Dépucelage anal, suite
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Dépucelage anal, suite
Moi, c'est Malik et je vais vous raconter comment j'ai baisé la meuf que j'ai pécho l'été dernier.
J'ai vingt trois ans, black du 9,3 bien foutu avec un petit sourire ravageur.
J'étais animateur de soirée et surveillant de baignade. Je travaillais l'après midi et le soir.
Le centre accueille surtout des familles et entre autres prestations des pensions complètes.
Elle travaillait le matin en cuisine.
S'occupant du petit déjeuner en self service, elle avait une pause d'une heure.
Habitant le village voisin, elle restait au centre et ne rentrais que le soir.
Je la voyais régulièrement à la piscine où j'admirais sa plastique. Une belle poitrine ferme, des jambes effilées, un maillot échancré qui mettait ses fesses en valeur.
Âgée d'à peine dix huit ans, on devinait un corps de rêve sous son tablier, ses longs cheveux de jais étaient cachés sous sa charlotte. Mais son port de tête était de toute beauté avec ses lèvres bien dessinées , son nez fin et des yeux magnifiques.
Un matin, je l'ai abordé pendant sa pause en la questionnant. J'ai appris qu'elle n'avait pas de petit copain, qu'elle ne voulait pas rencontré un fils de paysan. Elle voulait faire des études et partir loin d'ici.
Elle avait aussi du caractère et je la faisais rire facilement.
Les fois suivantes, je la taquinais souvent et un matin, je l'ai rejoints en cuisine où elle était seule pour lui cacher les yeux en arrivant par derrière et en jouant aux devinettes puis je l'ai embrassé dans le cou avant de l'embrasser sur la bouche.
Notre baiser était intense, nos langues se fouillant mutuellement sans cesse.
Un autre jour j'ai glissé mes mains sous sa tunique pour empaumer ses deux melons bien fermes. J'étais derrière elle et j'appuyais mon bassin contre son postérieur. J'ai défait son soutien gorge et j'ai continué à la caresser en prenant ses tétons entre mon pouce et mon index.
Je lui faisais des petits bisous dans le cou et lui chuchotais des mots d'amour.
Elle ne pouvait pas sentir mon érection contre ses fesses.
Mon sexe est droit de taille moyenne avec des petites couilles. Non tout les blacks ne sont pas des taureaux…. Quoique je sois métissé…
Je l'ai invité à me suivre dans ma chambre. Nous avons repris nos embrassades et pelotages, elle ne pouvait pas ignorer mon érection et je mis ses mains sur mon ceinturon qu'elle défit maladroitement. J'en profitais pour la déshabiller complètement puis je la caressais tout en malaxant sa poitrine.
Je posais mes doigts sur sa vulve mais elle m'interdit de continuer dans son vagin. Elle m'avoua qu'elle était vierge et voulait le rester.
Aussi je descendis et je me mis à laper son con. Puis j’écartais ses lèvres pour vérifier ses dires. Effectivement ses muqueuses se resserraient pour ne laisser qu'un passage d’un centimètre nécessaire à l'évacuation du flot menstruel.
Ma langue lui procurait beaucoup de plaisir et elle me dirigea vers son clitoris bien érigé. De la pointe de ma langue je le soulevais et le suçais.
Elle plaqua ma tête contre sa vulve quand elle fut pris par un premier orgasme en gémissant.
Ensuite, elle s'est occupée de moi à genoux entre mes jambes. Elle m'a sucé à fond comme une reine. Elle me prenait en gorge profonde mes quinze centimètres, elle me masturbait en suçant mon gland.
Quand je lui dit que j'allais jouir, elle me garda dans sa bouche.
Ensuite, elle alla cracher dans la poubelle. Elle me dit qu'elle n'aimait pas mais qu'elle avait voulu me faire plaisir. Elle me dit qu'elle avait failli vomir et qu'à l'avenir, il me faudrait me répandre sur ses seins.
Je l'embrassais sur la bouche pour la remercier avant qu’elle me quitte.
Les jours suivants, elle vint directement dans ma chambre avec un petit déjeuner succinct.
