de suite, ce serait dommage, profite encore un peu du moment présent. Elle me laisse une petite pause puis reprend en prenant mon gland en entier dans sa bouche. J'essaie de me retenir, mais c'est extrêmement difficile, la voir devant moi, sa bouche engloutissant ma verge tout en me fixant du regard est insupportable. Elle continue sa fellation, prenant ma queue dans sa bouche et la relâchant avec intensité, avec ses yeux noisette et son sourire qui ne la quitte pas. Je m'accroche au canapé tellement le plaisir est intense et je fais de mon mieux pour ne pas éjaculer tout de suite. Heureusement, grâce à mes nombreuses séances de masturbation devant des vidéos pornos, je sais me contrôler un peu, mais cette fois-ci, c'est réel et c'est avec une femme vraiment magnifique. Après un moment, elle s'arrête.
— Très bien, mon chéri, tu as bien résisté. Maintenant, comme promis, tu vas pouvoir te lâcher entre mes seins. Ensuite, elle redresse la tête et pose ses seins volumineux sur le rebord du canapé. Elle les écarte, créant un sillon entre eux, et entoure ma verge qui est bien raide.
— Allez mon chéri, bouge ton bassin et fais glisser ta bite entre mes seins. Tu vas voir, ça va être très doux. Dit-elle en me faisant un clin d'œil coquin, tout en me fixant du regard. Je commence à bouger en me levant avec mes mains, elle presse mon sexe entre ses seins. À chaque mouvement de mon bassin, mon gland apparaît au sommet de ses seins. J'ai déjà vu une telle situation en regardant des images explicites, mais cette fois-ci, je vis une expérience réelle. En me rendant chez mon ami, je ne pouvais pas imaginer que j'aurais ma verge dans la bouche et entre les seins de cette femme au physique sculptural. Ensuite, après un moment, elle commence à caresser mon gland avec sa langue à chaque fois qu'il apparaît sur le haut de ses seins. Je sens l'excitation monter en moi et j'intensifie mes mouvements en gémissant de plaisir.
 — Viens Antoine, je t'attends. Lâche-toi et donne-moi ton plaisir. Me dit-elle d'une voix douce et sensuelle. Une première éjaculation jaillit et atteint le bord de ses lèvres, mais elle l'essuie rapidement avec sa langue. Puis une seconde éjaculation atterrit directement dans sa bouche grande ouverte, qu'elle avale rapidement tout en me fixant intensément du regard. Enfin, elle écarte ses seins et le reste se répand sur sa généreuse poitrine. Elle étale ensuite mon éjaculation sur sa poitrine avec ses mains tout en souriant. Pendant ce temps, je reprends mon souffle.

— Eh bien, mon coquin, ça avait l'air de beaucoup te plaire. Tu as bien évacué ton plaisir. Viens donc mordiller mes seins pour en nettoyer tes petites bêtises", dit-elle en souriant.Je m'approche de sa poitrine généreuse et commence à lécher et mordiller ses tétons, comme elle me l'a demandé.
— Tu te débrouilles bien, mon cher novice. Continue à lécher ton sperme. Elle penche son dos en arrière et offre ses seins que je lèche avec enthousiasme.
 — Hmm !! On dirait que tu te sens plus détendu maintenant que tes testicules sont vides, mon cher.Le téléphone sonne, Daniela se lève et se dirige vers l'appareil.
— Hello !! Oui chéri, as-tu fini les courses ? Tu peux passer chez Guy récupérer ma belle robe que j'ai prêtée à Sandra pour sa soirée. Tu passes devant, merci. Dis bonjour à Sandra, comme ça Dominique verra son cousin pour le foot aussi. Merci, bisous, à tout à l'heure. Elle dit cela d'un ton naturel, sans aucune trace d'appréhension, et avec son sourire ravageur. Ensuite, elle s'approche de moi en bougeant gracieusement son corps, faisant trembler sa poitrine généreuse.

— Allez, habille-toi mon chéri. Mon mari et Dominique vont arriver dans une heure, il ne faudrait pas qu'ils te voient dénudé. Tu peux prendre une petite douche si tu veux. Je vois que tu es toujours excité, tu sembles avoir apprécié, n'est-ce pas ? Je balbutie, embarrassé.
— Oui, je suis désolé Madame...
 — Ne m'appelle plus Madame maintenant, et ne sois pas désolé, c'est normal, et j'en suis flattée. Avec notre petit secret, tu peux m'appeler Daniela, sauf devant mon mari bien sûr.
— D'accord, Daniela.
— Très bien, mon chéri, c'est mieux ainsi. Elle remet ensuite son haut et sa robe en ondulant son corps de manière sensuelle. Elle me montre le chemin vers la salle de bain. J'y vais pour me rafraîchir et me changer. Je sens son regard captivant me suivre dans mon dos.
— Prends bien soin de toi, mon chéri, en pensant à moi lorsque tu te laves, et veille à ne laisser aucune trace dans l'évier ! dit-elle en plaisantant. — Je vais garder ton odeur sur moi encore un peu avant de prendre ma douche mon coquin. Après avoir nettoyé mon corps et m'être rhabillé, elle jette un coup d'œil à l'horloge et m'annonce que son mari et Dominique vont bientôt rentrer, me demandant de partir. S'approchant de moi, elle chuchote à mon oreille tout en posant sa main sur mon sexe.
— Reviens samedi prochain vers 14h30, mon chéri, et je te ferai découvrir le summum de la passion, comme tu l'as déjà bien suscité ce soir. Nous passerons à notre leçon de langues, si cela te convient. Pris dans mes émotions, je murmure timidement.
— Oui, Madame... oui, Daniela."
— Hmm, nous allons voir, mon chéri. En attendant, pense à moi", dit-elle avec son sourire ensorcelant et son regard passionné. Ensuite, elle m'embrasse sur les joues et je pars sur mon vélo, des pensées érotiques remplissant mon esprit, mais mon désir assouvi.