Elle ouvrait en grand les fenêtres et la chambre était inondée de soleil, nous nous enlacions et entamions une danse de l'amour mais toujours avec interdiction de pénétrer son vagin ne serait ce qu'avec les doigts.
Je m'en étonnais d'abord en parlant de vaginisme, de préservatif, que je serai doux, rien n'y faisait.
Puis j'en vins à prendre ombrage, puis je lui dis que si elle ne voulait pas par devant, ce sera par derrière.
Elle voulait bien essayer pour me faire plaisir et par curiosité.
Je lui léchais l'anus, j'avais déjà effleuré cette zone en y mettant même un doigt en même temps que je lui faisais un cuni.
Elle appréciait, je pris les plaquettes de beurre du petit déjeuner et lui tartinais le fion.
C'est deux doigts qui la pénétraient un bon moment et je sentais son anneau resserré puis je me positinnais pour la sodomie.
Elle était face à moi, les fesses relevées sur un oreiller, les jambes repliées sur sa poitrine, le cul tendu, l'anus étoilé sous mes yeux,
A genoux, j'appuyais mon gland pour commencer la pénétration d'environ un centimètre.
Je sens une résistance, elle me demande d'attendre. Je ressors et remets du beurre, je me replace et lui dit : « Ouvre le four ! » Elle rit à gorge déployée et en même temps qu'elle relâche la tension, je m'enfonce en elle.
Elle crie! Puis plus rien.
Je jouis du moment. Elle m'a donné son pucelage et pas n'importe lequel, son pucelage anal. Peu de meuf l'accorde volontiers et si vite.
Elle est mienne. Je la pénètre dans ses chairs. Il y quelque chose de vicieux, pervers, elle est ma chose, mon jouet sexuel.
J'attends quelques secondes en souriant, fier de mes quinze centimètres en elle. Elle me sourit, un peu crispé.
Je ressors et commence de petits allers-retours, elle ne dit rien,j'accélère et jouit en elle.
Je l'embrasse, ses yeux sont humide : D'amour ou de douleur ?
Je me précipite dans la douche pendant qu'elle se rhabille pour aller au taf.
J'ai vingt trois ans, black du 9,3 bien foutu avec un petit sourire ravageur.
J'étais animateur de soirée et surveillant de baignade. Je travaillais l'après midi et le soir.
Le centre accueille surtout des familles et entre autres prestations des pensions complètes.
Elle travaillait le matin en cuisine.
S'occupant du petit déjeuner en self service, elle avait une pause d'une heure.
Habitant le village voisin, elle restait au centre et ne rentrais que le soir.
Je la voyais régulièrement à la piscine où j'admirais sa plastique. Une belle poitrine ferme, des jambes effilées, un maillot échancré qui mettait ses fesses en valeur.
Âgée d'à peine dix huit ans, on devinait un corps de rêve sous son tablier, ses longs cheveux de jais étaient cachés sous sa charlotte. Mais son port de tête était de toute beauté avec ses lèvres bien dessinées , son nez fin et des yeux magnifiques.
Un matin, je l'ai abordé pendant sa pause en la questionnant. J'ai appris qu'elle n'avait pas de petit copain, qu'elle ne voulait pas rencontré un fils de paysan. Elle voulait faire des études et partir loin d'ici.
Elle avait aussi du caractère et je la faisais rire facilement.
Les fois suivantes, je la taquinais souvent et un matin, je l'ai rejoints en cuisine où elle était seule pour lui cacher les yeux en arrivant par derrière et en jouant aux devinettes puis je l'ai embrassé dans le cou avant de l'embrasser sur la bouche.
Notre baiser était intense, nos langues se fouillant mutuellement sans cesse.
Un autre jour j'ai glissé mes mains sous sa tunique pour empaumer ses deux melons bien fermes. J'étais derrière elle et j'appuyais mon bassin contre son postérieur. J'ai défait son soutien gorge et j'ai continué à la caresser en prenant ses tétons entre mon pouce et mon index.
Je lui faisais des petits bisous dans le cou et lui chuchotais des mots d'amour.
Elle ne pouvait pas sentir mon érection contre ses fesses.
Mon sexe est droit de taille moyenne avec des petites couilles. Non tout les blacks ne sont pas des taureaux…. Quoique je sois métissé…
Je l'ai invité à me suivre dans ma chambre. Nous avons repris nos embrassades et pelotages, elle ne pouvait pas ignorer mon érection et je mis ses mains sur mon ceinturon qu'elle défit maladroitement. J'en profitais pour la déshabiller complètement puis je la caressais tout en malaxant sa poitrine.
Je posais mes doigts sur sa vulve mais elle m'interdit de continuer dans son vagin. Elle m'avoua qu'elle était vierge et voulait le rester.
Aussi je descendis et je me mis à laper son con. Puis j’écartais ses lèvres pour vérifier ses dires. Effectivement ses muqueuses se resserraient pour ne laisser qu'un passage d’un centimètre nécessaire à l'évacuation du flot menstruel.
Ma langue lui procurait beaucoup de plaisir et elle me dirigea vers son clitoris bien érigé. De la pointe de ma langue je le soulevais et le suçais.
Elle plaqua ma tête contre sa vulve quand elle fut pris par un premier orgasme en gémissant.
Ensuite, elle s'est occupée de moi à genoux entre mes jambes. Elle m'a sucé à fond comme une reine. Elle me prenait en gorge profonde mes quinze centimètres, elle me masturbait en suçant mon gland.
Quand je lui dit que j'allais jouir, elle me garda dans sa bouche.
Ensuite, elle alla cracher dans la poubelle. Elle me dit qu'elle n'aimait pas mais qu'elle avait voulu me faire plaisir. Elle me dit qu'elle avait failli vomir et qu'à l'avenir, il me faudrait me répandre sur ses seins.
Je l'embrassais sur la bouche pour la remercier avant qu’elle me quitte.
Les jours suivants, elle vint directement dans ma chambre avec un petit déjeuner succinct.
Elle ouvrait en grand les fenêtres et la chambre était inondée de soleil, nous nous enlacions et entamions une danse de l'amour mais toujours avec interdiction de pénétrer son vagin ne serait ce qu'avec les doigts.
Je m'en étonnais d'abord en parlant de vaginisme, de préservatif, que je serai doux, rien n'y faisait.
Puis j'en vins à prendre ombrage, puis je lui dis que si elle ne voulait pas par devant, ce sera par derrière.
Elle voulait bien essayer pour me faire plaisir et par curiosité.
Je lui léchais l'anus, j'avais déjà effleuré cette zone en y mettant même un doigt en même temps que je lui faisais un cuni.
Elle appréciait, je pris les plaquettes de beurre du petit déjeuner et lui tartinais le fion.
C'est deux doigts qui la pénétraient un bon moment et je sentais son anneau resserré puis je me positinnais pour la sodomie.
Elle était face à moi, les fesses relevées sur un oreiller, les jambes repliées sur sa poitrine, le cul tendu, l'anus étoilé sous mes yeux,
A genoux, j'appuyais mon gland pour commencer la pénétration d'environ un centimètre.
Je sens une résistance, elle me demande d'attendre. Je ressors et remets du beurre, je me replace et lui dit : « Ouvre le four ! » Elle rit à gorge déployée et en même temps qu'elle relâche la tension, je m'enfonce en elle.
Elle crie! Puis plus rien.
Je jouis du moment. Elle m'a donné son pucelage et pas n'importe lequel, son pucelage anal. Peu de meuf l'accorde volontiers et si vite.
Elle est mienne. Je la pénètre dans ses chairs. Il y quelque chose de vicieux, pervers, elle est ma chose, mon jouet sexuel.
J'attends quelques secondes en souriant, fier de mes quinze centimètres en elle. Elle me sourit, un peu crispé.
Je ressors et commence de petits allers-retours, elle ne dit rien,j'accélère et jouit en elle.
Je l'embrasse, ses yeux sont humide : D'amour ou de douleur ?
Je me précipite dans la douche pendant qu'elle se rhabille pour aller au taf.
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